Suis-je en train d'avancer ou de reculer dans ma vie?

Réalisée par quelnom · 26 févr. 2015 Psychothérapie

Je ne sais plus si j'avance ou si je recule dans ma vie. Je suis dans un état de confusion très intense et qui dure, qui dure.. Pour vous dire depuis quand ça dure, je peux utiliser la date où j'ai enfin obtenu mon diplôme. C était il y a presque deux ans, j avais 29 ans. Mais j'ai depuis longtemps souvent eu un mal être parfois envahissant, une envie d'être ailleurs, de "fuir" concrètement vers un endroit plus "vivant". Si je choisis cette date de fin des études, c'est essentiellement parce que c'est la date où j'ai perdu mon identité la plus brute : je ne suis plus étudiante...

Je ne l'ai pas toujours été. J'ai arrêté mes études avant la fin du lycée. J'ai repris mes études 6-7ans plus tard. Bref. J'en étais si fière de mes études et de cette revanche. J'y suis arrivée, je suis allé jusqu'au bout malgré des difficultés certaines de discipline. Des probleme de discipline et de concentration car mes envies d'ailleurs qui sont intenses me quittent raremment, sauf quand je m'y sens "ailleurs" ( en général, c'est assez loin, quand je suis dans un endroit qui me transporte comme une certaine région de France et dans quelques pays d'un autre continent).


Puis voilà, je crois que je suis maintenant "demandeur d'emploi".

Je passe d'une belle identité à... une sorte de néant entre mocheté et mendicité.... "demandeur". Y'a même pas de féminin. Une demandeuse? Je ne m'appelle même pas chômeuse car je ne touche pas de chômage.


Pour moi, avec mon parcours cahoteux,et mon mental fragile, c'est la guillotine. C'est le coup de trop peut-être, le coup final. Je tiens plus. Enfin je veux dire que, j'ai l'impression d'avoir pu durant toutes ces années mener ma barque avec pourtant tous ces trous dans la coque ( je vous fais la faveur de ne pas aborder les trous de la coque qu'il a fallu boucher provisoirement tout le long du chemin). Bref depuis le diplôme plus rien ne s'est passé.

Et n'allez pas vous imaginer une studieuse personne qui, un diplôme commerce ou compta en main, a envoyé des CV partout et manque de bol ou contexte économique oblige n'a rien trouvé.... Non, Non, pas du tout le cas. Déjà j ai un master de recherche en langue (les envies d'ailleurs ont donné quelques fruits juteux malgré leur effet destructeur sur ma vie) Et puis, j'ai pas tant candidaté que ça depuis ces quasi deux ans. J'ai candidaté un peu, ça n'a pas du tout mordu... Et je ne trouve finalement pas de poste à mon goût. Mon égo, mon mental n'a pas tenu le coup. Et toute ma vie m'a resurgit à la figure petit à petit. De la battante, torturée mais insaisissable et vive, il n'est resté qu'une pauvre insensée. Trop de trous, plus assez de mastiques, la barque a coulé au milieu du lac.


A l'obtention de mon diplôme, j ai rencontré mon copain d'un de ses pays lointains d'ailleurs. Je voulais à tout prix rencontrer quelqu'un. C'est arrivé. Je me suis cachée sous son parapluie pour pouvoir quitter mes parents et ne pas avoir à prendre un job inadéquat. J'ai démissionné d'une drôle de façon de ma vie. Je l'ai suivi dans un autre pays européen (qui ne correspond pas à mon "ailleurs"), je l'ai aidé dans son parcours et ses démarches (il a 32 ans et étudie toujours). Et j'ai torpillé ma vie.

Je dis avoir démissionner d'une drôle de façon car, à une allure d'escargot, j'en ai profiter pour faire une pause et analyser ma situation (sorte de pause dont je ne me sors plus, d'où ma question sur ce site). Au bout de 8 mois je me suis même retenté une expèrience de cours de théâtre réussie. Mais surtout j'ai repris le temps et l'habitude de refaire du sport et de chercher une vie saine. Sans excès de nourriture, d'alcool, de tabac et de relations sexuelles à risque (ss préservatif avec partenaires passagers). En effet, j'avais depuis deux ans des maux d'estomac insurmontables venus avec les 10 kilos en trop de mes années d'études et une rupture coup dur (rupture dont j'ai souffert de culpabilité car j'étais trop concentrée sur les challenges de ma vie). La liste des aliments qui me faisaient un mal de chien et passer des nuits à agoniser ne faisaient que s'allonger. Or, depuis que je suis en couple, petit à petit les crises se sont espacées. Après quelques mois, avec la patience et la bienveillance de mon copain, une meilleurs hygiènne de vie, j'ai remis les aliments interdits dans mon alimentation, petit à petit. Mais la raison de la quasi-disparitiom de ces maux, est-ce les bienfaits de mon copain ou le fait de m'être planquée de la vie extérieure et du stress de la vie "réelle" (celle où on assume)? No idea. Un peu des deux je suppose.

