Bisexualité ? Sentiment de me chercher indéfiniment

Bonjour
C'est depuis le décès de votre grand-mère que qqc s'est brisé en vous. Il vous est nécessaire de comprendre ce qui s'est brisé.
Pour sortir de ces interrogations épuisantes. Je vous encourage à contacter un sexologue médecin, qui pourra vous aider
Inès AVOT

Bonjour,
Au delà de la question de votre orientation sexuelle, il y a peut-être une souffrance que vous cherchez à évacuer. Vous parlez d'ailleurs en premier de la perte de votre grand-mère qui a fait que quelque chose s'est brisé en vous. Il y aurait peut-être à explorer de ce côté ?
Si vous souhaitiez en savoir plus sur mon approche et mes techniques, n’hésitez pas à me demander un premier échange, gratuit et sans engagement.
Je consulte en présentiel ou par visioconférence.
Bien à vous
Véronique BLANCHE, Thérapeute Holistique
Guérison de l’enfant intérieur
Hypnose Ericksonienne
Soins énergétiques

bonjour

Vous avez du mal à vous trouver mais cela ne doit pas devenir anxiogène au point de gâcher les bons moments passés avec votre Amie.
Parler de cette angoisse permettrait peut-être de libérer la parole et d'être plus serein. Appuyez-vous sur le présent et les bons moments

Cordialement

Bonjour,

Vous êtes en pleine interrogation sur votre orientation sexuelle. « Suis-je hétéro, bi, gay refoulé ? ». On veut à tout prix se coller une étiquette comme s’il n’était pas possible d’avoir des pensées ou des fantasmes sans être automatiquement « catégorisé ».
Je reçois quelquefois des couples hétéros qui pratiquent le « pegging » (inversion des rôles dans la pénétration grâce à un gode-ceinture) mais s’inquiètent des conséquences que cette pratique pourrait avoir sur la virilité de monsieur, et des risques de changement d’orientation sexuelle ainsi que de « déviance ».
Il n’y a aucune raison de s’inquiéter tant que les pratiques sexuelles, légales, sont réalisées entre personnes consentantes et qu’elles ne sont pas exclusives. C’est-à-dire que le plaisir, qui du coup deviendrait un besoin, n’arrive que par cette pratique.
Vous êtes également libre de choisir vos fantasmes tant qu’il n’existe pas de fixation. Je travaille beaucoup en sexoanalyse qui est une sexothérapie permettant la prise en charge de certains dysfonctionnements sexuels grâce à l’imaginaire érotique et les fantasmes.
Généralement la réalisation des fantasmes est moins intense car le fantasme initial est rempli d’une multitude de détails plaisants qu’il est difficile de reproduire dans la vie.
Quelquefois sa réalisation est décevante.
Le fantasme d’homosexualité est aussi présente chez la femme que chez l’homme. Il permet, comme tous les autres fantasmes, d’obtenir une plus grande excitation sexuelle. Nous avons de nombreux fantasmes que nous utilisons souvent par période.
Je comprends votre attitude qui semble vous surprendre : le pénis vous « fascine » mais vous n’êtes pas prêt à passer à l’acte en ce qui concerne la pénétration.
Libre à vous de réaliser ou non votre fantasme qui n’appartient qu’à vous mais évitez d’avoir de la culpabilité ou des remords qui vous empoisonne en permanence la vie et commencent à entrainer des somatisations.
Il arrive que des hétéros aient des relations sexuelles avec des gays pour assouvir un besoin pénétrant sans pour autant se qualifier de Bi et encore moins d’homo refoulé. Leur argument est lié à la rapidité de l’approche. Un artifice, comme le fait de ne pas vouloir embrasser le partenaire homo, lui permet, psychiquement, de se persuader qu’il ne s’agissait que d’un jeu, rien à voir avec une vraie relation sexuelle. Ben voyons…

L’idéal pour vous est de vivre vos pulsions du mieux possible et si possible sans vous cacher de votre compagne à brève échéance. Ce n’est pas le fantasme occasionnel qui va faire de vous une autre personne. Surtout s'il a été réactivé par le décès de votre grand-mère.

