Hello .Actuellement je stress a chaque fois avant une séances avec la psy .Une fois c'a m'est arrivé de pleurer avant une séance et deux séances après aussi .Je trouve ça difficile Tout au début je n’étais pas aussi tendu .Je suis une personne qui veux tellement réussir mes objectifs
.Je voulais savoir est ce que tout le monde dit tout à la psy même les choses les plus douloureux ?On n’est obligé en quelque sorte pour avancer dans une thérapie ?
Je m’explique au début tout ce passer bien en thérapie .Je savais quoi dire et demander .J’ai su parler de mon travaille et de mes problèmes .Sauf que voilà j’ai fais des choses par colère deux fois et que je ne faisais plus du tout et je sais que ce n’est pas bien mais comme je ne c’est pas comment gérée ma colère .J’essaye de l’évacuer autrement .J’ai fait il y a deux semaines .Je peux avoir honte .J’ai su parler de mon père qui était violent mais je n’ai pas réussi à parler des attouchements du parrain de mon grand frère a la psy .
A la première ou deuxième séances .Elle m’avait posé la question si j’avais eu des attouchements par mon père et moi j’ai répondu heureusement que non .A ce moment là je pensais au parrain de mon grand frère .Mais elle ne le c’est pas .Je trouve ça très dure à dire quand j’y repense ,ça me fait mal et j’ai honte surtout .C’est une chose de penser à lui dire mais c’est une autre chose de lui dire .Je n’ai pas en ce moment le courage de lui dire .Est ce important d’en parler avec elle ?Par ce que j’ai remarqué que je l’a repousser en séance et sans doute que je risque d’avoir des attitudes de rejet sur elle .Il va falloir que je l’ai gère pour continuer avec elle .
Je fait en plus un transfert et j’en suis consciente depuis peut de temp .On va dire depuis que je vous écris .Je n’étais pas sur avant de faire un transfert mais j’avais un pressentiment depuis 1 moi .Au début je ne savais pas de qui .Enfin j’ai trouvé. Peut être je me trompe .Je pense faire un transfert sur ma mère car quand j’étais petite ma mère était très sensible et je vois une sensibilité chez cette psy aussi qui me fait peur car ma mère me rejeté beaucoup quand j’étais petite suite à cette sensibilité qu’elle avait et je ne me sentais pas en sécurité ..Elle était incapable de gérer ç’est crises(Elle crié et jeté tout les choses en l’air même les voisin entendait ma mère faire des crises et il venait. ..Je ne veux pas revivre ça .Je suis triste si je devrais arrêter toute suite les séances avec la psy .Maintenant que je c’est de qui je fais le transfert.Je vais devoir reparler de ma mère et lui faire comprendre et ça je ne c’est pas quand je vais réussir à lui dire .Car en ce moment je suis découragé .Je commence à m’attacher a cette psy sans le vouloir .C’est vraiment inconscient et j’aime bien ce qu’on fait ensemble même si ça m’a dejas fait pleuré Sans que la psy c’est . J’espère pouvoir réussir à avancer quand même avec elle .J’ai dit à mon cheris j’ai jamais eu une conversation sérieuse avec ma mère .J’ai jamais été complice avec elle .Vous pensez quoi ?Je m’excuse si je me suis mal exprimé et fait des fautes de français .
Cordialement
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29 OCT. 2019
· Cette réponse a été utile à 2 personnes
Bonjour Telle et MERCI pour ce message !!
Plusieurs choses me touchent dans ce que vous écrivez et que vous découvrez en écrivant !
La première chose que j'ai remarqué en commençant à vous lire c'est que vous disiez ne plus savoir quoi dire à votre psy et pourtant vous avez écrit un texte plutôt conséquent ! Il me semble que l'écrit (qu'il y ait des fautes n'est pas bien grave à mes yeux, je vous ai comprise!) peut être un moyen pour vous d'exprimer certaines choses qui sont difficile pour vous à dire à l'oral. Et je vous comprends ! Pour moi, l'écrit a été un vecteur d'expression de moi-même vraiment important !
Ensuite, vous prenez conscience du transfert que vous vivez, et cela me semble très riche ! Et c'est clairement quelque chose que vous pouvez mobiliser en thérapie, et qui vous fera grandement avancer !
Enfin, de mon point de vue, vous n'êtes obligée de rien en thérapie, c'est vous qui fixez ce que vous êtes prête à dire ou pas. Vous avez écrit "je n'ai pas en ce moment le courage de lui dire", et bien à mes yeux c'est ok, écoutez-vous. Et quand vous aurez le courage, vous le lui direz, ou le lui écrirez !
