Je ne sais plus où nous en sommes avec ma fille

Réalisée par alice · 12 mai 2021 Aide psychologique

Ma fille de 22 ans me rejette, refuse mes avis qu'elle sollicite pourtant, mais a réponse à tous mes arguments pour faire strictement l'opposé de ce que je lui conseille ! Après quelques années sous emprise médicamenteuse (et autres drogues... je n'ai pas tous les détails) elle est actuellement sous traitement substitutif et semble vouloir s'en sortir. Mais elle m'a tellement menti que je n'ai plus trop confiance. Je ne sais pas comment rétablir un dialogue sain et serein entre nous. Je tente de l'orienter vers des solutions simples et faciles à mettre en oeuvre, pour qu'elle puisse tranquillement s'occuper d'elle et se reprendre. Elle refute mon opinion et choisit toujours la complication : je lui propose de revenir habiter chez moi, ce qui matériellement serait plus facile pour nous deux, elle préfère louer un appartement qu'elle n'entretient pas et qui ressemble à un dépotoir... Elle adopte un chien et les contraintes qui vont avec alors qu'elle ne prend aucun soin d'elle, prétend se raser la tête pour faciliter l'entretien ! Ce sont des exemples... Est-ce moi qui suis trop exigeante à rêver la faire revenir dans le rang ? Comment retrouver la qualité de nos échanges d'avant alors qu'elle se braque et se ferme sitôt que mes réponses ne vont pas dans son sens.

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Meilleure réponse 14 MAI 2021

Bonjour,

C'est une situation bien compliquée avec votre fille de ce que je lis. La prise de drogues signent souvent un mal-être profond.
Pour le moment, vous ne pouvez pas la faire rentrer dans le rang, car elle semble très perturbée, instable, les drogues ont pu aussi avoir un effet destructeur sur son organisation psychique. Avez-vous connaissance si elle a vécu des choses très difficiles qui l'ont amené à quitter le rang ? De mauvaises fréquentations, des traumatismes,etc.
Il est possible qu'en son fort intérieur elle vous en veut, de ne pas avoir vu, su ou agi, car elle comprend qu'elle est dans l'enfer des drogues et que c'est très difficile de s'en sortir sans une aide extérieure professionnelle. C'est comme si elle voulait vous mettre en échec, parce que au fond c'est ce qu'elle vit.
Donc plutôt que de lui proposer toujours des solutions, des idées, demandez-lui qu'est-ce qui lui ferait plaisir ?
Voyez si vous pouvez reconnecter avec les bons souvenirs, avant que tout bascule - parce que quelque chose que vous ignorez a fait que elle a basculé du mauvais côté.
Je ne suis pas persuadée que le fait qu'elle revienne vivre chez vous soit une bonne idée. Laissez-lui du temps, essayez de prendre du recule sur certaines de ses fantaisies comme se raser les cheveux. Elle cherche son identité, qui elle est. Elle doit faire l'expérience douloureuse d'apprendre à grandir tout en se dé-sidentifiant de vous sa mère. Mais elle vous aime sans doute beaucoup, et le plus simple de vous retrouver autour de petits repas, sorties , .... de la laisser venir et vous parler d'elle, sa vie. Que vous puissiez avoir l'opportunité de lui expliquer que vous aimeriez qu'elle vous pardonne pour ce qu'elle vous reproche, que vous ne saviez pas, ne pouviez pas savoir et faisiez du mieux que vous pouviez.
Posez-lui la question : que puis-faire pour toi car quoique je fasse j'e constate que cela te met en colère, ou tu rejettes mes idées.
Je ne sais pas quoi faire qui puisse te faire plaisir.
Je veux que tus saches que je m'inquiètes pour toit, que j'aimerais que tu ailles mieux....je ne peux refaire le passé.
J'aimerais que nous retrouvions la qualité de nos échanges que nous avions avant...Qu'en penses-tu ? Etc

je vous souhaite du courage et des forces, de la patience car il est possible qu'il y aura des hauts et des bas.
Si vous pouvez faîtes-vous aider aussi.

