Est ce réel ?

Réalisée par Cocorico · 3 févr. 2025 Aide psychologique

Je suis honteuse d’aller jusque là mais je me demande réellement si mon conjoint a raison et que c’est moi qui pousse à bout tue la relation et ai attisé la violence verbale et physique que je reçois ?

Il a l’alcool très mauvais et ai un peu sûrement alcoolique (rien qu’en l’écrivant je suis dans le déni). Il boit tous les jours mais après sa saison d’été ne boit plus tant car avec moi
A chaque cuite sans coke il devient violent verbalement complètement fou dans ses actions envers tout le monde il a un grand sentiment de persécution, c’est la quil a commencé à m’insulter sans que je ne fasse rien (même absente) il ne se souvient de rien donc ne réalise pas la gravité. Je ne lui en veux donc pas.
Dans le couple car arrêt de la coke il n’a rien entretenu (pourtant les 6 premiers mois sont censés être les plus beaux) : ne faisait que dormir ect ect aucune initiative…. Je ne lui en voulait pas vraiment de ce que je pensais car « c’est l’addiction » mais j’ai remarqué que je me « vengeais » inconsciemment en étant « chiante » et intransigeante au quotidien
J’ai perdu confiance en moi en lui et c’était compliqué car je voyais tout son amour. À côté de ca il était super aimant. Donc je ne comprenais rien
Il ne réfléchit pas bcp et pas de remise en question sauf sous Coke (il continue 2/3 fois par mois) mais j’étais dans le déni
Il n’y a que sous coke quil m’écoutait me comprenait et qu’on pouvait parler calmement sans sa mauvaise foi et Gaminerie. Ou j’avais l’impression d’être entendue.
Je pense qu’inconsciemment j’ai monté des stratégies contre lui que je ne saurai pas trop expliquer, mais dans le sens de l’intransigeance. j’ai perdu mon estime de moi de par tout ce quil me lance ivre et par son inaction sobre son désintérêt malgré tout cet amour que je ne peux ignoré.
La relation s’est détérioré comme ca, les rancœurs que j’avais donc l’intransigeance et son côté passif, son désintérêt total, la violence qd bourré sans coke…
Jusqu’au jour où il a voulu partir d’un coup de chez moi après une petite dispute. (Les disputes sont très sure à gérer pr moi car des que ça commence il ne me parle plus ou me dis je m’en fou je t’aime pas ect ect. J’ai voulu l’empêcher de partir en insistant « tu peux pas me faire ca en pleurs ect » il m’a ensuite poussé alors que je l’ai repoussé (a peine) car c’est inacceptable pr moi venant d’une famille avec une mere battue ou j’ai galère pr qu’elle vire le mec. (Peut être que mon histoire fait que je cherche la violence ?)
il m’a balayé et m’a gardé sur la fenêtre la tête en bas en me disant si tu veux je te balance ect
D’une grande violence.
J’ai ensuite cru en ses paroles, que j’avais attisé la violence ect mais je sais que je ne méritais pas ca
Ensuite il a choisi de repartir sur de bonnes bases en oubliant mais il était resté sur : je ne suis pas violent ne l’est jamais été c’est pas moi.
Rancoeur énorme pr moi
Cuite du nouvel an mon intransigeance ou la réalité fait que) je l’insupporte même sans rien faire sous l’alcool quil boit
Car je ne lui ai rien dis (qd il est bourré je m’adapte prend des pincettes ect)
Je l’ai vu monter en pression seul donc je suis partie dans le lit et ai fait semblant de dormir
Il m’a étranglé j’ai eu peur de mourir m’a jeté au sol ect il a cassé mon téléphone en deux
Le lendemain je n’ai rien dis car direct il m’a dit se souvenir quil a fait un truc pas bien et était mignon et desole (lol j’ai honte)

