Je suis un homme de 40 ans, ambulancier en arrêt maladie depuis deux ans pour addiction à l'alcool et dépression. J'ai arrêté l'alcool depuis juillet à la suite d'une cure (ma deuxième en deux ans). Je rencontre toutes sortes de problèmes dans ma vie (financiers, relationnels amicaux ou amoureux, familiaux, de santé morale...). Je me suis complètement isolé et je sors très peu de chez moi. Je me sens seul et je ne fais rien pour que les choses changent. J'ai l'impression d'avoir raté ma vie, je me sens complètement inutile, vide et brisé.
Comment en suis-je arrivé là ? À la suite d'une rupture (en 2017) avec une femme avec qui je suis resté cinq ans, je suis tombé en dépression, allant jusqu'à une tentative de suicide. J'avais déjà vécu une première rupture avec une autre femme (la mère de mon fils), mais cette deuxième rupture m'a complètement brisé et changé, car elle me reprochait exactement ce que la mère de mon fils m'avait aussi reproché : un manque d'attention, le fait de ne pas montrer mon amour pour les personnes qui comptent. Alors, je me suis remis en question et j'ai essayé de me reconstruire. J'ai même quitté ma région natale (la Normandie) du jour au lendemain pour le Var et je suis ici depuis trois ans. En arrivant ici, je buvais pas mal d'alcool et je voulais me servir de ce déménagement pour arrêter. Sauf que c'était très dur, je n'y suis pas arrivé seul, donc je me suis fait hospitaliser en clinique pour arrêter. Là-bas, il y avait un psychiatre et un psychologue, et donc j'ai due parler de mon histoire. Moi, j'ai une histoire dans mon enfance que j'ai enfouie en moi pendant des années, dont j'ai du mal à parler, et je pense qu'il y a forcément un lien avec tous les problèmes que j'ai et que je rencontres dans ma vie. Un frère adoptif de ma mère a fait des attouchements sexuels sur moi pendant une longue période, entre mes 6 et mes 15 ans. J'ai essayé de mettre ça de côté, mais je n'y arrive plus, je sens que je ne suis pas "normal". Il faut savoir aussi que j'ai toujours un peu eu des relations sexuelles avec des hommes durant ma vie, à part quand j'étais en couple. J'ai vu un psy pendant deux ans, que je vois toujours, mais moins, car j'ai l'impression d'avoir fait le tour. Il y a deux mois, j'ai vu un psychanalyste, j'y suis allé deux fois alors que c'est un psy réputé, mais voilà, pareil, je dois encore me confronter à ce problème qui me met mal à l'aise d'en parler, et au fait qu'il ne fait que m'écouter. J'ai l'impression que c'est un ami qui m'écoute, moi je parle, mais je suis toujours là avec mes problèmes et franchement je ne vois pas qui peut m'aider. Donc voilà, j'ai essayé de résumer au minimum. Peut-être auriez-vous des conseils, des pistes à suivre, là je ne sais plus quoi faire. Merci.
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Meilleure réponse
19 DÉC. 2024
· Cette réponse a été utile à 30 personnes
Bonjour
Vous vivez dans la culpabilité permanente, toujours en train de ruminer ce qui est arrivé à l'enfant que vous étiez.
Certes vous vous êtes construit au travers cet enfant mais cet enfant n'existe plus aujourd'hui. Vous êtes venu au monde des adultes avec votre passé mais ce passé n'est plus.
Vous avez probablement pu exorciser votre passé en construisant des relations avec des femmes, mais l'échec de la dernière relation vous a renvoyé vers votre passé, votre culpabilité, comme si vous ne méritiez pas d'en sortir puisque les femmes vous quittaient.
Vous n'avez pas besoin d'être absous par le féminin. Cela se travaille.
Je reste personnellement à votre disposition, sachant que ma première séance d'une heure en visio est entièrement gratuite et sans engagement. Vous pouvez librement prendre un rendez vous sur mon agenda en ligne.
Bon courage à vous
Michel le BAUT
Psychopraticien
Thérapeute Jungien
Analyse de rêves
29 DÉC. 2024
· Cette réponse a été utile à 0 personnes
Bonjour Monsieur,
Vous avez déjà réussi à faire un pas géant : arrêter l’alcool. Ceci signifie que vous avez la motivation et les ressources pour aller mieux.