Vraiment, je me rends compte que ce que vous vivez en ce moment n'est pas évident pour vous, et le travail de thérapie fait ressurgir des sentiments qu'on préfèrerait oublier, comme la honte, ou même un comportement violent. Mais, sincèrement, ce que je lis aujourd'hui me fait penser que votre travail thérapeutique fonctionne vraiment bien, et que vous êtes investie dans la démarche, ce qui est essentiel pour que cela porte des fruits.
Je vous invite chaleureusement à poursuivre cette démarche !
Sébastien,
psychopraticien centré sur la personne et la relation.
29 OCT. 2019
· Cette réponse a été utile à 1 personnes
Bonjour,
Votre message traduit votre désarroi, et c'est très honnête de votre part. Vous détenez pratiquement toutes les clés nécessaires pour vous en sortir. Vous voyez une psy, elle vous renvoie une image maternelle et contrairement à ce que vous dites, le phénomène n'est pas inconscient, puisque vous en parlez.
N'ayez pas peur, les psy ne sont pas là pour juger, et il y a très peu de risques qu'elle vous rejette si vous abordez des choses difficiles pour vous. Au contraire, libérez-vous de tout ce qui vous encombre et dont vous êtes consciente. Attouchements, sentiment de rejet maternel. Certes ce n'est pas toujours facile, vos émotions le prouvent, mais je dirais vous pourrez aborder ces points quand vous le sentirez, mais ne remettez pas aux calendes.
Juste un mot à propos des attouchements. Vous ne devez pas avoir honte. Vous avez été victime, peut être d'un adulte responsable et c'est lui qui devrait avoir honte, pas vous. Être reconnu comme victime est important, si ce n'est pas trop tard, juridiquement parlant.
Bonne chance, accrochez-vous.
Alain MIGUEL
29 OCT. 2019
· Cette réponse a été utile à 1 personnes
Bonjour,
Pourquoi ne pas aborder cela avec votre psy ? ce blocage de tout lui confier ? Cela pourra sûrement faire évoluer votre relation thérapeutique et votre transfert…
Et sachez que certains évènements du passé, notamment ceux traumatiques, sont difficiles à verbaliser. Ce blocage affectif et émotionnel peut être normal étant donné votre vécu évoqué enfant.
Certaines techniques sont indiquées pour lever ce blocage comme l'EMDR ou l'hypnose. Mais je trouve intéressant d'aborder cela avec la psy en qui vous avez fait confiance jusque là.
Je vous souhaite le meilleur pour la suite de votre travail.
Olivia KRIMI
Psychologue clinicienne
29 OCT. 2019
· Cette réponse a été utile à 1 personnes
Bonjour ,
La thérapie n'est pas un devoir de maths ,allez à votre vitesse . Pourquoi croyez-vous que nous voulons que ce soit l'adolescent qui décide de venir consulter s'il a besoin et non parce que les parents l'ont décidé ? C'est la même raison ! c'est vous qui décidez et faites le choix de dire ou ne pas dire ,il faut parfois du temps effectivement ! Cela est valable pour tout le monde ! On ne contrôle pas l'inconscient ! Il peut parfois fermer ses portes à triple tour ,c'est une résistance ! l'enfant parle plus simplement et se libère vite ,mais ensuite cela devient plus difficile . Vous pouvez rester silencieuse ,que croyez-vous ? ne dites-vous rien ? pas du tout ! le silence est aussi une forme de langage ! de même ,vous pouvez parlez de vos rêves ,vous en souvenez-vous ? Les attouchements sont difficiles à exprimer ,peut-être pourrez-vous les mettre en écrit pour votre psy ou lui dire un peu plus tard ! Ce n'est jamais simple à formuler pour la personne qui a dû les subir !
Vous semblez bien vous débrouiller en thérapie ,aussi continuez selon votre désir !
Bonne route à vous ,
bien cordialement à vous
29 OCT. 2019
· Cette réponse a été utile à 1 personnes
Bonjour,
Vous semblez avoir une bonne relation avec votre psy et beaucoup d’hésitations a lui parler des choses qui vous ont le plus blessées.
C’est probablement pour cela que vous ne savez plus quoi lui dire, puisque ce que vous voudriez dire vous ne le pouvez pas ... pour le moment.
Oui, pour avancer, il faut dire tout ce qui vient dans la tête, mais parfois ça prend du temps quand on n’est pas encore prêt.
Vous êtes sur la bonne voie, continuez et sachez que nous, les psys, nous sommes habitués à entendre toutes sortes de choses.
Bien à vous
Sylvie Protassieff