J’ai pensé qu’il avait vraiment compris car il n’est plus violent physiquement juste verbalement même s’il se tend de façon très expressive lors des disputes ou alors je n’abuse plus comme avant je ne sais pas. Mais mtn il me fait du chantage… je précise qu’il ne bosse pas et vit sur mon argent
Comme il ne parle pas et ne reconnaît pas sa cruauté parfois je me mets dans des états bcp trop poussés « répond moi ptn répond moi »
Il ne me rep pas et me fait peur en disant juste quil va pete un c able
Mais d’un autre côté c’est le meilleur homme du monde
Il est autoritaire
Je crois vraiment que c’est de ma faute car il n’y a eu que deux fois et qu’il me montre bien que je suis la folle dans l’histoire j’y crois
Je pense que je suis devenue toxique à fond.
J’ai besoin qu’on me rassure car je ne suis pas qlq de mauvais et je ne mérite pas ca
Je n’arrive pas à le quitter j’ai honte pr moi pr ma mere ..
Je vais de plus en plus loin dans les mots pr lui faire du mal ou plutôt réagir car il ne me répond pas quand je lui parle je suis méchante
Est ce moi qui l’est rendu comme ça svp

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Meilleure réponse 4 FÉVR. 2025

Bonjour Cocorico,

Je tiens d’abord à vous dire que ce que vous vivez est vraiment lourd, et je sens à quel point cette situation vous bouleverse.

Je veux vous dire une chose importante : vous n’êtes pas responsable de la violence qu’il exerce sur vous, qu’elle soit verbale ou physique. Peu importe les tensions ou conflits dans une relation, personne ne mérite d’être insulté, frappé ou menacé. Ce que vous décrivez (l’étranglement, la fenêtre, les insultes, le chantage) est grave, et ce n’est pas votre faute.

Je sens que vous portez beaucoup de culpabilité, et c’est souvent ce que l’on ressent dans ce genre de situation. Vous mentionnez des frustrations ou de l’intransigeance de votre part, mais cela ne justifie jamais la violence de l’autre. Ce n’est pas vous qui l’avez "rendu comme ça". Ses comportements lui appartiennent et relèvent de ses propres responsabilités.

Vous décrivez aussi une dynamique qui ressemble à une emprise : ses excuses, son affection temporaire, suivis de nouveaux épisodes de violences ou de comportements toxiques (chantage, silence, contrôle). Cela peut semer la confusion et vous amener à douter de vous, mais je tiens à vous rassurer : vous n’êtes pas folle, vous êtes simplement dans une situation qui vous pousse à bout.

Je vous encourage de tout cœur à chercher du soutien extérieur, que ce soit auprès d’un proche de confiance, d’une association ou d’un professionnel. Vous méritez d’être écoutée et aidée, dans un cadre où vous pouvez vous sentir en sécurité. Ce serait une démarche courageuse, qui pourrait vous aider à retrouver de la clarté et à reconstruire votre estime de vous-même.

Sachez que vous n’êtes pas seule. Ce que vous traversez est difficile, mais vous méritez mieux.

Prenez soin de vous,

Camille

Camille Guerfi Psy sur Biarritz

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AUJOURD'HUI, 6 FÉVR. 2025

Bonjour,

Non seulement il vit à vos crochets comme vous dites, mais en plus, il vous brutalise et vous culpabilise. Ne pensez-vous pas qu’il est grand temps de fuir cette relation et de le mettre à la porte de chez vous ? Il ne semble avec vous que par intérêt et non pas amour. Pourquoi vous infligez-vous cela ? Ne pensez-vous pas que vous méritez bien mieux ? Faites ce premier pas pour vous libérer, vous verrez que vous serez ensuite bien plus apaisée une fois seule.

Je reste à votre disposition et à votre écoute.

Pour plus de détails, contactez-moi.
N’hésitez pas à vous faire une idée du sérieux de ma méthode en consultant les avis sur ma fiche.

