Ma famille me fais culpabiliser

Bonjour,
Il est important que vous fassiez les choses en fonction de votre bien-être. Le simple fait que vous ne puissiez rien faire sans que l'on vous fasse culpabiliser ou qu'on vous fasse des reproches est à prendre en considération.
Ecoutez vous, faites vous confiance, il n'y a que vous qui sachiez ce qui est bon pour vous...
Si votre famille n'arrive pas à gérer votre éloignement et ressent ce besoin de vous piquer, c'est que cela devient LEUR problème et non le vôtre.
Comment vous sentez vous en leur compagnie ? Vous sentez vous comprise ? Etes vous entendue ? Soutenue ?
Il est important de tout prendre en considération pour vous aider à prendre une décision.

Mélissa - Shiva Coaching
Coach développement personnel / mieux-être
Thérapie en ligne

Bonjour Sarah,

Votre situation est certes délicate mais ressemble à beaucoup d’autres. Il y a d’une part une tendance à la culpabilisation et au chantage affectif du côté de votre mère et votre grand-mère, ce qui visiblement fonctionne plutôt bien (probablement puisque vous avez dû y être habituée depuis toujours) et de l’autre votre volonté de trouver un équilibre dans votre décision pour respecter votre belle famille et le souhait de votre mari de se rapprocher d’elle. Tout est une question de positionnement.

Si je vous avais en face de moi, ma question serait : qu’est-ce qui vous retient d’assumer votre décision ? Pourquoi l’égoïsme de votre mère et votre grand-mère a-t-il une telle importance pour que le votre et celui de votre « petite » famille devraient être ébranlés par cette stratégie de manipulation émotionnelle ? Jusqu’à quel point y a t il emprise sur vous et votre jugement ? Si au fond de vous vous sentez que vous savez ce qui est le mieux pour votre famille et la manière dont vous souhaitez vivre, alors il faut que vous trouviez le moyen de l’assumer. Quelle serait les pires conséquences à vos yeux…? À partir de quelle décision ? Bref, soyez honnête avec vous et courageuse dans vos choix. Il n’y a pas de réponse magique ni de recette universelle pour faire face à l’égoïsme et au chantage affectif des gens, famille ou pas. On ne peut pas les changer, par contre on peut changer notre rapport à ces gens et à leur manière de communiquer.

Occupez-vous de vous, détachez-vous de cette emprise par la culpabilisation et le chantage affectif. Faites un travail sur vous, en vous faisant accompagner d’un professionnel (coach ou thérapeute), pour vous aider à prendre de la distance et à vous reconnecter à vos valeurs et votre identité profondes, et à faire les meilleurs choix pour vous.

Si jamais vous souhaitez en discuter plus en détail, par écrit ou par téléphone, n’hésitez pas.

En ce qui me concerne, je suis psycho praticien (TCCE : thérapies cognitives, comportementales et émotionnelles), coach (PNL : programmation neuro-linguistique) et maître en philosophie. Je peux vous proposer des séances à distance et/ou dans mon cabinet.

Bonjour Sarah,

A par poser vos limites afin que votre entourage comprenne qu'il n'a pas à prendre le contrôle sur vous, il me semble qu'il n'y a pas d'autre solution car cela est normal que ça vous atteigne... ce sont des paroles tellement violentes! C'est beau que vous respectiez cette demande de votre mari et que vous soyez dans un esprit d'équipe en quelque sorte. Si votre famille n'est pas capable de voir l'intention qui se cache derrière ce déménagement, cela est compliqué mais n'enlève rien au fait que vous avez le droit de faire vos choix en conscience et par amour. Je vous encourage vivement à travailler cette culpabilité afin de ne plus laisser votre entourage essayer de prendre le contrôle sur vos décisions



Julia Bouchinet
Je suis à votre écoute si vous souhaitez approfondir vos questionnements, en toute bienveillance

Bonjour Sarah,

J'imagine que vous étiez très proche de votre mère et grand mère même géographiquement pour que 3h de route crée un tel bouleversement!

A 33 ans, je pense qu'il est temps de "défusionner" et de vivre ce que vous avez envie de vivre. Votre mère et votre grand mère ont elles aussi le droit de faire des demandes, d'être tristes, mais pas de faire du chantage affectif. Elles doivent au contraire vous aider à trouver ensemble des moyens pour vous permettre de rester en contact sans que cela vous nuise.

D'autant plus que maintenant il existe des moyens numériques comme SKYPE ou autres pour maintenir des liens même à distance.

Je reste à votre écoute avec bienveillance

Edith Entringer

Bonjour Sarah,

Merci pour votre message et pour votre confiance.
Votre famille n'est pas responsable de vos émotions. Elle ne vous fait pas culpabiliser. Vous culpabilisez. C'est de l'ordre de votre responsabilité. C'est une entrée en matière un peu dure pour vous faire comprendre que, de la même manière, vous n'êtes pas responsable de ce que ressentent votre mère et votre grand-mère.

