Comment changer et avancer ?

Réalisée par Léa.sfa · 18 mars 2025 Aide psychologique

Il y a 9 ans, je n’ai pas accepté le déménagement. J’avais alors 14 ans, et cela a bouleversé ma vie.

Contexte :

Je ne l’ai pas accepté, car mes parents se disputaient constamment. En gros, ils se détestaient, mais restaient ensemble pour nous. Il y a eu de la violence conjugale, mais malgré cela, ils sont restés. Étant l’aînée, c’était toujours moi qui devais régler les soucis. J’écoutais ma mère, je la rassurais, et même si j’essayais de mettre de la distance émotionnellement, en réalité, cela me faisait mal à chaque fois. Pourtant, pour moi, ça a toujours été mon rôle.

J’avais l’impression que mes parents n’étaient pas matures sur ce plan-là : ils pouvaient se disputer pour une fourchette non lavée comme pour une voiture mal garée. Et c’était comme ça tous les jours ! Quand j’ai appris que nous allions déménager, j’ai trouvé cela immature, d’autant plus qu’ils venaient d’acheter une maison. Pour moi, c’était la fin du monde. Je m’attendais à tout sauf à ça. Aujourd’hui, avec le recul, je ne comprends pas, surtout avec les problèmes financiers qui sont apparus par la suite.

Les disputes ont toujours existé. Depuis la primaire, je savais tout, et j’ai rapidement pris un rôle de “mini-adulte” pour aider le foyer. Pour moi, c’était mon job. J’ai appris à cuisiner dès la sixième, j’ai appris à avoir un esprit critique, à être indépendante émotionnellement, et à forger une personnalité forte. Sur ce point, je remercie mes parents, car cela me sert aujourd’hui.

Mon enfance :

Quand j’étais petite, en maternelle, j’étais très timide et renfermée à l’école. J’avais du mal à me faire des copines. Mais je restais souvent avec ma sœur, qui a deux ans de moins que moi et que j’aimais beaucoup. Je traînais avec ses copines (d’après mes souvenirs).

Avant le déménagement, en sixième, j’ai été harcelée. Mais je n’en ai parlé à personne, car à cette période, ma mère subissait des violences conjugales. Je m’en suis sortie comme j’ai pu, en pensant à autre chose et en faisant du sport. Personne ne le savait. Je pleurais le soir et je riais la journée. C’était parfait, car j’ai réussi à m’en sortir seule. C’est là que j’ai commencé à être plus dure avec moi-même, en comprenant que je n’avais besoin de personne, mais que c’était les autres qui avaient besoin de moi – surtout ma famille. En revanche, j’ai été très dure avec mes frère et sœur. Moi, j’avais une énorme responsabilité, et eux non. Je voulais les protéger.

Après le déménagement :

J’ai adopté un comportement de boudeuse. Quand ma mère me parlait, je répondais à peine pour lui montrer que je n’étais pas contente. Mais au fur et à mesure, je ne rigolais plus. Je me sentais seule, toutes mes amies étaient restées dans mon ancienne ville. Je refusais de me faire de nouveaux amis. Je m’en étais fait une, mais elle m’a quittée. Ça m’a fait mal. J’ai de nouveau été harcelée. J’étais vraiment au plus bas. Toutes mes craintes sont devenues réelles.

Chez moi, je n’arrivais plus à gérer mes parents. Je vivais dans l’angoisse et la peur de l’avenir. Ils ont commencé à se disputer à propos des courses, car avec le loyer de la maison, ce n’était plus comme avant, où ils avaient les moyens que chacun contribue.

J’évitais de parler de mes problèmes, mais ça se voyait. Je n’arrivais plus à manger, j’avais beaucoup maigri. À ce moment-là, ma mère l’a remarqué, et j’ai fini par dire que quelqu’un me harcelait. Mon père est allé régler le problème avec l’école.

Mais intérieurement, c’était un échec. Pour moi, ça faisait “victime”. Je me sentais mal.