Bref, nous venons de déménager pour un autre pays européens du même genre car mon copain change d'école. Mais tout est fait autour de lui: le choix de la ville, du lieu du logement, quand on pourra faire si ou ça, car moi, pour le moment je n ai "aucune obligation".

J'ai eu une vie qui cahote, j'y ai toujours avidement voir pathologiquement espéré le soutien d'un mec. Aujourd'hui la que j'ai un amoureux, je me demande si finalement j'y arrivais pas mieux toute seule. Les addictions, les comportements ordaliques ne me détruisent plus, mais cette sorte de "je-ne-sais-quoi" qui s'est installé étouffe lentement, voir extermine une certaine force de vivre. Mon couple, pourtant plein d'amour et de compromis, me semble sur quelques grandes lignes étouffer cette folie positive qui me permettait de m'en sortir malgré les décisions que je prennais souvent fort discutables. Là, je suis devenue quasi incapable de prendre des décisions. Mon adorable copain qui est d'un mental plus stable ne fonctionne pas pareil. Et de plus, son "ailleurs" est mon "ici", cette dynamique opposée est déchirante.

Quand je dis que j'avance, c'est que ce couple me met en face de mes névroses et cette douleur que je ressens et qui me fait pleurer incontrolablement est le signe que je suis peut-être en train de me dépasser finalement?

Quand je dis que je recule, c'est que le temps passe et le changement n'intervient toujours pas. Au contraire de ma vie d'avant le couple, je reste seule avec mes névroses. Ma "folie" positive s'envole toujours plus dans le néant, tant la vie de mon couple manque de spontaneité, de décision osée, de plaquage du jour au lendemain, d'extremisme revigorant quelque part, etc... Je ressens un gros probleme. Et ma famille n'ose même plus trop me parler de moi tellement la situation est embarrassante. (Ce "chômage" de longue durée alors que ma derniere annee de master de recherche, j'avais une motivation sans faille en plaçant la barre des ambitions de job bien trop loin!)

Alors que ce passe-t-il? J'aurai envie de tout plaquer mais en beauté à la Into the wild (moins dramatique) comme un visa vacance-travail dans un pays plus stimulant que ceux de la vielle europe. Mais, ce couple... comment mettre un terme à de l'amour?

Faut-il y mettre un terme? Serait-ce de l'auto sabbotage d'y mettre un terme ou bien serait-ce de l auto sabottage que de ne pas y mettre un terme? Et ce couple cristalyse-t-il plus qu'il n'en faudrait? Dès fois rien que cette idée qu'il concentre beaucoup de question me donne emvie d'y mettre un terme pour arrêter de me poser des questions et faire repartir la machine de l'action et de la décision par moi, moi seule.

Je passe quelques autres pans de ma boule de question et de torture. Mais je n'ai pas d'emploi depuis 1 ans et demi de la même façon que je suis en couple depuis 1 ans et demi et je ne suis pas prête de trouver un travail. À cause de ça, ça se voit que ça se passe pas bien dans ma tête. Tout le monde le sait que je suis une féministe, que j'ai pas le karma de la femme au foyer et que de toute façon mon mec n'est même pas prêt à travailler avant quelques années encore. Ce qui se passe est assez indéfini et fait bizarre à tout le monde, je suis gênée, mes amies sont gênées, ma famille est gênée. On ne me connait pas bien finalement me semble-t-il lire dans cette gêne. Et bien sûr de la désaprobation et du mépris pour ne pas produire de salaire.

Cette perte de face, de statut fait mal à l'image que les autres me renvoit et cela me fait douter de moi. J'ai peur de devenir folle, d'ailleurs je pense parfois à partir dans une grande et longue aventure dans le théâtre où ma folie et mes envies d'ailleurs pourraient vivre librement et être exploitées. Mais, la machine action ne reprend toujours pas. Le doute me pousse à recommencer à partir loin pour y trouver le courage et la stimulation de l'environnement que ce lointain m'offre. Mais j'ai peur de tout bousiller. Peur que ma famille disparraisse trop tôt, et de perdre l'opportunité d'en créer une nouvelle avec mon copain plus tard. Ne pourrais-je donc pas avoir la force de faire avec et malgré mon copain à côté, ma famille pas trop loin et aussi d'autres sensations négatives envahissantes réactivées par l'environnement trop peu différent?

Je me perds.

