A l'approche des fêtes de fin d'année j'éprouve de plus en plus le besoin de fuir la réalité. Me déconnecter de ma vie au quotidien.
J'éprouve cela a chaque fin d'année, et honnêtement c'est souvent le moment où je suis le plus susceptible de faire quelque chose que je peux regretter.
J'ai envie de me faire mal physiquement je ne sais pas comment juste pour ressentir quelque chose que je suis en mesure de comprendre.
J'ai aussi envie de prendre plein de médicament juste pour aller dans un état d'inconscience ou je n'ai pas besoin de me sentir oppressée par ma vie.
Pourtant je veux résister a tout cela mais je ne sais pas comment faire.
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21 DÉC. 2024
· Cette réponse a été utile à 6 personnes
Bonjour,
Un état dépressif accentué par les fêtes de fin d'année, ce n'est pas rare...
Vous dites : "pour ressentir quelque chose que je suis en mesure de comprendre"
Il serait donc intéressant de traiter cette compréhension intellectuelle et d'aller aux souvenirs associés...
Je vous encourage à consulter un(e) avec une approche psychocorporelle (voir mon profil) pour traiter avec des techniques spécifiques tout ce qui doit l'être en révisitant votre enfance.
Restant à votre disposition si vous êtes de ma région.
28 DÉC. 2024
· Cette réponse a été utile à 0 personnes
Bonjour,
Vous avez besoin de parler de ce qui vous crée cette détresse et l’envie de fuir la réalité de votre vie à l’approche des fêtes.
Sachez aussi qu’il est dans votre pouvoir de changer ce qui vous gêne dans cette réalité qui vous déçoit.
Et puis… si votre quotidien vous fait mal… pourquoi ne pas vous accorder la permission de ressentir la tristesse ?!
Pourquoi avez vous besoin de ressentir de la douleur en plus de ce sentiment désagréable qui accompagne votre vie ces jours ci ?!
Qu’est ce qui vous oppresse autant ?
N’hésitez pas à vous offrir une thérapie qui peut vous aider à changer la vision négative que vous avez sur votre vie actuelle, et au final la rendre aussi plus agréable.
Je vous souhaite d’arriver à vous faire du bien…, et pas du mal.
sp
26 DÉC. 2024
· Cette réponse a été utile à 0 personnes
Bonjour,
Ce que vous décrivez est profond et difficile, mais le fait que vous exprimiez ce besoin de résister montre une force et une volonté précieuses.
Cette période peut être particulièrement difficile pour beaucoup de personnes, car elle amène souvent à faire un bilan ou à ressentir une pression sociale autour de la joie et du bonheur. Ce que vous ressentez, ce besoin de fuir ou de vous déconnecter, est compréhensible dans ce contexte.
Vous mentionnez vouloir ressentir quelque chose de tangible pour pallier ce que vous vivez intérieurement. Cela reflète peut-être un besoin de redonner du sens ou de la clarté à vos émotions, même si elles sont douloureuses.
Votre volonté de ne pas céder à ces impulsions est un point très positif. Cela montre que vous êtes consciente de vos besoins et que vous cherchez des moyens plus sains pour gérer ces moments difficiles. Si l’envie de vous faire du mal reflète un besoin d’extérioriser votre souffrance, essayez d’explorer des alternatives comme :
- Écrire vos pensées dans un journal ou sur des feuilles que vous pouvez ensuite déchirer.
- Utiliser l’art pour exprimer ce que vous ressentez, par exemple en dessinant ou peignant.
- Pratiquer une activité physique intense pour canaliser cette énergie de manière constructive.
Lorsque vous ressentez cette envie de fuir ou de vous faire du mal, essayez de mettre en place un rituel pour vous reconnecter à vous-même, comme prendre une douche chaude, écouter une musique apaisante ou vous envelopper dans une couverture devant un bon film. Ce sont des petits gestes qui peuvent apporter un apaisement temporaire.
