Je me sens prisonnière

Bonjour Mélissa,

C'est en effet une étape que de pouvoir coucher sur le papier votre ressenti, votre besoin de trouver un moyen de sortir du carcan dans lequel vous êtes enfermée. C'est un premier courage.

Votre cœur (votre Moi en terme psy.) vous dit que vous êtes prisonnière. De votre père en particulier veut vous cantonner dans un rôle que vous désapprouvez. De votre mère qui comprend votre envie de partir, mais qui sans doute ne peut pas vous aider à le faire ?
Est-ce que si vous partez, vous allez arrêter d'aimer vos parents ?

Aussi, que pensez-vous des dogmes de la religion ? Voulez-vous les appliquer à vous même ? Voulez-vous vous en émanciper ? Que vous dit votre conscience ?

Lorsque vous dites que votre père utilise, mélange la religion et une pression affective à votre endroit, vous exprimez le fait que votre souci est de tenter de démêler, éclaircir, comprendre ce qui est de l'ordre du cœur, c'est à dire qui vous êtes, de ce qui est de l'ordre de la conscience morale et religieuse.
Dit autrement , qu'y a-t-il de commun, qu'y a-t-il de différent entre vous Mélissa et la religion appliquée dans votre famille ?

Tenter de commencer à répondre à ces questions est, je crois important quant aux choix que vous allez faire dans les semaines ou mois à venir.

Avez-vous des amies dans la même situation que vous ? Si oui, comment s'en sortent-elles ?

Je vous souhaite courage et détermination dans les décisions que vous prendrez à l'avenir.

Bruno Bonnand
Psychologue

Bonjour Mélissa,
Au vu de ce que vous racontez, il n'est pas étonnant que vous vous sentiez prisonnière, pare que vous l'êtes.
Mais vous savez, la porte de votre cage n'est pas fermée...il suffit de la pousser. Il est anormal, qu'à 26 ans, vous soyez encore sous cette tutelle.
Votre père exerce une grande emprise sur vous et vous assigne à un rôle très caricatural. Ce qui vous empêche de prendre votre indépendance, ce serait apparemment la religion. Mais , au fond de vous, êtes vous vous vous-même en accord avec ces règles et dogmes qu'on vous a inculqués depuis votre naissance ? Si non, rien ne vous empêche de prendre de la distance avec votre religion, ce qui ne vous empêchera de vivre votre propre spiritualité, en faisant le tri en fonction de vos ressentis.
Dites vous aussi que vos frères et sœurs majeurs arrivent à refuser ces tâches qu'on vous donne.
Alors, prenez vote courage à deux mains en faisant le pas d'une consultation : vous pourrez, avec l'ide d'un professionnel et le soutien de votre mère sortir de votre enfermement en vous libérant de votre culpabilité.
Je consulte en présentiel ou par visioconférence. Merci de me contacter avant de vous inscrire sur l’agenda de la plateforme.
Bien à vous
Véronique BLANCHE, Thérapeute Holistique
Guérison de l’enfant intérieur
Hypnose Ericksonienne
Soins énergétiques

Bonjour Melissa,
Tout d'abord bravo à vous d'avoir pu écrire cela. La première étape dans l'évolution est la prise de conscience alors ne le négligez pas.
Concernant votre situation, il est tout à fait normal que vous ayez envie de prendre votre envol et que c'est aussi cette prise d'autonomie qui peut faire peur à vos parents et surtout votre père.
Ceci dit, votre situation ne vous satisfait pas et vous êtes balancé entre la volonté de vous accomplir seule et la loyauté familiale qui vous retient à vos parents.
Il serait intéressant de voir en quoi votre indépendance fait écho à une peur paternelle.

Bien sur que pouvoir prendre du recul et être accompagnée par un professionnel, vous permettrait d'avancer et de permettre également de vous mettre au centre de votre vie.

Bon courage et surtout continuer à écrire si cela permet de vous soulager.
Belle journée
Aurélie JEAN
Psychopraticienne en libération émotionnelle
Thérapeute familiale et transgénérationnelle
Guidance parentale

Bonjour Melissa,
Vous êtes confrontée à un conflit entre votre besoin de liberté d'un côté et l'interdiction de transgresser les règles. Vous évoluez dans un monde où vivre pour soi, abandonner sa famille et devenir une femme autonome, épanouie et accomplie suivant les modèles laïques français, vous est interdit. Vous avez 26 ans et ce qui ressort de votre message est la trace d'une vie déjà scellée.
Votre message est comme un appelle à l'aide. Vous savez que les choix intérieurs ne peuvent être fait que par vous. Choisir c'est aussi renoncer et quels qu'ils soient, vous allez devoir faire des choix difficiles pour votre futur. Donc oui, vous êtes au bon endroit et je vous conseille vivement de vous faire accompagner par un professionnel de l'accompagnement psychologique.
Bien à vous,
Frédéric Vezzosi