A chaque fois que j'essaye de reprendre mes esprits, et de remettre les pieds sur terre, le rejet supposé et suggéré de la societé me rammène dans mes idées noires : "Chômage" longue durée, précarité, fatalité de classe sociale. On cherche à gagner sa vie chez nous, pas à l'aimer. Enfin si, un peu, certes mais pas trop. C'est pas une tare, c'est une question de survie. Bref, mais où-est ce que j'en suis?


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Meilleure réponse 5 MARS 2015

Bonjour
Tout d'abord merci pour votre lettre, très bien écrite - avez vous pensé à tenir un blog et à échanger avec des internautes ?
En ce qui concerne vos interrogations, je crois que tout est résumé dans le titre : suis-je en train d'avancer ou de reculer ?
Autrement dit, vous demandez au lecteur de juger de votre propre vie.
Je fais ci, je fais ça, qu'en pensez vous ? J'ai raison ou j'ai tort ?
Vous recherchez l'assentiment des autres, alors que vous seule pouvez savoir ce qui est bon pour vous.
Personne ne pourra vivre votre vie à votre place.
Apprenez à accepter vos sentiments, vos envies, vos désirs, et à les exprimer, sans crainte de froisser Pierre ou Paul. Quoique vous fassiez, quoique vous disiez, certaines personnes vont aimer, d'autres non, c'est comme ça, on ne peut pas plaire à tout le monde, c'est juste impossible.
La vie est une succession de choix.
Faites les vôtres en fonction de ce que vous dit votre coeur, pas en fonction d'une norme ou de ce que vous pensez être le désir d'une autre personne.
Si vous pensez vivre une relation toxique avec votre compagnon actuel, ayez le courage d'affronter ce sentiment.
Vous vivez un passage difficile, qui vous oblige à sortir de votre zone de confort, et à prendre des décisions importantes. Acceptez le, et dites vous que ce n'est qu'un passage. Rien n'est gravé dans le marbre, tout bouge, tout change.
Si je ne devais vous donner qu'un conseil ce serait celui là : affranchissez vous le plus possible du jugement, de toute forme de jugement, qu'il s'agisse du votre ou de celui des autres. Quand on se juge on est en lutte contre soi même. Ça n'aide pas à avancer, et surtout c'est épuisant. Je pense que vous en savez quelque chose.
Très cordialement.
Olivier Martin, psychologue, thérapeute comportementalisme et praticien en psychologie positive à La Ferté-Bernard (72) et Brou (28)

Anonyme-236215 Psy sur La Ferté-Bernard

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7 FÉVR. 2023

Bonjour et merci de ce long message, très touchant, que je reçois comme comme une bouteille à la mer !
Dans la vie il n'y a pas que les études et le travail, il y aussi des passions, des dons ou talents non explorés peut être.
Ne pensez plus en quantitatif mais qualitatif, vous parlez de théâtre et bien donnez vous une voie ou voix possible.
Tournez vous vers ce qui vous fait vibrer, et dans ce cas il n'y a pas de mal à faire un job alimentaire pour permettre vos cours de théâtre ou votre art qui doit s'exprimer. La vie a toujours un sens, reste à le trouver , il y a absolument une activité ou un art qui vous animera et vous donnera l'impression d'exister vraiment. Bien à vous.

Véronique Le Bideau Psy sur Paris

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3 MARS 2015

Bonjour,
Votre texte est long, bien ecrit et très intellectualisé... mais qui est cette personne qui parle si bien ? est-ce que le rêve d'ailleurs est un "partout sauf ici" ? auquel cas il est plus pertinent de connaitre celui qui voyage que sa destination.
Un petit texte d'un poète brésilien que vous saurez surement apprécier, si vous lisez le portugais : O tempo
"Com o tempo, vôce vai percebendo que par ser feliz com uma outra pessoa, você precisa em primeiro lugar, nao precisar dela.
Percebe também que aquela pessoa que você ama (ou acha que ama) e que nao quer nada com você, definitivamente, nao e o homem ou a mulher da sua vida.
Voce aprende a gostar de você, a cuidar de você e, principalmente, a gostar de quem também gosta de você.
O segredo é nao correr atras das borboletas...
E cuidar do jardim para que elas venham até você.
No final das contas, você vai achar nao quem você estava procurando, mas quem estava procurando por você!" Mario QUINTANA

Cordialement,
Peggy CAPERET
Psychologue à Paris

Peggy Caperet - Psychologie & Culture Psy sur Paris

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3 MARS 2015

Bonjour,
Votre immense détresse, vous la nommez un petit peu vous même : "névrose"...
Pour reprendre vos termes ; rien n'est ni "indéfini" ni "bizarre" dans l'inconscient.
Quant à l'idée par vous évoquée aussi; la vie n'est elle pas emplie parfois d'avancées ET de reculs ; que ceux ci soient symboliques et/ou réèls? Ne dit on pas : "reculer pour mieux sauter"?
C'est votre manière de vous chercher!! Vous pour vous!! Peut-être vous êtes vous beaucoup trop oubliée dans vos "recherches"??
Vous êtes une personne intelligente; ne vous laissez pas abattre ainsi , continuez ce travail de recherche sur vous même près d'un ou une de nos spécialistees; vous
revivrez!! :- )
Je vous souhaite beaucoup de courage.