D'ailleurs que ressentent-elles ? Car dans votre récit, nous n'avons que les reproches et pas les émotions. Mais j'imagine que vous ne les avez pas non plus en réalité. Un reproche est une attente déçue. Une attente est un besoin qui n'est pas exprimé. Derrière les reproches, les jugements, les phrases blessantes, les membres de votre famille ont des besoins et des émotions qu'ils ne parviennent pas à exprimer et ils cherchent à vous en faire porter la responsabilité.

A l'origine de votre culpabilité, il y a votre désir de prendre les autres en charge, de faire en sorte qu'il se sentent bien, de satisfaire leurs attentes. Mais ça n'est pas votre rôle. Vous ne pouvez pas rendre les autres heureux, ou même malheureux, vous avez la responsabilité de vos besoins, et les autres des leurs.

Je vous invite à essayer de vous relier à ce que peuvent ressentir votre mère et votre grand-mère face à cette situation, pas à leurs jugements, mais juste à leurs ressentis, puis à leurs besoins. Essayez ensuite de mettre des mots auprès d'elles sur ce que vous aurez perçu. Vous allez ainsi leur donner de la compréhension, ouvrir une nouvelle manière de dialoguer. Quand elles se sentiront suffisamment écoutées, alors elles pourront vous donner à leur tour de l'écoute. Ca sera déjà un très bon début.

Je vous propose d'en échanger de vive voix pour vous aider à faire du tri dans tout ceci et à y voir plus clair sur la direction à emprunter. Cet échange est gratuit, si cela vous aide et si vous souhaitez poursuivre avec moi, j'en serais ravi. SI vous ne souhaitez pas poursuivre avec moi, vous aurez au moins des pistes de réflexion pour continuer à avancer sur votre chemin seule. Qu'en pensez-vous ?

Je reste à votre écoute.

Belle journée à vous !

Boris Amiot

Re bonjour Sarah,
Ma première réponse n'est pas parue, je pense que cela va être rectifié
Bien cordialement
Inès AVOT

Bonjour Sarah,
Votre famille a une grande emprise sur vous mais c'est vous qui, sans le savoir leur donnez ce pouvoir parce que votre sentiment de culpabilité se ressent et que votre entourage s'engouffre dans cette faille.
Il faut consulter pour sortir de cette fausse croyance : vous avez le droit de mener votre vie, de suivre votre mari.
C'est la peur du rejet qui se cache derrière cela. Vous devrez guérir vos blessures d'origine (petite enfance) et travailler votre posture d’affirmation. En prenant le risque d'être rejetée, vous vous dégagerez de l'emprise. En effet, si votre famille vous aime vraiment, le lien ne sera pas coupé. Mais il arrive que les proches soient dans un amour égotique, ce qui semble bien être le cas. Si vous les écoutez, vous vous placez dans une posture sacrificielle qui ne rendra personne heureux. Ni vous car vous serez frustrée, ni eux car vous leur ferez payer d'une manière ou d'une autre.
Si vous souhaitiez en savoir plus sur mon approche et mes techniques, n’hésitez pas à me demander un premier échange, gratuit et sans engagement.
Je consulte en présentiel ou par visioconférence.
Bien à vous
Véronique BLANCHE, Thérapeute Holistique
Guérison de l’enfant intérieur
Hypnose Ericksonienne
Soins énergétiques

Bonjour Sarah,

Votre témoignage est fort intéressant, il montre combien la dualité est enfermante.
Votre mère et votre grand-mère s'insurgent de votre choix de déménager en se focalisant sur la distance géographique. Elles ne voient que leur confort personnel, or la famille de votre mari est justement dans ce même cas actuellement. Comment votre mère et votre grand-mère peuvent-elles imaginer ce que vit votre belle-famille actuellement ? Si elles se mettent un instant en empathie avec cette belle famille, elles pourront mesurer quelle chance elles ont eu d'avoir été proches de vous pendant toutes ces 18 premières années.
Si elles se mettent un instant en empathie avec vous, elles pourraient se réjouir d'avoir une fille, des petites filles. Elles pourraient se réjouir de votre bonheur et vous accompagner dans vos choix.

Je vous invite à découvrir la CNV Communication Non Violente, qui pourrait vous permettre dans un premier temps de voir comment vous vous sentez avec cette situation et de voir les besoins qui sont satisfaits ou insatisfaits pour vous. Puis faire de même pour votre mari, vos filles, votre mère, votre grand-mère.
Cela vous permettrait d'alléger votre culpabilité, de regarder ce qui fonctionne, de retrouver votre liberté et votre libre arbitre en toute sérénité.

