J'ai du mal à aimer ma belle-fille

Bonjour à vous

Votre témoignage me touche beaucoup. Je comprends que c'est difficile pour vous d'élever une enfant qui n'est pas la votre. En effet, un parent acquiert de la patience en s'occupant de son enfant car l'amour qui les lie est très fort et aide à dépasser la fatigue, la nervosité, etc... Mais là, vous semblez être livrée à vous même pour vous occuper d'elle alors que ça n'est pas ce que vous avez demandé.
Sa fille est elle en garde alternée?
Est -il possible que le papa soit davantage présent lorsque sa fille est chez lui ?
Vous n'êtes pas sa mère et ça n'est pas à vous de l'éduquer. Les rôles doivent être très clairs entre vous deux afin de vous alléger de cette tache et de pouvoir malgré tout passer de bons moments avec cette enfant.
Quant à avoir des enfants vous même, vous verrez que c'est bien différent lorsque c'est un choix conscient et partagé et que c'est votre propre enfant.
Je me tiens à votre disposition pour vous accompagner davantage.

Prenez soin de vous
Hélène CHAMBRIS
Gestalt Thérapie Humaniste Intégrative
Rdv en ligne ou en présentiel à Marseille 8ème

Bonjour Pitchoune,

vous ayant répondu depuis hier plusieurs fois mais mes réponses n'étant pas publiées depuis 48h ou filtrées car trop explicites et sans "hameçonnage", je vous invite à me contacter directement via mon site internet sous mon prénom et mon nom, je peux vous aider sachant que je suis spécialisée en aide à la parentalité entre autre.
Prenez soin de vous.

Bénédicte Escaron
Praticienne en Psychothérapie
Psychanalyste
Thérapeute d'aide à la parentalité

Bonjour Pitchoune,

Je vous avais longuement répondue hier mais ma réponse n'a pas été publiée le matin.

Pour être plus synthétique et vous aider, aimer son propre enfant et l'enfant de l'Autre est très différent.
Votre compagnon vous a demandé d'être comme sa maman ( alors que cette petite fille en a une) et de l'éduquer car visiblement le JAF a ordonné une garde alternée.
Vous n'avez pas encore eu d'expérience en tant que maman et vous êtes jeune. Ne vous mettez pas dans l'esprit que vous n'avez pas l'instinct maternel, vous faites de votre mieux, cela vous en coûte de prendre en charge une enfant qui n'a rien demandé et qui est dans le "package" avec le conjoint, c'est très différent. Il réside quelques part une sorte de "mise devant le fait accompli", aimer une personne, ok c'est accepter ses antériorités mais ce n'est pas non plus devenir une mère de substitution d'autant que votre ami a lui cette responsabilité paternelle, pas vous. Elle a sa mère une semaine sur deux. C'est à lui de faire des concessions en s'impliquant un peu plus et en réorganisant son plannning professsionnel faute de quoi il est délégataire sur vous de son rôle.

Une mise au point est nécessaire, calmement, si vous pensez que cela peut imploser, alors faites le en présence d'une tierce personne en thérapie familiale qui prend le cadre dans sa globalité, ce qu'on appelle la "systémie" mais ne vous persécutez pas avec toutes vos ruminations et vos remises en cause, votre avenir de maman à vous également.
Le rôle de belle mère est toujours délicat dans une famille recomposée et il faut recadrer les places de chacun. Tout simplement.

Je reste à votre écoute en téléconsultation en toute bienveillance et avec grande empathie.
Pensez à vous.

Très chaleureusement.

Bénédicte Escaron
Praticienne en Psychothérapie
Psychanalyste
Thérapeute d'aide à la parentalité.

