Bonjour, je déteste ma mère, je l'insulte dans ma tête et parfois à voix haute, pute, salope, connasse, je considère qu'elle a détruit ma vie, qu'elle ne m'a pas aidé, ni soutenu et que je n'ai pas eu une bonne relation avec elle depuis l'adolescence, malheureusement j'ai 42 ans et je ressens énormément de rejet pour elle, je me suis faite avortée à 32 ans et je considère que ma vie a dégénéré et que je ne suis pas maman à cause de cette relation de dépendance affective que j'ai eu avec ma mère. Elle a le cancer et risque de ne pas vivre longtemps et j'estime que notre relation est un échec et à eu un impact destructeur sur ma vie. Je ne ressens quasiment plus d'empathie pour elle.
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20 JUIN 2025
· Cette réponse a été utile à 25 personnes
Bonjour Madame,
Même si vous avez certainement beaucoup de raisons pour ressentir cela pour votre mère vous avez besoin de vous libérer de cette détestation et de la dépendance que vous avez entretenu probablement sans le vouloir consciemment.
Ce n’est qu’en comprenant vos histoires de vie que vous allez pouvoir accepter que cela s’est passé comme ça pour vous deux, et que aujourd’hui à l’âge adulte vous êtes pleinement responsable de ce que vous faites et vivez.
Il me semble d’ailleurs qu’il est difficile de s’aimer soi même si on déteste un de ses parents, qu’on lui trouve aucune qualité et aucune explication pour un comportement reprochable.
Je vous souhaite de pouvoir vous délester des sentiments négatifs qui vous pèsent vis à vis de votre mère pour traverser votre existence plus légèrement.
Il est évident que seule une thérapie peut vous aider à acquérir une forme de sagesse par rapport à votre histoire familiale.
sp
9 JUIL. 2025
· Cette réponse a été utile à 4 personnes
Bonjour Calune,
J'entends votre profond désarroi et votre rancœur vis-à-vis d'une mère qui n'a pas su vous apporter ce dont vous aviez besoin. Au moment où elle pourrait quitter ce monde, la question devient pour vous plus prégnante, cela se comprend. Vous n'êtes pas seule : les difficultés de votre vie liées à ce problème d'attachement, lien archaïque à la mère, se retrouvent dans de nombreuses consultations. Oui, vous devez vous en départir pour votre sérénité. Peut-être vous demandera-t-elle pardon mais peut-être pas et il vous faudra accepter l'inacceptable. Accepter pour qu'un changement bénéfique se produise dans votre vie. Vous ne pourrez faire face qu'avec une thérapie, j'en ai peur, ce qui implique du temps et de l'argent. Toutefois, votre problématique est couramment traitée en Gestalt. N'hésitez pas à faire appel à moi ou à un autre thérapeute avant le départ de votre mère (je reçois en visio, si vous n'êtes pas sur Marseille).
Bon courage,
Chaleureusement,
Auréle Lior
2 JUIL. 2025
· Cette réponse a été utile à 0 personnes
Bonjour et merci pour votre sollicitation. Il est important de comprendre, mais aussi de transformer ces propres comportements, ses certitudes implicites, ses mémoires et ses schémas inconscients. Les mémoires émotionnelles que l'on a durant notre existence depuis notre enfance sont le reflet d'un conditionnement personnel relié à notre environnement et à notre tempérament inné. Cela porte le nom d'adaptation. Chaque enfant qui naît dans un environnement va venir s'adapter à lui en fonction de ses fondations (le tempérament inné). Le tempérament inné prend sa source dans les fondations de l'être. Un enfant peut être attendu et avoir le sentiment d'être non attendu, non désiré, ou encore, il peut venir remplacer une mémoire ou encore réparer. On appelle cette partie le transgénérationnel et les fondations de l'être. Ensuite, l'enfant passe le cap des 12 mois et il va commencer à créer des schémas pour s'adapter à son environnement et à son tempérament inné (un autre exemple de tempérament : la culpabilité et la honte d'être né ou bien d'être un survivant, voir les conditions de la conception et de la naissance). Il va alors, se créer un tempérament supplémentaire, influencé par son environnement, son tempérament inné et ses besoins psychologiques non satisfaits. C'est alors que son système nerveux va mémoriser et venir l'influencer dans son parcours avec ses mémoires primaires et secondaires. Car, oui, chaque individu détient des mémoires transmises de manière