culpabilité maternel

Bonjour,

Il est assez courant de vouloir continuer à contrôler l'autre malgré une séparation et dans ce cas, tout est bon pour maintenir de l'ascendant sur la situation familiale. Il est donc possible que votre ex soit dans ce schéma.

Dans tous les cas, il n'est en rien gênant pour un enfant de passer une demi-heure dans les transports pour aller à l'école.
D'autant plus, qu'il récupère un temps de repos le midi chez les grands- parents.

Afin de vous débarrasser de cette culpabilité insidieuse, il serait bien de faire le point sur vous avec un professionnel.
Je vous invite à visiter mon site internet "un psychanalyste en ligne" et si la psychanalyse vous intéresse, n'hésitez pas à m'appeler.

Cordialement
Catherine Cadou - Psychanalyste

Bonjour Laurine,

En effet, il n’y a aucun problème, votre fils ne semble pas souffrir outre mesure de ce temps de trajet. La réaction de votre ex-partenaire est certainement faite pour vous blesser et vous culpabiliser. C’est une façon assez affreuse de se servir de votre fils pour vous nuire. Laissez-le donc cracher son venin et restez dans votre attitude positive de mère attentive à son fils.

Je reste à votre disposition et à votre écoute.

Pour plus de détails, contactez-moi.
N’hésitez pas à vous faire une idée du sérieux de ma méthode en consultant les avis sur ma fiche.

Christophe
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Thérapeute de couple - Sexothérapeute
* Rendez-vous en ligne uniquement (visio ou téléphone)

Bonjour,

Il n'y a rien d'anormal dans votre situation et pas de risque pour votre fils quant à l'éloignement de son école.
Les moments de trajet en voiture sont au contraire souvent l'occasion d'échanger avec son enfant. En ville la plupart des parents font les mêmes durées de trajet que vous.
Par contre je ne comprends pas bien pourquoi vous laissez votre fils à son père le jeudi soir.
Je reste personnellement à votre disposition, sachant que ma première séance d'une heure en visio est entièrement gratuite et sans engagement. Vous pouvez librement prendre un rendez vous sur mon agenda en ligne.

Bon courage à vous

Michel le BAUT
Psychopraticien
Thérapeute Jungien
Analyse de rêves

Ce que vous décrivez est une préoccupation très légitime : vous cherchez avant tout à préserver le bien-être de votre fils, tout en essayant de rester juste et équilibrée.

Mais vous devriez prendre davantage confiance en vous. Le lien avec le papa de votre fils est encore à construire, pour que chacun prenne sa place sans empiéter sur celle de l'autre.

Si la situation devient source de tension, un accompagnement familial ou parental peut aussi aider à apaiser les échanges et à sécuriser votre fils émotionnellement.

Bonjour Laurine,

On ressent à travers votre écrit que vous êtes une très bonne mère soucieuse du bien-être de votre fils. Vous êtes attentive à ses besoins et vous vous questionnez (ce que nous faisons beaucoup en tant que parents, aujourd'hui davantage avec toutes les injonctions sociétales qui nous font culpabiliser).

Je suis persuadée que ce ne sont pas 45 minutes de trajet deux fois par semaine qui vont déstabiliser votre fils.
Vous avez trouvé une routine, une stabilité : il dort bien, il va bien. Et vous le ressentez.
Nous habitons là où nous pouvons. Et dans certains endroits de France, il n'est pas rare de faire ce temps de trajet pour se rendre à l'école.
De surcroît, vous ne travaillez pas le mercredi pour passer du temps avec votre enfant.
Accessoirement, réponse d'ancienne juriste : rien de ce que vous décrivez ne vient à l'encontre de l'intérêt de votre enfant. Et c'est ce qu'examine le juge aux affaires familiales.

Le bien-être d'un enfant repose avant tout sur la coopération entre les co-parents. Ce qui implique notamment (et entre autres) :
- Du soutien : valoriser ce que l'autre parent fait, prendre le relais, ne pas intervenir quand cela n'est pas nécessaire ;
- Une absence de compétition entre les deux parents (quelles qu'en soient les raisons).

Peut-être que ce pourraient être des arguments à avancer auprès du père pour qu'il s'engage dans le sens d'une coopération apaisée. Mais je suis sûre que vous trouverez les mots. Ne changez rien ;)

Bien à vous,

Mélissande Béroard - Conseillère conjugale et famiale

Bonjour Laurine,

Je tiens tout d'abord à vous féliciter : se remettre en question pour le bien-être de votre enfant montre que vous avez à coeur de faire les choses bien pour lui. D'autre part, si vous ne constatez pas de signe de fatigue, nul besoin de culpabiliser.

Faites vous confiance, vous êtes une super maman qui se soucie du bon équilibre de son enfant.