Bon courage

Antoine Clavero

Bonjour ,

Si j'ai bien compris, à l'adolescence et à l'âge adulte vous vous êtes déterminé sexuellement comme hétérosexuel, sans que cela ne fasse aucun doute pour vous pendant de nombreuses années.
Suite au vaginisme de votre compagne, qui n'a été traité ni en thérapie individuelle ni en thérapie de couple, vous vous êtes tourné seul vers des pratiques d'auto-stimulation anale, qui pour vous est associée à un fantasme homosexuel et de domination féminine, que vous n'assumez pas totalement puisque vous ne la pratiquez que seul et sans sodomie.
Après votre séparation d'avec votre compagne vous vous êtes tourné vers des pratiques fantasmatiques homosexuelles qui vous ont apporté du plaisir, mais vous constatez que ce qui vous excite est surtout la vue d'un pénis en érection (que vous pouvez associer à votre propre désir) mais pas le corps et le contact réel des hommes, qui vous dégoute et coupe votre désir, ce qui n'arrive pas en présence de femmes.

De tout cela on peut en conclure que vous n'êtes pas bisexuel mais hétérosexuel, et que avez besoin d'accepter vos fantasmes tels qu'ils sont (un fantasme ne se refoule pas), sans avoir besoin de les mettre en acte (car sinon il en faudra de nouveaux encore plus forts), et sans en parler à vos partenaires féminins. Ce dernier point est important car un fantasme doit rester de l'ordre du mystère. Ce qui n'empêche pas de mettre en place dan la relation de couple des pratiques fantasmatiques consenties (objets, habits, lieux, sodomie, etc. ) en en parlant avec votre partenaire, pour soutenir vos désirs respectifs.

Vous pouvez vous donner du temps avec votre "nouvelle copine", le temps de vous découvrir et de laisser la relation se mettre tranquillement en place sur d'autres bases avant d'aborder la sexualité.
La pression et le stress étant des tue-désir, une chose peut vous aider qui est de savoir que la jouissance ne vient jamais de l 'autre mais de soi. Vous ne pouvez donc pas "faire jouir" votre copine. Elle peut en revanche vous guider pour vous dire ce dont elle a besoin pour "se faire jouir".

Quand à votre Grand-mère, je ne vois pas bien ce qu'elle vient faire dans cette histoire... Si ce n'est que la période du deuil a pu mettre votre désir en berne pendant quelques temps.

Bien à vous,

Caroline GORMAND
Psychothérapie intégrative, thérapie systémique du couple et de la famille, sexothérapie.

Bonjour,

En avez-vous parlé à votre copine ? Il me semble que vous devriez le faire pour lui exprimer vos craintes de ne pas assurer. Cela pourrait largement faire baisser la pression que vous vous mettez sur les épaules.
Ensuite, vous pouvez avoir envie de voir des sexes masculins et de vous en occuper, sans pour autant développer d’attirance sentimentale pour des hommes. La sexualité est vaste et multiple.
Ce qui est le plus important c’est de ne pas se frustrer et d’expérimenter sans se forcer. En second lieu, la communication entre partenaires est primordiale. Elle permet à chacun de mieux comprendre l’autre, ce qui est indispensable en couple.

Je reste à votre disposition et à votre écoute,

Christophe
Thérapeute de couple - Sexothérapeute
Rendez-vous en ligne uniquement pour plus d’intimité par téléphone, visioconférence ou mail à votre convenance.

Bonjour,
tout ceci n'est pas si grave.
Chercher son identité c'est normal.
Je reste disponible pour vous soit en téléconsultation ,SMS, What ‘s App
ou de visu en Bretagne Nord.
Cordialement,
ANEZO Florence
Psychanalyste
Thérapie de couple

Bonjour,

Vous vous mettez énormément de pression avec toutes ces étiquette qui vous enferment. Prenez juste un temps pour vous et voyez ce qui vous plais sans vous demander dans quelle case vous allez atterrir.
Le sex anal hétéro est de moins en moins tabou et n'a rien à voir avec de l'attirance pour un homme ou être homo. En revanche rien ne vous empêche de faire des expériences pour découvrir qu'elles sont vos réels envies et besoin.
N'ayez pas peur de communiquer vos envies à votre copine, je sais que cela peut être difficile par peur de ne pas être compris mais si il y a suffisamment d'ouverture entre vous cela ne devrais pas poser problème.

Prenez soin de vous

Damien.L

Bonjour,

Je vous rassure, nous avons tous des fantasmes. Mais le but du fantasme n’est pas forcément de se réaliser mais plutôt d’habiter notre imaginaire et de le compléter.

Vous savez l’acte de pénétration anal de votre partenaire féminine ne signifie pas que vous êtes forcément une personne qui a envie d’un rapport avec un homme. C’est réducteur de le penser.

Si les sexes masculins vous plaisent et bien achetez un gode ceinture à votre partenaire féminine, parlez lui de vos besoins et de vos attentes en matière de sexualité. Vous trouverez bien un équilibre pour vous satisfaire tous les deux.

Excellente continuation
Cordialement
Mme Lugari