ancestrale, comme la rage, la peur, la panique, le chagrin, l'exploration, le jeu... Elles se traduisent de manière implicite et/ou explicite. C'est pourquoi de nombreux individus n'ont pas conscience de ce qu'ils font et vivent. Ils le font de manière automatique, sans s'arrêter sur ce qu'ils sont et font. C'est pourquoi, chacun d'entre nous, nous enregistrons de manière bien différente nos perceptions, nos interprétations, ainsi que nos névroses et nos psychoses. Il n'y existe aucun environnement idéal. C'est une illusion, une utopie, de le croire. Ensuite, c'est le chaos émotionnel qui ramène l'individu à un état de souffrance et d'interrogation. C'est à ce moment-là que celui-ci se met en quête de lui-même. Malheureusement, il est très souvent influencé par ses émotions d'anxiété, d'angoisse (sans en prendre conscience), et il va se réfugier dans des courants de pensées qui vont contribuer à l'évitement de lui-même, au repli de soi et bien d'autres comportements d'auto-sabotage (voir aussi la thérapie des schémas). Il va contribuer de lui-même à son auto-sabotage. Le chemin de guérison devient, alors, plus long et parfois très long. Car, ces mêmes courants de pensées et mémoires implicites vont lui créer une illusion de lui-même. L'être humain est complexe. Si vous abordez son étude de manière explicite et simpliste, vous ne pouvez pas voir ce qui est implicite, l'inconscient. Je vous invite à réaliser un programme d'accompagnement sur la transformation de vos mémoires, de vos schémas, afin de prendre un chemin plus épanouissant. Je suis à votre écoute. Bien à vous. Jonathan Desjours – Coach et thérapeute de l'inconscient.
30 JUIN 2025
· Cette réponse a été utile à 0 personnes
Bonjour
Merci pour ce partage intense. Votre témoignage exprime une douleur profonde, mêlée à de la colère, de la culpabilité, de la déception et probablement un immense besoin d’etre comprise et aimée. Ce que vous ressentez n’est pas une "anomalie" : c’est souvent le résultat d’un traumatisme relationnel ancien.
En psychologie, on parle de l’attachement insécure ou désorganisé (Bowlby, 1969 il me semble) quand la figure parentale, censée être une source de sécurité, est aussi source de souffrance ou d’incompréhension. Ces blessures non reconnues peuvent se transformer, à l’âge adulte, en colère durable, rejet, voire rupture émotionnelle.
Ce que tu vis mérite d’être exploré en psychothérapie individuelle. Pas pour "excuser" ta mère, mais pour reconnaître ta souffrance, libérer ta parole, comprendre ton histoire, et peut-être, retrouver un espace intérieur de paix, avec ou sans pardon.
Vois n'êtes pas seule. Votre histoire mérite d’être entendue avec dignité et sans jugement. En parler, c’est déjà commencer à se libérer. N'hésitez pas à prendre rendez-vous avec moi pour approfondir le sujet.
Bien cordialement
24 JUIN 2025
· Cette réponse a été utile à 0 personnes
Madame,
Je pense que c'est le temps de vider tout ce que vous avez sur le coeur.
Pardonner quelqu'un c'est important x nous pas x l'autre personne.
Vous n'avez pas eu d'enfants et ca aussi il n'as pas vous aidee' a changer votre role ( de fille a mere).
Vous douvez vivre aussi apres la mort de votre mere dans la paix et pas dans le regret de n'avoir pas regler les choses a l'interior de vous et avec elle.
24 JUIN 2025
· Cette réponse a été utile à 0 personnes
Bonjour,
Dans votre message, je ne vois pas de question.
Par contre, j’entends toute la colère envers votre mère qui s’exprime avec des insultes. Quelque chose semble bloqué, et peut-être y a-t-il dessous une autre émotion plus difficile à accepter ?
Se défaire d’une relation douloureuse, c’est accepter qu’elle soit ainsi et pas autre, c’est regarder le manque, c’est faire le deuil de ce qui ne sera pas, du moins avec votre mère.
Je vous invite à aller en thérapie pour vous aider à traverser ce deuil, pour enfin laisser de la place pour autre chose, et peut-être pour votre vie ?
Chaleureusement
Aurelie LAUMONT
24 JUIN 2025
· Cette réponse a été utile à 1 personnes
Bonjour, je vous sens tiraillée part des forces opposées. D' une part votre souffrance , colère de ne pas avoir une mère aimable et toutes les conséquences que cela a encore dans votre vie. Et d' autre part votre envie de trouver de l'empathie,voir du recul pour pouvoir : peut être vivre autrement la relation.
