bonjour, j'ai fait un burn out en 2018 trouble anxieux généralisé je suis suivi par une psychologue en tcc je suis sous deroxat également de puis 2 ans. nous avons très très bien avancé voir m^me cet été j'étais super bien cet été.
le 25 Aout j'ai fait un entretien d'embauche l'entretien en lui m^me c'est super bien passé. sauf qu'à la fin j'ai fait un malaise. Ma psy m' a expliqué le pourquoi 1 heure de trajet donc trop long et je l'ai bien ressenti et ensuite 40 mn d'entretien et là mon psyché à lâcher.
depuis j'ai peur d'avoir peur de sortir. j'ai vu mon psychiatre qui m'a prescrit lyxansia à prendre en fonction de mon ressenti.
pas convaincu de cette réponse je suis allée voir mon doc qui lui m'a dit 1/2 le soir et 1/2 le matin. Chose que j'ai faite mais ça me ko. donc je rappelle doc qui me dit 1/2 le soir. ok et si besoin le matin.
chose que je fais depuis le 1er septembre. vu mon psychiatre le 25/09 qui me dit ça ne sert à rien de la prendre le soir car pas de crise d'angoisse. je fais des crises quand je sors de la maison et encore pas tout le temps . arrêtez le. cela me parait bizarre car on arrête pas un anxio comme ça. il me prescrit les gouttes 5 gouttes en cas de besoin le matin 1h avant avant de sortir de chez moi. du coup je prends 5 gouttes le soir car pour ma part on arrête pas un anxio comme ça. et également 5 gouttes samedi matin et dimanche je suis complétement cassé j'ai l'impression d'être un robot moral au plus bas cela me shoote.
que dois je faire ? je vais l'arrêter car il me mets plus mal qu'avant comment dois je faire. ?
merci pour votre réponse car je suis perdue .
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7 OCT. 2020
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Bonjour Edwige,
Les traitements anxiolytiques permettent d'apaiser et s'associe à une thérapie. En 2018, vous avez su passer les bonnes portes pour être accompagnée, ce qui n'est jamais simple quand on est épuisé !
Le syndrome du burnout fragilise les capacités cognitives, fait apparaître des troubles nouveaux en fonction de ce qui se vit... La fatigabilité et le stress de cet entretien ont été une réelle épreuve à surmonter pour cet entretien... Comme une longue randonnée en altitude, où vous avez su atteindre le sommet mais pour laquelle il vous manquez l'énergie pour assurer votre retour.
Partez d'un principe simple, ne baissez pas les bras. Le temps nécessaire pour se reconstruire doit être considéré comme une convalescence. Comme la kiné que l'on fait après s'être déchiré un tendon, on va prendre le temps de redonner un peu de souplesse, puis on va remusclé, puis harmoniser le mouvement pour enfin remarcher sans douleur.
Le soutien psychologique consiste en ce même chemin... certaines fois il est nécessaire de changer de praticien pour travailler autrement ou pas, d'allèger le traitement ou de le revisiter... Sur le plan du traitement, sans prendre la place du psychiatre qui vous connait bien mieux que moi, la question qui peut se poser est faut il continuer ce nouveau médicament si vous avez l'impression qu'il vous réduit? Sur le plan de la thérapie, l'objet de votre accompagnement pourrait à présent consister à faire travailler votre endurance, a vous réapprendre à gérer les situations émotionnellement éprouvante dans le cadre d'un retour à la vie professionnelle, en douceur avec du soutien, avec des exercices qui consiste à vous exposer petit à petit à ces situations de tension et par conséquent de fatigue, tout en vous ménageant des temps d'analyse et de repos. Le plaisir d'avancer vous permettra de rebondir que plus vite sans prendre le risque que tout ne vous échappe.
Poursuivez en pose vos choix, voilà ce qui est le plus important : resté à l'écoute de soi même.
