Deuil et je n'arrive pas à pleurer, est-ce normal ?

Bonjour,

Il n 'y a pas de normalité. Cela peut être une forme de déni, mais peut être aussi d'accepation. Pleurer fait du bien, il faut vous l'autoriser, mais la tristesse viendra elle même frapper à la porte , et peut être dans très longtemps, ou pas.
Soyez vous même, laisser les émotions venir sans les bloquer si elles se présentent.

Bonjour,

Je vous présente tout d’abord toutes mes condoléances. Le deuil est un processus très complexe, son déroulement est propre à chacun d’entre nous. Lors d’un choc émotionnel très violent il arrive que l’on se coupe de notre sphère émotionnelle, c’est d’ailleurs ce qui caractérise l’état de choc. Lorsque vous pourrez prendre du temps pour vous-même, petit à petit l’acceptation de cette perte fera sa place en vous, ramenant vos larmes. Pour cela il est important de vous laisser du temps et de prendre soin de vous.

Bien à vous,
Séverine Hutinet

Bonjour, ce que vous décrivez est un mécanisme de défense assez courant qui s’appelle le « clivage ». En cas de deuil ou de traumatismes la personne utilise inconsciemment ce mécanisme qui sépare les émotions de l’événement douloureux. Cela ne veut pas dire que vous êtes insensible, cela montre juste que c’est votre manière de vous protéger de cette événement trop douloureux pour le moment.
Ne culpabilisez pas. Les étapes du deuil se font petit à petit , le temps d’assimiler les choses.
Et on peut faire son deuil sans pleurer.
Bon courage !!

Sabine Russo
Psychanalyste et thérapeute de couple
À Lyon

Bonjour,
Toutes mes condoléances pour votre grand-père.
Tout ce que vous vivez est normal, chacun vit le deuil à sa façon. Laissez-vous le temps de vivre cette perte, et respectez votre rythme.
Bon courage à vous
Chaleureusement
Aurélie LAUMONT
Psychopraticienne en psychothérapie intégrative

Bonjour,
Quelle relation aviez vous personnellement avec votre grand père ? Votre réaction et en lien avec cela.
Si vous étiez très proches, il se peut que vous soyez encore dans le déni et que vos émotions soient bloquées.
En revanche, si vous avez vécu des choses pénibles avec votre grand-père, il ne serait pas anormal que vous n'éprouviez pas davantage de chagrin.
Dans tous les cas, vous n'avez pas à vous comparer aux autres : chacun peut vivre quelque chose de différent.
Bien à vous
Véronique BLANCHE, Thérapeute Holistique
Guérison de l’enfant intérieur
Hypnose Ericksonienne
Soins énergétiques

Bonjour,

Vous avez apparemment deux croyances. La première serait que la perte de quelqu'un doit nécessairement causer de la peine et la seconde que la peine doit nécessairement se traduire par des larmes.
Et bien, je vous invite à penser que chacun est libre de vivre et de ressentir les évènements à sa façon. Chaque personne a sa propre histoire et son lien avec la personne défunte et les émotions ne sont pas identiques.

Vous avez apparemment une empathie forte puisque c'est l'image de la tristesse de l'autre qui vous a amené à verser les quelques larmes que vous cherchiez à faire couler. C'est apparemment le cas pour d'autres évènement puisque vous dites pleurer habituellement pour rien.

À la lecture de votre témoignage, je me pose la question d'un mécanisme de défense qui bloquerait l'émotion qui vous touche directement mais pas pour les autres ou les personnages de fiction( vous devez pleurez devant les films). Cela s'appelle la dissociation. Si vous souhaitez verser ces larmes pour vous et non pas pour faire comme les autres et que ce blocage vous pose un réel souci pour avancer en paix alors je vous invite à débuter une thérapie qui vous aidera à trouver l'origine de cette dissociation.

Si vous le souhaitez, je suis à votre écoute à mon cabinet de Nîmes ou en visio.

Charlotte MATTEI
Psychopraticienne

Bonjour, cela arrive régulièrement ! Une personne qui pleure énormément, épuisé sa réserve lacrymal. Mais cela peut également affecter votre vison à long terme.
Cela peut également être dû à un choc émotionnel, vu votre description cela est possible.
Je reste à votre disposition.
Thalia inna

Bonjour

Quelle sentiment cela éveille en vous de 'ne pas réussir à pleurer' ?
Dans cette situation, c'est comme si vous vouliez calquer votre rapport au deuil selon les critères sociétaux ; il faut pleurer pour monterr sa peine, etc... Pourtant chaque individu appréhende le deuil de façon différente. Peut etre aurez vous envie de pleurer dans quelques mois face à un souvenir, peut-être ne pleurerez vous jamais. Cela ne remet pas en cause l'attachement que vous pouviez avoir avec votre grand-père ; sa mort est juste 'acceptable' ou vécu comme un événement naturel qui fait partie de la vie au grand-age... Acceptez vos réactions avec bienveillance, sans interdit et sans injonction.

Si vous pleurez 'de voir les autres pleurer', cela montre votre empathie à la douleur de l'autre. C'est en soi un élément qui montre que vous n'avez 'rien qui cloche'.

Bonne journée

Virginie Dhion

Bonjour,
toutes mes condoléances les plus sincères.
Si nous étions en séance, je vous demanderais pourquoi vous voulez pleurer ? Êtes-vous triste ? Cette émotion peut se vivre de différentes manières, et le fait de pleurer ou pas est une option au vécu de la tristesse.
Vous pourriez être étonnée que d'ici quelques jours, vous vous mettiez à pleurer avec étonnement !
Le deuil est un processus qui prend du temps, avec plusieurs phases, selon bien des facteurs que l'on ne maîtrise pas.
J'espère vous avoir répondu à votre question.
Bien à vous,
X.E.

