Ma fille évoquait sans cesse son frère décédé est-ce normal ?

Réalisée par Sonia · 28 nov. 2016 Parentalité

Bonsoir, j'ai accouché il y a un an de cela d'un bébé mort né à 3 semaines de mon terme. J'ai du expliquer à ma fille aînée de 4 ans que son frère aimait tellement la maison de Dieu (comme elle aime restée chez sa mamie ) qu'il a préféré rester là-bas. Depuis elle n'arrête pas d'évoquer ce frère qu'elle n'a pas eu. Elle dit avoir 2 frères (un ici et l'autre chez Dieu) elle en parle régulièrement, et souhaite le rencontrer etc.. Je ne sais pas comment parvenir à lui faire tourner la page. Est-ce normal d'en parler autant ? C'est difficile pour moi de faire mon deuil quand elle en parle autant et j'ai peur qu'elle grandisse avec la notion de la mort omniprésente. Merci de votre aide.

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Meilleure réponse 28 NOV. 2016

Bonjour Madame,

Mes colègues vous ont suggéré beaucoup de pistes d'explication et d'action..., je rajoute les miennes.

L'explication que vous avez donné à votre fille sur son frère mort né ne lui convient visiblement pas... : si vous lui parlez de la maison de Dieu... elle se l'imagine comme une vraie maison accessible et "visitable"... Donc, elle ne peut comprendre pourquoi elle ne peut pas le visiter..., le rencontrer, etc. Elle peut même s'imaginer que ce frère préfère être ailleurs que chez vous, et avec d'autres personnes qu'il préfère à elle et à vous..., que celles-ci soient "meilleures", etc...
Il se peut même qu'elle vous demande à aller dans cette maison de Dieu elle même...
Il me semble qu'il vous faut trouver d'autres mots pour lui expliquer ce qui s'est passé, et envisager aussi pour vous même de faire le deuil du petit être qui est mort avant d'avoir vu le jour.

Un thérapeute familial peut vous aider tous (le père de vos enfants inclus) à trouver les mots pour vous raconter autrement cet événement douloureux de votre vie, et de l'intégrer à votre histoire familiale de manière plus apaisée.

De toute manière, il me semble souhaitable que vous consultiez quelqu'un en famille, avec le père (pédopsychiatre ou autre type de thérapeute), puisque votre discours doit être commun, comme ce que vous avez vécu, et qui mériterait d'être partagé.

Je vous souhaite le courage de remettre en question et en mots ce vécu douloureux pour vous tous.
sp

Silvia Podani Psy sur Issy-les-Moulineaux

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30 NOV. 2017

Bonjour Sonia
Votre appel arrive en ces jours anniversaire de la disparition de votre bébé .C'est une situation bien douloureuse pour toute une famille que de vivre la perte , et de surcroît d'un être à venir attendu par tous . une venue qui ne s'est pas réalisée , restant inachevée pour tous . Dans cet inachevé tous les fantasmes sont présents .Et pour vous aider vous avez donné cette interprétation à vos enfants . Nos enfants vivent dans le merveilleux et pour eux tout est possible . Vous n'avez pas voulu évoquer la mort et la mort reste présente à travers les mots de votre fille . Les enfants paradoxalement ne craignent pas la mort en elle même . ils ont plus peur de la perte . Ils ont besoin de la sécurité que leurs parents ne disparaissent pas . Ils ont besoin de protection et d'espoir , mais aussi de vérité pour se construire dans notre réalité .l'important est de dire ce qui s'est passé , de nommer ce petit frère , a t il reçu un prénom , un lieu de sépulture , et d'expliquer peut être que nous venons vivre sur terre une durée de vie que nous ne connaissons pas , que ce bébé a reçu beaucoup d'amour pendant sa gestation et que son cycle de vie a eu cette durée .qu'il avait un problème physique qui ne lui a pas permis de vivre . qu'il y a des choses qu'on ne peut expliquer et résoudre encore .En fonction de vos croyances , lui donner vos explications sur la vie après la mort . et bien dissocier cet ailleurs 'maison de dieu ' qui n'est pas sur terre . Et la rassurer qu'elle est bien portante comme vous tous et que vous serez toujours là pour elle . Comme en a parlé un confrère , créer ensemble un rituel ,comme un petit autel où chacun y déposera quelque chose en l'honneur de ce bébé .Pour ma part il me semble complètement normal que votre fille parle de ce petit frère . Ce qui indique qu'elle a bien compris la situation et quelque part elle fait écho peut être au manque de mots posés sur cette situation et ce deuil en cours . Quelques séances thérapeutiques pour elle et vous, vous aiderons à faire votre deuil

Christine Speroni Galdos Psy sur Cenon

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11 OCT. 2017

Bonjour Sonia,

Je vais présenter mon point de vue de façon très hypothétique car je veux éviter de tomber à coté des besoins de votre fille.