L’année d’après, j’avais peur que ça recommence. J’ai décidé de parler à peu de personnes, jusqu’à m’isoler complètement. Mes notes chutaient. Je me sentais très mal. Je ne gérais rien : ni ma vie sociale, ni mon humeur. Mes parents ne savaient rien. Pourtant, paradoxalement, je me sentais bien chez moi.

Le bac et la suite :

En arrivant au bac, c’était le Covid. J’avais fait des connaissances, ça se passait bien, mais mes notes chutaient toujours. Je voulais faire ES, mais ma mère voulait que je fasse S. Je voulais redoubler, mais j’avais trop peur de la réaction de mon père, qui aurait pu me renier. Finalement, je l’ai eu, et j’étais soulagée.

J’ai décidé de poursuivre mes études tout en m’éloignant un peu de ma famille, mais… c’était pire. Avec le Covid, j’étais enfermée chez moi. Ma santé mentale s’est détériorée. Je n’allais pas bien, mais je faisais avec. J’ai fini par arrêter ma L1 de droit pour aller mieux.

L’année suivante, je suis retournée en appartement, mais j’avais l’impression de perdre confiance en moi. Les cours étaient très durs, alors j’ai encore arrêté. J’ai pris du temps pour moi et j’ai décidé de travailler. Ma famille m’a soutenue.

Mais le problème, c’est que j’ai vu cet arrêt comme un échec. Je n’en pouvais plus. Je ne faisais que pleurer, et je n’acceptais pas la réalité. Je suis devenue vulnérable, ma forte personnalité a disparu. Toute ma famille l’a remarqué. Pour moi, c’était inadmissible. J’avais honte de moi, de ce que j’étais devenue.

Un nouveau départ :

L’année suivante, mon père m’a aidée à trouver une école qu’il finançait (9000€) grâce à sa retraite. Ça a été la meilleure année de ma vie. Je le remercierai toujours pour ça. J’ai travaillé à côté, je me suis fait des amis, et j’ai rencontré mon copain actuel. Mais ma relation avec ma mère était catastrophique. On se détestait.

L’année d’après, je me suis réorientée (l’école était trop chère). J’ai voulu reprendre le droit, car mon copain en faisait et j’ai adoré ça. Il m’a montré comment apprendre. J’ai donc décidé de faire une capacité en droit à la Panthéon-Sorbonne. C’était parfait, et j’espérais me faire de nouveaux amis. J’ai avancé et réussi mon année.

Mais intérieurement, j’essayais de me réparer. Ma relation avec ma famille restait tendue, et ma mère privilégiait ma sœur.

Aujourd’hui :

Je suis en deuxième année. Scolairement, tout se passe super bien. Mais moralement, j’ai encore des ruminations. Tout ça ne passe pas. Après tout ce que j’ai fait pour ma famille, au final, ils préfèrent ma sœur.

Ma confiance est brisée. J’ai toujours pensé à ma famille. Finalement, je me rends compte que c’était peut-être une épreuve pour apprendre à penser à moi.

Mais ça fait toujours mal… Je me sens moins moi-même et mise de côté car j’ai l’impression d’avoir été vulnérable et ça j’accepte pas!

Mes parents vont divorcer et vendre la maison. J’ai l’impression d’avoir vécu un enfer. Mais en même temps appris énormément sur moi-même.

Ce que j’ai du mal à accepter c’est la vulnérabilité c’est horrible car ça a baisser mon estime de moi, j’ai pas l’impression d’être la fille forte. Je peux plus m’imposer comme avant. Comment m’imposer, faire ce que j’aime, penser à moi.

Comment faire pour être moi?

