Sucer son pouce à 17 ans
Ma fille de 17 ans suce encore son pouce. Je pense aller voir une personne pour que cela s'arrête, pour son bien. Quelle corps de métier est indiqué dans ce cas là ?
Ma fille de 17 ans suce encore son pouce. Je pense aller voir une personne pour que cela s'arrête, pour son bien. Quelle corps de métier est indiqué dans ce cas là ?
Réponse envoyée
Nous validerons bientôt votre réponse pour ensuite la publier
Une erreur s'est produite
Merci de réessayer plus tard
Bonjour Victoire,
Ce qui m'apparaît le plus adapté à ce que j'appelle un tic (sucer son pouce à 17 ans), est l'hypnothérapie qui traite rapidement un comportement indapté.
Maintenant, il est nécessaire que la principale intéressée, votre fille, soit d'accord pour se débarrasser de ce tic inapproprié à son âge.
Cordialement
Nathalie Follmann - Hypnothépeute à Clichy 92
Cela vous a été utile ?
Merci d'avoir donné votre avis !
Bonjour
il s'agit qu'elle prenne la parole alors qu'en pense t elle?
Il est important qu'elle rencontre un spécialiste qui ne fasse pas de cela une "pathologie " mais l'amène à parler en personne
Pourquoi pas un psychanalyste?
Cordialement
Isabelle Thomas
Psychologue psychanalyste
Cordialement
Isabelle Thomas
Psychologue psychanalyste
Cela vous a été utile ?
Merci d'avoir donné votre avis !
Bonjour
Votre fille si elle le souhaite peut éventuellement consulter un thérapeute. Ce n'est pas dramatique, cela semble inapproprié vu son âge.
Cordialement
JY Flament
Cela vous a été utile ?
Merci d'avoir donné votre avis !
Bonsoir Madame,
Dans quelles circonstances votre fille suce son puce ?
Est-ce pour vous provoquer, pour vous signifier quelque chose, ou pour s'apaiser comme dans l'enfance ?
Est-ce qu'elle trouve ça gênant ou c'est seulement vous qui êtes gênée ?
Que se passe-t-il dans votre famille ?
Vivez-vous seule avec elle ?
Que pense et dit son père ?
Et ceux qui la voient faire ça ?
Beaucoup de questions... oui.
Dans le doute et avec le peu d'éléments présentés ici, je ne peux que vous conseiller d'allez seule consulter un psychothérapeute (à qui vous donnerez tous les détails de la situation) qui pourrait vous orienter.
Votre fille pourra aller voir un "psy" seulement si elle le souhaite et ressent le besoin.
Pour l'instant, c'est vous qui semblez (plus) concernée (qu'elle).
Bien cordialement,
sp
Cela vous a été utile ?
Merci d'avoir donné votre avis !
Bonjour
Votre écrit est interpellant, vous voulez vous allez voir quelqu'un pour que votre fille aille bien. Vous ressenti vous fait écrire que si votre fille suce encore son pouce c'est que vous y êtes sans doute pour quelque chose.
Votre fille, de son côté, comment vit elle cette "addiction" à son pouce ? Car à son âge c'est elle qui va décider si elle veut consulter de son côté ou pas, pas vous.
Cordialement
Sylvianne Spitzer
Psychologue, psychothérapeute (92 Montrouge)
Sylvianne Spitzer
Cela vous a été utile ?
Merci d'avoir donné votre avis !
Bonjour, Victoire,
Rassurez vous, beaucoup de grandes jeunes filles dorment encore avec une peluche, par exemple, sans que leur vie en soit mise à mal. C'est un mécanisme, comme sucer son pouce, qui sert souvent d'antistress... bio.
Votre message est court et n'évoque de votre fille que le fait de sucer son pouce.
Y a t'il d'autres choses dans son comportement qui serait de nature à vous inquiéter ?
Qu'en pense t'elle, elle ? A 17 ans, elle est presque adulte
Vous avez du l'évoquer avec elle. Sait elle socialement user de sa petite manie afin que ça ne lui nuise pas ? Est ce que ça lui pose un problème, à elle ?