Il est naturel que votre fille ai besoin de parler de son frère. Beaucoup de sujet très abstraits et inconnus pour elles sont abordés d’un coup : la perte, la mort, Dieu, le paradis, les imprévus de la vie, la déception …

Je comprends qu’il est compliqué pour vous de faire votre deuil. Votre fille a besoin de réponses face à tout cet inconnu et à toutes les répercussions dans son monde intérieur et extérieur, y compris quand elle voit votre tristesse. Une des plus belles façons de faire le deuil est d’expliquer ce que l’on ressent. N’en faites pas un tabou.
Votre fille voit bien votre état mais ne comprend pas entièrement la cause, les liens, les tenants et aboutissants et surtout le décalage entre votre ressenti et l’absence de parole et de réponses. C’est comme si elle vous voyait de couleur bleu et que vous lui disiez non, je suis de couleur violette. Cette possible contradiction peut nourrir un grand sentiment d’incompréhension et d’insécurité pour elle. Soyez transparente face à votre fille dans les mots et dans les mots uniquement (sans craquer face à elle). Soyez rassurante tout en étant franche. Devenez l’exemple de l’attitude que vous aimeriez lui transmettre et là, vous saurez que vous faites de votre mieux, ne tentez pas de faire plus, on ne peut pas faire plus que de son mieux.

Il reste malgré tout une grande inconnue à cette équation du point de vue de votre fille : comment « tu vas avoir un petit frère » + « X » = « aimait tellement la maison de qu'il a préféré rester là-bas ».

Je ne peux pas m’avancer là-dessus mais il est possible que votre fille ai besoin de comprendre « X ».

Dans tous les cas, je vous conseille vivement de consulter un professionnel qui vous aidera à faire votre deuil avec équilibre et à parler à votre fille pour qu’elle obtienne toutes ses réponses et la Sécurité en même temps.
Pour celà : la PNL et la communication on-violente sont de bons outils ainsi que l'art-thérapie pour votre fille.

En espérant vous avoir offert de nouvelles perspectives,

Diane Scerri
Thérapie par la PNL et par le Cheval
Saint-Brieuc/Ploufragan

Diane Scerri Psy sur Talmont-Saint-Hilaire

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5 SEPT. 2017

Bonjour Sonia,
je reviens vers vous pour prendre des nouvelles de votre fille et de ses ressentis envers son petit frère "qui n'est pas avec elle".
N'hésitez pas à nous réécrire pour nous dire si les conseils et les suggestions qu'on vous a donnée ont été utiles!
bien à vous
LIvia CLARA-VILNAT

Livia CLARA-VILNAT Psy sur Bourges

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12 AVRIL 2017

Et pourquoi ne pas lui laisser vivre ce lien, jusqu'à ce qu il s'apaise de lui même ? L'âme de ce petit être reste en lien avec la famille. Les enfants petits le sentent très fort, et l expriment à leur manière.

Aléna Sindilaire Psy sur Toulon

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3 DÉC. 2016

Bonjour Madame,
La perte d'un enfant mort-né n'est pas un deuil comme les autres. C'est la vie qui normalement précède la mort. C'est donc en assimilant la réalité de l'existence de ce bébé que celle de sa perte est possible.
Pour votre fille, il est probablement nécessaire et compliqué qu'elle s'approprie d'abord l'existence de ce bébé avant de pouvoir en intégrer sa mort. Vous, en tant que maman, avez porté ce bébé, l'avez senti bouger et êtes convaincue qu'il a vécu. Ce qui n'est pas le cas de votre fille qui ne peut qu'imaginer et symboliser la perte.
Les rituels de deuil ont ici tout leur sens. Et les dates anniversaires réactivent longtemps la douleur. Mais cela laisse la place progressivement à un apaisement possible. Déposer des fleurs en famille ou un petit objet dans un lieu symbolique serait probablement un soulagement pour tous.
Bon courage!