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Meilleure réponse 20 MARS 2025

Bonjour,

On vous a fait porter trop de choses, trop de problématiques d'adultes quand vous étiez enfant. Vous avez certes murie durant tout ce temps mais vous n'avez pas eu l'espace de penser un peu à vous, de vous écouter. Vous étiez trop enfermée dans le rôle d'ainée protectrice de ses parents et de sa fratrie. En plus vous avez l'impression qu'on ne vous en remercie pas et qu'on ne reconnaît pas tout ce que vous avez fait. Vos parents en sont probablement incapables car vous êtes plus adulte qu'eux.
C'est effectivement l'heure aujourd'hui de faire des choses pour vous. Vous êtes l'adulte que vous êtes devenue et vous avez besoin d'entrer plus profondément en relation avec votre être profond.
Je reste personnellement à votre disposition, sachant que ma première séance d'une heure en visio est entièrement gratuite et sans engagement. Vous pouvez librement prendre un rendez vous sur mon agenda en ligne.

Bon courage à vous

Michel le BAUT
Psychopraticien
Thérapeute Jungien
Analyse de rêves

Michel Le Baut Psy sur Marseille

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9 JUIN 2025

Bonjour,
vous posez là une question qui signe le sens de notre existence .
Pour arriver à être soi même seul un travail sur soi est indispensable.

Florence Anezo Psy sur Plélan-le-Petit

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25 MARS 2025

Bonjour,

Tout ce que vous avez vécu est extrêmement lourd, et c'est normal que ces expériences aient laissé des traces en vous. Vous avez porté des responsabilités très jeunes, endossé un rôle d'adulte alors que vous étiez encore une enfant. Ce que vous ressentez aujourd’hui sont des réactions compréhensibles après toutes ces années de lutte.

Vous avez appris à être forte en vous protégeant, en vous mettant en retrait, en gérant seule. Mais être forte, ce n’est pas seulement être indépendante et impassible. C’est aussi accepter qu’on a le droit d’être vulnérable, d’avoir des moments de doute, d’être soutenue. Ce que vous traversez aujourd’hui ne signifie pas que vous avez perdu votre force. Au contraire, c’est un passage qui peut vous aider à mieux comprendre ce dont vous avez besoin.

Vous avez grandi avec l’idée que pour être forte, il fallait ne jamais flancher, ne jamais montrer ses failles. Mais la vraie force, c’est aussi oser exprimer ses besoins, poser ses limites et accepter d’être humain·e. Ce que vous traversez aujourd’hui est un apprentissage précieux : vous n’êtes pas moins forte, vous apprenez à être plus authentique avec vous-même.

Pendant des années, vous avez fait passer les besoins des autres avant les vôtres. Il est normal que penser à vous-même vous semble difficile, voire égoïste. Mais ce n’est pas le cas. Ce n’est pas parce que vous avez été le pilier que vous devez toujours l’être. Il est temps de vous demander : qu’est-ce qui me fait du bien ? Qu’est-ce que je veux vraiment pour moi ?

Se réimposer ne veut pas dire être dure avec les autres ou avec soi-même. C’est simplement apprendre à dire non quand quelque chose ne vous convient pas, à exprimer vos envies sans culpabiliser. Vous pouvez commencer par de petites décisions pour vous, chaque jour, et observer comment cela vous fait vous sentir.

L’estime de soi se reconstruit avec le temps. Se rappeler ce que vous avez accompli, noter vos réussites, pratiquer l’auto-compassion… tout cela peut vous aider. Si vous en avez la possibilité, un accompagnement psychologique pourrait aussi vous soutenir dans cette démarche. Vous êtes en pleine transition, et c’est normal que cela fasse mal. Mais ce n’est pas une régression. C’est une occasion de vous libérer d’un rôle qui vous a pesé toute votre vie. Vous méritez de penser à vous, d’exister pour vous-même, et de vous donner le droit d’être vulnérable sans que cela remette en cause votre valeur.

Vous êtes en train de devenir pleinement vous-même. Et ça, c’est une vraie force.

Prenez soin de vous.