Bonjour Pitchoune,

le lien d'attachement mère enfant est particulier et unique; vous n'avez pas à vous remettre en question au sujet de votre futur rôle de maman lorsque vous le devriendrz un jour vous aussi.
Ce serait se cacher une part de vérité en disant aimer l'enfant de l'Autre comme le sien.
Vous n'avez pas désiré, porté, accouché de cette petite fille; vous avez connu son père et il faut réellement dissocier l'amour conjugal et les autres variantes de l'amour.
Vous éprouvez de la colère car visiblement il est frustrant mais aussi angoissant de vous voir dans ce lien distendu entre vous et cette petite qui a priori est en garde alternée et dont on vous demande de vous occuper en prenant le relai des deux figures parentales qui sont les siennes.
Je ne sais pas à quel âge vous l'avez connue à cette enfant ni comment elle vous a été présentée mais ce sont des éléments décisifs dans le tissage d'un lien entre elle et vous.
Vous n'êtes pas sa mère, vous avez la chance par ailleurs de vous entendre avec cette dernière, ce n'est pas si fréquent.

Ne vous sentez pas "anormale" en n'éprouvant pas autant d'affection.
Quelque part, on vous a demandé de la "gérer" donc d'endosser le rôle de "seconde maman" alors que vous ne l'avez par ailleurs jamais encore vécue. C'est terriblement délicat et oppressant.
En avez-vous parlé clairement avec le papa ou bien est-ce un sujet à ne pas pleinement aborder?
Et lui, si les rôles avaient été inversés, aurait-il aimé et joué le rôle de parent de "substitution" avec la même euphorie que si il s'agissait de son propre enfant?
Si ce n'est pas déjà fait, une mise à plat entre vous s'impose afin de ne pas entâcher votre lien avec la petite et aussi par effet de répercussion avec le père. Il en découle bien des tensions pouvant être évitées en communiquant.
Vous demander d'être comme une maman pour elle, de l'éduquer... Cela nécessite réellement une mise au point car vous ne pouvez être une maman pour cette enfant et votre amour ne sera jamais celui prodigué à votre enfant à venir. Soyons pragmatiques.
Il vous faut parvenir à "recentrer" le sujet et mettre le curseur dans le rôle de chacun à sa juste place.

Enfin, vous parlez de décembre, il y a eu un évènement particulier, des paroles, une attitude pouvant éveiller cette difficulté et de la colère en vous?

Je vous invite vraiment à éclairer déjà en un premier temps la situation par le dialogue calme avec votre conjoint et à être conseillée par un thérapeute en parentalité pour savoir quelle belle-mère vous pouvez être au mieux et ne pas rendre la relation toxique pour vous comme pour cette petite qui n'a rien demandé.

Je suis à votre écoute en téléconsultation si vous le souhaitez en toute bienveillance pour comprendre les causes, les enjeux de cette situation et agir au plus juste pour tous, en évitant des souffrances psychologiques inutiles et marquant la suite de la vie pour tous.

Bénédicte Escaron
psychothérapie
Psychanalyste
Thérapeute d'aide à la parentalité

Bonjour,
Je pense que ce que vous demande votre conjoint est de jouer un rôle qui ne vous appartient pas : vous n'êtes pas la maman de cette petite fille, elle en a une qui est aimante et présente et il est donc tout à fait normal que vous ne trouviez pas votre place dans ce rôle. De plus, cette enfant doit ressentir la "pression" que vous vous mettez et la traduit par ses pleurs, ses colères. Elle ressent votre malaise et ne comprend pas pourquoi. Essayez de vous dire que vous pouvez jouer un autre rôle, comme le ferait une tante, une marraine, une grande sœur...faites de vote mieux pour vous occuper d'elle mais avec légèreté, n peu plus de détachement, et vous ne sentirez plus le poids de la responsabilité que votre partenaire voudrait faire peser sur vous, sans doute parce qu'il éprouve de la culpabilité à l'égard de sa fille (peur de la blesser à cause de la séparation). Ne laissez donc plus votre conjoint insinuer que vous êtes une "seconde maman", ce qui perturbe sa fille mais que vous êtes sa compagne qui s'occupe d'elle quand elle vient. Cela n'empêche pas l’affection que vous pouvez lui témoigner, mais en restant à votre place. Et quand viendra votre tour, vous ferez une excellente maman qui aura eu l'occasion de "s'entraîner". Vous avez la chance de ne pas être en conflit avec la mère de cette enfant, vous devriez réussir, tous les trois à lui assurer la sérénité dont elle a besoin pour grandir.
Je consulte en présentiel ou par visioconférence. Merci de me contacter avant de vous inscrire sur l’agenda de la plateforme.
Bien à vous
Véronique Blanche, Thérapeute Holistique
Guérison de l’enfant intérieur
Hypnose Ericksonienne
Soins énergétiques