Si vous n’êtes pas déjà accompagnée par un professionnel, envisager de consulter un(e) thérapeute pourrait vous offrir un espace où parler librement de ce que vous traversez. En cas d’urgence, n’hésitez pas à solliciter une ligne d’écoute ou de soutien, qui peut vous accompagner dans les moments de crise.
Si vous vous sentez tentée de prendre des médicaments ou de vous faire du mal, essayez de vous éloigner des éléments qui faciliteraient ces actes (par exemple, confiez vos médicaments à une personne de confiance).
Ce que vous vivez est difficile, mais votre désir de résister montre que vous avez les ressources en vous pour aller de l’avant. Ce serait un bon moment pour chercher du soutien, que ce soit auprès de vos proches ou d’un professionnel, pour trouver des stratégies qui vous correspondent et vous apportent de la sérénité.
Vous n’êtes pas seule dans ce cheminement, et des solutions existent pour vous aider à traverser cette période. Je vous souhaite beaucoup de courage et reste à votre disposition si vous souhaitez en discuter davantage.
Betty
Psychothérapeute (Psychothérapie, Thérapie Cognitive et Comportementale et Art-thérapie)
Suivis EN LIGNE
www.therapeute-art-therapie.fr
22 DÉC. 2024
· Cette réponse a été utile à 2 personnes
Bonjour,
ce que vous ressentez à l'approche des fêtes de fin d'année semble être une réponse profonde à des émotions et à une pression intérieure qui, peut-être, remontent de manière plus forte en cette période particulière. Le désir de fuir la réalité, de se déconnecter ou de chercher à ressentir quelque chose de plus tangible peut être une manière inconsciente de faire face à une souffrance ou à un vide intérieur.
En psychanalyse jungienne, nous considérons souvent ces moments de souffrance intense comme des appels de l'inconscient, qui cherche à attirer l'attention sur des conflits internes non résolus. Le fait de vouloir se faire mal physiquement ou de se rendre inconscient par les médicaments peut être vu comme une tentative de couper court à des émotions trop difficiles à supporter, de fuir une douleur psychique qui semble insupportable. Ces comportements peuvent être des moyens de gérer une souffrance émotionnelle ou existentielle que vous ressentez, mais ils ne font qu’amplifier le malaise à long terme.
Il est important de comprendre que ces désirs de fuite ne sont pas nécessairement une faiblesse, mais plutôt une réponse à un besoin non exprimé, à un appel à l'aide qui mérite d'être écouté et compris. Ce que vous ressentez peut être lié à des attentes, des pressions ou des blessures profondes qui remontent à des périodes antérieures de votre vie. Peut-être que cette période de l'année, symboliquement, réveille des souvenirs ou des émotions liées à des pertes, des regrets ou des déceptions.
Ce que vous traversez peut aussi être le reflet d’un conflit entre votre monde intérieur et la manière dont vous vous sentez dans le monde extérieur. Il peut être utile de prendre un moment pour explorer ces émotions et d’essayer de comprendre ce qui, précisément, vous pousse à vouloir fuir ou à ressentir cette souffrance. Parfois, un accompagnement thérapeutique peut permettre de mettre en lumière ces mécanismes inconscients et de les traiter d'une manière plus constructive, en vous aidant à intégrer ces émotions sans avoir besoin de recourir à des comportements destructeurs.
Je vous encourage à ne pas ignorer ce malaise, mais plutôt à l’explorer avec bienveillance, afin de mieux comprendre ce qui vous pousse à vouloir vous échapper. Résister à ces impulsions est déjà un premier pas vers la guérison, et il est important de trouver des moyens plus sains de vous reconnecter à vous-même et à vos émotions, sans avoir à les fuir.
Il est essentiel de reconnaître que ces émotions sont un appel de votre inconscient, un besoin d’être entendu et compris.
Vous n'êtes pas seul dans cette souffrance, et il existe des ressources pour vous soutenir. En France, vous pouvez contacter le 3114, la ligne d'écoute contre le suicide, ou consulter des professionnels de la santé pour un accompagnement thérapeutique.
