Père alcoolique depuis plus de 20 ans

Réalisée par Kdu68 · 6 mars 2023 Addictions

si un proche est très dépendant à l’alcool, faut-il l’emmener à ses dépends vers un professionnel ou faut-il que cela vienne de lui même ?

Plus de précisions sur son cas :
- augmentation de la quantité
- diminution de l’effet couplée a une hausse de la consommation
- problèmes sociaux/ avec la famille
- continuité de la prise malgré ses conséquences nocives
- symptômes de sevrage lors d’un court arrêt de la consommation
- abandon des activités donnant du plaisir au profit de la consommation d’alcool
- difficulté au contrôler l’utilisation de la substance
- usage meme lorsqu’il y a un risque physique


Un psychologue est la dernière solution qu’il nous reste pour sortir mon papa de cette spirale qui dure depuis un paquet d’années. Seul inconvénient, il est littéralement contre et n’a pas de problème d’après lui. Ma mere, mon frere et moi-même sommes arrivés au bout de toutes les solutions possibles.

Donc, Faudrait il l’emmener « de force » ou « par surprise » voir un psychologue ?

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Meilleure réponse 7 MARS 2023

Bonjour,

Je comprends votre grande inquiétude et aussi votre difficulté à faire un choix pour aider votre père.

L"addiction à l'alcool n'est jamais perçue comme un état de dépendance par la personne concernée.
Pour preuve, j'ai actuellement en charge un monsieur dans cette situation, il est dans le déni total et pour lui, il ne boit pas plus que cela et peut cesser quand il le veut ( je cite ses mots).
Tous les éléments que vous décrivez montrent sa similitude avec ce patient que je reçois et qui finalement se demande pourquoi il est contraint pour "obligations de soins" de réaliser une psychothérapie. Dans sa psyché, il n'y aucun problème.

Il est extrêmement difficile et délicat de faire prendre conscience une personne de cette addiction sournoise et s'ancrant progressivement avec le temps de manière sévère.
Un médecin addictologue serait le plus à même de l'aider.
La psychothérapie fonctionne mais conjointement à un spécialiste et un médecin.

En un premier temps, pourquoi ne pas faire appel à votre médecin généraliste pour que ce dernier pose l'échange en étant parfaitement neutre contrairement à vous, la famille?
Le médecin aura toujours plus l'écoute de la personne et il sera dénué de tout affect, écouté même si votre père est en un premier temps dans le déni. Cela va peut-être déclencher sur un plan inconscient une petite "étincelle" pour qu'il commence à réagir.

Vous avez visiblement déjà largement tenté de votre côté le dialogue mais il demeure bloqué, fermé, verrouillé.
Vous pouvez tenter une dernière fois en mettant en avant les risques de santé, souvent c'est la peur qui fait bouger le patient. Vous parlez très bien de "risques physiques"; accentuez les traits et insistez là dessus.

Je vous rappelle que conduire votre papa chez un psy contre sa volonté sera parfaitement infructueux, sincèrement. Passez avant par le médecin généraliste, pour introniser les faits par une personne externe à vous et votre entourage. Conseil car je le vis en patientelle. Votre père est contre, vous le soulignez en plus.
ne l'emmenez pas par surprise ou sous la contrainte, c'est la pire des choses à envisager. Il sera figé devant un psy. Ou il fera "semblant" pour vous faire plaisir et vous montrer que vous vous imaginez qu'il a un problème mais qu'en réalité non....

Je reste à votre écoute en téléconsultation si besoin d'être guidée mais aussi soutenue vous sur le plan psychique car on oublie toujours les aidants dans cette histoire, c'est ce qui est fort dommage, on en prend conscience quand les aidants s'effondrent car ils sont épuisés après autant de combat quotidien.

Courage et beaucoup de forces à vous et votre famille.

Bien chaleureusement.

Bénédicte ESCARON
Praticienne en Psychothérapie
Psychanalyste

Benedicte Escaron Psy sur La Haye-d'Ectot

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7 MARS 2023

Bonjour,
Une thérapie ne peut être productive que si le consultant est d'accord et motivé. On voit que pour le moment, votre père est dans le déni. De plus, juridiquement, on ne peut pas forcer quelqu'un à recevoir des soins, seule une hospitalisation à la demande d'un tiers est possible quand la personne met en danger la vie d'autrui ou met en danger sa propre vie. Cette procédure est encadrée au regard des libertés individuelles (le juge des libertés et de la détention doit entendre le patient hospitalisé).
En revanche, puisque cette situation vous fait beaucoup souffrir et que votre père ne veut pas bouger, vous pouvez le lui signifier en prenant de la distance. Votre mère a-t-elle songé à la séparation ? cela ne voudrait pas dire d'abandonner votre père totalement mais ne ne plus s'exposer à ses excès. Parfois, cela peut constituer un déclic pour accepter une prise en charge médicale et psychologique.
Je consulte en présentiel ou par visioconférence. Merci de me contacter avant de vous inscrire sur l’agenda de la plateforme.
Bien à vous
Véronique BLANCHE, Thérapeute Holistique
Guérison de l’enfant intérieur
Hypnose Ericksonienne
Soins énergétiques

Véronique Blanche Psy sur Quessoy

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7 MARS 2023

Bonjour,

L'alcoolisme est un véritable défi pour les membres de la famille, mais forcer est improductif.