La rencontre avec les psychiatre et le psychologue connus à l’occasion de la cure vous ont certainement été bénéfiques.
Il est assez naturel qu’étant donné les abus subis pendant votre enfance et adolescence, et probablement le fait d’avoir eu des relations avec des hommes, vous n’êtes pas à l’aise pour raconter cela, ce qui ne fait que fixer le traumatisme.
Pour être libéré il serait bon d’accepter de dire ce que vous ressentez par rapport à ce passé, sachant qu’aucun psy ne juge quoi qu’il vous est arrivé, ni quoi que vous avez pu faire.
De plus, ce n’est pas à vous d’avoir honte : les enfants et les jeunes ne peuvent pas s’opposer à l’autorité d’un plus grand qu’eux, dont ils subissent l’emprise.
Vous même vous avez certainement été sous l’emprise de l’homme qui vous a abusé. Et la honte, comme la culpabilité, doivent être de son côté.
Dans votre cas il serait bon de trouver un-e bon-ne thérapeute qui pratique l’EMDR, pour vous aider à vous libérer du traumatisme de votre jeunesse.
Une thérapie suivie vous permettra de sortir de votre isolement.
En même temps vous pouvez tenter de rejoindre un groupe des alcooliques anonymes : le soutien et l’exemple des personnes ayant les mêmes difficultés que vous peuvent vous aider beaucoup à tenir et à progresser vers la reprise du travail et la sortie de la dépression.
Je vous souhaite d’arriver à sortir de la détresse actuelle et de retrouver également l’amitié et l’amour.
sp
29 DÉC. 2024
· Cette réponse a été utile à 0 personnes
Bonjour,
Vous êtes une âme écorchée qui nécessite une aide par un apport bienveillant et centré sur vos besoins bien ciblés. Je suis psychanalyste et je pense que cette approche peut vous correspondre de par ce que j'ai pu lire car cela viendra libérer le mal profond par un travail analytique assez ciblé et de par la nature de l'exercice dans la thérapie. Je peux déjà citer des fixations à travers vos addictions passagères ou non mais il est important de ne prendre le temps. Le but n'est pas de vous répéter car vous avez déjà vu d'autres psy mais peut-être de tenter autre chose. Je reste à votre disposition.
Afonso Stéphanie
Psychanalyste
Visio et présentiel
22 DÉC. 2024
· Cette réponse a été utile à 22 personnes
Bonjour,
J'ai qu'une chose à vous dire arrêter l'analyse intellectuelle, aller au coeur de vos traumatismes enkystés à un niveau cellulaire.
Pour vous, il est nécessaire d'avoir une approche psychocorporelle (voir mon profil). Au vu de votre enfance, il y a peut être même des "états du moi dissociatifs".
Je vous adresse un article que j'ai écrit qui pourrait vous éclairer : "Mieux comprendre la mémoire traumatique"
Et celui ci pour ne pas prendre votre temps avec une thérapie uniquement verbale : "Quelle thérapie choisir : Psychologue, TCC, EDMR, Hypnose ?... "
21 DÉC. 2024
· Cette réponse a été utile à 0 personnes
Bonjour,
Merci d’avoir partagé ici votre vécu. Votre témoignage reflète une grande souffrance, mais aussi une profonde volonté de comprendre et de surmonter ce qui vous emprisonne. Vous avez traversé des épreuves marquantes, et il est important de reconnaître que chercher de l’aide, comme vous le faites, est une étape essentielle sur le chemin de la guérison.
Comprendre votre vécu
Les abus subis dans votre enfance, enfouis pendant des années, semblent avoir façonné une part importante de votre rapport au monde, à vous-même et aux autres. En psychologie analytique, nous voyons souvent ces expériences comme des “ombres” de notre inconscient, des blessures qui, tant qu’elles restent ignorées, influencent nos comportements, nos relations et nos choix de vie. Ces blessures, combinées à des ruptures amoureuses douloureuses et à la culpabilité qui les accompagne, ont probablement amplifié votre sentiment de vide et d’isolement.