Bonjour Pitchoune,

J'ai envoyé plusieurs messages depuis hier et aujourd'hui pour vous répondre car votre message m'a fortement interpelée, je suis spécialisée en aide à la parentalité, mes messages sont non publiés régulièrement par le site.
Aussi je ferai court cette fois, simplement vous dire que vous n'avez pas à douter de la maman que vous deviendrez plus tard; aimer son enfant et celui d'une autre est distinct même si on donne de l'affection, cela n'est en rien comparable.
Je suis troublée aussi par cette "mise devant le fait accompli" en vous disant d'aimer cette petite fille comme la vôtre et de l'éduquer. l'amour ne se commande pas Et surtout il ne se préempte pas ainsi.
Vous n'avez rien à vous reprocher, vous faites le maximum sachant que vous n'avez antérieurement pas eu cette expérience de maman.
Vous devez évacuer cette colère qui est si toxique pour vous comme pour la petite fille qui n'a rien demandé dans l'histoire conjugale de ses parents. Elle a par ailleurs une mère même si visiblement nous sommes sous la décision du JAF de Garde alternée.

Je vous avais tout précisé dans mes mails non publiés et j'en suis désolée.
Je ne réponds jamais en deux lignes ni pour faire de "l'hameçonage" mais par conviction qu'il faut aider quand on le peut.

Je suis à votre entière disposition en téléconsultation d'aide à la parentalité via mon site sous mon prénom et nom sur le net facile à retrouver si vous souhaitez que je vous éclaire et vous aide dans ce chao et cette remise en question de vous même.
Espérant que ce énième message vous sera transmis.

Bien chaleureusement.

Bénédicte ESCARON
Thérapeute d'aide à la parentalité
Praticienne en Psychothérapie

Bonjour

Il faudrait creuser mais ce serait probablement plus facile si c'était votre fille ou si vous aviez eu un enfant auparavant.
Vous semblez vivre ce rapport avec votre belle fille comme une injonction du papa. Il faudrait en parler avec lui et qu'il s'investisse davantage. Vous pouvez pas être une "commodité" pour lui car cela vous chosifie.
Je reste personnellement à votre disposition, sachant que ma première séance d'une heure est entièrement gratuite et sans engagement. Vous pouvez librement prendre un rendez vous sur mon agenda en ligne.

Bon courage à vous

Michel le BAUT
Psychopraticien
Thérapeute Jungien
Analyse de rêves

Bonjour Pitchoune
La colère que vous ressentez, n'est pas selon moi, dirigée contre la petite fille de votre conjoint, mais contre lui, d'avoir à vous occuper autant de son enfant.
Comment en êtes vous arrivée ainsi à le remplacer dans ce rôle.
Il y a une répartition des taches à redéfinir dans votre couple.
Ce qui n'a rien à voir avec votre compétence à être maman.
C'est au niveau du couple que ça se passe
Si vous avez besoin, je vous reçois sur une ou deux séances
Bien cordialement Inès Avot

Bonjour Pitchoune,

On vous en demande beaucoup trop aujourd’hui, votre couple est tout neuf et vous devez déjà être la maman d’un enfant qui n’est pas le votre. Trouvez des solutions pour que le papa prenne ses responsabilités et ne se repose pas constamment sur vous. Bien sûr, vous pouvez aider, mais pas quotidiennement c’est bien trop pesant pour vous et ce n’est pas votre rôle.