Bien à vous.

Christiane Moyaux Ledour Psy sur Carqueiranne

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17 MAI 2021

Bonjour Alice,

Difficile pour moi de donner des conseils, dans une premier temps je vous poserais quelques questions p.ex. pour identifier ce que vous ressentez dans la relation avec votre fille. Est ce plutôt de la tristesse/manque par rapport à l'absence de dialogue sain ou une sorte de colère/frustration qu'elle ne va pas dans votre sens, ou encore une autre émotion qui ne transparait pas dans votre message.

Je vous inciterai également à ne travailler que sur un seul objectif à la fois, et ainsi de réfléchir d'abord à ce qui serait plus important pour vous? que votre fille aille dans votre sens ou bien que le dialogue sain se rétablisse?

Bon courage à vous,
Bernard

Bernard Hasson Psy sur Paris

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13 MAI 2021

Bonjour Alice,

Dans votre écrit je ressens de la peur.
Votre fille semble avoir vécu une période difficile où elle a eu recours à des stupéfiants, médicaments. Que s’est-il passé pour elle pour qu’elle en arrive là ? Y aurait-il eu des traumatismes, manques, blessures ? Pour elle, pour vous, dans votre relation ?
Aujourd’hui vous faites tout ce que vous pouvez pour retrouver « la qualité de vos échanges ». Or ces échanges-là ne sont plus, quelque chose a été rompu.
Les mots que vous utilisez sont forts, vous avez la volonté de la « faire revenir dans le rang ». Quel rapport avez-vous avec l’armée ?
Vous évoquez aussi des « solutions simples et faciles à mettre en œuvre »… Ce sont vos solutions qui très probablement sont efficaces pour vous-même, or nous sommes tous différents. Ce qui peut correspondre à l’un ne correspond pas forcément à l’autre.
Revenir habiter chez vous serait certes une solution plus économique et où vous seriez plus proche physiquement d’elle, mais cela ne peut se faire que si elle en a l’envie, l’élan. Votre fille a besoin d’autonomie, d’indépendance. De soutien et d’accompagnement aussi très certainement, mais je vous invite à lui proposer votre soutien financier pour qu’elle puisse être accompagnée par un thérapeute, plutôt que de penser que vous puissiez vous lui apporter cet accompagnement psychologique.
Votre fille a fait des choix différents des vôtres, elle vit dans « dépotoir », elle adopte un chien, se rase la tête… Comment vous sentez-vous avec tout cela ?

Je vous invite à découvrir la CNV -Communication Non Violente- qui est un outil très puissant afin de se connaître soi-même, aller contacter ses ressentis et ses émotions, cerner les besoins insatisfaits ou satisfaits. Cet outil permet également de communiquer avec l'autre, de l'inviter à ressentir, s'exprimer et dialoguer ensemble. Voilà une piste pour renouer le dialogue avec votre fille, se mettre en empathie avec elle, ce qui est très différent de lui donner des conseils ou de chercher à lui imposer des choix qui ne lui conviennent pas.

Je vous invite à vous rapprocher d’une/un thérapeute pour vous accompagner dans ce moment délicat que vous traversez, pour adoucir la relation avec votre fille.

Je reste à votre disposition.
Claire Thomas,
Psychosomatothérapeute

Claire Thomas Psy sur La Chapelle-Caro

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13 MAI 2021

Bonjour, lorsque votre fille demande votre avis vous pourriez essayer de lui demander d'abord ce qu'elle en pense, puis de lui donner votre avis tout en lui disant que ça n'appartient qu'à vous et que c'est à elle de décider. Souvent les difficultés de communication proviennent de la sensation de jugement. Je vous conseille les livres sur la communication non violente. Si besoin vous pouvez tenter de voir toute les deux un thérapeute familial je suis à votre disposition pour échanger Sandrine Nede

Sandrine Nede Psy sur Bordeaux

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13 MAI 2021

Bonjour Alice,

Merci pour votre témoignage. Il montre à quel point il est difficile de se séparer entre mère et fille. Son opposition, comme probablement ses addictions, sont des tentatives inadaptées de répondre à une question de fond: comment fait-on pour grandir et s'autonomiser ?