HENON Marie-Noëlle Psy sur Chaville

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30 NOV. 2016

Bonsoir Sonia,

Les réponses sont nombreuses déjà et cependant, j'aimerais ajouter la mienne: vous avez vécu la perte d'un bébé peu de temps après sa naissance et votre fille (ainsi que votre conjoint dont vous ne parlez pas) a également vécu cette perte. Ce deuil touche chacun de vous.

Quels sont les mots qui ont été dit au moment du décès de votre bébé? Quels sont les mots que vous dites aujourd'hui? Votre fille continue de se poser des questions, elle formule à voix haute ce que vous préfériez taire dans le silence de votre deuil.

Que votre fille continue de parler de ce petit frère disparu est une bonne chose, c'est une manière de vous questionner vous aussi. Elle vous renvoie à votre propre deuil, elle vous aide à faire une place au bébé absent.

Pour ma part, comme d'autre collègues ici, je vous conseille de consulter, de vous faire accompagner dans votre deuil et dans celui de votre petite-fille (et de votre conjoint).

Il me semble qu'il faut surtout que vous engagiez ce travail de deuil, tout doucement, en étant accompagnée et peu à peu vous trouverez les mots justes pour votre fille.

Bon courage à vous,
Bien cordialement,
Fabienne Verstraeten

Fabienne Verstraeten Psy sur Marseille

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30 NOV. 2016

Bonjour Sonia,
Le principal a été dis dans ces messages....
Je reviendrais sur le point que seule une nouvelle explication est effectivement nécessaire pour votre fille. Elle doit, malgres son jeune âge, savoir qu'elle ne pourra pas voir son frère puisqu'il est décédé.
Je pense également qu'une therapie familiale pourra vous aider, ou dans un premier temps un therapie individuelle vous permettra de trouver les mots appropriés pour votre fille et pouvoir enfin faire ce deuil si douloureux.
Je vous souhaite beaucoup de courage, et vous soutien dans cette épreuve....

Vanessa Haguel Psy sur Aix-en-Provence

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30 NOV. 2016

Bonjour, vous avez vécu quelque chose de trés difficile. Et votre foi peut-être vous aide à surmonter cela. Mais il y a cette réalité de l'absence qu'il faut bien intégrer. Ce non -retour. Les rites qu'ils soient religieux ou non aident à cela: pour prendre conscience de la réalité de la mort, pour dire au revoir, et, pour certains, dire aussi leur espérance que la vie continue...mais sans nier la mort. Car il y a les paroles qu'on se partage: c'est important car ce n'est pas tabou. Et il semble qu'elle puisse en parler chez vous. C'est important. Cherche-t-elle une nouvelle explication qui lui convienne mieux? Cherche-t-elle à se rassurer en vous entendant aussi du moins dans votre ressenti: qu'on peut croire qu'il est dans la maison de Dieu et en même temps souffrir de son absence. On a le droit. Les enfants parlent aussi un peu, beaucoup de nous: veillez aussi sur vous-mêmes. Sachez en parler librement avec la personne ou les personnes que vous voulez, et bien sûr avec votre enfant quand elle le demande. Les flots de parole peuvent parfois cacher une angoisse, des émotions qu'on n'ose pas exprimer. Oui, effectivement, une thérapie familiale pourrait permettre de faire circuler cette parole, ces émotions pour que ce petit frère mort né trouve sa place, sa juste place dans l'histoire de votre famille. Je suis certain que ce chemin, vous saurez le faire.

Jean-Luc Kerdraon Psy sur Cormelles-le-Royal

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29 NOV. 2016

Bonjour Madame
le monde de votre fille se construit sur votre parole. A vous de construire cette maison de Dieu pour que cette absence soit pour votre fille comme pour vous, imaginable et supportable.
Tourner la page concerne t il seulement votre fille?
Si cela s'avérait trop difficile pourquoi ne pas consulter?

Très cordialement
Isabelle Thomas
Psychologue psychanalyste

Isabelle Thomas Psy sur Paris

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28 NOV. 2016

Bonsoir Sonia.
L'explication que vous avez donné à votre petite fille ne lui a pas permis de comprendre que son frère était décédé. Vous faites l'analogie entre ce qu'elle vit avec sa grand mère et votre image de la maison de Dieu ce qui n 'est pas assez "parlant" pour elle. Il est préférable, à mon avis, de lui dire la vérité et de l'emmener sur le lieu où son frère a été enterré ou incinéré pour qu'elle comprenne que son frère ne peut pas revenir.
Bon courage.