Bon courage à vous
Je reste à votre écoute
Cordialement
Marjorie Lugari
———————
*** psychanalyste
*** praticien en psychothérapie
*** aide à la Parentalité
*** sexothérapeute
Visio uniquement

Bonjour,
Cela a sans doute été compliquée pour vous de vous retrouver à élever une enfant de 19 mois et d'autant plus qui n'est pas la votre.
Vous n'avez pas eut la période de grossesse pour se préparer et vous vous retrouver à gérer l'enfant d'une autre avec ses phases d'apprentissage et vous n'avez pas eu le choix sans quoi votre relation en pâtissait.

Il vous faut du temps et créer du lien et il va être important que vous puissiez trouver un thérapeute qui pourrait vous aider à trouver l'un et l'autre votre place dans la sphère du couple et dans la sphère parentale.

Cette dernière est visiblement problématique aujourd'hui puisque vous devez créer du lien et trouver votre place de belle maman avec une jeune enfant.
Bien à vous,
Prenez soin de vous.
Je reste à votre écoute si Besoin
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***Estelle Camugli - Thérapeute Holistique***
Psychopraticienne en relation d'aide
Accompagnement Post Trauma- / Consultante réflexes
Thérapie individuelle et en couple
*** Possibilité de visio***

Bonjour,

Votre belle fille n’est pas votre enfant, même si vous pouvez ressentir beaucoup d’amour pour elle. Bien sur vous pourrait être une bonne mère, mais l’arrivée d’un enfant est très idéalisée en tant qu’image sociétale. Oui, vous pouvez à la fois adoré votre enfant, et ressentir une immense fatigue, de la colère par ce que le « prendre soin de vous » est déstabilisé par la présence d’un petit être qui est totalement dépendant et qui demande beaucoup.
Dans votre situation, ce qui m’interroge c’est la place que vous donne le papa. Est ce que vous rendez service par moment où est ce que vous vous portez trop dans ce contexte ? Quel est l’implication du papa auprès de sa fille ?
Ce qui pourrait être intéressant, c’est de prévoir un séance de thérapie avec votre partenaire pour définir la place de chacun et comment vous pouvez accueillir votre ressentir et répondre à vos besoins tout en tenant compte de ceux de l’autre.
C’est magnifique que le lien soit fluide avec la maman. Cela offre un bon terreau pour créer une belle famille recomposée et dénote une forme de maturité.

Je suis à votre écoute,

Chaleureusement,

Chantal Michel, Thérapeute

Bonjour,
J'entends dans votre discours un mal-être lié aux attentes de votre compagnon. En quoi ces attentes vous pèsent ? Prenez le temps de vous poser et pourquoi pas d'écrire ce qui est compliqué pour vous là-dedans.
Concernant la gestion des détresses émotionnelles de cette petite, peut-être vous sentez-vous dépassée car cela vous renvoi à votre propre difficulté avec vos émotions. Comment vous sentez vous face à votre tristesse, face à votre colère ? Apprendre à communiquer avec ses émotions, à les accueillir permet d'être plus à l'aise ensuite avec les émotions des autres :)
Culpabilisez-vous de ne pas appréciez cette enfant ? C'est le signe que vous chercher à améliorer la situation et que vous êtes de bonne volonté. Chercher des solutions est un des rôles de la culpabilité. Le lien avec un tout petit n'est pas toujours aussi naturel et évident que l'on espérerait, mais il se tisse aussi avec le temps, au fur et à mesure des échanges. C'est le temps d'apprendre à se connaître et à s'apprivoiser.
En tout cas cette expérience soulève pour vous des peurs et des questions concernant la maternité, le rôle de parent et cela est bien normal car rien n'est jamais acquis dans ce domaine.
N'hésitez pas à prendre du temps pour vous, faire des choses qui vous ressources, cela vous aidera à être plus apaisée avec cette enfant. La bienveillance c'est valable pour les enfants et mais aussi pour les grands :)
Camille Andrieu