Christophe
-------------------------------------------------
Thérapeute de couple - Sexothérapeute
* Rendez-vous en ligne uniquement

Christophe Nieaux Psy sur Melun

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AUJOURD'HUI, 6 FÉVR. 2025

Bonjour,

Le problème vient de lui et non de vous.
Il est dépendant de l'alcool et de la drogue et vous êtes résolument dans le déni.
L'alcool et la drogue le rendent mauvais et violent.
De plus il vit à vos crochets.
Vous n'avez rien à gagner à rester avec lui, sauf qu'il vous culpabilise.
Vous n'avez pas à avoir honte. Vous vous détruisez.
Je reste personnellement à votre disposition, sachant que ma première séance d'une heure en visio est entièrement gratuite et sans engagement. Vous pouvez librement prendre un rendez vous sur mon agenda en ligne.

Bon courage à vous

Michel le BAUT
Psychopraticien
Thérapeute Jungien
Analyse de rêves

Michel Le Baut Psy sur Marseille

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AUJOURD'HUI, 6 FÉVR. 2025

Bonjour Cocorico,

La coke et l'alcool ne rendent pas la relation claire et simple. Vous ne l'avez pas rendu comme ça! Bien sûr que non. Il doit régler ses addictions qui le rendent violent. Par contre, vous avez le choix de ne pas supporter ou attiser son état en le quittant. En travaillant sur vous pour ne plus accepter la violence, l'alcool et la drogue chez un homme. Je ne crois pas au changement s'il ne s'accompagne pas d'un travail profond sur soi. Je vous propose une psychothérapie analytique si vous voulez aller mieux.

Anne Fierry Vérité Psy sur Bellebat

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HIER, 5 FÉVR. 2025

Bonjour Madame,

Je compatis pour le déchirement que vous exprimez entre vos sentiments amoureux, votre attachement et la réalité dramatique régulière.

Vous comprenez que ce n'est pas vraiment lui et pas vraiment vous dans les déchaînements de violences verbales et physiques :

l'alcool et la cocaïne désinhibent ses traumatismes de victime de dévalorisation, humiliations, violences subies dans son enfance, c'est fort probable... à vérifier.

et vous, même si vous parvenez à distinguer cette part de lui en grande souffrance, vous subissez quand même et cela réactualise votre mémoire de victime de voir sa mère victime de violences conjugales, comme un scénario qui se reproduit... comme elle, vous vous êtes retrouvée en grand danger, et vous n'arrivez pas à le quitter parce votre Inconscient vous maintient dans ce qu'Il connaît, c'est ainsi, c'est la puissance de l'Inconscient, comme un aimant qui attire la limaille de fer.

Votre relation est la réunion de 2 enfances traumatisées comme 2 pièces d'un puzzle, et vos Inconscients ont respectivement développé la défensive l'un envers l'autre mais en vérité, c'est envers les personnes du passé que cela est destiné... l'Inconscient ne connaît pas le passé, seulement la souffrance qui se réactive dans votre vie présente. Et vous devenez victime l'un de l'autre.

Il est utile de savoir que le temps aggrave les blessures du passés et s'ajoutent cette du présent, ce qui vous permet de comprendre la difficulté de se libérer de cette situation : vous avez besoin d'aide adapté au profil dit "complexe", c'est-à-dire, avec des traumatismes répétés pendant la l'enfance et l'adolescence.

Mon protocole permet cette libération puisqu'il inclut la désensibilisation des états de chocs, les peurs, le réflexe de relativiser les paroles et agissements du conjoint, de vous qualifier de "mauvaise" etc ; de votre vie présente puis de l'enfant que vous avez été, ainsi de toutes les "cognitions négatives" sur vous-même, le couple, l'amour etc

Mon accompagnement permet aussi de se libérer des blocages à se protéger, à prendre une décision, à provoquer le changement que vous voulez.