Catherine Vidal.

Anonyme-232222 Psy sur Vitry-sur-Seine

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28 NOV. 2016

Bonjour Sonia
Vous vous posez la question de savoir si c'est normal que votre fille parle autant, il me semble que oui. Pour que votre fille puisse aller mieux, il faudrait que vous vous occupiez de votre deuil aussi, pour cela une thérapie familiale me semble indispensable.
Bien souvent aborder ce sujet là ce n'est pas facile pour les adultes, et encore moins avec ses enfants, cependant avec l'aide d'un professionnel vous pourrez mieux parler et expliquer à votre fille.
En attendant Même si c'est très difficile il faut lui dire la "vérité", avec des phrases simples, courtes et clairs. À son âge elle ne comprend pas encore la mort comme une fin "définitive" , elle croit que son frère puisse revenir, mais elle commence à comprendre d'une certaine manière et Il pourrait être bénéfique d'organiser" quelque chose "de simple pour que votre fille puisse dire au-revoir à son frère. Pleurer avec elle sans vous cacher en
etant présente, bienveillante...
Les histoires qui abordent ce sujet peuvent vous aider, le dessin, le jeu.


Isabelle Silva, Psychologue clinicienne

Isabelle Silva - Psychologue Clinicienne Psy sur Marigny

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28 NOV. 2016

Bonjour Sonia,
les enfants prennent au premier degré ce qui apparaît pour nous comme des métaphores.
Son frère est quelque part dans la maison de Dieu, autrement dit dans un « ailleurs » comparable à la maison du père Noël. Mais en tout cas, un « quelque part » pour de vrai.
Cet ailleurs, elle ne peut réellement se le représenter mais elle y croit d’autant mieux que avez évacué la notion de non-naissance, de mort, qu’il faudra bien aborder un jour ou l’autre.
Un pédo-psy peut vous y aider.
Cordialement à vous.

Maurice Gaillard Psy sur Vincennes

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28 NOV. 2016

Bonjour,
Votre fille attendait l'arrivée de ce petit frère, et s’attendait à en avoir un. Et vous le dites vous-même "évoquer ce frère qu'elle n'a pas eu" Je n’ai pas bien saisi quand vous dites qu’elle parle de deux frères ? Mais beaucoup d’enfants, encore d’avantage s’ils sont uniques, souhaitent avoir des petits frères ou sœurs. Si elle l’a souhaité très fort, en plus d’être peinée elle fut surement très frustrée de ne pas avoir eu ce petit frère à ses cotés finalement. Même si je comprends que cela ne vous aide pas beaucoup dans votre propre deuil à vous, pour elle, reparler de ce décès et de ce frère, lui permet de combler sa frustration et de minimiser ce qui est devenu un manque du petit frère. Sachant qu’il arrive que les enfants à cet âge s’inventent des amis imaginaires pour partager avec eux leur jeu ou autre, elle a tout a fait pu faire de ce frère qui n’est pas présent « physiquement » cet ami. Il me semble qu’avec ses moyens d’enfants « l’imaginaire » c’est sa façon à elle de le rendre présent et d’avoir sa compagnie malgré tout. Ce genre d’arrangement n’est pas forcement une mauvaise chose chez les enfants après une perte pareille, à moins que ça ne dure trop longtemps.
Bien cordialement

Maloufi Lynda Psy sur Metz

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28 NOV. 2016

Bonjour,
Il existe des thérapies alternatives comme l'hypnothérapie pour les enfants que je pratique qui peut aider votre fille.
Soit par le dessin, ou par des techniques appropriées.

Pour les entants de cet âge, il est généralement facile de traiter le problème de 1 à 2 séances.

Restant à votre disposition

Nathalie Follmann Psy sur Clichy

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28 NOV. 2016

Bonjour,

Je vous conseille fortement d'aller amener votre fille chez un pedopsy.
Il devrait l'aider à comprendre.
Les enfants ont d'énormes ressources pour s'adapter à la réalité.

Il l'aidera à comprendre.

Avec toute mon attention et courage à vous

Marie-Claire Binette Psy sur Bordeaux

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