Comment parler de symptômes a mon psy?

Bonjour Violaine.

Votre difficulté et vos doutes à évoquer ce que vous entendez sont compréhensibles.
Je pense qu’il serait vraiment important pour vous et votre bienêtre que vous puissiez en parler avec un ou une professionnel.le de confiance. Qu’est-ce qui ferait qu’il ou elle ne vous croirait pas ? C’est votre vérité, ce que vous ressentez et vivez. Décrire ce qui existe en vous est nécessaire pour pouvoir vous sentir mieux.

Bonjour Violaine,

Compte tenu des symptômes que vous décrivez, et qui n'ont rien à voir avec la bipolarité, je vous invite à en parler à un médecin psychiatre qui seul sera en mesure de poser le bon diagnostique et de vous proposer un suivi adapté., pour vous soulager.

Bien à vous,

Caroline GORMAND
Psychothérapie intégrative, psychopathologie clinique, thérapie systémique du coule et de la famille.

Bonjour,
Ne pensez vous pas que le plus important n'est pas de se coller une étiquette?
Bipolaire ou pas, vous êtes un être humain, complexe, trop complexe pour être collé dans une case.
Vos souffrances sont là et une autre lecture est possible : le programme de soins que je propose pourrait peut-être vous aider à découvrir qui vous êtes réellement, comment vous vous êtes construite, avec vos blessures et conditionnements d'origine.
Si vous souhaitiez en savoir plus sur mon approche et mes techniques, n’hésitez pas à me demander un premier échange, gratuit et sans engagement.
Je consulte en présentiel ou par visioconférence.
Bien à vous
Véronique BLANCHE, Thérapeute Holistique
Guérison de l’enfant intérieur
Hypnose Ericksonienne
Soins énergétiques

Bonjour,

Expliquez lui simplement avec vos mots, sans vous mettre la pression. Si vous avez l'impression que votre psychologue vous catégorise trop rapidement ou ne vous comprends pas, peut-être devriez-vous vous tourner vers un autre psychologue. Le sentiment de confort et de confiance est important dans une thérapie, pour votre bien être et pour votre évolution.

Je reste disponible si vous souhaitez échanger en privé,
Krystel Berlan,
Psychologue Positive

Bonjour Violine,
Rencontrer et travailler sur soi avec un professionnel nécessite d'avoir confiance en ce dernier afin de pouvoir tout dire sans peur du jugement. Vous devez garder un regard critique sur vos rencontres et ce qui est dit.
Si ce n'est pas le cas il est important d'en parler si c'est possible ou de changer.
Ne restez pas avec ces sentiments néfastes à votre équilibre de vie. Trouvez un thérapeute à votre écoute.
Sandrine Filleul
Psychanalyste. Évry Courcouronnes Doctolib

Bonjour Violaine,

c'est le gros problème des étiquettes et des diagnostics qui collent à la peau. Ensuite ces diagnostics vous enferment et il est alors très difficile de s'en détacher pour se décentrer et voir ce qui se joue ailleurs dans vos interactions avec vous même et votre entourage. La thérapie brève est non normative et non pathologiseante et donc les thérapeutes brefs ne s'attardent pas sur les diagnostics mais sur ce qui dans votre façon de résoudre votre problème aggrave vos symptômes. C'est une analyse fine de vos interactions pour trouver une solution qui vous permettra de sortir de votre situation.

bon courage à vous
Laetitia PAGET

Bonjour,

Qu’est ce qui vous empêche d’en parler à un psy ? Ou à des médecins ? quel risque y a t il ? Que craignez-vous ?

Pourquoi ne vous croirait on pas? Ce n’est pas comme si vous étiez la seule personne à avoir ce genre de symptômes… les psys savent que ça existe, que c’est possible d’avoir ces symptômes. Tout l’intérêt est d’en prendre conscience puis d’investiguer pourquoi ils sont là, puis de la atténuer, de vivre mieux avec, voire de les faire disparaître, selon le diagnostic. N’hésitez pas à en parler, à faire part de vos craintes. Ou à changer de psy si vous entre sur vous n’êtes pas écouté de la bonne façon.

Prenez soin de vous.

Bonjour Violaine,
La relation de confiance avec un psychologue est un élément capital pour le succès d'une thérapie. Je comprends que vous ayez oeur de dévoiler les symptômes que vous évoquez, mais sans ces informations, la prise en charge ne peut pas être efficace. Il me semble qu'un psychiatre serait plus compétent pour comprendre de quoi vous souffrez et faire un diagnostic précis qui vous permettrait de bénéficier d'une aide mieux adaptée.
Je vous souhaite une bonne suite.
Chantal JEAN
Thérapeute en Relation d'Aide
Séances en face à face dans mon cabinet à Paris 5e ou en visioconférence sur Skype ou Messenger

Bonjour Violaine,

Le diagnostic de "bipolaire" est un diagnostic grave.
Avez-vous déjà été hospitalisée? Etes-vous suivie régulièrement par un psychiatre qui doit sensément vous prescrire un traitement médicamenteux?
Si c'est le cas, ne vous inquiétez pas les psychiatres sont formés pour entendre et soigner les problèmes qui vous submergent actuellement.
Je vous conseille donc de lui en parler sans peur et sans retenue.

Je reste à votre écoute avec bienveillance,

Edith Entringer

Bonjour Violaine,

Merci pour votre partage et votre envie de vous retrouver.

Avant de vous fier à une seul possibilité de diagnostic il sera préférable de consulter un psychothérapeute ou psychopraticien(ne). Ce sont d'autres approches .