Vous pouvez m'appeler pour compléter votre information sur mon accompagnement. Je vous souhaite de trouver la meilleure aide pour vous.
Je vous remercie pour votre attention. Très sincèrement, Thérèse Badonnel Ferry - Relation d'aide et psycho-énergétique pour se libérer de traumatismes présents et de l'enfance et de leurs conséquences

Thérèse Badonnel Ferry Psy sur Verneuil-sur-Seine

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HIER, 5 FÉVR. 2025

Bonjour Cocorico
Je vais confirmer ce que mes confrères et consœurs ont écrit: Vous n'êtes pas responsable des comportements de violence que vous subissez. Chacun est responsable de ses actes. L'alcool et l'addiction à la coke ne sont pas des circonstances atténuantes mais aggravantes.
Les personnes addictes sont malades et doivent se soigner. Ils ne sont pas coupables d'être malades mais ils sont responsables de se soigner.
Vous ne pourrez pas le faire "réagir" pour qu'il se rende compte de ce qu'il fait. La seule chose qui l'intéresse, c'est le produit.
Vous ne pourrez pas le soigner seule. s'il avait un cancer, vous ne chercheriez pas à le guérir. Vous lui diriez d'aller chez le médecin. Ici, c'est pareil. Tant que vous restez dans cette relation destructrice, vous lui permettez de continuer car il ne vit jamais les conséquences de ses actes (c'est qu'on appelle la co-dépendance).
Si vous voulez pouvoir être là pour lui, Il va d'abord falloir vous protéger vous pour être en état de le faire.
Faites vous aider par des professionnels. Vous pouvez vous adresser à un csapa dans votre région où les soins sont gratuits ou en service d'addictologie à l'hôpital où ils reçoivent aussi les familles. Il existe aussi des groupes comme les alcooliques anonymes pour les familles. Vous pouvez aussi contacter un psy spécialiste des addictions.
En ce qui concerne les violences que vous subissez, vous pouvez aussi porter plainte et vous adresser à une association qui aide les femmes victimes de violences conjugales.
Surtout, prenez soin de vous, protégez-vous
Nathalie Goursolas Bogren
Analyste transactionnelle certifiée
DU en addictologie générale

Nathalie Goursolas Bogren Psy sur Sallanches

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HIER, 5 FÉVR. 2025

Bonjour,

D’abord, je veux que vous sachiez que vous n’êtes pas seule et que ce que vous traversez est extrêmement difficile. Il est normal de se sentir perdue et d’avoir besoin de poser ces questions, mais j’aimerais vous apporter un regard bienveillant et extérieur sur la situation.

Vous vous demandez si vous êtes responsable de la violence que vous subissez. La réponse est non. Personne ne « pousse » un partenaire à être violent. La violence, qu’elle soit verbale, physique ou psychologique, est un choix que l’autre fait, et jamais une réaction « forcée » par l’attitude de son partenaire.

Ce que vous décrivez – les insultes, la violence physique, la manipulation, le chantage, le fait qu’il rejette la faute sur vous – sont des signes très clairs d’une relation toxique et dangereuse. L’alcool et la consommation de drogues peuvent amplifier ces comportements, mais ils ne les justifient jamais.

Vous semblez aussi ressentir beaucoup de culpabilité, ce qui est fréquent dans les relations où il y a de la violence. Mais la réalité, c’est que la personne qui lève la main ou qui insulte est toujours responsable de ses actes. Peu importe votre façon d’être dans la relation, personne ne mérite d’être maltraité.

Le fait que vous ayez grandi dans un contexte où il y avait déjà de la violence peut aussi jouer un rôle : parfois, on accepte des choses qui nous paraissent « normales » alors qu’elles ne devraient jamais l’être. Mais ce que vous vivez ne devrait pas être un quotidien acceptable.

Votre instinct vous dit que quelque chose ne va pas, et il a raison. Il y a une part de vous qui sait que vous méritez mieux, qui sait que ce que vous vivez n’est pas de l’amour sain. L’amour, c’est du respect, de la bienveillance, du soutien mutuel. Pas de la peur, des insultes et du chantage.

Je sais que ce n’est pas simple de partir, et je ne vous dirai pas quoi faire, car c’est un chemin personnel. Mais je veux juste que vous sachiez qu’il y a des ressources, des personnes qui peuvent vous aider, qui peuvent vous écouter sans jugement. Vous avez le droit de vous protéger, de vous reconstruire, de retrouver votre estime de vous-même.