Prendre du recul et comprendre ce qui se cache derrière ces impulsions est un premier pas vers la guérison. Un accompagnement peut vous aider à explorer ces émotions et à trouver des moyens plus sains de faire face à ce que vous ressentez.
N’hésitez pas à chercher du soutien, que ce soit auprès d’un professionnel ou d’une ligne d’écoute, pour traverser cette période difficile. Vous méritez de vous sentir écouté et soutenu.
Je vous souhaite de trouver l’écoute qui vous conviendra.
Juliana Kraiem
Psychanalyste jungienne et analyste de rêves
Envor Analyse
22 DÉC. 2024
· Cette réponse a été utile à 0 personnes
Bonjour,
Votre message reflète une profonde souffrance et une grande détresse, particulièrement exacerbée à l’approche des fêtes de fin d’année. Vous exprimez à la fois un besoin de fuir et une volonté de résister, ce qui témoigne d’une lutte intérieure intense.
Les fêtes de fin d’année sont souvent une période chargée d’attentes sociales, de bilans personnels, et parfois de solitude ou de souvenirs douloureux. Ces moments peuvent mettre en lumière des manques ou des conflits intérieurs, ce qui pourrait expliquer votre envie de fuite. Cette répétition annuelle indique qu’il y a quelque chose en vous qui demande à être entendu et compris.
L’envie de vous faire mal physiquement ou de vous mettre dans un état d’inconscience peut être une tentative de reprendre un certain contrôle face à des émotions difficiles ou à une sensation de vide intérieur. C’est comme si votre esprit cherchait à exprimer, par des moyens extrêmes, une douleur que vous n’arrivez pas à verbaliser.
Votre volonté de ne pas céder montre une grande force en vous. Cette lutte pour rester connectée à la réalité est essentielle. Ce désir de résister peut devenir un point d’appui pour explorer ce que vous ressentez sans vous faire de mal.
Quelques pistes pour avancer :
1. Exprimez ce que vous ressentez : Vous pourriez tenir un journal ou parler à une personne de confiance. L’idée est de donner une forme à votre souffrance, pour qu’elle ne reste pas piégée à l’intérieur.
2. Cherchez un soutien professionnel : Un thérapeute pourrait vous aider à explorer l’origine de ces envies et à trouver des moyens d’y répondre différemment. Un travail en profondeur, comme en psychologie analytique, (psychanalyse Jungienne) pourrait éclairer les racines de ce mal-être.
3. Pratiquez des ancrages corporels : Essayez des activités qui mobilisent votre corps de manière apaisante, comme la marche, la danse, ou le yoga, pour vous reconnecter à des sensations physiques sans danger.
Sachez que cette souffrance n’est pas une fatalité. Vous avez déjà la force de vouloir résister, et avec le bon accompagnement, vous pourrez transformer cette lutte en une voie vers la guérison.
22 DÉC. 2024
· Cette réponse a été utile à 0 personnes
Bonjour,
Je suis touchée par ce que vous partagez. Je suis désolée de lire à quel point cette période de l'année est difficile pour vous, et je tiens à saluer le courage qu’il faut pour mettre des mots sur ce que vous vivez.
Vous mentionnez votre envie de résister à ces pensées difficiles, ce qui est une force précieuse. Pour vous aider à traverser cette période avec un peu plus de douceur, vous pouvez créer vos propres rituels. Le fait de structurer vos journées, avoir une petite liste de choses simples à faire peut aider à garder un rythme et un sentiment de contrôle. Vous pouvez choisir des activités qui vous permettent de vous recentrer, des petites choses qui vous font du bien (comme regarder un film que vous aimez, un album de musique qui vous apaise,…). Entourez-vous de personnes de confiance. Si vous avez des ami.es ou des proches avec qui vous vous sentez à l’aise, n’hésitez pas à leur partager ce que vous ressentez.
Mais surtout, n’attendez pas pour demander de l’aide. Vous pouvez appeler le 3114, une ligne d’écoute pour les personnes en détresse et/ou qui ont des pensées suicidaires. Vous pouvez aussi contacter SOS Amitié, afin de parler à des personnes qui sont là pour vous écouter sans jugement. Ces écoutes sont gratuites et disponibles 24h/24, 7j/7.
