Culpabilité et souvenirs enfouis

Réalisée par Anonyme · 14 avril 2023 Aide psychologique

Il y a peu, moins de six mois, j'ai subis une agression sexuelle alors que je partageais mon lit avec un tiers. Alors que nous nous faisons un câlin, celui-ci à rapidement escalader. Entre des allés retours au-dessus et en dessous (je parle de la position des corps lors du câlin) cette dite personne a finit par glisser ses mains a des endroits inappropriés : sous mon tshirt, sur mes fesses, mes seins et m'a même embrassé.

Complètement tétanisée, surprise, je n'ai pas émis la moindre objection et je me sens aujourd'hui horrifiée. Abusée. Je me souviens qu'il ait appelé mon nom plusieurs fois... Mais que j'étais trop tétanisée, choquée pour répondre quoi que ce soit. Emmètre le moindre mouvement. La moindre opposition physique ou verbale. J'ai finis par me détacher, et tourner le dos prétendant avoir été endormie tous le temps. Seulement, je ne l'étais pas.

Le lendemain, il a essayé un contact, me donner un câlin alors que j'étais avec sa soeur cadette sur le lit. Je n'ai pas su comment réagir. Les jours d'après, j'ai prétendues vouloir dormir avec ses petites soeurs parce qu'elles me l'avaient demandées. Je me souviens avoir été profondément choquée — car nous avions déjà dormis ensemble sans soucis — et surtout d'avoir beaucoup culpabilisé. Nous étions en vacances avec des amis. Il y avait du soleil, j'étais souvent en maillot de bain et ils nous arrivait de boire des bières le soir puisque nous étions en période de fête. J'ai pensé que c'était ma faute. Mon exposition. Ma sympathie envers lui. Que j'aurais dû le repousser.

Il m'en a reparlé quelques jours plus tard, à notre retour. En me demandant si je me souvenais de quelque chose. J'ai feins de ne pas me souvenir. Il m'a dit que c'était bizarre, je lui ai répondu que j'avais une mémoire très sélective. Et que je ne voyais pas à quoi il faisait reference. J'ai ris, souris. Plus tard, il a essayé une autre approche alors que nous étions chez des amis. Assis sur un canapé, chez des amis, il m'a réclame un câlin — chose que je n'ai pas pu lui refuser car c'était quelque chose d'assez commun avant ça.

Il l'a demandé plusieurs fois, même lorsque je changeais de canapé, il revenait. Il a essayé de m'embrasser plus tard... Jusqu'à ce que sa mère le rappelle à l'ordre et lui indique que son comportement était déplacé. En plus de cela, depuis notre retour, il me taquinait beaucoup mais de façon plus méchante. C'était différent. Ces commentaires m'ont beaucoup blessés à l'époque car je ne comprenais pas pourquoi.

Après ça, j'ai paniqué. Je me suis dis que j'avais brisé la confiance. Le plus difficile était que je voyais un garçon à ce moment là et que seuls mes moments avec lui semblaient me faire oublier cette nuit. Cependant, c'est bien réel. Et maintenant que la distance me sépare de ce garçon que j'aime, je ne cesse de culpabiliser. Une culpabilité qui a réveillé d'autres événements survenus dans mon enfance et sur lesquels je n'arrive pas a mettre de mots.

Et depuis, je ressasse le passé en me disant que je suis une horrible personne. Je n'arrive pas à en parler. De cet événement, avec mon œil adulte et la législation actuelle, je ne sais pas quelle place prendre. Je suis tétanisée, je ne sais pas quoi faire avec toutes ses choses qui me rongent de l'intérieur.

Suis-je une victime face à ce trauma récent ? Ou dois-je simplement accepter ce qui m'arrive car j'ai mal agis — sans connaissance de la loi à un âge prepubaire — dans le passé ?

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Meilleure réponse 15 AVRIL 2023

Avant toute chose, je tiens à saluer le courage qu'il vous a fallu pour prendre contact avec nous et partager votre histoire. Ce qui vous est arrivé n'est pas de votre faute et vous n'avez rien fait de mal. Vous avez été victime d'une agression sexuelle et il est compréhensible que vous vous sentiez horrifiée et coupable.

Il est courant que les victimes d'agressions sexuelles se blâment et se sentent coupables, mais il est important de reconnaître que la responsabilité incombe uniquement à l'auteur de l'agression. Il est également courant que les survivants aient du mal à traiter leur traumatisme et qu'ils se sentent engourdis, coupables et honteux.

Vous n'êtes pas seule dans cette situation et il est essentiel que vous cherchiez de l'aide et du soutien. La thérapie peut être utile pour traiter votre expérience et aborder les émotions et les pensées qui sont apparues depuis l'agression. Un thérapeute peut vous aider à comprendre vos sentiments, vous apporter son soutien et vous aider à développer des stratégies d'adaptation saines.