L’alcool peut être vu comme une tentative de votre psyché pour anesthésier une douleur trop lourde à porter. Cependant, votre décision d’arrêter montre votre force intérieure et votre désir de transformation. Cela prouve que vous n’êtes pas condamné à rester prisonnier de vos traumatismes.
Des pistes pour vous reconnecter à vous-même
1. Plonger dans l’inconscient par l’imaginaire : En psychologie analytique (psychanalyse Jungienne), des outils comme l’exploration des rêves ou l’imagination active peuvent vous aider à dialoguer avec ces parts de vous-même qui ont été blessées. Ces pratiques peuvent permettre de donner un sens aux émotions et aux conflits intérieurs, sans nécessairement verbaliser tout de suite les expériences traumatiques.
2. Renouer avec la communauté : Votre isolement est compréhensible, mais la solitude alimente le sentiment d’inutilité. Participer à des cercles de parole ou à des groupes de soutien vous permettrait de partager vos ressentis sans jugement et de ressentir à nouveau un lien avec les autres.
3. Reprendre des activités progressivement : engagez-vous, petit à petit, dans des activités simples, qui pourraient vous redonner un sentiment de contrôle (marche, bénévolat, sport léger).
4. Reconnaître votre valeur : Une approche analytique met l’accent sur l’individuation, le processus de devenir pleinement soi-même. Malgré vos blessures, vous avez une valeur unique et une capacité à transformer vos épreuves en une source de sagesse. Petit à petit, trouver des activités, même modestes, qui honorent vos capacités et vos passions pourrait vous aider à vous reconnecter à votre essence.
Enfin, sachez que la guérison est un chemin, parfois long, mais toujours possible. Vous êtes en quête de sens et de réparation, ce qui est déjà un signe de résilience. Soyez patient avec vous-même : chaque pas compte.
20 DÉC. 2024
· Cette réponse a été utile à 7 personnes
Bonjour,
Vous semblez totalement perdu, comme un navire sans capitaine au milieu de l’océan. Il est temps de remettre quelqu’un à la barre de votre vie. Pour cela, une aide extérieure pourra vous aider à retrouver la bonne route et les bonnes façons de se comporter et d’avancer dans la vie. Il y a, en effet, plusieurs sujets à travailler (rapport aux autres, estime de soi, sexualité entre autres).
Je reste à votre disposition et à votre écoute.
Pour plus de détails, contactez-moi.
N’hésitez pas à vous faire une idée du sérieux de ma méthode en consultant les avis sur ma fiche.
Christophe
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Thérapeute de couple - Sexothérapeute
* Rendez-vous en ligne uniquement
19 DÉC. 2024
· Cette réponse a été utile à 3 personnes
Bonjour à vous, merci de venir exposer ici votre touchante histoire.
Je vous félicite pour l'énergie que vous avez investi en cure pour vous défaire de cette très difficile dépendance à l'alcool, soyez fier de vous pleinement et bravo !
Le temps passe et votre perception aussi, si vous sentez le besoin de garder en vous des choses, peut-être ne vous sentez vous pas suffisamment en sécurité pour faire ce lâcher prise avec la personne actuelle ? Peut être culpabilisez -vous ou entretenez -vous un autos-abotage dans cette quête du mieux être ? Ce sont des questions abordables en consultation.
Ce qui est possible de faire c'est d'essayer avec un autre thérapeute, pensez-vous l'envisager ? Cela vous permettra d'avoir un regard nouveau à partir du chapitre actuel de votre vie tout en poursuivant votre thérapie et de recréer un lien thérapeutique tout neuf, comme la nouvelle année à venir.
Je consulte en ligne à distance, le but de la psychothérapie et de vous remettre en mouvement dans votre corps et votre esprit, de vous faciliter le quotidien et de comprendre où se trouvent les verrous et les freins de votre vie pour retrouver un épanouissement et apprendre à utiliser les outils internes qui vous permettent de vous libérer des perceptions délétères.
Prenez grand soin de vous durant cette intense période.