Bonjour Melissa,
Il est vrai que c'est difficile d'aller à l'encontre de sa famille et de ses croyances. Mais il ne faut pas oublier que vous êtes majeur et que si la situation vous pèse au point de vous sentir prisonnière, il est temps de partir vers d'autres horizons. Je vous rappelle également que vous n'avez pas d'autorisation à demander même si le poids s'en fait sentir.
En France, il y a des lois et des droits et demain le 8 mars est la journée des droits de la Femme.
Il n'est pas non plus recommandé de partir à l'aventure ni avec la peur au ventre mais puisque vous avez l'appui de votre maman, je pense qu'il est grand temps de prendre votre indépendance.
Pour ce qui concerne votre permis de conduire vous pouvez vous rapprocher des professionnels de conduite et vous pouvez reprendre quelques heures pour vous refaire la main.
Ici les personnes qui vont lire votre récit sont des professionnels et il n'y aura aucun jugement nous sommes là pour essayer de vous apporter une aide et si cela vous est possible de vous rapprocher d'un thérapeute qui approfondira avec vous votre situation et vous secondera pour trouver d'éventuelles solutions.
Ne vous laissez pas couler et n'acceptez pas l'inacceptable au nom d'une foi ou d'un respect patriarcal profond.
Je vous souhaite un bon courage et surtout n'hésitez à consulter un thérapeute pour vous aider au mieux
Cordialement.

Natacha Verseaux

Bonjour Mélissa

Votre témoignage est très touchant et je vous remercie de cette belle spontanéité !
On sent à travers vos mots beaucoup d'énergie et d'envie de vous épanouir et oui c'est à cela que vous aspirez. Les enfants ne sont pas fait pour rester toute leur vie chez leurs parents.
Vous aimez vos parents et vous ne voulez pas leur faire de mal et cela se comprend. Vous pouvez les respecter et respecter votre religion tout en allant malgré tout vers votre autonomie. L'être humain a besoin d'apprendre à faire par lui même et de s'émanciper.
Si votre maman vous encourage, alors vous pouvez en parler avec elle également et vous rapprocher ensemble d'organismes qui peuvent vous aider à trouver du travail, un appartement.
Une thérapie vous permettrait en effet de trouver confiance et solidité au fond de vous pour trouver une posture juste vis à vis de votre famille.

Je me tiens à votre disposition pour vous accompagner dans ce processus et vous souhaite sincèrement de trouver réponses à vos questions.

Prenez soin de vous
Hélène CHAMBRIS
Gestalt Thérapie Humaniste Intégrative
Rdv en ligne ou en présentiel à Marseille 8ème

Bonjour,

Dans votre situation et à 26 ans il est complètement normal que vous vous sentiez étouffée dans cette situation.
Votre embarras est tel qu'on invoque chez vous le tabou le plus élevé, celui de la religion.
Le problème c'est que votre père va vous garder chez lui jusqu'à ce qu'il vous trouve un époux. Est-ce que c'est cela que vous voulez ?
A mon sens vous n'avez pas d'autre choix que de partir et de faire votre vie. Certes ce sera difficile et il vous faudra trouver des appuis dans votre famille au sens large.
Je vous conseille de vous faire accompagner pour oser franchir cette étape.
Vous avez le droit de penser à vous.
Je reste personnellement à votre disposition, sachant que ma première séance d'une heure est entièrement gratuite et sans engagement. Vous pouvez librement prendre un rendez vous sur mon agenda en ligne.

Bon courage à vous

Michel le Baut
Psychopraticien
Thérapeute Jungien
Analyse de rêves

Bonjour Melissa,
Vous êtes confrontée à un conflit entre votre besoin de liberté d'un côté et l'interdiction de transgresser les règles. Vous évoluez dans un monde où vivre pour soi, abandonner sa famille et devenir une femme autonome, épanouie et accomplie suivant les modèles laïques français, vous est interdit. Vous avez 26 ans et ce qui ressort de votre message est la trace d'une vie déjà scellée.
Votre message est comme un appelle à l'aide. Vous savez que les choix intérieurs ne peuvent être fait que par vous. Choisir c'est aussi renoncer et quels qu'ils soient, vous allez devoir faire des choix difficiles pour votre futur. Donc oui, vous êtes au bon endroit et je vous conseille vivement de vous faire accompagner par un professionnel de l'accompagnement psychologique.
Bien à vous,
Frédéric Vezzosi