Quant à vous, il vous faut faire le deuil de la relation d'avant, qui correspond probablement à l'enfance révolue de votre fille et la laisser faire ses expériences, même si elles vous paraissent souvent déroutantes.

Bon courage

Caroline Ulmer-Newhouse

Caroline Ulmer-Newhouse Psy sur Paris

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13 MAI 2021

Bonjour
Vous expliquez que votre fille a un traitement de substitution, elle doit avoir un suivi psychologique et ou psychiatrique en principe.
Bénéficie-t-elle d’un programme de soin?
La toxicomanie est très complexe et il est souvent très difficile pour les parents de comprendre quelle place ou quels rôles ils peuvent prendre.
Il me semble important de juste signifier que vous êtes là si elle a besoin ou envie de vous voir.
Si elle rejette des choses de votre part mieux vaut peut-être passer la main, elle est adulte de plus. Elle peut aussi bénéficier d’un accompagnement global où se rapprocher d’associations,
Il y a des dispositifs spécifiques pour cela, des services sociaux.
Vous ne pouvez pas tout porter et endurer, un peu plus de distance sera salvateur.
Bon courage
Bien à vous
Élisabeth Meiller

Elisabeth Meiller Psy sur Didenheim

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13 MAI 2021

Bonjour Alice,
Ne faites pas une affaire personnelle des réactions de votre fille qui est en souffrance. Le traitement chimique ne suffira pas à la sortir de son mal-être et vous n'êtes pas la personne la mieux placée pour l'aider sur le plan psychologique. Il faut qu'elle soit accompagnée par un professionnel mais vous pouvez l'aider en l'écoutant, en lui manifestant votre amour par de petites attentions : petits plats qu'elle aime bien, par exemple. Vous dites "je rêve de la faire revenir dans le rang". Peut-être, oui, ressent-elle trop de dirigisme de votre part et elle vous le fait "payer" à sa façon. Et puis, chacun doit faire ses expériences, jusqu'à se "planter" parfois pour comprendre les leçons de la vie.
Ne désespérez surtout pas d'elle car c'est ce qu'elle ressent. Croyez en elle et laissez la faire ses choix, même les mauvais en restant toutefois présente, sans jugement, sans peur excessive que vous risqueriez de lui transmettre.
Enfin, sachez que notre personnalité se construit à partir de ce que l'on a vécu dans la petite enfance : il y a sûrement, pour elle comme pour nous tous, des explications à trouver dans le mal être de votre fille, mais il n'est pas question de vous culpabiliser de quoi que ce soit. Si vous souhaitiez en savoir plus à ce sujet, n'hésitez pas à me contacter.
Bien à vous
Véronique BLANCHE, Thérapeute Holistique
Guérison de l'enfant intérieur
Hypnose Ericksonienne
Soins énergétiques

Véronique Blanche Psy sur Quessoy

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13 MAI 2021

Bonjour Alice,
La relation entre vous a changé, et ce que vous exprimez est une forme de "deuil" de ce qui n'existe plus. Votre fille est sans doute en colère, et vous signifie par ses comportements qu'elle veut se débrouiller seule dans la vie.
C'est à respecter, et même si elle prend des risques et vit de façon rebelle, c'est son chemin.
Pour votre part, montrez que vous êtes là si elle a besoin, mais laissez-la avancer à sa manière, faites-lui confiance.
Votre fille a grandi et elle veut se détacher de vous pour mener sa propre vie, en opposition à la vôtre. Il serait intéressant que vous regardiez comment vous avez fait pour vous détacher de votre mère, cela vous aidera peut-être à accepter son cheminement.
Si vous avez besoin de parler, je me tiens à votre disposition
Inès AVOT

Inès Avot Psy sur Ouve-Wirquin

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13 MAI 2021

Bonjour Alice,

Dans notre développement, pour accéder à l'autonomie, c'est à dire la capacité de vivre avec les autres tout en étant capable de s'assumer pleinement, nous passons par 4 phases :

- une phase de dépendance : nous avons besoin de nos parents pour survivre, sans eux nous mourrons. Il n'y a qu'une seule vision du monde, celle de mes parents et je m'y conforme pour survivre.