19 DÉC. 2024
· Cette réponse a été utile à 2 personnes
Bonjour Koï 83
Merci pour votre témoignage et votre courage.
Soyez fier de vous concernant l'arrêt de l'alcool, c'est une des addictions les plus dures. Bravo à vous vraiment.
Vous avez vécu beaucoup de traumatismes dans votre enfance.
Si vous sentez que vous n'avancez plus avec votre psy actuel, il serait peut-être bien d'en changer. Parce qu'on évolue dans une thérapie et qu'à un moment, il est parfois nécessaire de changer de psy. C'est la preuve que vous vous reconstruisez et pour cela nous vous disons bravo.
Une reconstruction prend du temps, il faut avoir de la patience et de l'indulgence envers soi.
Il est important de poursuivre votre psychothérapie, et même si vous changez de professionnel, dites vous que cela ne vous fera pas repartir à zéro mais que c'est juste un changement d'itinéraire.
Parfois lors de trajet, Nous n'avons pas que de l'autoroute, à un moment nous en sortons pour prendre la nationale.
C'est imagé mais pour une psychothérapie, c'est la même chose, parfois on a besoin de changer de psy et c'est que c'est juste pour soi.
Un psy vous apporte des outils mais le travail c'est vous qui le faite.
C'est votre psychothérapie, c'est vous qui êtes au centre de ce travail, sans vous, nos outils ne sont pas utiles.
Et c'est essentiel de le comprendre.
Vous avez conscience de beaucoup de choses, y compris de cette enfance traumatisante, et vous méritez de pourvoir vous en libérer pour accéder au bonheur.
Dites-vous que vous êtes en chemin ...
Il faut du temps pour apprendre à s'aimer et à s'estimer.
Prenez soin de vous.
Michaële
Praticienne en psychothérapie
Praticienne en psychogénéalogie.
19 DÉC. 2024
· Cette réponse a été utile à 1 personnes
Bonjour Koï83,
Tout d'abord je tenais à vous remercier pour votre témoignage, il est courageux et touchant de sincérité et de pudeur. Et bravo pour votre sevrage, c'est une étape difficile qui demande beaucoup de volonté et il est important de le souligner. Cela en dis long sur votre engagement envers vous-même. Vous semblez avoir envie de trouver l'apaisement et le mieux-être!
Ce que vous avez vécu enfant est intolérable, et vous l'avez évoqué, il y a dans cette injustice les racines d'un mal qui vous habite. Il est compréhensible que mes confrères/consœurs aient eu l'intention d'aller revisiter cette période pour comprendre la source du trauma et vous aider à débloquer des choses enfoui. Et il est légitime que vous ayez du mal à en parler!
Ce que je pourrais vous proposez c'est que nous prenions rendez-vous par visio car je suis en Ile de France. Je pratique la Gestalt Thérapie, c'est une psychothérapie qui travaille l'ici et maintenant. Nous partons de ce qui est difficile à vivre pour vous aujourd'hui et effectuons un travaille ensemble, je vous pose des questions, vous propose des pistes de réflexions, des exercices de mise en situation pour vous aider à libérer ce qui doit l'être (principalement les émotions), je vous fais des propositions de sens sur votre vécu d'hier et d'aujourd'hui. Et si seulement vous le souhaitez, à votre rythme nous pouvons faire des ponts avec le passé. Si la séance vous apporte ce que vous recherchez, nous pourrons entamer un travail ensemble.
Dans tout les cas ne baissez pas les bras! Il y a un thérapeute adapté à votre recherche quelle que soit sa discipline. Faites vous confiance.
Bien à vous,
Marion Eloi-Adolphe
Gestalt Practicienne
19 DÉC. 2024
· Cette réponse a été utile à 0 personnes
Bonjour,
Votre parcourt est sinueux, et vos approches avec des professionnels montre que vous avez envi "d'aller mieux" c'est très positif.
Parler est se libérer... donc même enfouis ils resurgissent (vos souvenirs) et cela impact vos réaction au quotidien même si cela n'est pas conscient.
Vos traumatismes multiples ne peuvent qu'être un poids, l'alcool est une conséquence de votre souffrance. Ne lutter pas contre "vos démon" mais il faut les accepter et avant comme "dompter" ce danger.