Bonjour Melissa,
Vous êtes confrontée à un conflit entre votre besoin de liberté d'un côté et l'interdiction de transgresser les règles. Vous évoluez dans un monde où vivre pour soi, abandonner sa famille et devenir une femme autonome, épanouie et accomplie suivant les modèles laïques français, vous est interdit. Vous avez 26 ans et ce qui ressort de votre message est la trace d'une vie déjà scellée.
Votre message est comme un appelle à l'aide. Vous savez que les choix intérieurs ne peuvent être fait que par vous. Choisir c'est aussi renoncer et quels qu'ils soient, vous allez devoir faire des choix difficiles pour votre futur. Donc oui, vous êtes au bon endroit et je vous conseille vivement de vous faire accompagner par un professionnel de l'accompagnement psychologique.
Bien à vous,
Frédéric Vezzosi

Bonjour Melissa,

Merci beaucoup pour votre partage.

Vivant chez vos parents vous obéissez aujourd'hui aux règles dictées par votre père. Or vous êtes une jeune femme de 26 ans, et vous êtes normalement en droit de vivre votre vie de jeune adulte comme vous l'entendez.
J'imagine bien que vous vous sentez prise en étau, entre un besoin d'indépendance légitime à votre âge et la loi paternelle qui demeure inflexible. Le rôle du parent est plutôt de favoriser l'indépendance de ses enfants et d'accepter qu'ils aient leurs propres envies et leurs propres valeurs. Ce n'est pas ce qu'imagine votre père qui souhaite que vous restiez fidèle à sa vision du monde et de votre place dans celui-ci.
Vous êtes donc confrontée à un choix. Ou vous vous émancipez et risquez le rejet de la part de votre père, ou vous vous conformez à des lois qui vous font vous sentir prisonnière. Ce n'est pas une position facile. Il y a une lourde perte dans chacune des options.

Vous pouvez prendre contact avec un.e thérapeute de votre choix afin de vous aider à faire émerger vos besoins profonds et vous accompagner dans cette étape décisive de votre vie.

Bien à vous,

Agnès Foissac
Analyste Psycho-Organique

Chère Mélissa
Toutes les réponses qui vous ont déjà été apportées vont dans le même sens. Le votre.
J’espère que vous prendrez conscience qu’il est temps de prendre votre envol en toute légitimité.
Partir faire sa vie, à 26 ans, qui plus est, va dans le sens de la vie Mélissa.
Vous ne blesserez personnes en partant, en revanche c’est vous que vous blessez en restant.
Toutes les croyances dont vous êtes pétrie sont l’œuvre de 26 ans de formatage.
Elles n’ont que le pouvoir que vous leur donnez.
Partez, allez faire votre vie !
Vos parents finiront pas comprendre.
Vous ne désobéissez pas, vous vous respectez au contraire.
Je vous souhaite le meilleur pour la suite !
Bien à vous
Frédérique Pouzol
Psychopraticienne
Psychothérapie -Psychogénéalogie

Bonjour
Il me semble que vous êtes sous l emprise se votre père. Vous êtes majeur et vous êtes libre de partir si vous le souhaitez.
Effectivement vous n avez pas confiance en vous , pas d estime de vous car votre père vous empêche de vous épanouir. Il me semble qu a votre age vous ne devriez plus dormir dans la.meme chambre que votre frère cela n est pas très sains.
Est ce que votre père a peur de vous perdre ,de vous voir prendre votre envole et d être libre .
Vous devez vous faire aider pour réinvestir cette confiance en vous .
Bien a vous

Bonjour Mélissa,

J'ai lu avec grande attention votre tracé de vie et j'en retiens une immense souffrance psychique, beaucoup de courage d'avori rédigé ces éléments décrivant votre quotidien et les barrières instaurées dans votre sphère familiale.
Je vous félicite d'avoir livré ( ou "vidé" ...) ce trop-plein, ce ne peut qu'être salvateur et effectivement, vous êtes au "bon endroit" sur un site de "psys". Vous ne serez jamais jugée, sachez-le, au contraire.

Vous êtes dans une grotte, une cage en mode repli depuis le début de votre vie et à 26 ans, en fin de Master, vous aspirez enfin à la liberté qui vous est nécessaire pour vivre en tant que jeune adulte très responsabilisée au passage par votre systémie familiale et utilisant votre d'aînée pour vous attribuer des missions pouvant être réparties.

C'est cette absence d'épanouissement et cette profonde tristesse, de la résignation parfois qui me frappe le plus à travers vos mots.

