J'ai 22 ans et ai mon premier copain depuis 3 mois.
Tout se passe très bien entre nous. Mais pourtant une partie de moi est sur le qui-vive, je n'arrive pas à être totalement épanouie j'ai peur de trop m'attacher et que finalement un jour notre relation prenne fin.
J'ai toujours eu peur des séparations qui me font beaucoup souffrir dans tous les domaines
- Ça a commencé à mes 2 ans et demi avec le divorce de mes parents, j'ai ensuite très peu vu mon papa les premières années qui ont suivi.
- puis avec la meilleure amie d'école primaire qui a déménagé dans une autre région à notre entrée au collège.
En fait depuis j'ai peur de m'attacher aux gens car ça fait trop mal quand la relation s'arrête ou que la vie nous éloigne.
J'aime beaucoup mon copain, mais ça me fait mal en même temps. Et je n'arrive pas à profiter pleinement de notre relation même si j'arrive à ne pas le montrer.
Comment puis-je travailler sur mes peurs de l'attachement ?
Désolée je ne sais pas si ma question est très claire.
Merci aux personnes qui me répondront
Jade
Réponse envoyée
Nous validerons bientôt votre réponse pour ensuite la publier
Une erreur s'est produite
Merci de réessayer plus tard
Réservez un rendez-vous immédiat en ligne pour 49 €
Obtenez une aide psychologique en moins de 72 heures avec des professionnels en choisissant le créneau horaire qui vous convient le mieux.
Meilleure réponse
10 SEPT. 2020
· Cette réponse a été utile à 8 personnes
Bonjour Jade,
Votre question est bien claire.
La peur de l'attachement comme vous le décrivez reflètent plutôt un schéma d'abandon , et votre énoncé fait apparaître clairement le problème que vous ressentez aujourd'hui dans cette relation amoureuse.
Si vous souhaitez sortir de ce schéma, je vous conseille de consulter. Certaines approches thérapeutiques sont plus pertinentes pour traiter les schémas (voir mon profil).
Restant à votre disposition si vous êtes de ma région,
Hypnothérapeute clinique - Thérapie intégrative & holistique
13 SEPT. 2020
· Cette réponse a été utile à 0 personnes
Bonjour,
L'angoisse de séparation que vous vivez au quotidien a effectivement comme point de départ la première séparation en l'occurrence celle de vos parents. Vous avez déjà très bien analysée la situation, c'est une bonne chose de réaliser ce point essentiel pour évoluer vers du positif.
Je peux que vous proposer une courte thérapie, car par mail c'est impossible de vous donner des clés pour vous aider à avancer, il est nécessaire de connaître votre être dans sa globalité et dans son contexte au quotidien pour avancer dans le bon sens qui est le but premier tout de même.
Vous pouvez me trouver en ligne ici ou en télé consultation, je pense que la thérapie pourra être brève, rassurez vous.
A très vite
Cordialement
13 SEPT. 2020
· Cette réponse a été utile à 2 personnes
Bonjour Jade,
Votre question est très claire.
Vous avez déjà fait des liens avec votre histoire, bravo.
Il pourrait être pertinent maintenant d'approfondir ses points en thérapie pour continuer à mettre en lumière ce qui s'est mis en place en vous et aussi (et surtout) prendre conscience de vos ressources.
Avoir accès à ses ressources et compétences donne de la confiance et fait grandir l'estime de soi.
Votre forme d'attachement n'est pas une fatalité, elle peut évoluer vers un lien sécure.
Restant à votre écoute,
Caroline Risser-Julien
Consultation en cabinet et à distance
12 SEPT. 2020
· Cette réponse a été utile à 2 personnes
Bonjour Jade,
pour une personne dite "adulte", il est déjà difficile d'accepter que les choses ne durent pas. Forcément il y a des deuils et des pertes, nous le savons c'est inéluctable. Mais si en plus ces événements actuels nous renvoient à des pertes insurmontables et vécues de façon traumatiques ( car nous n'avions pas encore les moyens de les symboliser) de l'enfance, alors le signal d'alarme s'allume, le passé fait retour avec ses énigmes et ses angoisses.
Alors oui il faut laisser libre cours à vos interrogations et libérer votre imaginaire et vos affects sur ces sujets avec un psy professionnel. Cela permettra un symbolisation salvatrice. Ce qui pourrait éventuellement s'opposer à cela, ça serait le fait que justement le deuil n'aura pas été fait. Que vous n'ayez pas accepté les séparations/abandons (il y a toutes sortes de façons de refuser la réalité). ce qui ferait que vous soyez hanté par ces absences. Il faudrait alors analyser ces défenses dans un premier temps.
Bonne continuation et merci pour ce partage.
Philippe Raynal
11 SEPT. 2020
· Cette réponse a été utile à 0 personnes
Bonjour Jade, il est normal qu,au début de votre relation vous puissiez être face à la décision de vous engagez d'avantage ou non affectivement.
La séparation est un risque en effet mais dépend t il seulement de vous?
Il est bon de se questionner sur ce qui dépend de vous. Par exemple: le fait de passer du temps avec votre compagnon.
La peur de perdre votre copain peut être présente et disparaître sur le mong terme.
Il est aussi possible de vous faire accompagner par un des nombreux professionnel pour vivre avec cette peur sans qu'elle devienne paralysante.
