Je me mutile depuis 4 mois et c’est devenue une addiction mais j’ai peur que si je lui en parle , elle en parle à mes parents . J’ai aussi des pensées sucidaire tout le temp : en cour , la nuit ( ça m’empêche de dormir ) et je n’arrive plus dutout à penser postif, à réfléchir et à me concentrer en cour . Et j’aimerais lui en parler mais je sais pas ce qu’elle va en penser et ça me stresse beaucoup .
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10 DÉC. 2019
· Cette réponse a été utile à 12 personnes
Bonjour
Ce que vous décrivez témoigne d’un intense mal-être dont il semble primordial que vous puissiez parler avec votre psy. Elle n’est pas là pour vous juger (elle s’en doute peut-être d’ailleurs...), tout ce qu’elle se dira c’est que vous souffrez et mettra tout en œuvre pour que vous alliez mieux.
Peut-être n’en parlera-t-elle pas à vos parents, tout dépend de la relation que vous avez avec elle, elle peut préférer attendre de voir si votre situation évolue positivement (grâce à l’alliance thérapeutique notamment). Elle peut aussi en accord avec vous en parler avec vos parents, afin qu’ils puissent prendre connaissance (mais peut-être en sont-ils eux aussi déjà conscients) de la gravité de votre mal-être.
Dans tous les cas, cela fait partie du travail de psychothérapie que de se livrer sur ce genre de souffrances, c’est l’idée d’une confiance mutuelle entre les deux protagonistes.
En parler ici est le premier pas, ce sera plus facile maintenant de lui en parler à elle...
10 DÉC. 2019
· Cette réponse a été utile à 1 personnes
Bonsoir Sbzn,
Si vous n'arrivez pas à en parler à votre psy, aller voir un/une psychiatre, qui pourra vous prescrire des médicaments censés vous aider, diminuer à la fois la tendance à l'auto-mutilation et la fréquence des pensées suicidaires. Souvent, des symptômes trop intenses vécus dans le présent sont difficiles à confier. Cela parait être un détour, mais c'est aussi une manière de sortir d'un cercle vicieux!
Bien à vous, Radu CLIT
Psychologue clinicien et psychothérapeute d'orientation analytique
10 DÉC. 2019
· Cette réponse a été utile à 3 personnes
Bonjour,
En principe un/une psy a l'habitude de recevoir des adolescents qui se mutilent et ont des pensées suicidaires. Il est fondamental que vous lui en parliez, sinon, je me demande bien ce que vous pouvez lui raconter ... Avez-vous une sensation de confiance avec elle ? Si vraiment vous craignez qu'elle en parle à vos parents, reposez-lui la question avant de lui en parler.
J'imagine que vos parents savent que vous voyez une psy, ils doivent bien se douter que vous avez quelques difficultés, non ?
Bien à vous
Sylvie Protassieff
10 DÉC. 2019
· Cette réponse a été utile à 2 personnes
Bonjour Sbzn,
La mutilation n'est pas une addiction. En revanche, c'est une compulsion qui vous permet de faire tomber la pression intérieure que vous ressentez (conflit psychique). Il est important que vous puissiez en parler à votre psy car c'est un élément important qui peut l'aider à mieux vous comprendre, et vous pouvez lui demander la confidentialité sur ce point.
Souvenez vous que votre psy n'est pas là pour vous juger mais pour vous aider et vous accueillir telle que vous êtes.
10 DÉC. 2019
· Cette réponse a été utile à 9 personnes
Bonjour,
Il faut que l'on puisse vous aider ! Ne tardez pas à parler à votre psy, parlez lui aussi de vos inquiétudes par rapport à vos parents, de votre peur de vous sentir jugé(e). Si c'est difficile, écrivez ce que vous aimeriez lui dire, cela vous aidera le jour de votre rendez-vous.
Quand une partie douloureuse en nous prend toute la place, il nous est difficile de voir le monde avec d'autres facettes. Nos émotions, notre regard, nos manières de penser s'orientent dans la même direction. Et bien sur, c'est normal, on pense que les autres nous regardent de la même façon.