Si elle le souhaite (car si cela vient de vous uniquement, n'importe quelle thérapie sera sans véritable effet), elle peut consulter tout professionnel de la psychothérapie.
Bien cordialement,
Cela vous a été utile ?
Merci d'avoir donné votre avis !
Bonjour,
C'est en investissant un lieu de parole où elle se confiera sur ce symptôme et au-delà auprès d'un ou d'une psychologue que votre fille pourra déplacer et dénouer auprès de ce professionnel le lien de dépendance avec son enfance et avec vous que représente probablement la persistance de cette auto-réasssurance qui en effet est banale à 2ans, mais plus problématique à 17.
Le pouce dans la bouche vient occulter cette béance intime dont nous sommes tous porteurs, l'ouverture de la bouche au milieu du visage trahissant notre appétit vorace des nourritures réelles et spirituelles que les autres peuvent nous fournir.
Mais grandir, c'est apprendre à moins attendre ses nourritures des autres en devenant plus actif, plus indépendant et plus partageur.
Il est donc important que la consultation auprès du psy s'engage par un désir propre de votre fille d'aller de l'avant vers plus d'autonomie .
Cela signifie qu'il faut qu'elle soit partie prenante active dans cette démarche et ne s'y soumette pas passivement "pour vous faire plaisir".
A vous de trouver les mots et les intonations pour lui faire entendre que ce n'est pas votre agacement par rapport à ce symptôme qu'elle doit aller soigner, mais bien son symptôme qui ne va pas l'aider dans ses relations, problème que votre souci positif pour son avenir vous incite à l'aider à régler.
Il est important que le souci sincère de l'aider s'entende chez vous plus que d'autres motivations qui peuvent aussi exister (comme la gêne par rapport aux regards des gens, par exemple), sans quoi elle pourrait être tentée d'entendre que vous voulez la "normaliser", la pousser à grandir, donc "la pousser dehors", et se percevoir alors toute entière comme un problème encombrant.
Son narcissisme risquerait alors de s'accrocher à ce symptôme et si les psy peuvent parfois vous débarrasser d'un symptôme, il ne peuvent -heureusement- pas vous débarrasser de votre égo...
Cela vous a été utile ?
Merci d'avoir donné votre avis !
Bonsoir,
Cette "dépendance" devient critique dans la mesure où elle s'exprime en public et qu'elle résonne en vous comme une gêne vis-à-vis d'autrui.
Il convient de voir avec elle si ce "réflexe affectif" est ponctuel ou correspond à un manque réel qu'il pourrait s'avérer nécessaire de combler.
Votre "encore" fait référence à l'enfance et cette position "régressive" me semble du ressort de la Psychanalyse.
Luc Burgensis,
Psychanalyste, Lyon.
Cela vous a été utile ?
Merci d'avoir donné votre avis !
Vous y allez seule ou avec elle ? Votre écrit est flou à ce sujet. Comment perçoit-elle ce comportement ? Il vient de la petite enfance , c'est une attitude de fixation à l'oralité. Si elle veut changer, un psychologue est le professionnel le plus outillé pour l'aider.
Cela vous a été utile ?
Merci d'avoir donné votre avis !
Bonjour,
vous pouvez consulter une psychanalyste, un psychologue ou un psychothérapeute. Avez-vous parler de cette habitude avec elle?Qu'en dit-elle? Est-ce que cela se produit souvent?Parallèlement à cela, est-elle bien dans sa peau?
Cela vous a été utile ?
Merci d'avoir donné votre avis !
Bonjour Victoire,
L'hypnose donne de bon résultat sur les addictions et sur les mauvaises habitudes! Elle considère que la personne fait ce qu'elle fait parce que ça lui apporte un bien être, un bénéfice qui lui est utile... L'hypnose, une méthode de recalibration cognitive, permet d'associer ce bien être à un autre comportement plus socialement accepté. Ce travaille ce fait en peu de séance, une à trois séances.
Cordialement,
Cela vous a été utile ?
Merci d'avoir donné votre avis !
Faites votre demande de manière anonyme et recevez une aide psychologique en 48h.
psychologues
questions
réponses
Trouver des réponses parmi les 12350 questions posées sur Psychologue.net