Privilégiez le dialogue avec lui sur la situation (mais pas quand il a bu) en l'encourageant à parler de ce qu'il ressent, afin qu'il se sente compris et qu'il puisse compter sur votre aide. Expliquez lui comment l'alcool affecte sa vie aussi bien que la vôtre, et pourquoi il a besoin de demander de l'aide, d'un traitement et ses avantages.

Vous pouvez proposer la recherche d'activités favorables à son bien être, comme sports, activités artistiques ou culturelles, entre autres alternatives à l'alcool. Bien que la situation soit complexe, il est important d'éviter de blâmer, condamner, critiquer ou imposer des choses. Essayez de ne pas juger, d'écouter ce qu'il ressent, tout en partageant avec lui les risques liés à l'alcool, sans dire forcément ce qu'il doit faire.

Bon courage à vous, Nilton Mascarenhas
Praticien en Hypnose Éricksonienne

Nilton Mascarenhas Psy sur Paris

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7 MARS 2023

Bonjour à vous

Malheureusement, l'efficacité d'un travail thérapeutique ou psychologique repose principalement sur la volonté de la personne de changer son état. Si lui prétend que tout va bien alors on ne pourra rien faire.
Lui avez-vous proposé de rejoindre une association anonyme ?
Vous pouvez également vous tourner vers son médecin traitant pour un éventuel traitement ?
Par contre pour vous même et afin de mieux vivre cette situation qui doit être extrêmement douloureuse, je vous invite à entamer un accompagnement thérapeutique. Cela vous permettra d'avoir un lieu où en parler, de pouvoir exprimer vos émotions et ressentis en toute confiance et de redonner un sens à cette situation difficile.
Je me tiens à votre disposition pour vous accompagner dans ce processus.

Prenez soin de vous
Hélène CHAMBRIS
Gestalt Thérapie Humaniste Intégrative
Rdv en ligne ou en présentiel à Marseille 8ème

Hélène Chambris Psy sur Marseille

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7 MARS 2023

Bonjour,

Le forcer ne changera rien, puisqu’il n’a pas conscience de son état. Avez vous pensé à prendre contact avec les Alcooliques Anonymes proche de chez vous? Vous pourrez prendre conseils auprès des AA et peut être avec leur aide trouver les bons mots pour convaincre votre père de vous y accompagner.

Je vous souhaite bon courage
Bien à vous
Marjorie

Anonyme-377370 Psy sur Aix-en-Provence

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7 MARS 2023

Bonjour

Non vous ne pourrez pas le forcer et aucun psychologue, à moins d'être magicien (ce que nous ne sommes pas) ne pourra rien faire sans son accord ni son implication.
Le psy n'est pas d'ailleurs en soi forcément la meilleure solution car il s'agit dans un premier temps d'engager un processus de sevrage. Le psy n'intervient alors qu'en accompagnement.
Votre père est adulte. C'est à lui de voir ce qu'il veut faire de sa vie...
Je reste personnellement à votre disposition, sachant que ma première séance d'une heure est entièrement gratuite et sans engagement. Vous pouvez librement prendre un rendez vous sur mon agenda en ligne.

Bon courage à vous

Michel le BAUT
Psychopraticien
Thérapeute Jungien
Analyse de rêves

Michel Le Baut Psy sur Marseille

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7 MARS 2023

Bonjour Kdu68,

Malheureusement, votre père ne peut pas être emmené "de force" ni "par surprise", seul lui sera en mesure de décider de se soigner ou non. Alors oui, pour l'entourage c'est épuisant, pour lui c'est une descente aux enfers. Très souvent seul un drame, une prise de conscience par un évènement brutal permet de sortir un alcoolique de son déni. L'addiction est si forte que nul tentative de raisonner l'addict n'aboutit.

Je vous souhaites tout le courage possible!

Quentin Gardrat, Psychothérapie en ligne, Philothérapeute.