Soyez certaine (certain?) que bien d'autres parties existent en vous que vous avez d'ailleurs surement déjà exploitées !
Bien sincèrement, Madame Domer
10 DÉC. 2019
· Cette réponse a été utile à 4 personnes
Bonjour,
Alors votre psy ne vous jugera pas, elle est là pour tout entendre, et écouter ce que vous avez à lui dire, et c'est cela qui lui permettra de vous aidez au mieux.
Pourquoi vous est-il difficile de lui en parler, vous n’êtes pas alaise avec elle? Et les séances sont confidentielles, elle ne peut pas répéter ce qui est dit en consultation.
Pouvez-vous en vous centrant sur vous voir à quel moment vous êtes passée à l'acte (scarifications) pour la première fois? Si vous pouvez voir l'être que vous étiez à ce moment là, demandez lui pourquoi elle fait cela, que ressent-elle ?
Je vous invite cependant à en parler rapidement à votre psy.
Cordialement
Nelly Winter . aide psychologique et psychopraticienne en Maïeusthésie . Bordeaux et alentours
10 DÉC. 2019
· Cette réponse a été utile à 1 personnes
Bonjour
La question qui m’apparaît, c'est: est-ce que vous avez du mal à faire confiance à votre psy?
Peut-être pourriez-vous lui dire.
De là en sortira un échange avec elle, intéressant.
Et vous verrez bien, alors, si vous vous sentez assez bien dans cette relation thérapeutique, pour pouvoir vous ouvrir davantage, auprès d'elle.
Bien à vous.
Inès AVOT
10 DÉC. 2019
· Cette réponse a été utile à 2 personnes
Bonjour,
Elle ne va rien penser à part à la meilleure façon de vous aider. Le psy n'est pas la pour juger c'est une sorte de " blouse blanche" donc neutre mais avec bienveillance et empathie, son travail c'est de vous écouter vous apporter du soutien afin que vous trouviez le chemin du mieux être et parfois des conseils utiles et avisés. il est "nécessaire" que vous lui parliez de tout ce qui vous pose soucis car elle ne peut pas deviner, elle travaille à partir de ce que vous lui dites si vous ne lui dites pas elle ne pourra pas faire correctement son travail et donc vous aider. Alors pensez à vous et acceptez qu'elle vous aide en lui faisant part de tout ça et de votre peur concernant vos parents.
bien cordialement
9 DÉC. 2019
· Cette réponse a été utile à 1 personnes
Bonjour,
Si vous ne parlez pas de vos problèmes de scarification et de pensées suicidaires, de quoi allez vous parler avec votre psy ? De choses sans importance pour vous (et donc pour le psy) ? A quoi vont servir les séances ?
En fait, n'êtes-vous pas très soucieuse de l'opinion des autres (ici celle de votre psy) ? Votre peur de ce que votre psy va penser de vous ne reflète peut-être que votre propre jugement : "je n'arrive pas a penser positif", dites-vous, comme si c'était une faute de ne pas penser positif. Vous vous jugez sévèrement et pensez que les autres (et même votre psy) en feront de même. Ou bien encore, l'image que les autres ont de vous est tellement importante que vous ne supportez pas de parler de ces choses difficiles et que vous jugez peu valorisantes.
A vrai dire, un psy est justement là pour entendre tout cela et vous aider avec tout cela, c'est son job :)
9 DÉC. 2019
· Cette réponse a été utile à 4 personnes
Bonjour,
Comme je trouve dommage de ne pouvoir parler de ses problèmes quand on va voir une psy.
La scarification est un trouble qui reflète souvent un trouble dépressif. Qu'est ce qui vous bloque à lui en parler ? Vous ne lui faites pas confiance ? vous ne vous sentez pas à l'aise avec elle ?...
Elle ne va rien penser de vous, elle est là pour vous aider. Les séances sont confidentielles et elle ne doit pas en parler à vos parents.
Vous ne précisez pas votre âge, avez vous identifié pourquoi vous vous faites du mal ?
Cordialement
Nathalie FOLLMANN - Hypnothérapeute clinique à CLICHY