Vous êtes "perdu dans le vide" par manque de connaissance de vous et de votre être intérieur .
Vous ressentez beaucoup de choses et ne savez pas les expliquer, les émotions vous submergent et vous ne savez pas d'où elles viennent d'un coup et comment faire avec tout ça et Vous avez peur de ne pas être comprise. Votre inconscient adapte les comportements nécessaires pour vous protéger .

Etre perdu est la première étape de changement et il ne faut pas avoir peur de ça. On ne peut pas se retrouver sans être perdu.

Lisez ce livre: "trop intelligent pour être heureux". Vous aller peut être y trouver des informations intéressantes qui vous parleront.

Je vous souhaite une très belle découverte et un très beau chemin.

Je reste à votre écoute si besoin

Avec toute ma confiance et gratitude

Bien à vous

Tonia

Bonjour, je crois avoir compris que vous avez divers symptômes qui reste cachés aux yeux des psy parce que vous avez peur de parler de vos hallucinations auditives, voix critiques, menaçantes et débats . Si c est le cas, vos symptômes comme vous l écrivez plus haut, sont courant et les psychiatres, sont habitués à aborder ce genre de sujet. Si c est compliqué pour vous de les exprimer, vous pouvez essayer d utiliser une autre façon de le dire comme en écrivant vos symptômes sur une lettre, ou vous pouvez demandez à une tierce personne de le faire à votre place (famille, medecin, amis…) en vous accompagnant ou par téléphone ou mème par lettre manuscrite. Souvent lorsqu’on a peur de ne pas être cru, c est plus simple de partager le même discourt avec quelqu’un d autre, ça donne plus de courage et de force. Si c est le psychiatre qui vous rend l expression difficile pour diverses raisons, il est aussi possible d en voir un autre. Le meilleur interlocuteur dans votre cas, sera un ou votre psychiatre J espère avoir pu un peu vous aidez . Avec soutien GEBEL Sébastien .

Bonjour Violaine,

La première qualité selon moi d'un thérapeute est de croire le consultant avant même que lui même ne se croit.
Sauf que pour pouvoir accompagner quelqu'un au fond de son cœur il faut y avoir été soi même et ce n'est hélas pas suffisamment le cas.
Vos symptômes sont les conséquences de blessures émotionnelles.
En choisissant un thérapeute spécialisé et si vous êtes prête à faire le chemin, il est possible de guérir complètement ces blessures afin que les symptômes disparaissent.
Bien cordialement

Bonjour Violaine,
En voyez-vous beaucoup, de psy? Et je suis étonnée de tous ces diagnostiques!
Nous sommes là, surtout et avant tout pour vous aider à aller mieux, pas pour vous évaluer.
Je vous encourage à trouver une psychothérapeute avec laquelle vous vous sentirez en confiance, qui ne posera pas de diagnostique, mais qui vous aidera à aller mieux.
Bien à vous
Inès AVOT

bonjour Violaine, pourquoi ne pas exposer vos doutes et vos interrogations sur vos symptômes à votre thérapeute. Il est sensé vous entendre et vous aider. Partager avec eux, même si ils suspectent autres hypothèses... J'ai quelques idées sur vos symptômes mais cela ne semble pas aisé en quelques mots à vous exposer ! En tant que thérapeute, le doute existe aussi. c'est selon moi en partageant seulement qu'on peut y arriver. Mais, qu'est de qui vous perturbe aujourd'hui ? ne pas être reconnu dans vos symptômes actuels ? souhaitez vous un autre diagnostic que bipolaire ? Voulez-vous juste un psy qui vous reconnaisse tel que vous êtes ?
n'hésitez pas à me contacter si besoin en ligne !

Bonjour Violaine,

La capacité à se dévoiler, même devant un psy, n’est pas automatique. Elle se forge dans l’authenticité de la relation de confiance qui s’établit dans le temps.

Parfois, le « patient » peut avoir aussi la tendance à faire omission de certains aspects de son vécu, dans le but de mieux se faire accepter. De plus, vous évoquez des symptômes envahissants, qui peuvent entraîner beaucoup de souffrance et être très gênants au quotidien.

Je suis au contact de personnes avec le même type de symptomatologie e peu de ces personnes en parlent avec aisance. Pourtant, c’est extrêmement important, voire libérateur, que d’en parler. Je vous le conseille vivement. Cela fait partie d’un chemin de déstigmatisation : s’affranchir des stigmas liés aux troubles psychiques, venant de la société et que l’on finit par intérioriser.

Je vous invite à consulter des témoignages de personnes rétablies, à vous en inspirer des principes de la réhabilitation psychosociale et du rétablissement en santé mentale pour y prendre appui et, peut être plus facilement, prendre la parole.

Je suis disponible pour vous écouter et vous soutenir.
Bien à vous,
Ana Ribeiro, Psychologue Clinicienne Intégrative spécialisée réhabilitation psychosociale et rétablissement en santé mentale

Bonjour Violaine,

Je comprends votre appréhension et la peur du jugement. Tellement de psys sont encore dans ce genre de schéma, c’est terrible pour moi autant que pour vous.

Beaucoup de patients me disent, mais avec vous je ne me sens pas jugé, c’est léger. Oui c’est le cas, je fais de mon mieux pour partager vos doutes et vos souffrances.

Dans votre cas, je pense que vous êtes en grande souffrance. Je pense avoir une idée de ce qui se passe, car j’ai vécu la même chose et c’est perturbant.

Vous avez donc deux choix, soit vous évoquez cela avec vos psys tout en sachant que vous allez être sûrement catégorisée voir diagnostiquée ou parfois vous n’aurez aucune réponse (parce qu’ils ne savent pas de quoi vous parlez) soit vous consultez mon profil et vous réservez une séance en télé consultation sur Doctolib.

Dans tous les cas, je vous souhaite une excellente continuation

Bien à vous
Marjorie Lugari