Betty

Betty Gonçalves Psy sur Louverné

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25 MARS 2025

Bonjour Léa,

Vous avez vécu dans un climat conflictuel, avec des parents qui avaient du mal à gérer leurs émotions et leurs problèmes, et qui étaient incapables de s’intéresser à ceux de leurs enfants, dont vous.
Du coup, leur immaturité affective vous a imposé un rôle de « parent » de vos propres parents : lourde tâche pour une enfant !

Le déménagement qui vous a beaucoup marqué n’a pas été préparé et vous avez très mal vécu l’éloignement de vos amis : vous avez tenté de montrer votre mécontentement en boudant… ce qui a été en quelque sorte contre-productif puisque vous avez presque refusé de vous intégrer en acceptant vos nouvelles conditions de vie.

Vous avez eu la chance que votre père vous soutienne dans votre parcours scolaire, de trouver une voie qui vous plaît, vous avez de bons résultats et même un copain : cela vous à probablement permis de « lâcher prise » et de vous écouter un peu plus.
Ainsi, vous avez découvert que vous n’êtes pas faite en béton et que vous avez vos fragilités : vous êtes tout simplement humaine.

Concentrez vous sur vous même, votre vie, sur l’école, la relation amoureuse et les amitiés qui vous font du bien.
Tentez de ne pas prendre très à cœur la relation avec votre mère : quand vous aurez un peu de recul vous pourrez revenir vers elle et essayer de lui parler ouvertement. Il est possible qu’elle ne comprenne pas votre souffrance.

Si vous pouvez, cherchez vous un-e thérapeute avec qui parler de vos soucis, pour accepter ce sur quoi vous n’avez pas de prise, et pour changer ce qui peut l’être.

Je vous souhaite d’arriver à vous mettre au centre de votre vie, vous aimez et vous affirmer tout en acceptant vos limites.
sp

Silvia Podani Psy sur Issy-les-Moulineaux

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25 MARS 2025

Bonjour Léa

Merci pour ce beau message qui me touche beaucoup. Thérapeute narratif je suis sensible à ce récit riche et lucide que vous faite de votre vie.

Très jeunes on vous a, ou vous vous êtes assignées des missions qui n'étaient pas les vôtres, celles de régler les soucis, d'écoutante et de soutien.
Comment dans ces conditions savoir et être ce que l'on est vraiment d'autant plus que le harcèlement est venu brouiller tout cela et rajouter une couche de difficultés.
Et malgré tout, le parcours tel que vous le décrivez marquent une forte énergie, une volonté des compétences et de grandes capacité d'adaptation, bref tout ce qu'il faut pour ériger une bonne estime de Soi. Vous la sentez fragile mais je pense que tous les ingrédients sont là pour la redéfinir et ce faisant redessiner les contours de votre identité, de qui vous êtes.
C'est le propos de la thérapie narrative, je peux si vous le désirez vous proposer un accompagnement en ce sens.

Je reste à votre écoute et à votre disposition si vous souhaitiez en parler plus et en savoir plus sur la thérapie narrative, n'hésitez pas à me contacter.

Bien cordialement

Bruno BRICE
Thérapeute Narratif

Bruno Brice Psy sur Meyreuil

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20 MARS 2025

Bonjour,

Votre parcours est marqué par une grande résilience. Vous avez porté des responsabilités bien trop lourdes dès l'enfance, ce qui vous a forgée, mais aussi épuisée émotionnellement. Aujourd'hui, vous ressentez un conflit intérieur entre l'image de la "fille forte" et celle qui a traversé des épreuves douloureuses et a dû faire face à sa propre vulnérabilité.

Accepter sa vulnérabilité n’est pas un échec, au contraire, c’est un signe de force. C’est la preuve que vous avez survécu, évolué et que vous êtes en train de construire votre propre identité, en dehors du rôle de "pilier" que vous avez toujours joué. Vous n'avez plus à prouver votre valeur à travers la force et le contrôle absolu.

Pour retrouver confiance en vous et apprendre à vous imposer autrement, il peut être bénéfique de travailler sur l'affirmation de soi en posant des limites claires avec votre famille, tout en vous recentrant sur ce qui vous fait du bien. Peut-être pourriez-vous aussi vous entourer de personnes qui vous valorisent et vous aident à voir votre propre lumière ?