Votre souffrance a besoin de s' exprimer je vous souhaite de trouver la bonne personne qui pourra vous accompagner vers une relation plus apaisée. Je consulte en visio si vous souhaitez.Sandrine.
24 JUIN 2025
· Cette réponse a été utile à 0 personnes
Bonjour,
Ce que vous exprimez est profondément chargé, à la fois de colère, de douleur, et d’un immense sentiment de perte. Derrière les insultes, on entend surtout une blessure ancienne, un lien qui n’a pas nourri ce dont vous aviez besoin, et dont les effets semblent encore très présents aujourd’hui.
Il est possible que cette relation ait laissé en vous une empreinte douloureuse, mêlant rejet, frustration, et culpabilité. Et c’est précisément parce que ce lien comptait que sa défaillance fait si mal.
Il n’est pas question ici de juger vos ressentis, mais d’explorer ce qu’ils disent de votre histoire, et de la place que vous aimeriez peut-être, un jour, réinventer pour vous en dehors de ce passé.
Si vous le souhaitez, cet espace peut être le vôtre, pour déposer, comprendre, et peu à peu, vous alléger de ce poids.
23 JUIN 2025
· Cette réponse a été utile à 0 personnes
Ce que vous exprimez révèle une immense douleur, non de la haine véritable. Les insultes que vous proférez mentalement traduisent un besoin non satisfait d’être reconnue, protégée, aimée. Quand l’amour filial devient impossible, c’est souvent parce qu’il a été piégé très tôt dans une dynamique toxique : culpabilisation, emprise, confusion des rôles… Ce lien archaïque non réparé a pu bloquer votre construction identitaire, votre rapport à la maternité, à l’autonomie.
La colère est une défense contre une tristesse plus profonde, celle d’avoir été trahie dans l’amour fondamental. Un travail analytique pourrait vous permettre de déplacer ce conflit interne, libérer votre propre histoire du poids de celle de votre mère. Je vous propose une première consultation gratuite, en ligne ou en présentiel, pour commencer à démêler ce nœud douloureux.
Lorena Salthu
Conseils téléphoniques personnalisés. Urgences pendant le weekend
Psychopraticien -Psychanalyste-TCC
Professeure Facultad Lalangue
Séances en ligne ou en présentiel.
Français, English et Español
23 JUIN 2025
· Cette réponse a été utile à 0 personnes
Bonjour,
Votre mère, que vous la jugiez bonne ou mauvaise, fait partie de votre parcours de vie. Elle appartient à votre histoire personnelle.
Etre adulte c'est à la fois accepter notre histoire personnelle, bonne ou mauvaise (la plus part du temps les deux), et prendre la bonne distance avec les êtres qui nous ont accompagnés jusqu'à l'âge adulte.(distance physique mais surtout intérieure)
Vous ne pouvez pas refaire votre enfance. Vous ne pouvez pas, de manière rétroactive, choisir les parents que vous auriez aimé avoir.
Vous pouvez simplement accepter (ou au contraire vous révolter) votre histoire et construire votre vie d'adulte avec les matériaux dont vous êtes en possession aujourd'hui. Le retour sur le passé ne sert à rien et vous empêche d'aller de l'avant. Votre vie ne s'inscrit pas dans le prolongement de celle de votre mère.
Je reste personnellement à votre disposition, sachant que ma première séance d'une heure en visio est entièrement gratuite et sans engagement. Vous pouvez librement prendre un rendez vous sur mon agenda en ligne.
Bon courage à vous
Michel le BAUT
Psychopraticien
Thérapeute Jungien
Analyse de rêves
23 JUIN 2025
· Cette réponse a été utile à 0 personnes
Bonjour, votre message laisse entendre des sentiments extrêmes envers votre mère. La haine est visible mais l’amour fusionnel inconscient se lit entre vos mots. Tel un tout petit enfant, le détachement de l’objet maternel semble impossible d’un point de vue psychique. Je vous conseille de poser vos ressentis avec un professionnel afin d’alléger votre souffrance intérieure. Si la psychanalyse vous intéresse, n’hésitez pas à visiter mon site « un psychanalyse en ligne ». Cordialement. Catherine Cadou - Psychanalyste
23 JUIN 2025
· Cette réponse a été utile à 0 personnes
Bonjour,
quoi de plus normal quand il y a ce sentiment d'abandon et ce manque d'amour ?
Vous êtes en demande et c'est bien normal.
Toutefois un travail d'accompagnement semble indispensable.