Bonjour,
Se poser des question c'est déjà en partie une remise en question de votre part et c'est bon signe.
L'instinct maternel se met en place différemment suivant les femmes et est inné et/ou se construit par rapport au vécu, à l'environnement, à la grossesse, à la naissance du bébé et par rapport à la compréhension de la mère à ce que cette naissance ou cet enfant lui renvoie.
Ne mettez pas vos capacités en doute.
Commencer en thérapie à travailler sur quelle est votre place dans votre famille, le lien avec cette petite fille, ce qu'elle est et représente pour vous, ce qu'elle vous renvoie... une multitude de pistes et de questionnements pour comprendre votre construction, votre mode de fonctionnement, reprendre confiance en vous, connaître vos besoins, vos capacités ....
Je reste à votre disposition,
Prenez soin de vous,
Bien cordialement,

Stéphanie roux
Psychopraticienne et Praticienne en thérapie cognitive-comportementale
En cabinet, en visio ou par téléphone

Bonjour,

Il est plus difficile d’accepter l’enfant d’une autre tout simplement parce que dans ce cas, les contraintes/déplaisir sont souvent bien supérieures aux bénéfices/plaisir que l’on peut en retirer.
Pourtant, en vous mettant en couple avec cet homme, vous avez également adopté sa fille. Vous devez donc tout faire pour qu’elle grandisse dans les meilleures conditions possibles. Je vous invite à essayer de ne pas voir que ce qui est difficile, mais aussi les moments plaisants à ses côtés. Plus elle va grandir et plus ces moments se multiplieront.
Pour ce qui est de votre peur d’être maman un jour, c’est encore différent, car vous aurez porté ce bébé pendant de longs mois, l’amour filial fera le reste. Vous pouvez, sans aucune pression cependant, décider que finalement la maternité n’est pas faite pour vous. N’en ayez pas honte non plus, c’est un choix qui vous appartient.

Je reste à votre disposition et à votre écoute.

Pour plus de détails, contactez-moi.
N'hésitez pas à vous faire une idée du sérieux de ma pratique en consultant les avis sur ma fiche.

Christophe
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Thérapeute de couple - Sexothérapeute
* Rendez-vous en ligne uniquement
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bonjour Pitchoune

Vous ne pouvez pas savoir la mère que vous serez pour la bonne raison que vous ne l'êtes pas ! Et rassurez vous il n'y a aucune raison pour que vous soyez une mauvaise mère, puisque vous vous en inquiétez déjà.

Maintenant avec la fille de votre compagnon, vous découvrez les difficultés que pose la maternité, sans être vous même dans cas.
Elever un enfant met les nerfs à rude épreuve. La maternité provoque en nous, mère et père, des changements qui permettent d'assurer la survie de l'enfant.
Vous avez eu dans les premiers temps la réaction spontanée de tout le monde vis à vis de l'enfant d'une autre personne. Au fil du temps vous devez faire face à tout ce que demande le fait d'élever un enfant.
Cela vous devient de plus en plus difficile et vous accumulez la frustration, la culpabilité, l'énervement.

Sa mère est compréhensive et vous aide.
Arrêtez de culpabiliser. Prenez du recul et surtout reposez vous. Toutes les très bonnes mamans craquent parfois.

Quand vous aurez votre propre enfant, dites vous que vous avez eu la chance de pouvoir vous exercer ; )

----Olga SERO-GUILLAUME----
NEURACOSME
Psychopraticien – Hypnothérapeute
Psychothérapie - Accompagnement au changement
Développement personnel
--- Visio et Présentiel ---