- une phase de contre-dépendance : je commence à m'affirmer, à dire non (le non du petit enfant) et à l'adolescence, je m'oppose de manière systématique. Il n'existe toujours qu'une seule vision du monde, celle de mes parents et je m'y oppose pour marquer mon individualité. Cette étape est très particulière car il y toujours un message à deux niveaux : d'un côté un rejet de l'autorité, parfois dans la violence et d'un autre côté, un besoin d'être reconnu dans ses différences, dans son individualité. Le message sous-jacent pourrait être : "fais-moi confiance et aime-moi comme je suis, bordel !" Je dis bordel parce que, souvent, en tant que parent, on a du mal à entendre cela alors ça finit par hurler.

- une phase d'indépendance : je peux subvenir seul à mes propres besoins. C'est l'envol. Il n'existe qu'une seule vision du monde valable : la mienne. Les autres n'ont rien compris mais ça viendra peut-être un jour.

- une phase d'interdépendance, c'est l'aboutissement de l'autonomie : je suis capable de m'assumer seul mais j'ai compris que j'ai quand même besoin des autres et que je peux aussi contribuer à leur vie. il y a autant de visions du monde qu'il y a d'individus, et aucune n'est meilleure qu'une autre.

Lorsque vous parlez de faire revenir votre fille dans le rang, vous voyez que ça ne peut pas marcher. Elle n'est plus une petite fille et elle est en train d'osciller entre de la contre-dépendance et de l'indépendance. Son envie de louer un appartement le prouve. Plus vous allez chercher à lui imposer votre vision du monde, plus vous allez créer du rejet.

Demander un avis n'implique pas nécessairement de le suivre. Il vous est sans doute arrivé de prendre des avis et de faire le contraire de ce qu'on vous préconisait, simplement parce que l'échange vous a aidé à savoir ce qui était le mieux pour vous, n'est-ce pas ?

Acceptez que votre fille puisse aller dans une toute autre direction que vous. Plus vous la laisserez libre de ses choix et de ses pensées, plus elle sera en mesure de prendre des décisions en adulte. Plus vous chercherez à lui montrer ce qui est juste et bien, plus potentiellement elle se mettra en danger pour aller à l'opposé et tenter de se séparer de vous et d'affirmer son individualité.

Les inconscients se parlent et lorsque vous avez l'impression de juste donner votre avis, elle capte probablement une volonté de contrôle de votre part et en tout cas, se sent imposer votre avis. Avec l'aide d'un professionnel, vous arriverez à mettre au jour ce qui se joue pour vous, à verbaliser vos peurs, à comprendre ses besoins à elle, et à apprendre à lâcher prise pour que tout le monde retrouve de la légèreté et de la sérénité.

Ce qui peut-être particulièrement difficile en tant que maman dans tout ceci, c'est d'accepter de ne pas tout pouvoir pour ses enfants et de les laisser faire leurs propres erreurs tout en restant là pour eux, prête à leur tendre la main s'ils en font la demande. Cela peut s'accompagner pour être vécu beaucoup plus en douceur.

Je reste là pour vous si vous le souhaitez. Sentez-vous libre de m'écrire ou de m'appeler si vous pensez que je peux vous aider.