Vous êtes sur le bon chemin, même si celui est encore long.
Concernant les professionnels chacun à un rôle dans les soins et à une posture. Aujourd'hui, il semble que vous recherchiez "autre chose", alors allez vers un thérapeute ou comme moi un psychopraticien, où vous pouvez trouver des vraies échanges et des vraies pistes de travail.
J'utilise les TCC mais il y en a d'autre, et les patients adorent car nous sommes sur de la thérapie brève.
Vous n’êtes pas "anormal", c'est juste que vous avez pris conscience de votre état et que vous avez besoin d'aide pour vous relever et rompre l'isolement affectif.
Je serai ravie de vous accompagner si vous le souhaitez en distanciel n'hésitez pas belle journée, Mélina
19 DÉC. 2024
· Cette réponse a été utile à 0 personnes
Votre message témoigne d'une grande souffrance et d’un cheminement complexe, mais aussi d’une forte lucidité sur vos difficultés. Vous avez déjà fait des pas importants : arrêter l’alcool, consulter des professionnels, et commencer à explorer des blessures profondes. C’est un parcours courageux, même si vous vous sentez encore bloqué.
Les abus subis sont un poids immense, souvent liés aux conduites addictives et à la difficulté à construire des relations stables. Travailler sur ce traumatisme, même si c’est difficile, est essentiel pour vous libérer. L’isolement renforce le sentiment d’inutilité.
Chaque relation est unique, et il n'y a pas de réponse facile ou universelle à ce genre de situation. Je vous encourage à réfléchir à ces questions. Il serait judicieux de faire un travail sur vous. Cela vous permettrait d'écouter vos émotions, de les comprendre, cela vous permettrait de sortir de ce conflit psychique que vous décrivez, car vous seule êtes capable de réaliser un tel travail. Personne ne peut le faire à votre place, ni vous dire que faire.
Je vous offre la possibilité d'en parler avec moi, en présentiel ou en Visio conférence, afin de résoudre cette situation, et de trouver ensemble les solutions les plus adaptées.
P Groult, psychanalyste
19 DÉC. 2024
· Cette réponse a été utile à 0 personnes
Bonjour,
merci d'avoir pris le temps de nous écrire et d'avoir eu le courage de chercher un soutien.
Vous nous décrivez un stress post-traumatique (attouchements sexuels enfant) qui, comme bien souvent, s'est accompagné de dépression et d'addiction. Vous nous parlez des émotions qui sont émoussées, ce qui est une conséquence de la dépression.
Vous êtes suivi par des professionnels qui ont eu une démarche plutôt du ressort de la psychanalyse.
Je pratique les thérapies cognitivo-comportementales, qui permettent de mettre en oeuvre des méthodes et donnent des outils aux clients accompagnés. Tout est bien entendu personnalisé. Ces thérapies sont même recommandées par la Haute Autorité de la Santé pour les troubles que vous décrivez.
La première séance est offerte et vous permettrait de décider si ce que je propose peut vous soutenir.
19 DÉC. 2024
· Cette réponse a été utile à 0 personnes
Bonjour,
Il faut parfois faire le tour des thérapeutes, en fonction des moments de notre vie et de nos besoins spécifiques, pour trouver la méthode qui nous convient le mieux. Ici vous avez le choix des méthodes. Pour ma part, j'utilise la psychanalyse mais il faut plus de deux séances pour se sentir en confiance avec un nouveau "psy". N'hésitez pas à chercher et choisir en fonction des descriptions, photos, vidéos, celui ou celle qui vous inspirent le plus d'affinités. Nous sommes nombreux, vous avez la main ! Certains événements douloureux de notre vie comme le viol durant l'enfance nécessitent des années de thérapie. Donc il n'y a pas de méthode miracle, en tout cas je n'y crois pas personnellement. Je crois en un travail long qui donne très vite de bons résultats mais qu'il faut continuer parfois au delà de 2 années à raison d'une séance par semaine si on veut aller en profondeur dans l'histoire en respectant les peurs, c'est-à-dire lentement mais sûrement!
Bien à vous, Anne Fierry Vérité psychologue analyste