Vous êtes une victime d'agression sexuelle et vous méritez d'être soutenue et comprise. Il est normal de se sentir dépassé et de ne pas savoir quoi faire, mais sachez qu'il y a des personnes qui peuvent vous aider à surmonter cette expérience. Si vous vous sentez à l'aise, vous pouvez également envisager de vous adresser à un groupe de soutien ou à une ligne d'assistance téléphonique pour les victimes d'agressions sexuelles.

Rappelez-vous que la guérison prend du temps et qu'il est normal de prendre le temps dont vous avez besoin pour traiter et guérir de votre trauma. Vous n'êtes pas défini par cette expérience et, avec de l'aide et du soutien, vous pouvez aller de l'avant et trouver la guérison.

Lorena Salthu Psy sur Paris

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17 AVRIL 2023

je vous entends et je comprends que vous traversiez une période difficile en raison de l'agression sexuelle que vous avez subie il y a moins de six mois. Il est important de savoir que vous n'êtes en aucun cas responsable de l'agression que vous avez subie. Personne ne mérite d'être victime d'une agression sexuelle, quel que soit son comportement ou son passé.

Il est tout à fait normal de ressentir de la culpabilité et de l'angoisse après un tel événement, et il est important de reconnaître que ces sentiments sont légitimes. Vous n'avez pas à vous blâmer pour les actions de l'autre personne. Il est essentiel de vous rappeler que vous avez le droit d'être respectée et de vous sentir en sécurité dans vos relations.

Il est important de prendre soin de vous et de votre bien-être émotionnel. Parler à un professionnel formé en santé mentale, comme un psychothérapeute, peut vous aider à traiter vos émotions, à comprendre vos réactions et à développer des stratégies pour faire face à cette expérience traumatisante. La thérapie peut vous offrir un espace sécurisé pour exprimer vos sentiments, vous aider à vous reconstruire et à vous rétablir du traumatisme.

Je vous encourage vivement à envisager de prendre rendez-vous en ligne à mon cabinet ou avec un autre professionnel de la santé mentale pour discuter de ce que vous avez vécu et recevoir un soutien approprié. Vous méritez d'être entendue, soutenue et guidée dans votre processus de guérison. N'hésitez pas à demander de l'aide et à prendre soin de vous.

Ulrich Alexandre Psy sur Narbonne

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16 AVRIL 2023

Bonjour,

Il me semble que ce qui vous fait souffrir actuellement c’est surtout la culpabilité par rapport au « dérapage » des gestes de ce garçon avec qui vous avez partagé le lit et des câlins il y a 6 mois, quand vous aviez déjà un copain.

Dans ces conditions il était assez naturel que le jeune homme tente « plus », ce que vous pouvez quand même savoir : personne n’échange des câlins avec n’importe qui, et dans un lit ça ressemble à des « préliminaires ».

Que cela vous ait beaucoup surpris, et même sidéré (dans la mesure où vous n’aviez pas pu vous opposer) c’est très compréhensible, si vous même vous ne l’aviez pas souhaité.

Un enseignement à tirer de cette expérience : ne pas faire des « câlins » à n’importe qui ni n’importe quand ni n’importe où…, et surtout pas dans un lit, la nuit…

Difficile de penser aux lois dans le cas que vous avez décrit ici.

Par contre, les événements vécus dans votre enfance auxquels vous faites allusion méritent probablement à être explorés et compris pour éclairer votre rapport aux « câlins » et à la sexualité.

Je vous souhaite d’apprendre à connaître et d’affirmer votre désir et les limites saines à respecter pour vous faire respectée.
sp




Silvia Podani Psy sur Issy-les-Moulineaux

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16 AVRIL 2023

Bonjour

Soyons clairs dés le début et utilisons les bons mots.
Vous êtes une victime, quelle que soit l'angle sous lequel vous regardez cette situation, n'oubliez pas qu'il existe un élément primordial qui s'appelle le consentement et qui fait référence à la loi. Que ce soit là fête ou pas que vous ayez bu des bières ou pas, on ne peut oblitérer ainsi cette notion de consentement.
Vous n'avez donc pas à vous sentir coupable.
Vous êtes donc une victime et à ce titre vous avez vécu une expérience traumatisante.
Je vous engage d'une part à vous rapprocher d'une association de victime, vous y trouverez une écoute attentive, sans jugement et des conseils.
Si vous jugez bon de donner une suite à cette situation il faudra vous rapprocher d'un avocat.
Par contre je pense que vous ne pouvez faire l'impasse d'un travail thérapeutique sur ce traumatisme et ses conséquences, d'autant plus qu'elle est entrée en résonnance avec d'autres situations vécues et sur lesquelles vous n'arrivez pas encore à mettre des mots.
Ce n'est pas problématique, par exemple, nous autres thérapeutes narratifs utilisons aussi des outils que l'on appelle "objets flottants", mis au point par des systémiciens qui vienne suppléer lorsque la parole ne porte plus.