Je reste disponible pour vous soit en téléconsultation ,SMS, What ‘s App
ou de visu en Bretagne Nord.
Cordialement,
23 JUIN 2025
· Cette réponse a été utile à 0 personnes
Bonjour Madame
Je comprends parfaitement ce que vous ressentez.
Vos émotions sont justifiées
Vous avez conscience de votre difficulté de ce sentiment, et les conséquences de votre dépendance.
Ce n'est pas de votre faute !
Je vous propose de vous aider.
J'ai l'habitude d'accompagner des personnes ayant la même problématique que la vôtre
N'hésitez pas à consulter mon profil
Je vous souhaite en attendant une excellente journée ensoleillée
23 JUIN 2025
· Cette réponse a été utile à 0 personnes
bonjour
je me présente Laetitia psychothérapeute,
votre façon de penser a votre mère est très délicat
et demande une approche en finesse
il est très important de dire ce que vous ressente et
je comprend très bien que cela puisse être difficile au vu
de son état de sante et le peu de temps qu'il vous reste
pour accomplir cette mission
peut être je pourrais simplement vous guider afin de faire les choses
délicatement avec des conseils non blessant
pour enfin vous libérer de votre douleur interne
je reste a votre disposition
Laetitia
23 JUIN 2025
· Cette réponse a été utile à 0 personnes
Bonjour,
Votre ressenti est très fort et il témoigne d’une grande souffrance, souvent liée à des blessures profondes dans la relation mère-fille. Ce type de sentiment, même s’il peut sembler tabou ou culpabilisant, n’est pas rare lorsque l’on a vécu un manque de soutien, de reconnaissance ou une relation marquée par la dépendance affective et la déception.
D’un point de vue analytique, la haine ou le rejet envers un parent cache souvent des attentes déçues, de la tristesse, voire un besoin d’amour ou de réparation qui n’a jamais pu s’exprimer autrement. Travailler sur ces émotions en thérapie peut vous aider à comprendre d’où vient ce rejet, à mettre des mots sur votre histoire, et à vous libérer progressivement de ce poids. Ce travail ne vise pas à excuser ou à oublier, mais à retrouver de la paix intérieure et à reprendre le pouvoir sur votre vie, indépendamment de votre passé familial.
Vous avez le droit de prendre soin de vous et de chercher à sortir de cette souffrance.
23 JUIN 2025
· Cette réponse a été utile à 0 personnes
Bonjour,
Vous ne ressentez plus d’empathie, mais vous culpabilisez de ne plus avoir cet amour que vous jugez pourtant indispensable. De plus, vous lui en voulez de ne pas avoir su conserver ce lien. C’est un fait, les parents ont un devoir d’amour inconditionnel envers leur progéniture.
Vous n’expliquez pas dans votre récit ce qui vous a amené à détester votre mère. C’est un fait. Il vous reste à prendre une décision puisque l’avenir de cette femme semble incertain. Soit vous réussissez à lui exprimer vos griefs pour évacuer cette charge mentale, soit vous décidez de couper les liens et de vous éloigner définitivement. Quelle que soit votre décision, il faut la prendre avec détermination et ne pas avoir de regret.
Je reste à votre disposition et à votre écoute.
Pour plus de détails, contactez-moi.
N’hésitez pas à vous faire une idée du sérieux de ma méthode en consultant les avis sur ma fiche.
Christophe
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Thérapeute de couple - Sexothérapeute
* Rendez-vous en ligne uniquement (visio ou téléphone)
23 JUIN 2025
· Cette réponse a été utile à 0 personnes
Bonjour Calune,
Vous avez parfaitement le droit de détester votre mère. C'est justement en sortant du système dysfonctionnel de cette relation avec elle que vous pourrez devenir un être libre.
Pour le moment vous avez besoin de passer par la colère, vous avez vécu un avortement traumatique à l'âge de 32 ans, vous en avez maintenant 42 et peut-être que vous n'aurez pas d'enfant. Vous n'aurez pas d'enfant tant que vous n'aurez pas nettoyé et libéré la toxicité du lien avec votre mère.
Je vous invite à vous faire accompagner par une thérapeute afin de trouver le chemin depuis la colère jusqu'à l'acceptation. Il s'agit de faire le deuil de la relation avec votre mère. La relation toxique d'une part, et la relation nouvelle qui est celle d'un parent malade et peut-être en fin de vie, d'autre part.