Courage

Boris Amiot Psy sur Serris

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12 MAI 2021

Bonjour Alice,

Ce qui me paraît important dans vos relations avec votre fille adulte serait d'accepter ces choix et de lui signifier que vous restez présente à ces côtés. Vous rêvez d'échange plus sain, laissez lui la distance nécessaire, afin qu'elle revienne vers vous plus sereinement.

Je reste à votre écoute avec bienveillance et empathie

Marjorie Lugari - Psychanalyste

Anonyme-377370 Psy sur Aix-en-Provence

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12 MAI 2021

Bonjour Alice,

Vos questionnements sont légitimes.
Il semble que votre fille est en recherche de cadre et de ses propres limites. C'est un appel de sa part face à l'autorité.
Au travers de ses comportements et de ses opinions contradictoires, elle émet une forme d'agressivité pour se positionner.
Il est important de comprendre d'où vient cette agressivité de sa part.

Afin de répondre à votre question, il me faudrait comprendre comment s'articule votre relation depuis sa petite enfance jusqu'à aujourd'hui. Mais aussi, la place de la figure paternelle au sein de votre famille. Ce sont des éléments extrêmement importants pour replacer la posture de votre fille au sein de votre famille.

Qu'est-ce que cela vous évoque ?

Vous indiquez aussi qu"'avant" vous aviez des échanges "de qualité". Depuis quand cela a t'il radicalement changé ?
La première chose dont, peut-être, votre fille a besoin, c'est d'une écoute attentive sans aucune recommandation de votre part (même si ses choix vous paraissent complètement aberrants) . Qu'en pensez-vous ?

Je crois que vous ne pouvez pas porter la responsabilité du comportement de votre et fille, et pourtant, il est important de comprendre quels sont vos liens pour pouvoir vous orienter.
La délinquance ou bien les comportements "limites" sont une recherche profonde de cadre.

Je suis à votre écoute si vous souhaitez approfondir vos questionnements.
Julia, thérapeute en relation d’aide & coach spécialisée en image de soi
(hypersensibilité, contrôle, culpabilité, agressivité, gestion des émotions, somatisation)
Approche individuelle, systémique & transgfénérationnelle

Julia Bouchinet Psy sur Saint-Jean-de-Luz

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12 MAI 2021

Bonjour Alice

Votre envie de voir votre fille aller mieux se ressens à travers vos lignes, tout autant que l'amour que vous semblez lui porter.

Il serait intéressant de comprendre qu'est ce qui a poussé votre fille à avoir des comportements à risque ? Depuis quand vos relations se sont elles détériorées ? Que vous reproche t elle ?

Vous dites " suis je trop exigeante à vouloir la faire revenir dans le rang "... une phrase qui pourrait laisser croire que c'est l'armée à la maison et que vous souhaitez lui imposer un mode de vie contre lequel elle se rebelle ? (Hypothèse)

Travailler sur vos ressentis, sur vos émotions et vos besoins, ainsi que sur la façon de communiquer pourrait vous permettre d'aborder votre relation différemment

En tant que conseillère conjugale et familiale, coach en développement personnel, je peux, si vous le souhaitez, vous accompagner à faire la lumière sur cette situation, en douceur et toute bienveillance.

Myriam - Des mots sur l'Emo


Myriam Issaoui Psy sur Lyon

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12 MAI 2021

Bonjour,
Il est souvent difficile de renouer un dialogue qui a été rompu à un moment ou à un autre pour diverses raisons.
Visiblement vous vous trouvez dans un cercle vicieux alimenté par les choses mêmes que vous mettez en place pour essayer de dénouer la situation.
La thérapie brève et stratégique selon l'école de Palo Alto est tout à fait adaptée pour apaiser la souffrance dans les relations.
L'idée étant un peu de faire l'inverse de ce qu'on fait habituellement : quand on a tout essayé et que ça ne fonctionne pas, il n'est pas idiot de penser à faire l'inverse. Mais ce n'est pas facile à mettre en oeuvre.
Je reste à votre écoute et à votre disposition si cette approche vous intéresse.

Muriel Faes Psy sur Lyon

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