Je suis à votre disposition pour toutes questions,
Isabelle Estienne
30 SEPT. 2020
· Cette réponse a été utile à 1 personnes
Bonjour EDWIGE
Vous êtes en de très bonnes mains :Psychiatre , médecin traitant et psychologue. Ces soignants sont à votre écoute. Cette écoute se fait en fonction de vos appels et de la situation que vous traversez au moment de votre consultation :ainsi le psychiatre vous voit avec des rendez-vous à long terme , votre médecin traitant vous donne des rendez-vous à court terme enfin votre psychologue vous voit avec régularité et vous aide à avancer sur le plan comportemental et cognitif .Tous ces praticiens répondent à votre souffrance avec leur compétence et la confiance est la meilleure alliée de votre guérison. Soyez rassurée, tous sauront s'adapter non seulement aux difficultés que vous traversez mais aussi à la posologie de leur confrère. Il n'est pas des compétences d'un psy d'ordonner un traitement médical et de donner son avis sur une prescription . Votre "doc" est votre médecin référent il est informé et recoupe les informations quant à vos traitements , n'hésitez pas à lui faire part de vos questionnements et de vos réactions , il ajustera le traitement médical en accord avec le psychiatre et en fonction de votre état .
Prenez soin de vous
Psy-Véronique-Eyraud
30 SEPT. 2020
· Cette réponse a été utile à 0 personnes
Bonjour, seuls les médecins sont habilités à répondre à votre question. Adressez vous à un.medecin en qui vous avez confiance ou prenez un autre avis auprès d'un autre psychiatre. En tout état de cause, il est souvent déconseillé d'arrêter un médicament sans avis médical. Bien à vous.
Sophie Bonin Gilles
30 SEPT. 2020
· Cette réponse a été utile à 2 personnes
Bonjour,
Un anxiolytique doit rester très ponctuel et sur une courte période, 15 jours maxi en continu. Ne pas le prendre une longue période, le risque c'est la dépendance... Cela est connu de tous les médecins !
Pour le reste, parlez en à votre psychologue puisque vous êtes déjà suivie, je ne comprends pas votre demande...
Un médicament quel qu'il soit doit rester ponctuel et ne pas se prendre pendant des années. Un médicament reste un camouflage des blessures plus profondes de votre style de vie, de votre conditionnement antérieur.
30 SEPT. 2020
· Cette réponse a été utile à 1 personnes
Bonjour Edwige,
Jusqu'à présent, la solution qui vous a été proposée est de faire (chimiquement) disparaître le symptôme. Il n'est évidemment pas question de supprimer un traitement sans avis médical mais il semble que votre psychiatre ne soit plus convaincu de son efficacité. Il est possible aussi que vous vous soyez créé une dépendance psychologique à ce produit dont la prescription a été suspendue.
Et si vous envisagiez plutôt de vous attaquer à la cause profonde de votre anxiété ? Sachez que bien souvent, cet état est provoqué à la base par des traumatismes remontant à la petite enfance. Si ceux-ci n'ont pas été conscientisés ni guéris, les symptômes se reproduisent dès qu'une peur est réactivée par un stimulus. Je peux vous accompagner dans cette exploration, il existe des techniques naturelles comme l'hypnose qui permet d'accéder à l'inconscient, de déloger des mémoires négatives pour réinstaller des informations positives. Je vous invite à m'appeler ou à me laisser un mail pour un premier contact sans engagement de votre part; je ne peux tout développer ici.
Prenez soin de vous
Véronique BLANCHE, Thérapeute holistique
Hypnose
Soins énergétiques
30 SEPT. 2020
· Cette réponse a été utile à 0 personnes
Bonjour Edwige,
Vous ne devez pas arrêter votre traitement sans avis médical et vous ne devriez pas changer la posologie qui vous a été prescrite. Ce que vous pouvez faire par contre c'est dire à votre médecin psychiatre que le traitement vous empêche de fonctionner normalement et donc qu'il adapte le dosage. Vous devez ensuite lui faire confiance et si à nouveau vous ressentez des désagréments, consulter à nouveau jusqu'à ce que le bon dosage soit trouvé.
Pour la partie psychothérapie il faut continuer.
Bien à vous.
Fabienne Rius-Vesperini
Psychopraticienne à Marseille.