Bonjour,
Je peux vous aider à comprendre votre difficulté à exprimer vos sentiments suite à cette perte en connaissant un peu plus le contexte ainsi que votre situation car nous vivons tous le deuil de façons différentes. Soyez rassuré.
N’hésitez pas à me contacter afin que je puisse vous accompagner.

Bonjour

Il peut y avoir plusieurs raisons mais un deuil n'est pas forcément triste et n'appelle pas obligatoirement les larmes. Dans certains pays c'est même une célébration joyeuse. Dans d'autres cultures, les femmes se forcent à pleurer de façon exagérée.
Notre société nous signale que l'on doit être triste mais si nos émotions en ont décidé autrement, nous n'y pouvons rien.
Ceci étant dit, parfois la perte d'une être cher peut être un tel choc que nous nous coupons inconsciemment de nos émotions : c'est une défense naturelle de survie. Peut être avez vous besoin de temps pour "digérer" et accepter cette séparation. Peut être voulez vous être forte pour soutenir votre entourage que vous voyez souffrir.
Peut être également que votre grand père est très en paix là où il est et vous le sentez. Donc vous n'êtes pas triste et même plutôt confiante. Peut être également le sentez vous très présent en vous et cela vous fait vous sentir bien.
Il y a pleins de façons de vivre la mort d'un être cher et c'est vraiment propre à chacun. Ce qui est important c'est de trouver la paix avec l'être perdu et d'accepter que son corps ne soit plus là. Et cela peut parfois prendre un peu de temps.
Je vous invite à vous interroger sur ce que cela vous fait de voir votre famille "triste" de cette perte. Quelle place prenez vous alors dans ces moments là?
Je vous envoie toutes mes condoléances pour cette séparation et reste à votre écoute si vous avez besoin.

Bonjour
Il n'y a pas de règle dans ce domaine
Étiez vous proche de lui?
Si vous sentez que les pleurs sont bloqués, alors oui je vous encourage à prendre quelques séances pour comprendre ce qui vous arrive
Avec bienveillance
Présentiel ou visio comme c'est le mieux pour vous
Inès Avot

Bonjour à vous,

Qu est ce que la normalité ?
Souffrez vous de ne pas pleurez votre grand père ?
Sentez vous au fond de votre coeur qu une emotion comme la tristesse et/ou unebautre émotion aurait besoinnd être libérée ?
Si oui, c est un travail de deuil par le biaisbd une therapie qu il faut entrependre.
Si vous le souhaitez, je suis à votre ecoute pour cela.
Je vous invite à aller voir mon profil.
Bien à vous.

Karine BOYER
Psychopraticienne et thérapeute en liberation émotionnelle et traumatismes enfouis Consultations en visio et en presentiel

Bonjour,

Tout d'abord je vous présente toutes mes condoléances pour le décès de votre grand-père.

Était-il malade ? Son décès était-il attendu ?
Vous semblez être dans un état de sidération, ce qui arrive fréquemment lorsqu'il y a un choc psychologique.
Vous avez un deuil à faire et pour cela vous allez traverser plusieurs étapes. La première est bien souvent le déni, une partie de vous ne peut pas réaliser la fin de la relation avec la personne. Et puis il y a les étapes de la colère, de la tristesse et de la négociation qui peuvent se présenter plusieurs fois et dans des ordres différents. Cela peut faire des vagues, vous pouvez parfois être envahie par la tristesse et parfois par la colère. Le départ d'une personne proche peut réactiver une blessure d'abandon.
Une fois toutes ces émotions traversées, ce qui prendre souvent de nombreux mois, vous serez dans l'acceptation et vous pourrez vous sentir totalement en paix avec ce départ.

Je fais l'hypothèse que la sidération dans laquelle vous vous trouvez se place dans la phase du déni.

Lorsque vos larmes reviendront, prenez le temps de les accueillir. Vous pouvez aussi vous faire accompagner par un-e thérapeute pour approfondir votre question.

Je reste à votre disposition si vous souhaitez.
Claire Thomas,
Psychosomatothérapeute

Bonjour à vous,
Pleurer est une certaine forme de lâcher prise. Vous ne vous permettez de le faire. Vous avez certainement vos raisons. Parfois elles sont inconscientes. Je vous propose de prendre un rendez-vous en ligne afin de développer votre demande et trouver des réponses et conseils adaptés à celle-ci. (Douceur et bienveillance),
" La connaissance de soi " " L’expansion de conscience " sont des outils formidables et efficaces qui répondent à votre recherche, je vous invite à vous renseigner. A participer à un stage qui changera votre vie. Je suis disponible pour tout renseignement complémentaire. Cordialement Christine Lorijon.

Bonjour, chacun réagit différemment face au deuil et passe par plusieurs étapes. Cela n’a rien d’anormal de ne pas arriver a pleurer et n’a rien à voir avec l’affection portée à votre grand père. Ne culpabilisez pas. Vous vivez un moment très éprouvant. Les larmes viendront peut être à un moment innatendu ( devant un film, en entendant une musique…). La souffrance est tellement intense que nous sommes parfois bloqués dont dans nos pleurs. Je vous souhaite mes plus sincères condoléances et vous adresse tout mon soutien. Je reste à votre écoute si besoin, courage … bien chaleureusement, sandrine schemba