N’hésitez pas à consulter un professionnel de santé mentale pour vous accompagner dans cette période délicate.
Prenez soin de vous, vous méritez d’être entendu.e et soutenu.e.
Julie Bourgon Kozak
Psychologue TCC en téléconsultation
22 DÉC. 2024
· Cette réponse a été utile à 1 personnes
Bonjour,
Je suis vraiment désolé d'apprendre que vous ressentez cela, surtout à une période censée être joyeuse. Il est normal de vouloir fuir des sentiments difficiles, mais il est crucial de trouver des moyens plus sûrs et plus sains de gérer ces émotions.
Parler à quelqu'un de confiance, qu'il s'agisse d'un ami proche, d'un membre de la famille ou d'un professionnel de la santé mentale, peut être très bénéfique. Ils peuvent vous offrir un soutien émotionnel et des conseils adaptés à votre situation.
Il est également utile de pratiquer des activités qui vous apaisent et vous détendent. Que ce soit une promenade, la lecture, ou toute autre chose qui vous apporte du réconfort. Essayer de se concentrer sur des pensées positives et sur les aspects de votre vie qui vous apportent de la joie peut également aider à contrer les sentiments négatifs. si cela persiste, comme le propose mes collègue, une thérapie serait peut être envisageable!
Si vous vous sentez vraiment dépassé, n'hésitez pas à chercher de l'aide immédiatement.
Vous avez de la valeur, et il est important de prendre soin de vous.
21 DÉC. 2024
· Cette réponse a été utile à 0 personnes
Bonjour,
Je ressens beaucoup de courage dans votre message, celui de mettre des mots sur une souffrance si intense. Ce que vous vivez est difficile, et c’est normal d’avoir envie de fuir ou de trouver un moyen d’apaiser cette douleur.
En Gestalt, on cherche à être en contact avec ce qui est là, dans l’instant. Alors, je vous propose de prendre une pause, là, maintenant. Fermez les yeux quelques secondes et respirez profondément. Comment vous sentez-vous physiquement ?
Y a-t-il une sensation, même petite, qui ne vous oppresse pas ? Peut-être la chaleur d’un vêtement, ou juste le fait d’être assis·e.
Ce besoin de fuir ou de ressentir autre chose vient souvent d’une surcharge. Vous n’avez pas à porter tout cela seul·e. Parler à quelqu’un de confiance, qu’il s’agisse d’un proche ou d’un professionnel, peut vous aider à décharger un peu ce poids.
Vous avez envie de résister, et c’est déjà une force immense. Peut-être pouvez-vous trouver un geste simple, ici et maintenant, pour vous reconnecter à vous-même : boire un verre d’eau, tenir un objet doux dans vos mains, ou juste sentir l’air qui entre et sort de vos poumons.
Si vous ressentez l’envie de vous faire mal, essayez de transformer cette impulsion en quelque chose de moins nocif :
- Tenez un glaçon dans votre main jusqu’à ce qu’il fonde. Cela crée une sensation intense sans danger.
- Écrivez tout ce qui vous traverse l’esprit, sans filtre, pour « vider » ce poids intérieur.
- Respirez profondément en vous concentrant sur l’inspiration et l’expiration, ou bougez votre corps (marchez rapidement, sautez sur place) pour libérer de l’énergie.
Vous n’êtes pas seul·e, même si tout semble lourd. Je suis là, et d’autres aussi, prêts à vous accompagner.
Une chose à la fois, un pas après l’autre. Vous êtes importante, et votre bien-être compte.
Vous n’êtes pas obligée de traverser cela seul·e. Si vous avez un proche en qui vous avez confiance, partagez ce que vous ressentez. Si c’est trop difficile, envisagez de parler à un professionnel de santé, un thérapeute ou même de contacter une ligne d’écoute (comme SOS Amitié ou le 3114 en France). Ces personnes sont là pour vous écouter sans jugement.