C.LeVern

LeVern Catherine Psy sur Martigues

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3 MARS 2015

Bonjour
Votre long texte dit beaucoup de chose , vous abordez des points existentiels , il est difficile de vous apporter des réponses ´ faites vous accompagner par un thérapeute pour passer dans le monde des adultes, trop de choses bouillonnent en vous et. Vous gâchent la vie, ne ruminez pas seule, il vous faut sortir de cette boucle de pensées qui vous empêche d'avancer ( vous ne reculez pas).
Je reste à votre disposition
Sylvie Vulliermet

Sylvie Vulliermet Psy sur Agde

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27 FÉVR. 2015

bonjour "Quelque Une",pour répondre au titre de votre message : vous n'avancez NI ne reculez. Pour cela il vous faudrait... du mouvement... UN mouvement. Et vous savez bien que "nul vent n'est favorable à celui qui ne sait où il va". Plutôt que "demandeuse" je vous nommerai "chercheuse" : d'emploi, de mode d'emploi... qui n'existe pas. Puisque vous être UNE. Vous parlez de ce "couple" comme d'une entité entière. Un couple est la formation de DEUX, de UN + UN. Et UN + UNE ne font pas UN. Vous vous laissez porter par cette "entité", cet autre qui n'est pas vous. VOUS, que voulez vous vraiment ? quel est cet "ailleurs" (higher) dont vous parlez ? Et si vous entrepreniez la CONSTRUCTION de votre "higher" ici ? sur notre Terre assez solide pour supporter n'importe quel édifice, si tant est qu'on y mette... du Coeur ? Que veut votre coeur ? Le vôtre et pas... le "sien" (celui du "couple", celui du "copain"). A force de chercher on finit par trouver. Vous allez y arriver. Il est temps de lâcher vos bagages et de vous POSER, de poser les bonnes questions. Qu'est ce qui est vraiment important pour vous au jour d'aujourd'hui ? Que voulez vous vraiment ? Personne n'a d'autre statut que celui d'Etre Humain. Le reste n'est qu'étiquette ou paraitre. On ne se dissimule pas longtemps derrière un "statut" (professionnel ou autre). Vous avez peur de "tout bousiller" ? c'est quoi "tout" puisque j'entends que vous n'avez "rien" ? Vous avez au contraire TOUT à gagner ! allez-y, écoutez VOUS, et vous seule. Oui, vous vous "perdez" à continuer ainsi.. Il est temps de vous trouver. De vous re-trouver. Vous seule avez les rennes de votre vie. DE CI DEZ ! Chaleureusement vôtre

Krystine Mentrier - Le fil vers soi Psy sur Grenoble

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27 FÉVR. 2015

Bonsoir
Vous le dites très bien dès le début, vous êtes arrivée au bout.
Au bout de ce que vous pouviez contrôler.
Mais aujourd’hui vous ne contrôlez plus rien. La vie se charge de vous rappeler que c’est elle qui décide et non notre rationalité.
Vous allez devoir apprendre à lâcher prise, a accepter que tout ne peut être contrôlé, qu’il faut aussi des bas pour apprécier les hauts.
Bref, il va falloir devenir adulte.

Cordialement
Sylvoanne Spitzer
Psychologue, psychothérapeute, victimothérapeute

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26 FÉVR. 2015

Bonjour, "quelnom"!
J espere que vous aller mieux!
En vous "ecoutant" on peut ne rendre compte que votre vie est , peut -etre, aux hasards! Vous pouvez arriver a vivre vôtre rêve, mais qui doit savoir vos rêves? Il y a une histoire intéressante qui raconte d 'un homme qui arrive a l'aéroport et il dit qu 'il ne veut pas aller en Afrique, ni en Italie, ni en Allemagne et .... l'employé lui dit que l' avion va décollé , mais il faut savoir la destination!
Faire "ordre" dans ses pensées, etablir des projets, identifiant les émotions, les sentiments vers Soi-même et vers les proches c est essentiel!
J attends des nouvelles!
Bonne chance!

Elena Alexandra Ciuperca - Counseling psy Psy sur Guipel

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