Si vous souhaitez aller plus loin et explorer ces questions ensemble, je vous propose une consultation gratuite pour vous accompagner dans ce cheminement.

Elodie Seng

Elodie Seng Psy sur Paris

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20 MARS 2025

Bonjour Léa.
Depuis l'enfance, vous avez porté un poids immense, vous avez eu un rôle d'adulte dans un climat de violences conjugales. Vous avez serré les dents, et vous avez tenu. Vous preniez soin des autres, et personne n'était là pour prendre soin de vous, y compris quand vous vous faisiez harceler. Vous avez même dû, en plus de tout le reste, cacher vos émotions, en riant la journée et pleurant le soir.
La vulnérabilité vous est insupportable aujourd'hui car vous n'avez jamais eu le droit d'être vulnérable, c'était une question de survie (la votre, et celle de vos proches). Mais là, en particulier j'ai l'impression avec le divorce de vous parents et le fait de les voir préférer votre sœur, vous avez atteint une limite.
Être vulnérable, avoir des limites, ce n'est pas être faible, c'est être humain. Mais comme vous n'avez pas l'habitude, c'est comme si tout le poids que vous avez porté jusque là vous tombait dessus d'un coup, comme si ce qui vous avait permis toutes vos réussites n'était plus accessible!
Pour être vous, il faut passer par l'écoute de toutes les parties de vous, y compris celle que vous n'aimez pas. La partie qui aime vos parents et votre sœur, la partie qui est en colère contre eux. La partie qui est fière d'avoir accompli tout ce que vous avez accompli, et la partie qui trouve injuste qu'on vous ait imposé tout ça. La liste peut être longue. C'est un travail qui peut beaucoup secouer, qui peut prendre du temps, mais la récompense sera là, et surtout vous semblez dire que vous en avez vraiment besoin.
Je vous envoie autant de forces que possible pour ce cheminement... dans lequel vous avez aussi le droit d'être faible, par moments!
Grégoire Taconet
Psychopraticien en Approche Centrée sur la Personne
Consultations en cabinet à Lyon, ou en visio

Grégoire Taconet Psy sur Lyon

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20 MARS 2025

Bonjour Léa,

Ces expériences, même si elles ont été traumatiques, vous ont permis de vous renforcer et de vous améliorer.
Vous avez fait des constats importants. La personne la plus importante de votre vie est… vous-même. Ensuite, même en donnant tout, on peut parfois être déçu de sa propre famille.
C’est pourquoi, aujourd’hui vous devez vraiment vous recentrer sur vous-même et avancer votre un objectif de vie serein et heureux.
N’hésitez pas à vous faire aider (pour une fois) si vous pensez en avoir besoin.

Je reste à votre disposition et à votre écoute.

Pour plus de détails, contactez-moi.
N’hésitez pas à vous faire une idée du sérieux de ma méthode en consultant les avis sur ma fiche.

Christophe
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Thérapeute de couple - Sexothérapeute
* Rendez-vous en ligne uniquement

Christophe Nieaux Psy sur Melun

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20 MARS 2025

Bonjour Léa,

Je suis touchée par votre histoire et vous invite à vous donner de l'empathie. Vous avez vécu beaucoup de traumatismes, vous avez été "parentalisée", eu des responsabilités d'adulte beaucoup trop tôt et la vulnérabilité que vous ressentez aujourd'hui est inversement proportionnelle. Vous n'avez pas pu vivre votre enfance comme tous les enfants devraient la vivre.

Je vous invite à vous faire accompagner par un-e thérapeute afin de soigner les traumatismes et blessures de votre enfance.

Je reste à votre disposition si vous souhaitez approfondir ces questions.
Claire Thomas,
Psychosomatothérapeute

Claire Thomas Psy sur La Chapelle-Caro

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