La religion tout comme la famille posent des cadres mais qui a dit que l'état de dépendance et l'acquisition de l'autonomie en sont exclus?
Prétextes de clans, de groupe, pour générer une forte culpabilité et par voie binaire de la honte si vous dérogez à ces règles.

Qui vous dit que "vous allez faire du mal à vos parents" en prenant votre élan pour vivre seule?
Vous avez été formatée, vous êtes remplie de fausses croyances, de pensées allant à votre encontre.
Vous souffrez intensément mais votre prise de conscience ne peut se faire sans aide extérieure vue votre situation.
Vous redoutez la réaction de votre père; cela se comprend mais jusqu'à quand le phallus sera t il détenu ai sujet de votre vie par lui?
C'est on ne peut plus castrateur dans son comportement, vous ne pensez pas?
Votre mère est dans le mode de la soumission, vous avez pris le même modèle.
Votre petit frère vous surveille lui aussi alors que plus jeune, jusqu'à quand ce schème familial où prévaut la dominante masculine va -t -il exister? Combien de victimes encore, de soufffrance qui est tue pour "bien agir", "faire plaisir à".... ?
Jusqu'à votre conduite....

La motivation ne doit pas découler des stimuli de votre mère mais exclusivement de Vous.
Il s'agit d'acquérir pour la première fois l'estime de vous et la confiance en vous, je ne les vois pas alors que ce sont les deux piliers structurant votre personnalité dès la petite enfance.

Vous ne savez pas quoi faire?
Consultez un psy pour réaliser cette démarche d'analyse qui sera cathartique et vous libèrera de tous les poids, de vos rumniations, de votre assertivité car là vous avez déjà trop attendu et perdez votre réelle vie.

Je peux vous accompagner en téléconsultation en thérapie analytique si vous el souhaitez, j'ai au quotidien beaucoup de personnes de votre tranche d'âge et la communication est très fluide, l'alliance thérapeutique marche très bien entre eux et moi. Question de feeling.

Je suis à votre écoute en toute bienveillance et avec grande empathie, sachez-le.
Pensez à vous, il est temps.....
Cessez d'être dans la notion sacrificielle. Vous méritez une vie normale et jolie.

Très chaleureusement.

Bénédicte Escaron
Praticienne en Psychothérapie
Psychanalyste

Bonjour Melissa,

Vous avez déjà 26 ans, et une vie à vivre, une vie qui vous est propre. Est-ce désobéir à ses parents que de faire ce pour quoi on est destinée ? Est-ce que votre religion qui vous oblige à être soumise à un homme, à un système familiale, et décide pour vous. Je n'ai aucun doute que votre mère est quelqu'un de formidable, mais voulez-vous vivre la même vie qu'elle ?
Je pense qu'au contraire, votre famille sera très fier de vous, lorsque vous aurez réussi votre vie personnelle, et que vous pourrez leur procurer de la fierté. Pour cela, il faut trouver le courage de s'émanciper, de conduire votre propre voiture, comme vous conduiriez votre propre destin, et de commencer à trouver votre voie propre, celle qui vous appartient. Votre père n'est pas le propriétaire de votre vie, de votre destin, ni de votre avenir. En revanche, si vous ne faites rien, il ne vous laissera pas devenir qui vous êtes.
Cela peut donner l'impression dans un premier temps de tourner le dos à sa famille, de s'opposer à elle, mais en réalité, c'est tout le contraire. En empêchant que votre famille, et en particulier, votre père, détruise votre vie, vous protéger toute votre famille, et vous montrer à vos frères et sœurs le chemin pour devenir une vraie personne, pas juste un instrument pour les autres. C'est ainsi que vous pourrez venir vraiment, on est dans votre famille à terme quand vous aurez fini de vos construire. Il vous faut garder la reconnaissance, de ce que vous en apporter vos parents. Lorsque vous étiez une enfant, cela vous a permis de devenir cette jeune adulte. En revanche, à présent, ce n'est plus vos parents qui peuvent vous aider, bien au contraire, c'est plutôt ceux qui veulent vous garder à la maison pour se servir de vous, parce qu' ils ont peur de vous perdre. C'est pour ça que je terminerai sur cette phrase qui résume tout mon propos, ayez le courage de devenir vous-même ! C'est une chose, si difficile, mais qui en vaut vraiment la peine.