Je reste à votre disposition pour vous accompagner plus profondément avec cet outil si vous souhaitez.
Claire Thomas
Psychosomatothérapeute

Bonjour Sarah,
Merci de votre message.
Vos mère et grand-mère ne sont pas très adultes sur ce sujet.
Ce qui m'interpelle, c'est que vous soyez si fort touchée par leurs propos. Comment se fait-il que vous soyez si atteinte?
Je vous encourage à travaille ce point, afin de vous libérer et de vivre pleinement votre vie de famille, comme vous l'entendez.
Avec plaisir je vous y aide, en présentiel ou visio
Bien cordialement
Inès AVOT

Bo.jour Sarah,
Votre mère et votre grand-mère expriment leur manque et leur peur de ne plus vous voir, vous et leurs petites filles, d'une manière culpabilisante. Elles vivent de l'abandon et ont besoin d'être rassurées. Vous êtes adultes et vous avez le droit de vivre votre vie comme vous l'entendez avec votre mari. Actuellement vos peurs sont réveillées : peur d'être jugée, d'être considérée comme une méchante fille, d'être rejetée, de faire souffrir, de perdre l'amour de votre famille... Et vous culpabilisez. Partir, c'est aussi vous émanciper, c'est grandir, couper le cordon, c'est oser malgré la peur de la désapprobation de ses parents.
Je suis à votre disposition si vous souhaitez en parler.
Chantal JEAN
Thérapeute en Relation d'Aide
Séances en face à face dans mon cabinet à Paris 5e ou en visioconférence sur Skype ou Messenger

bonjour,

Merci de nous adresser votre témoignage.

Votre mère et votre grand-mère ont le droit d'être triste et ou en colère de ne pas vous voir et voir vos filles.
Cependant, leur attitude envers vous est injuste.
Il y a de bien meilleures façons d'être en relation avec sa famille que de leur faire ressentir de la culpabilité et vous le faire payer en étant passif-agressif avec vous.

Cette histoire est peut-être l'arbre qui cache la forêt. Le coté POSSESSIF est très présent dans votre témoignage.
Et je peux comprendre les raisons qui vous ont poussé à vous éloigner de 3h de votre mère et de votre grand-mère.

Si vous faisiez tout ce qu'elles demandent, arriveriez-vous seulement à les satisfaire ?
La culpabilité que vous ressentez dépend de leur impossibilité à être satisfaite.

je reste à votre disposition.

Bonjour Sarah,

Lorsque je vous lis, je comprends que votre entourage exprime clairement ses demandes. Et vous que souhaitez vous dans tout cela ?
Il s'agit de votre vie, n'est-ce pas ?
Ne plus culpabiliser, passe par être conscient de ses propres besoins et savoir les faire respecter avec bienveillance.
Un accompagnement thérapeutique peut vous aider dans cette voix.

N'hésitez pas à m'écrire si vous souhaitez en discuter.

Bien à vous

Brigitte Bizeul
Coach et thérapeute

Bonjour Sarah
Pas facile de couper le cordon, j'en sais quelque chose..
On se croit adulte mais ...c'est incroyable ce qu'une éducation marque et peut faire comme dégâts.
Se libérer, croire en vous en vos capacités. Prendre du recul avec cette pression exercée, ce chantage même..
Le travail à faire est sur vous et votre confiance et vous trouverez les mots et l'attitude à avoir vis à vis de votre famille
C'est mon metier que vous accompagner sur ce changement
Bien à vous
Françoise

Bonjour Sarah,
Ce n'est ni la distance ni la proximité qui créer la qualité du lien affectif.
Je vous propose de découvrir, avec l'Analyse Transactionnelle, une approche pour comprendre ce qui se dit vraiment dans un échange, comment contrer les verbatim culpabilisant et surtout, comment comprendre le véritable besoin de l'autre tout en écoutant le sien. cela permettrait d'échanger avec plus d'authenticité sur ce que chacune vit réellement : de la peur? De la colère?
Je suis disponible si vous souhaitez que je vous présente cette approche et vous accompagne à tisser des lien d'amour avec votre entourage.

Bonjour,

Je comprends votre tristesse et votre colère, il est compliqué d’avancer paisiblement avec autant de réflexions pessimistes. Cependant, aujourd’hui vous êtes grande pour prendre vos propres décisions. Les décisions qui seront bonnes pour vous, votre mari et toute votre petite famille.

Dans ce cas, ce que votre mère et grand mère vous reprochent, la famille de votre mari pourrait également lui reprocher si ils avaient la même réflexion non? Donc il serait légitime de partir les voir non? Enfin ce que je veux dire par la, c’est que votre famille ne peut pas vous contrôler constamment, même si en soit la cause est qu’ils ont peur de vous voir partir et les oublier, la démonstration elle par culpabilité n’est pas terrible…

Je vous invite à discuter avec eux avec bienveillance et les rassurer.
Je reste disponible en privé si vous souhaitez échanger,
Krystel Berlan,
Psychologue Positive

Bonjour Sarah,

Je peux vous conseiller d'avoir recours la CNV
Communication Non Violente afin de communiquer
sans que votre mère ou grand mère ne se sentent
agressées verbalement.

Prenez soin de vous

Karine Lozano Art-thérapeute et coach en psychologie positive.