Je reste à votre disposition si vous souhaitiez approfondir cet échange, n'hésitez pas à me contacter.
Je peux vous accompagner si vous le souhaitiez, je consulte en visio et en présentiel.

Bonne journée

Bruno BRICE
Thérapeute Narratif, Psychopraticien

Bruno Brice Psy sur Aix-en-Provence

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16 AVRIL 2023

Bonjour,

Les frontières de vos affects respectifs sont assez floues. Les limites ne sont pas posées et à aucun moment vous n'avez clarifié les "choses" , en particulier sur vos ressentis. Cette absence de clarté a eu de lourdes conséquences car chacun de vous deux est parti sur sa propre voie "fantasmatique". Sans "bornes", vos passages à l'acte respectifs ouvrent d'infinies possibilités dans l'interprétation de la situation.
Non est une réponse claire et sans ambiguïté. Il faut l' utiliser pour exprimer ses limites. L'intimité n'est pas non plus une notion à désacraliser. Ce contexte ne doit pas être démystifié et doit être offert dans des circonstances bien précises.
Ce qui est certain, c'est que vous n'avez eu aucune maîtrise de la situation...pour vous ET pour lui.
Reste la gestion des conséquences de ces évènements. Si ils sont aujourd'hui la cause de troubles, il convient de les prendre en compte et d'y apporter une réponse plus salutaire. Ne rien faire me semble, dans votre cas, la pire chose à faire.
En espérant vous avoir été utile.
Bien à vous

Stéphane Baes Psy sur Montpellier

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16 AVRIL 2023

Bonjour, à la lecture de votre message j'ai eu quelques difficultés à comprendre la situation, car votre texte est un peu confus.
Vous parlez d'une agression sexuelle mais dans votre texte ce qui ressort c'est surtout l'impression que c'était votre copain, de plus on a du mal à situer l'action dans le temps.
Votre positionnement en tant que victime est un peu étonnant, on dirait que "quelque part" vous provoquez la situation.... De plus vous fréquentiez un autre garçon à ce moment-là, vous donnez l'impression d'avoir un certain goût pour la séduction tout en adoptant l'attitude de l'ingénue.... Excusez-moi si je suis direct, mais je parle de l'impression que j'ai en vous lisant.
Là où ça devient plus cohérent c'est lorsqu'à la fin vous parlez de traumas plus anciens, survenus dans votre enfance, c'est peut-être le début d'une piste qui éclaire votre comportement ultérieur.
Pour mettre du sens sur ce qui se passe pour vous actuellement, il serait nécessaire de mettre au clair ce qui s'est passé dans votre enfance, je pratique une approche intégrative qui pourrait être efficace pour votre problématique.
Je reste à votre écoute en cabinet à Nice ou en visio,
cordialement,
Laurent Stevenoot
Psycho analyste clinicien.

Laurent Stevenoot Psy sur Nice

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15 AVRIL 2023

Bonjour,

Il est difficile de bien comprendre la situation car votre message est confus.
Ce qui m'étonne, en dehors de ce qui vous a déjà été répondu par mes collègues, c'est que dans vos comportements et ceux de voter entourage, les limites et la place de chacun semblent bien mal posées.

Il n'est pas anodin, par exemple, dormir dans le même lit qu'une personne de sexe opposé, surtout s'il existe déjà une intimité avec cette personne. Et un "calin" au lit (et en l'absence de témoins de surcroit) est clairement une demande de préliminaires !
De même, pourquoi vouloir "dormir avec ses petites soeurs" pour éviter le contact avec ce garçon ? Le corps d'autrui ne peut en aucun cas être utilisé de la sorte. En revanche vous pouvez apprendre à dire fermement "non".

Vous évoquez de manière confuse des événements passés qui pourraient être à l'origine de ce mal-être et d'une forme de culpabilité. Je vous invite à aller déposer cela de manière confidentielle auprès d'un.e psychothérapeute, qui saura vous aider à relier votre histoire pour vous en libérer.

Bien à vous,

Caroline GORMAND
Psychothérapie intégrative, thérapie systémique du couple et de la famille, trauma-thérapie

Caroline Gormand Psy sur Clermont-l'Hérault

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15 AVRIL 2023

Bonjour,
Votre message est un peu confus.
Il serait important de savoir quel âge aviez vous au moment des faits que vous relatez ?
Car quand je vous lis, vous n'avez pas été forcée, c'était votre petit copain de l'époque, et cela s'est reproduit à plusieurs reprises a priori...
Après vous vous offusquez, et pourtant vous dites fréquenter un autre garçon à ce moment là. Je trouve votre attitude un peu déroutante... Pour moi, vous n'êtes pas victime, vous avez été faible c'est tout. Désolée si ma réponse ne vous convient pas.