Je reste à votre écoute avec attention et bienveillance,
Xavier Dubouch,
Psychopraticien, Gestalt-thérapeute

Bonjour Melissa
A mon sens , vous êtes soumise à une éducation traditionnelle ou la femme aurait très peu de place et n'évoluera pas . Vous ne gagnerez pas votre autonomie tant que vous n'exprimez pas ce que vous vivez auprès de vos parents. L'exemple.même de la voiture est le signe de votre non liberté.
Mettez en avant que vous êtes un membre important également de votre famille et que vous avez droit au respect.
Montrez leur également quils.peuvent avoir.confiance en vous et sur vous n'êtes plus une petite filme.
Est ce que vous ne partirez de chez eux qu'une fois mariée ?
Quel est votre objectif?
Qu'avez vous envie de vivre aujourd'hui et que pouvez vous mettre en place pour être plus épanouie ?

L'accompagnement thérapeutique peut vous aider à mettre de la clarté sur votre situation et mettre en place un processus vous permettant daller plus vers vos besoins et l'expression de vos besoins.
A votre disposition.
Clarisse Collet

Bonjour Mélissa,

Déjà merci d’avoir partager, c’est toujours très compliqué quand tradition et religion sont utilisés comme chantage affectif ou émotionnel, j’aimerais juste vous dire que nous n’appartenons pas à nos parents, nous sommes un membre d’une famille, vos pensées et vos envies vous appartiennent.

« …faire quelque chose qu’il n’aurait pas fait ou qu’il n’apprécie pas. » montre clairement un manque de considération de votre personne ou un respect de vos choix en tant que femme et adulte, nous sommes une singularité, ce qui est bon pour l’un n’est pas toujours bon l’autre.

Nous ne venons sur terre que de trois manières, l’amour, l’erreur ou la violence, mais ce n’est pas un choix de notre part, ce qui veut dire que nos parents ont aussi des devoirs quand nous sommes enfants et vulnérables, le reste nous appartient.

N’hésitez pas à consulter quelqu’un, être face à une personne bienveillante et sans jugement vous aidera sûrement à y voir plus claire et de façon autonome, vous trouverez sur ce site des praticiens compétents près de chez vous.

Bien à vous,

Sophian.

Bonjour Mélissa,
je suis là pour vous écouter et vous aider. Il est tout à fait normal de ressentir le besoin de se libérer d'un poids, et je suis heureuse que vous ayez choisi de vous confier ici.

Il est clair que vous êtes confrontée à des défis importants en raison de la nature protectrice de votre père et de la pression que vous ressentez pour assumer des rôles spécifiques dans votre famille. Cela peut être très difficile et vous avez raison de vous sentir prisonnière et étouffée.

Il est important de comprendre que vous avez le droit de vivre votre vie selon vos propres termes, de faire vos propres choix et de prendre vos propres décisions. Vous êtes une adulte et vous avez le droit de vous épanouir et de poursuivre vos propres intérêts et passions.

Il est compréhensible que vous craignez la réaction de votre père si vous décidiez de partir de chez vos parents, mais il est également important de prendre soin de votre propre bien-être et de votre propre santé mentale. La religion peut être un guide important dans votre vie, mais il est également important de comprendre que vous avez le droit de prendre des décisions pour vous-même et de suivre votre propre chemin.

En ce qui concerne votre peur de conduire, il est compréhensible que cela puisse être une source d'anxiété pour vous. Si cela vous intéresse, il peut être utile d'en parler à un professionnel de la conduite ou de prendre des cours de conduite pour vous aider à surmonter vos craintes et à développer votre confiance en vous.

Consulter un psy peut également être une solution , pour vous aider à gérer votre anxiété et à trouver des moyens de faire face à la pression que vous ressentez de la part de votre famille. Un thérapeute peut vous aider à identifier les sources de votre anxiété et vous donner des outils pour mieux gérer votre stress.

Il est important de se rappeler que vous avez le droit de vivre votre vie selon vos propres termes et de prendre des décisions qui vous conviennent. N'oubliez pas que vous n'êtes pas seule, et qu'il y a des professionnels qui sont là pour vous aider à surmonter vos difficultés et à trouver un chemin vers le bonheur et la satisfaction.
Excellente journée à vous.
Thalia Inna
Praticienne en psychologie et hypnose
Eft, PNL, EMDR

Bonjour Melissa
Votre situation est compliquée.

Vous êtes tiraillée entre les lois qu'impose votre religion, via votre père et votre frère et votre envie de vous épanouir, de prendre votre indépendance, soutenue par votre mère et certains membres de votre fratrie.

Je n'ai pas de conseil à vous donner quant à votre quotidien car vous êtes aujourd'hui coincée dans cet entre-deux.

Par contre, faire un temps de thérapie pour retrouver confiance en vous et assertivité serait un premier pas. L'occasion de trouver en vous les ressources pour vous libérer.
Bon courage.
Je reste à votre écoute
Raphaëlle Richaud