21 DÉC. 2024
· Cette réponse a été utile à 0 personnes
Bonjour,
Les fêtes de fin d'année sont souvent une épreuve psychologique, cela réveil des souvenirs, des manques...
Il ne faut pas vous isoler, même si parfois prendre un moment pour soi est légitime.
Vous semblez beaucoup souffrir, il serai bien de demander de l'aide auprès d'un thérapeute, afin de vous comprendre sur ce qui vous alimente cet état.
La compréhension permet "d'avancer" et de trouver du réconfort.
Vous "faire mal" ne vous donnera pas de réponse, mais parler avec un professionnel peut vous permettre de soulager la douleur morale. J'aimerai pouvoir discuter avec vous et vous apporter des outils...
Je reste disponible en distanciel si géographiquement vous êtes éloigné.
Recherchez de l'aide et ne restez pas seul, c'est le bon moment pour le faire, puisque vous êtes ici, ayez confiance en vous.
Belle soirée Mélina
21 DÉC. 2024
· Cette réponse a été utile à 0 personnes
Bonjour,
Que se passe t il pour vous sur "les fins d'années"? A quoi cela fait il écho en vous ?
Est ce que le fait de chercher à vous faire vivre quelque chose que vous comprenez, vous permet de fuir ce que vous ne comprenez pas en vous?
Cette période de l'année entraine chez bon nombre un état dépressif, ne serait ce pas la pour vous l'opportunité d'aller voir ce qu'il se joue en vous?
Vous avez passé un premier cap en n parlant ici et vous pouvez en etre fier!
Je reste à votre écoute si vous en ressentez le besoin.
Prenez soin de vous.
Je vous souhaite un bel épanouissement personnel.
21 DÉC. 2024
· Cette réponse a été utile à 0 personnes
Bonjour,
Je vous remercie pour votre sollicitation.
L’approche des fêtes est une période en effet compliquée qui peut être anxiogène pour beaucoup.
Y a t il eu un événement marquant pour vous associé à cette période ?
Avez-vous pensé à l’hypnose ? L’hypnose peut vous aider à mieux appréhender cette fin d’année, à vous libérer de ce mal-être, de cette sensation d’oppression, de ce qui inconsciemment vous pousse à vous faire du mal afin de retrouver votre bien-être et hivre plus sereinement cette période.
Je me tiens à votre disposition pour toutes questions, et vous expliquer le déroulement des séances. Je consulte en visio via Watsapp et en cabinet sur le Grand Genève. Je vous souhaite une belle fin de journée.
Cordialement
Mme Claude Gaudard
Hypnothérapeute certifiée maitre praticienne www.hypnose-consultations.com
21 DÉC. 2024
· Cette réponse a été utile à 0 personnes
Bonjour
Les fêtes de fin d'année semblent exacerber votre sentiment de solitude, peut-être de vide.
Ce serait bien d'en parler à un professionnel de la santé mentale pour comprendre ce qu'il se cache derrière cela.
Il ne faut pas fuir mais prendre le taureau par les cornes.
Je reste personnellement à votre disposition, sachant que ma première séance d'une heure en visio est entièrement gratuite et sans engagement. Vous pouvez librement prendre un rendez vous sur mon agenda en ligne.
Bon courage à vous
Michel le BAUT
Psychopraticien
Thérapeute Jungien
Analyse de rêves
21 DÉC. 2024
· Cette réponse a été utile à 0 personnes
Bonjour Leocad. Vous décrivez un état suicidaire, lié à des pensées de passage à l'acte. Il ne faut pas prendre cela à la légère. Les fêtes de fin d'année peuvent réveiller beaucoup d'angoisses et remises en question : pression sociale de bien paraitre, nouvelle année et nouveaux enjeux, bilans... Ces pensées dénotent un profond mal-être : vous ne vous sentez pas bien dans votre vie, et peut-être que vois choix ne sont pas alignés avec ce que vous désirez profondément. Je vous invite vivement à consulter. Prenez soin de vous. Zoé Deleau
21 DÉC. 2024
· Cette réponse a été utile à 0 personnes
Bonjour,
Les dépressions de fin d’année sont courantes et principalement dues à la courte durée des journées et à la faible présence du soleil. Je vous invite si vous en ressentez le besoin de vous faire accompagner par un professionnel qui saura vous aider dans ces périodes difficiles.