Vous n’êtes ni folle, ni mauvaise, ni responsable de la violence que vous subissez. Et surtout, vous n’êtes pas seule.

Si vous ressentez le besoin d’en parler plus en profondeur, sachez que vous pouvez me contacter. Je serais ravie de vous accompagner dans ce cheminement avec bienveillance et sans aucun jugement.

Prenez soin de vous.

D. Bailly

Delphine Bailly Psy sur Clermont

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4 FÉVR. 2025

Bonjour.
Pour répondre très vite à votre première question, non, vous n'êtes aucunement responsable des violences commises sur vous par votre conjoint. AUCUN comportement ne justifie des violences. Vous vous demandez également si votre histoire ne fait pas que vous cherchez la violence : je n'ai jamais entendu parler d'une situation où une victime de violence la recherchait, mais surtout vous dites dans votre message à quel point ça vous fait souffrir, comment imaginer qu'à quelque moment que ce soit que vous le recherchez?
Il affirme ne pas être violent, mais incontestablement il l'a été, dont une fois avec une menace de meurtre, une autre fois (où vous vous étiez en plus éloignée par anticipation pour vous protéger!) où vous avez craint pour votre vie. Cela sans compter qu'il vous fait peur (ce qui ne devrait pas être possible s'il n'était pas violent), et les insultes, fréquentes, qui sont des violences verbales et psychologiques.
Vous décrivez des comportements de votre part que vous regrettez parce que vous êtes à bout. D'une part, si vous êtes à bout, c'est aussi déclenché par des comportements venant de lui, et d'autre part, quand bien même ces comportements seraient disproportionnés et pénibles pour lui, ils ne justifient en aucun cas des violences. Il y a une infinité d'autres façons de poser des limites.
Vous n'êtes pas quelqu'un de mauvais, vous ne méritez certainement pas ça, et vous n'êtes à aucun moment la folle dans l'histoire, sinon peut-être à certains moments du fait qu'il vous pousse à bout, mais c'est une réaction parfaitement normale (qui, pour autant, ne vous rend pas violente!).
Vous vous demandez beaucoup si vous l'avez rendu comme ça (je le dis à nouveau, la réponse est non), et d'un autre côté vous vous faites beaucoup de reproches sans vous demander dans quelle mesure lui vous a rendue comme ça.
Je vous souhaite de pouvoir vous protéger, de pouvoir retrouver une paix intérieure, et de pouvoir réparer votre estime de vous qui a été tellement mise à mal par toutes ces violences.
Grégoire Taconet
Psychopraticien en Approche Centrée sur la Personne
Consultations en cabinet à Lyon, ou en visio

Grégoire Taconet Psy sur Lyon

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4 FÉVR. 2025

Bonjour Cocorico,

tout d'abord vous êtes très courageuse de partager votre histoire ici, ce sont des souvenirs qui sont certainement très difficile à rappeler à votre mémoire.

Vous êtes victime de violence conjugale, qu'il s'en souvienne ou non, une violence reste un fait et laisse donc des traces psychiques et/ou physique. C'est un cercle vicieux car les victimes de ce type de violence se remettent elles-mêmes en question en se disant que c'est elles qui provoquent la violence, que finalement c'est peut être pas si pire, le reste du temps il est gentil. l'autorité n'est pas une preuve de gentillesse.

Se demander si ce que vous vivez est normal ou réel est déjà le signe que quelque chose en vous tire la sonnette d'alarme, et vous avez raison de l'écouter.

N'hésitez pas à vous confier auprès de vos proches, de personnes de confiance, vous pouvez également contacter le 3919 qui est le numéro de contre les violences conjugales ou vous pourrez y trouver une écoute attentive et bienveillante.

Prenez soin de vous, vous n'êtes pas seule et nous sommes beaucoup à vous croire.