Vous ne ressentez pas d'empathie actuellement, parce qu'il est impossible d'offrir à l'autre ce qu'on a pas reçu. Votre mère vous a donné la vie, à vous maintenant de choisir ce que vous souhaitez en faire.
Je reste à votre disposition si vous souhaitez approfondir ces questions.
Claire Thomas,
Psychosomatothérapeute
23 JUIN 2025
· Cette réponse a été utile à 0 personnes
Bonjour,
La relation que nous avons avec nos parents est celle qui nous aide à nous construire.
Quand, il y a une souffrance cela impact toute l'existence.
Vous considérez qu'elle a "détruit" votre vie, mais comment reprendre le contrôle sur cette situation.
A votre age vous avez le contrôle et le pouvoir sur vos choix.
Vous abordez un IVG, peut être n'avez vous pas fait le deuil de cet évènement.... car cela est souvent très douloureux.
La dépendance affective peut s'atténuer avec le temps et un accompagnement.
La colère est signe de peur, ce qui est en lien avec cette dépendance...
Le mieux serait d'apaiser vos émotions et travailler la confiance en soi avec une thérapie individuelle.
Vous pourriez avancer pour vous épanouir. Ainsi, faire la paix avec le passé qui est vital, car vous devez vous recentrer sur vous même et votre avenir.
J'espère avoir répondu à votre question, belle journée Mélina
22 JUIN 2025
· Cette réponse a été utile à 1 personnes
Bonjour,
Votre souffrance est profonde et mérite d’être entendue sans jugement.
Je vous propose un accompagnement en psychothérapie avec l’EMDR et les TCC de troisième vague, pour vous aider à traverser ces émotions intenses, apaiser le passé, et retrouver une forme de liberté intérieure.
N’hésitez pas à me contacter si vous souhaitez entamer ce travail, je peux vous accueillir en ligne.
19 JUIN 2025
· Cette réponse a été utile à 0 personnes
Bonjour
Vous avez le droit de ressentir ce manque d'empathie. Pour sortir de cette détestation, il y a plusieurs étapes. D'abord pouvoir exprimer ces ressentis en vous sentant non jugée et comprise. Vous avez sûrement de la colère, voire de la haine, de la tristesse et du chagrin qui ont besoin d'être libérés. Afin de vous alléger. Puis ensuite un travail d'acceptation de ce qui a été et que vous ne pouvez pas changer.
Par contre, ce que vous pouvez changer c'est d'apprendre à être heureuse et d'en être à l'origine. Ce qui vous rendra fière et vous permettra de vous projeter dans un avenir plus joyeux
Voilà ce que je vous propose comme programme. Une thérapie qui va vous mettre sur de nouveaux rails
Bien à vous
Inès Avot Gestalt thérapie
19 JUIN 2025
· Cette réponse a été utile à 21 personnes
Bonjour Calune,
A vous lire, je vous encourage vivement à consulter afin de traiter avec des techniques spécifiques la rancœur envers votre mère, votre conditionnement et ce sentiment d'avoir raté votre vie.
Une approche intégrative me semble très appropriée qui n'est pas une approche uniquement verbale pour traiter les traumas (voir mon profil).
19 JUIN 2025
· Cette réponse a été utile à 0 personnes
Bonjour,
On ressent dans vos mots une colère profonde à l’égard de votre mère, mêlée à une forme de dépendance affective et à un sentiment de rejet. Vous semblez tiraillée entre ces deux émotions opposées.
Le fait que vous éprouviez aujourd’hui le besoin d’écrire traduit sans doute, même inconsciemment, une recherche d’aide ou de clarification intérieure. Il se peut que vous éprouviez encore le désir d’être aimée par votre mère, tout en ayant besoin de pouvoir l’aimer en retour, dans un lien plus apaisé.
Je vous encouragerais vivement à consulter un thérapeute. Ce travail pourrait vous permettre d’explorer en profondeur votre histoire personnelle, votre enfance, votre adolescence, et de mieux comprendre les événements ou dynamiques qui ont pu engendrer ce sentiment de rejet ou de désamour. Ce cheminement pourrait vous aider à retrouver un équilibre émotionnel et, peut-être, à redéfinir le lien avec votre mère de manière plus sereine.