Quentin Gardrat Psy sur Le Havre

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7 MARS 2023

Bonjour,

Le problème de la dépendance à l'alcool ne se résout pas en "ya qu'à " loin de là ! Il faut avoir eu un minimum de formation sur ce sujet pour vous répondre.

En premier lieu il est tout à fait normal que vous soyez devant un mur pour la reconnaissance de son problème. C'est le cap le plus difficile à passer pour aller vers le soin. En aucun cas vous n'obtiendrez un pas en le braquant.

La SEULE bonne méthode pour déclencher une prise de conscience fructueuse, consiste à ne pas parler d'emblée de l'alcool "Tu bois trop, ce n'est pas bien, tu dois arrêter". Au risque de développer une résistance. Mais plutôt de mêler un élément de sa vie, à la prise d'alcool.
Usez toujours de bienveillance pour inciter à la prise de conscience en disant par exemple : "Pendant cette soirée, tu as tenu des propos qui ont dépassé ta volonté… Peut-être que tu ne serais pas aller si loin s’il n’y avait pas eu l’alcool, qu’est-ce que tu en penses "

"La prise de conscience peut aussi passer par le fait de faire remarquer à la personne dépendante qu’elle se coupe de son cercle amical, qu’elle s’isole, qu’elle diminue ses activités, ses hobbies. Certains éléments comme le fait d’avoir conduit sous l’emprise de l’alcool, d’avoir perdu son permis à cause de l’alcool, sont autant d’éléments qui peuvent être des leviers".

Ensuite il faut savoir qu'avec la meilleure volonté que vous puissiez y mettre, vous ne pourrez pas accompagner seule la personne dans sa décision de sevrage. Vous pourrez proposer à votre père de consulter en l’accompagnant chez le généraliste (ou bien encore chez l’addictologue). Rassurez le sur le fait que la consultation reste confidentielle et individuelle., que vous n'irez dans le cabinet que si le médecin et / ou lui le demande.

Le travail du médecin pourra aller de simples questions comme : "Avez-vous déjà pensé à arrêter de boire ou à baisser votre consommation ?" - destinées à déclencher une prise de conscience - à une consultation plus incisive débouchant sur un sevrage ou un accompagnement vers une consommation contrôlée. Le généraliste pourra orienter l'orienter vers les structures spécialisées en addictologie (CSAPA, CJC, unité hospitalière d’addictologie, addictologue en cabinet privé…).

Il est peut-être trop tôt pour une consultation. Vous pouvez lui remettre les numéros d’appel de service d’information sur les addictions. L’anonymat, la possibilité de poser ses questions à des spécialistes sans avoir à se déplacer, pourra le rassurer dans un premier temps tout en le sortant de son isolement. Vous trouverez facilement ces numéros sur internet

En tout état de cause montrez-vous patiente en maintenant la communication. Tôt ou tard cela finira par porter ses fruits même si cela peut prendre parfois vraiment , vraiment beaucoup de temps.

Bon courage à vous sur ce chemin.

----Olga SERO-GUILLAUME----
NEURACOSME
Psychopraticien – Hypnothérapeute
Psychothérapie - Accompagnement au changement
Développement personnel
--- Visio et Présentiel ---