Par contre, quand vous dites que cela réveille d'autres évènements survenus dans votre enfance, c'est plus pertinent pour comprendre votre comportement de ce jour.

Je vous conseillerai donc de consulter un(e) thérapeute afin de travailler sur les souvenirs dérangeants de votre enfance.
Mon approche est pertinente. Car une thérapie uniquement verbale n'aura pas beaucoup d'intérêt pour traiter les traumas de l'enfance...

Cordialement
Hypnothérapeute clinique - Thérapie intégrative & holistique

Nathalie Follmann Psy sur Clichy

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15 AVRIL 2023

Bonjour Heavyheart,
A la lecture de votre message, j'ai l'impression que vous êtes dans la plus grande confusion entre des faits récents et des faits anciens, de la culpabilité et la sensation d'avoir été abusée.
Vous demandez si vous êtes victime d'un trauma récent ou si vous êtes coupable de ne pas avoir connu la loi à un âge prépubère et devez accepter que vous êtes donc responsable de ce qui vous arrive.
Pour remettre les choses à leur place, premièrement, à un âge prépubère, on n'est pas responsable de ne pas connaitre la loi et on ne peut pas être responsable des actes que l'on subit. Ce sont les adultes qui sont responsables. Donc quoi que vous croyiez avoir fait, vous n'avez pas à vous punir pour cela en souffrant toute votre existence.
Deuxièmement, subir des attouchements sexuels à l'âge adulte ne provoque pas forcément un trauma. En revanche, cela peut réactiver un trauma ancien.
Je pense qu'une partie de la solution de cette situation intenable est dans l'exploration avec un thérapeute, en toute confidentialité, de ce dont vous parlez, pour au moins lever des confusions et vous permettre de remettre votre pensée en marche.
Vous n'êtes malheureusement pas la seule qui vive ce genre de situation et qui souffre en ressassant.
Je suis à votre disposition si vous le désirez.
Prenez soin de vous.
Nathalie Bogren

Nathalie Goursolas Bogren Psy sur Sallanches

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15 AVRIL 2023

Bonjour,
je lis et ressens votre malaise. Vous évoquez un tiers. Qui est-il ? j'imagine une personne de votre entourage amical ou familial.
Qui est-elle pour vous ? êtes vous dans une relation amicale, familiale, amoureuse ? qu'acceptez vous de vivre avec cete personne ?
lorsque je vous lis, la réponse ne m'apparaît pas clairement... et je peux imaginer de la confusion dans les places de chacun et dans les limites à poser.
cela fait écho probablement à des expériences que vous avez eu dans le passé, vous citez à un âge prépubaire.
Vous ressentez de la culpabilité, vous êtes tétanisez par rapport à des évènements passés qui vous rongent de l'intérieur.
J'imagine qu'il y a de la complexité et que ce que vous avez vécu dans votre passé vient interférer dans votre vie actuelle.
Je ne peux que vous recommander de vous faire accompagner pour regarder ce qui vous a construit, regarder votre histoire et comment cela vient impacter votre vie aujourd'ui... Mettre du sens et regarder quelle est votre place dans ces événements, y compris par rapport à la loi, sera un travail précieux pour vous.
je reste à votre écoute
Bien chaleureusement,
Anne Ferrand
Gestalt-praticienne à Versailles

Anne Ferrand Psy sur Versailles

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15 AVRIL 2023

Bonjour,

Votre témoignage me semble assez confus. En effet, votre attitude est difficilement lisible pour une personne extérieure. En effet, à plusieurs reprises, vous auriez pu dire non, mais vous ne l’avez pas fait (le lendemain quand il vous a questionné sur vos souvenirs, lorsqu’il vous demande de nouveau un câlin). Pourquoi ? C’était pourtant le moment idéal pour le faire. Certes, vous aviez été surprise lors de la première agression et êtes restée paralysée, mais dans ces seconds temps vous indiquez finalement être consentante.
Je vous invite vraiment à vous affirmer lorsque vous ne souhaitez pas quelque chose. Personne ne vous le reprochera. Votre corps vous appartient et vous devez en disposer à votre guise.
N’hésitez pas à vous faire aider pour surmonter ces souvenirs qui vous hantent.

Je reste à votre disposition et à votre écoute.

Pour plus de détails, contactez-moi.
N’hésitez pas à vous faire une idée du sérieux de ma méthode en consultant les avis sur ma fiche.

Christophe
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Thérapeute de couple - Sexothérapeute
* Rendez-vous en ligne uniquement

Christophe Nieaux Psy sur Melun

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