Bien à vous,
Laurine DARCY
Psychopraticienne

Bonjour,

Vous n’avez pas à culpabiliser : les rythmes de sommeil et de vie quotidienne de votre fils semblent tout à fait adaptés. Il paraît épanoui, et le temps de qualité que vous lui consacrez chaque mercredi répond à l’un de ses besoins essentiels.

Un trajet de 25 minutes pour se rendre à l’école n’a aucune incidence négative sur son bien-être. Ce qui compte réellement pour le bon développement d’un enfant, c’est l’affection, l’attention et la sécurité affective que lui procurent ses parents.

Il semble en effet que cette préoccupation soit davantage celle de son papa que celle de votre fils. Une discussion apaisée avec son père pourrait être bénéfique, afin de lui rappeler que la construction psychologique d’un enfant de six ans repose avant tout sur la qualité de l’attachement et le sentiment de sécurité, bien plus que sur la durée du trajet vers l’école.

Avec toute ma bienveillance,
Mallory Legrain
Psychopraticienne, Praticienne en Fleurs de Bach et méditation guidée.

Bonjour Laurine,

Merci de partager vos inquiétudes sur ce forum.

Comme vous l'expliquez très bien, votre fils dort bien, se couche sans difficultés, apprécie passer le midi chez ses grands-parents sur vos jours de garde. De plus, vous ne travaillez pas le mercredi pour rester avec lui! Ce n'est évidemment pas simple pour un jeune enfant de s'adapter à deux foyers différents, mais votre fils semble très bien s'y habituer.

Concernant le temps de route, 25 minutes pour un aller n'est pas non plus une durée trop exagérée et peut convenir si l'enfant peut se reposer pendant ce trajet et dort suffisamment pendant la nuit.

Vos doutes sont légitimes, mais vous devriez prendre d'avantage confiance en vous car vous faites de votre mieux pour que votre enfant se sente bien et vous êtes une maman attentionnée. Le lien avec le papa de votre fils est encore à construire, pour que chacun prenne sa place sans empiéter sur celle de l'autre.

Si vous avez besoin d'aide dans cette séparation récente, n'hésitez pas à vous faire accompagner par un thérapeute.

Je vous souhaite bon courage pour la suite.
Bien cordialement,
Elisa Le Goff

Bonjour,

Je comprends votre inquiétude, mais d’après ce que vous décrivez, votre fils semble bien s’adapter : il dort bien, profite de moments de qualité avec vous et ses grands-parents, et garde un cadre stable. Ces repères comptent bien plus que la distance du trajet.

Continuez à l’écouter et à observer ses réactions, s’il reste détendu et joyeux, c’est un bon indicateur. En parallèle, essayez de garder un dialogue calme avec le papa, ou de passer par un médiateur familial si la communication devient trop tendue. Cela permet souvent d’apaiser les désaccords et de recentrer les décisions sur le bien-être de l’enfant.

Faites-vous confiance : vous semblez déjà très attentive à son équilibre.

Bien à vous,

Loelia Maraldo – Thérapeute

Bonjour Madame

Je comprends votre questionnement
Ce que vous vivez est fréquent après une séparation. Vous ressentez de la culpabilité et la peur de ne pas être à la hauteur.

Il va être important de prendre de la hauteur
Votre fils semble épanoui
La culpabilité que vous ressentez est plutôt le signe de votre amour et de votre conscience parentale, pas d’une faute réelle.

Si vous en ressentez le besoin n'hésitez pas à me contacter

Je reste à votre entière disposition

Bien à vous

Cabinet A KEDDI

Bonjour,
Merci pour la confiance que vous m’accordez en partageant cette situation. Ce que vous décrivez est une préoccupation très légitime : vous cherchez avant tout à préserver le bien-être de votre fils, tout en essayant de rester juste et équilibrée dans une situation de coparentalité qui semble parfois tendue.

Bonjour,

Votre inquiétude est tout à fait compréhensible. Vous semblez très investie dans le bien-être de votre fils, et vos choix montrent que vous veillez à lui offrir un cadre apaisant et stable. À 6 ans, ce qui compte le plus pour un enfant, c’est la qualité du lien avec chacun de ses parents et la cohérence du cadre, plus que la distance géographique.

Le déménagement n’est pas nécessairement un obstacle s’il continue de sentir votre présence rassurante et si la communication avec son père reste centrée sur ses besoins à lui. Vous avez raison d’exprimer vos craintes, mais gardez confiance : un équilibre peut se trouver, même dans un contexte de garde alternée.

Si la situation devient source de tension, un accompagnement familial ou parental peut aussi aider à apaiser les échanges et à sécuriser votre fils émotionnellement.