Avec toute ma bienveillance,
Mallory Legrain
Psychopraticienne, Praticienne en Fleurs de Bach
19 JUIN 2025
· Cette réponse a été utile à 0 personnes
Bonjour Calume,
La colère est une réponse saine face à une situation anormale, pour poser ses limites. Dans votre cas, vous n'avez pas pu le faire avec votre mère, et vos ressentiments liés à ces situations passées se sont transformés en rancune. Votre mère est ainsi devenue un « mauvais objet », sur lequel vous projetez toute la déception de ce que vous n'avez pas pu faire, faute de discernement à l’époque. Tous les parents ne sont pas des parents : certains n’ont tout simplement pas la fibre, d'autres font ce qu'ils peuvent avec ce qu'ils ont, même s’ils pensent faire de leur mieux, et certains peuvent aussi être toxiques, consciemment ou non... Il n’y a aucune obligation de les aimer, mais au moins de les respecter.
Pour sortir de ce sentiment, il est important que vous puissiez en parler avec un professionnel, afin de mettre des mots sur cette énergie en vous, qui n’a pas encore trouvé de place pour s’inscrire dans votre histoire passée.
19 JUIN 2025
· Cette réponse a été utile à 0 personnes
Bonjour,
Ce que vous décrivez, cette relation… ce n’est pas rien. Et si vous aviez 20 ans, peut-être que je ne vous écrirais pas ce message. Mais vous en avez 42, et cela change la perspective.
Ce qui me semble important, à ce stade, ce n’est pas de nier la douleur ou les impacts très négatifs que vous évoquez, je les entends. Ce que je vous invite à questionner, en douceur mais avec clarté, c’est ceci : pourquoi, en tant qu’adulte, êtes-vous encore dans cette relation, alors même que vous sentez qu’elle ne vous fait pas de bien ?
Cela ne veut pas dire que vous êtes « fautif », bien sûr. Mais cela invite à regarder les choses sous un autre angle. Si vous restez, si vous avez longtemps été impacté·e par cette dynamique, c’est probablement qu’il y a, au moins inconsciemment, une forme d’ambivalence. Il y a peut-être un bénéfice à rester, ou du moins un risque perçu à partir. Et ces éléments-là méritent d’être nommés.
Rompre un lien de dépendance, même avec ses parents, ce n’est pas simple. Cela peut faire souffrir au sens symbolique, psychique, émotionnel. Mais c’est aussi là que se joue quelque chose de votre possible liberté.
Je ne peux pas tout savoir de votre histoire à travers ces quelques lignes, mais si je devais travailler avec vous, c’est probablement sur ce chemin-là que nous irions. Non pas pour juger, mais pour vous permettre de reprendre du pouvoir sur ce qui vous lie encore.
N’hésitez pas à continuer ce travail. C’est courageux de le faire, et il n’est jamais trop tard pour transformer une relation, même très ancienne, même avec ses parents.
Bravo déjà d’en parler. C’est un premier pas et un pas important.
Mael jourdan
Accompagnement en ligne et en presentiel
19 JUIN 2025
· Cette réponse a été utile à 3 personnes
Bonjour,
Il est naturel d’éprouver de la colère, de la déception ou du rejet quand on a ressenti de l’abandon, du manque de soutien ou de l’incompréhension dans la relation avec un parent aussi important qu’une mère. Ces sentiments non digérés peuvent se transformer en une rancœur qui s’exprime parfois de façon violente en soi, comme vous le décrivez.
Votre ressenti est légitime : il raconte votre histoire, vos blessures, vos besoins insatisfaits. Mais ce vécu lourd et chargé semble aussi peser sur votre présent, comme une chaîne qui vous empêche peut-être de vivre plus librement votre vie de femme et vos choix personnels, y compris celui de devenir mère.
Le fait que votre mère soit gravement malade peut aussi réactiver tout cela : l’urgence de comprendre, de faire la paix, ou au contraire le besoin d’affirmer votre colère et votre distance face à l’idée de finitude. C’est un moment particulier où peuvent remonter beaucoup d’émotions contradictoires : colère, tristesse, impuissance, culpabilité ou même soulagement.
Vous parlez de dépendance affective : cela montre que malgré le rejet que vous ressentez aujourd’hui, il y a eu (et peut-être il y a encore) une attente immense, un besoin d’amour, de reconnaissance, qui n’a pas trouvé de réponse satisfaisante. C’est douloureux, mais c’est aussi un chemin possible vers la réparation de soi, pour retrouver votre propre pouvoir intérieur, votre propre valeur, indépendamment de ce lien difficile.
Si vous le souhaitez, un travail d’accompagnement thérapeutique pourrait vous permettre de traverser ces émotions, d’en comprendre le sens profond, et peut-être, progressivement, de vous libérer de ce poids qui semble impacter votre rapport à la vie, aux choix, à vous-même.