A votre disposition
L'Atelier Évoluer la Vie-Alice BESSEAU
11 SEPT. 2020
· Cette réponse a été utile à 2 personnes
Bonjour
Vous avez vécu des expériences de séparation étant enfant et vous ne souhaitez pas en revivre à l'âge adulte.
Justement, vous êtes adulte et c'est là dessus que vous devez vous appuyez.
Vous avez la possibilité à présent d'être maître de votre vie, de vos choix !
Soyez rassurée, la vie est faite de choix, de réussites, parfois d'erreurs mais tout cela vous aide à grandir !
Nous pourrions longuement en discuter,
Contactez moi,
Belle journée à vous,
Fleur
11 SEPT. 2020
· Cette réponse a été utile à 2 personnes
Bonjour Jade
Vous souffrez d'une blessure d'abandon ce qui explique que vous avez extrêmement peur de vous attacher car vous êtes persuadée que vous allez à nouveau être abandonnée, rejetée et donc vous retrouver seule
J'ai réalisé une vidéo à ce sujet "la blessure d'abandon" sur ma chaine Thérhappeasy YouTube, n'hésitez pas à la visionner pour comprendre le mécanisme et le trouble dont vous êtes victime
Spécialisée en thérapie TCC et thérapeute conjugale, je vous invite prendre contact avec moi pour poser vos émotions et vos ressentis et modifier ainsi vos comportements.
Rendez-vous également sur mon site internet pour plus d'informations
Je reste à votre écoute
Bien à vous
11 SEPT. 2020
· Cette réponse a été utile à 0 personnes
Bonjour ,
Il vous faut faire une thérapie ,parler de votre passé , de vos anciennes relations ,cela me semble de grande importance . Effectivement le divorce de vos parents a joué un très grand rôle mais il vous faut parler de vous ,et de votre entourage .
ceci dit ,passez un bon week-end votre compagnon et vous même !
Très cordialement à vous
11 SEPT. 2020
· Cette réponse a été utile à 2 personnes
Bonjour Jade,
Au contraire vous êtes très claire et avez bien compris d'où vous viennent ces peurs de l'attachement.
Vous avez identifié les causes, maintenant nous pouvons vous aider à voir comment reprendre peu à peu confiance en l'autre, déjà en exprimant ce que vous avez vécu, les ressentis associés à ces séparations (chagrin, peur, colère, désespoir etc...). Mettre des mots et exprimer vos ressentis va déjà vous soulager, et vous libérer peu à peu de ces poids qui vous empêchent d'être complètement heureuse avec votre copain. (ce qui est à l'intérieur de vous, doit sortir, s'exprimer)
Nous sommes là pour vous. Pour ma part je reçois au téléphone ou en présentiel (nord et pdc)
Avec plaisir
Inès AVOT
11 SEPT. 2020
· Cette réponse a été utile à 5 personnes
Bonjour Jade,
Les traumatismes de séparation que vous évoquez se sont déroulés alors que vous étiez en primaire, donc à un âge où votre cerveau encore en formation n'était absolument pas en mesure d'y faire face, et où vous dépendiez affectivement de vos parents. Vous avez vécu cela comme un tsunami émotionnel.
Depuis vous avez gardé en mémoire l'impact des ces émotions envahissantes et vous hébergez la croyance qu'ils pourraient se reproduire à l'identique aujourd'hui, en cas de séparation.
Dans la réalité, vous êtes maintenant une adulte qui peut mobiliser ses capacités pour dépasser ce type de situation.
Un travail sur les résidus émotionnels de ces événements et la découverte de vos capacités d'adulte vous permettrait de transformer cette énergie qui pour le moment vous paralyse (PEUR de l'abandon) en ressource (BIEN-VEILLANCE dans la relation).
Ce travail peut s'aborder de différentes manières, selon vos affinités : Hypnose, psychothérapie, Gestalt, etc.
Bien à vous,
Caroline GORMAND
Psychothérapie intégrative, thérapie du couple et de la famille, Hypnose-PNL
(Téléconsultations et consultations en cabinet)
11 SEPT. 2020
· Cette réponse a été utile à 2 personnes
Bonjour Jade,
Vos propos sont au contraire très clair. Vous n'arrivez pas à vous laisser totalement aller dans une relation par peur d'être rejetée ou abandonnée. Cela vient des traumatismes de votre petite enfance. Il faudrait entamer une thérapie qui consisterait à recontacter votre "enfant intérieur" pour aller le guérir (seule vous pouvez le faire). Vous pourriez ainsi retrouver la confiance en vous : en effet, vous êtes inconsciemment convaincue que vous n'êtes pas assez "aimable" au sens propre du terme pour gagner l'amour sincère et durable d'une personne, ce qui vous angoisse. Il est possible de restaurer cette confiance.
Bien à vous
Véronique BLANCHE, Thérapeute Holistique
10 SEPT. 2020
· Cette réponse a été utile à 0 personnes
Bonjour Jade,
Votre peur de l'attachement, vous l'avez bien compris vient des expérience d'attachement que vous avez vécues dans votre enfance.
L'enjeu d'attachement se construit très tôt dans notre enfance ( entre 0 et 3 ans) ; ensuite il est coloré par nos expériences vécues.
En gestalt-thérapie intégrative, nous allons regarder comment votre histoire a encore un impact sur vos émotions et sur ce que vous vivez dans le présent. Nous allons regarder ensemble vos émotions afin de les reconnaître et de les accepter. Ensuite, nous pourrons identifier des ajustements dans votre vie qui vous permettront de vivre mieux vos relations.