Olga Sero-Guillaume Psy sur Laval

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7 MARS 2023

Bonjour.
C’est effectivement une situation difficile que vous vivez. Et de fait, plus le temps passe, plus la situation empire.
Une des difficultés est que la personne sous emprise (que ce soit de l’alcool ou d’un autre produit) trouve beaucoup d’avantages à sa consommation. Chaque personne est différente, mais consommer peut permettre :
- de se sentir plus fort ;
- de moins ressentir une difficulté à vivre,
- ou une déprime ;
- se croire créatif, voire génial ;
- s’évader dans des mondes imaginaires et oublier les difficultés du monde réel ;
- oublier la honte de se voir dans cet état (car quoiqu’on en dise les alcooliques sont souvent conscients de ce qui se passe) ;
- etc.
Il ne faut pas perdre de vue que la consommation d’alcool a une utilité pour la personne qui consomme. Et que retirer le produit c’est aussi retirer le bénéfice. Alors forcément, on n’a pas très envie, surtout quand on ne voit pas d’autre solution à ses difficultés que de consommer.
Et souvent l’entourage de la personne qui consomme tente de convaincre, de persuader que ce n’est pas bien, que ça fait du mal etc, en ne se rendant pas compte des avantages qu’il y a à consommer. Et ça ne marche pas. Et puis on a souvent tendance à aider la personne alcoolique, et essayant de réparer ses bêtises, de cacher sa consommation aux autres, de réparer ses oublis etc. Ce qui lui facilite la vie, et donc sa consommation !
Emmener votre papa de force chez un psy ou un médecin est presque certainement voué à l’échec s’il n’est pas demandeur.
En revanche, je vous suggère de penser à ceci : s’il boit, c’est qu’il a des raisons pour boire, et que lui retirer la boisson, c’est lui retirer les bénéfices de l’alcool. Et pour le moment, les bénéfices sont supérieurs aux inconvénients, lesquels sont d’ailleurs en partie atténués par sa famille qui l’aide tentant de répare ses bêtises ou de cacher sa maladie.
Que se passerait-il si les inconvénients devenaient plus importants que les avantages ?
Je connais l’alcoolisme de près, et je garde en tête cette remarque d’un ancien alcoolique : « j’ai détesté les personnes qui ont été dures avec moi. Mais pour finir ce sont elles qui m’ont le plus aidé ! »
Ma suggestion n’est pas de chercher à l’empêcher de boire. Au contraire, laissez-le libre de consommer. Mais laissez-le assumer les inconvénients, voire créez-en : par exemple en refusant sa compagnie quand il a bu, en le laissant sans argent quand il n’a pas de quoi se payer sa dose, ou d’autres choses que vous imaginerez bien mieux que moi.
Veillez bien sûr à sa sécurité physique et à celle des personnes autour de lui, mais pas plus. Et protégez-vous de lui.
Je sais que ma proposition peut paraître dure. Mais tout bien considéré, est-ce que ce que vous avez tenté jusqu’ici a fonctionné ?
Je reste à votre disposition pour un échange plus approfondi si vous le souhaitez.
Guillaume Lemesle
Hypnose – Thérapies brèves

Guillaume Lemesle Psy sur Sèvres

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7 MARS 2023

Bonjour
Votre père s’alcoolise depuis longtemps et cela devient inquiétant pour vous et votre famille.
Il refuse de se soigner et s’oppose à la thérapie.
Votre père décidera de consulter que s’il prend conscience de son rapport a l’alcool et de ses conséquences pour lui et votre famille.
On ne peut pas forcer quelqu’un se soigner contre son gré.
Avez-vous essayer le médecin traitant ? Si vous avez une relation de confiance avec ce médecin peut-être pourrait il tenter de faire prendre conscience à votre père de la gravité de son état pour des raisons médicales ?
Boire régulièrement correspond à un besoin pas une envie. Cette consommation excessive est le symptôme d’un mal-être plus profond, que votre père essaie d’apaiser, des angoisses à faire taire.
Quelque chose dans son histoire personnelle ne passe pas et refait surface, et le ronge de l’intérieur.
Si vous et votre entourage ne parvenez pas à ouvrir le dialogue avec lui vous pouvez contacter le Centre de Soin d’accompagnement et de Prévention en Addictologie ( CSAPA ). Ils reçoivent anonymement et gratuitement les personnes alcooliques et/ ou leur entourage. Ils sont de très bons conseils et vous aideront à trouver leur meilleur angle pour aborder votre père. Rendez-vous sur le site d’alcool infos service pour trouver celui de votre département ou appelez le 0980 930 930.
Bon courage,
Bien à vous
Frédérique Pouzol
Psychopraticienne
Psychothérapie -Psychogénéalogie

Anonyme-409158 Psy sur Le Bar-sur-Loup

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7 MARS 2023

Bonjour,
Il est compréhensible que vous soyez préoccupé par la situation de votre père. Cependant, amener quelqu'un à consulter un professionnel contre sa volonté peut souvent conduire à des réactions de rejet et de résistance.

La première étape pour aider une personne dépendante à l'alcool est de lui faire prendre conscience de son problème et de son besoin d'aide. Il est important d'aborder la question avec votre père de manière aimante et non-jugeante, en lui faisant comprendre que vous êtes préoccupé par sa santé et son bien-être, et que vous souhaitez l'aider.

Vous pouvez essayer de lui expliquer les signes et les symptômes de la dépendance à l'alcool et lui faire comprendre qu'il est important de chercher de l'aide professionnelle pour y faire face. Vous pouvez également lui proposer de l'aider à trouver un professionnel compétent et de l'accompagner à sa première consultation.

Il est important de se rappeler que la décision finale de consulter un professionnel doit venir de votre père lui-même. Si votre père refuse catégoriquement de chercher de l'aide, vous pouvez envisager de lui proposer des alternatives telles que des groupes de soutien ou des centres de traitement de l'alcoolisme, qui pourraient l'aider à reconnaître et à faire face à sa dépendance. En résumé, sachez que la première étape et la prise de conscience !
Excellente journée
Thalia Inna
Praticienne en psychologie et hypnose
Eft, PNL, EMDR

Thalia Inna Psy sur Bordeaux

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