Je reste à votre disposition et à votre écoute.
Pour plus de détails, contactez-moi.
N’hésitez pas à vous faire une idée du sérieux de ma méthode en consultant les avis sur ma fiche.
Christophe
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Thérapeute de couple - Sexothérapeute
* Rendez-vous en ligne uniquement
21 DÉC. 2024
· Cette réponse a été utile à 0 personnes
Bonjour,
Bonjour,
Merci pour votre message. Le fait que vous exprimiez ce que vous ressentez est un signe de courage et une première étape importante pour comprendre ce que vous traversez. À l’approche des fêtes, beaucoup de personnes ressentent une intensité émotionnelle particulière, et pour vous, cela semble amplifier un besoin de fuir une réalité qui vous oppresse.
Ce que vous décrivez – cette envie de ressentir quelque chose de tangible, même par la douleur, ou ce désir de s’échapper dans un état d’inconscience – traduit une grande souffrance. Mais je veux insister sur un point essentiel : cette douleur, aussi lourde qu’elle soit en ce moment, n’a pas à être vécue seule. Vous avez le droit de demander du soutien, et il existe des moyens de traverser cela sans vous blesser.
Quelques pistes pour résister et trouver un apaisement :
1. Mettre des mots sur vos émotions :
• Essayez d’écrire ce que vous ressentez sans censure, dans un journal ou même dans une note sur votre téléphone. Parfois, clarifier vos pensées peut réduire leur intensité.
• Posez-vous des questions : Qu’est-ce qui me pèse exactement ? Quels événements ou pensées déclenchent ces envies d’évasion ? Mettre cela en lumière peut vous aider à mieux comprendre ce qui alimente ce besoin de fuite.
2. Créer une distraction positive :
• Trouvez une activité qui capte toute votre attention : marcher, dessiner, cuisiner, écouter une musique apaisante ou même regarder un film. Cela peut aider à détourner votre esprit de ces pensées.
• Respirez profondément en vous concentrant sur l’instant présent, en utilisant des techniques de pleine conscience pour calmer votre esprit.
3. Parler à quelqu’un de confiance :
• Si possible, contactez un ami, un membre de votre famille ou même un professionnel. Parfois, simplement exprimer à voix haute ce que vous ressentez peut alléger une partie du fardeau.
4. Mettre en place un plan de sécurité :
• Rangez ou évitez d’avoir accès aux médicaments ou objets qui pourraient être utilisés pour vous blesser.
• Créez une liste d’activités ou de contacts à appeler en cas d’urgence, que vous pouvez consulter si vous vous sentez dépassé(e).
5. Consulter un professionnel :
• Ces envies de fuir ou de vous faire mal montrent que vous traversez un moment particulièrement difficile. Il serait précieux d’en parler avec un psychologue ou un thérapeute. Vous méritez un espace où vous pouvez explorer ces émotions en profondeur, et un professionnel pourra vous aider à développer des stratégies pour gérer ces périodes.
Votre souffrance n’est pas un échec ou une faiblesse. Elle est le reflet d’une difficulté à laquelle vous faites face en ce moment. Mais il est important de savoir qu’il existe des solutions, des moyens de traverser cela autrement, et que ces émotions intenses peuvent diminuer avec le temps et le soutien adéquat.
N’oubliez pas que si vous ressentez que la situation devient trop difficile, vous pouvez toujours contacter un service d’urgence ou une ligne d’écoute (comme SOS Amitié ou un autre service dans votre région). Vous n’êtes pas seul(e), et il y a des gens prêts à vous aider.
Prenez soin de vous, et sachez que je suis là si vous avez besoin d’en parler davantage.