Lisa PITTON DJEBBARI
Cabinet de Psychothérapie Analytique

Lisa Pitton Psy sur Avignon

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4 FÉVR. 2025

Bonjour Cocorico,

Tout d'abord, il est essentiel de vous rappeler que vous n'êtes en aucun cas responsable de la violence verbale, physique et émotionnelle que vous subissez. Personne ne mérite de vivre dans un environnement où elle se sent dévalorisée ou menacée, quelle que soit la situation. Les comportements violents, même sous l’emprise de l’alcool ou d’autres substances, ne sont jamais justifiables.

Il est naturel de se poser des questions sur son rôle dans la relation, mais il est crucial de ne pas oublier que la violence reste toujours de la responsabilité de la personne qui l’inflige. En vous culpabilisant, vous risquez de perdre de vue vos droits à être respectée et en sécurité.

Il est très important de penser à votre sécurité émotionnelle et physique. Ces violences peuvent avoir un impact profond sur votre bien-être, et il est essentiel de vous entourer de personnes qui vous soutiendront dans ce processus. Vous méritez d’être dans une relation respectueuse et saine, et il n’est jamais trop tard pour prendre soin de vous.

N'ayez pas honte de chercher de l'aide, qu’il s’agisse de professionnels ou de proches en qui vous avez confiance. Vous avez le droit de mettre fin à cette situation intenable, de vous protéger et de reconstruire votre estime de vous-même. Vous n'êtes pas responsable de la violence subie, et il est crucial de vous libérer de ce cycle.

Je vous propose soit des séances d'hypnose pour revisiter vos schémas quotidiens d'acceptation de la violence, soit une thérapie plus classique, en face à face, pour vous permettre de verbaliser et d'approfondir votre compréhension de la situation et la gestion de vos émotions et peut-être pour commencer vous donner du courage dans cette situation critique.
N'hésitez pas à me contacter (séances en visio ou à Paris 13ème).

Emmanuelle BRUN BARRIQUAULT Psy sur Paris

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4 FÉVR. 2025

Bonjour Cocorico
Votre situation est difficile et vous êtes très courageuse ; votre conjoint est manifestement dépendant à l'alcool , ce qui provoque des violences verbales et même physiques à votre encontre. Il faut vous mettre en sécurité avant tout si la situation devient dangereuse pour vous. Il faudrait qu'il fasse une thérapie personnelle pour son addiction ; à condition qu'il soit motivé bien entendu sinon cela ne fonctionnera pas. De votre côté, il faudra aussi voir un professionnel pour travailler sur votre confiance en vous et vous aider à trouver les ressources internes pour trouver une solution à cette situation de couple.
Pensez à vous et à votre bien être avant toute chose , c'est important.
Bon courage à vous
Sabine Miesmacker
Hypnothérapeute

Sabine Miesmacker Psy sur Le Chesnay

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4 FÉVR. 2025

Bonjour Cocorico,
Si votre compagnon boit tous les jours et prend régulièrement des cuites, alors oui il est alcoolique. Il semble de plus être addict à la cocaïne. Dans les relations intimes avec une personne souffrant d'addictions, l'autre est en codépendance. Vous n'êtes pas toxique, c'est votre relation qui est toxique. Vous êtes tous les deux une bonne partie de votre temps dans les jeux psychologiques où vous occupez alternativement les rôles du fameux trangles dramatiques qui sont le Sauveur, le Persécuteur et la Victime. Apparemment ce conjoint est violent (Persécuteur), et pour le sauver, vous vous dites que c'est vous qui n'êtes pas OK (Victime). Je vous conseille de tenter soit une thérapie de couple pour mettre à jour en conscience tous les jeux psychologiques qui émaillent votre relation afin de les diminuer puis de les stopper, soit une thérapie individuelle pour chacun d'entre vous, lui pour son problème d'addiction, et vous pour votre codépendance.
A votre éventuelle disposition en présentiel ou en visio.
Bon courage à vous!
Frédéric DUQUEROIS
Psychopraticien en Analyse Transactionnelle
Adultes et Couples, en Individuel et en Groupe
Nantes

Frédéric Duquerois Psy sur Nantes

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