Ma copine est enceinte de moi et elle veut me quitter. Elle a fait exactement la même chose avec son premier enfant, de son ex-compagnon.
Nous sommes ensemble depuis 5 ans, nous avons décidé d'avoir cet enfant ensemble. Et maintenant, elle me dit simplement qu'elle ne veut plus continuer avec moi, qu'elle ne me voit pas en père de son enfant. Je n'arrive pas encore à y croire et je ne sais pas quoi faire.
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13 MARS 2013
· Cette réponse a été utile à 4 personnes
Bonjour Martin,
Voilà une position bien inconfortable que la votre. D'après ce que vous semblez penser, ce mode de fonctionnement est récurrent chez votre compagne et demanderait à être travaillé de son côté avec un professionnel compétent.
Je pense cependant que vous pouvez lui proposer d'engager ensemble un suivi de couple qui vous permettrait certainement de comprendre ce qui la pousse à partir, et de lui faire part de vos ressentis, tout en étant guidés dans cette démarche par un spécialiste.
N'hésitez pas à nous faire part de l'évolution de votre situation.
15 MARS 2013
· Cette réponse a été utile à 2 personnes
Bonjour Martin,
J'entends bien votre détresse et votre incompréhension face à la situation. Effectivement, il s'agit de vous protéger tant psychologiquement que juridiquement. À mon sens, agissez sur plusieurs fronts.
Peut-être ouvrir la discussion avec votre copine, sur ses fuites répétitives, l'image qu'elle a du père et de la relation à 3. Ce serait dommage pour elle de vivre la même chose qu'avec son premier enfant et qu'avec son ex-compagnon... Vous pouvez lui soumettre cette notion.
Une consultation spécialisée serait à envisager à votre domicile, pour que vous-même et votre copine puissiez vous exprimer et envisager une décision ensemble.
Quoiqu'il en soi, en tant qu'homme et (futur) père, vous avez des droits. Ne délaissez pas cette piste.
13 MARS 2013
· Cette réponse a été utile à 3 personnes
Bonjour Martin,
Outre l'aspect relationnel, psychologique, tel qu'évoqué par mon collègue, je me demande s'il ne faudrait pas vous renseigner sur les possibles conséquences juridiques si jamais votre amie venait à prendre des décisions imprévisibles.
Il y a les CIDFF (qui ne s'adressent d'ailleurs pas qu'aux femmes), les permanences juridiques dans certaines mairies, les services sociaux, etc.
Car, outre les interrogations d'ordre psychologique que l'on peut avoir légitimement sur son attitude, il ne faudrait pas qu'en plus vous ayez à subir des prises de décisions qui pourraient vous pénaliser ou vous mener dans des impasses à moyen ou long terme.
