Bonjour
Notre fille de 29 ans est revenu vivre à la maison depuis bientôt 2 ans . Elle devait se refaire une santé financière c’est ce qu’elle a voulu nous faire croire. À aujourd’hui elle n’a travaillé même pas un mois nous vivons dans les insultes du matin jusqu’au soir . Elle se permet de nous reprocher ça situation, que nous sommes les uniques responsables son père et moi . Elle insulte ça soeur, son petit frère de 14 ans .
C’est la seule de la famille qui se permet de se lever à 12 h pendant que nous nous travaillons. Elle ne participe en rien dans le quotidien de la maison.
Elle veut vivre en marge de la société en nous disant que nous sommes des capitalistes.
Il faut savoir que nous avons des problèmes depuis sont adolescents, nous avons essayé à de nombreuses reprises de l’emmener chez un psychologue. Elle l’a toujours refusé. Nous avons essayé de lui expliquer qu’elle avait besoin de se faire aider. Elle refuse encore et encore. Nous lui avons proposé une thérapie familiale pour comprendre comment nous en sommes arrivés là. Elle refuse aussi. À aujourd’hui après 2 ans d’insultes très très grave. Mon mari a craqué lui a levé l’a main dessus. Elle m’a traité de grosse pute. Elle m’a cracher à la figure. En me disant que tout ça était de ma faute.
Mon mari l’a foutu à la porte . Elle n’a pas d’endroit où aller, une voiture prête à aller à la casse et bien sûr elle l’a deux chiens, que nous avons aussi supporté pendant ces deux années.
Pouvez-vous nous aider ?
Merci.
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10 MARS 2025
· Cette réponse a été utile à 5 personnes
Bonjour Madame,
Je suis profondément touchée par votre partage. Votre situation est difficile à vivre, et je comprends à quel point cela doit être douloureux pour vous de savoir votre fille « à la rue ».
J’ai beaucoup d’admiration pour vous, car malgré tout ce que vous avez traversé ces deux dernières années, vous êtes toujours là, prête à l’aider. Malheureusement, comme vous l’exprimez, votre fille refuse toute aide, qu’il s’agisse d’un suivi psychologique ou d’une thérapie familiale que vous lui avez proposée. À 29 ans, elle est la seule à pouvoir décider de demander du soutien, et personne ne peut l’y contraindre – c’est une réalité difficile à accepter, je comprends.
Dans cette épreuve, la seule chose que vous puissiez faire est d’accepter ses choix tout en posant des limites pour vous protéger de ses violences. En la mettant à la porte, vous prenez une décision difficile mais nécessaire. D’une certaine manière, c’est aussi une forme d’aide : en cessant de la prendre en charge, vous la placez face à ses responsabilités et à la nécessité de trouver ses propres solutions. Peut-être que cela lui permettra, avec le temps, de se remettre en question…
De votre côté, il serait sans doute bénéfique de vous entourer de soutien afin de traverser cette période avec plus de sérénité. N’hésitez pas à vous faire accompagner si vous en ressentez le besoin.
Je vous souhaite beaucoup de courage et le meilleur pour la suite.
Chaleureusement,
Aline Caprara
Thérapeute en relation d’aide formée à l’ANDC
2 AVRIL 2025
· Cette réponse a été utile à 1 personnes
Bonjour,
la situation que vous vivez est extrêmement difficile et épuisante émotionnellement.
Il semble que votre fille traverse une grande détresse, mais son comportement est destructeur pour toute la famille.
Vous avez essayé de l’aider et de lui proposer un accompagnement, mais elle refuse toute prise en charge.
A ce stade, il est essentiel de poser des limites claires pour préserver votre équilibre familial.
Vous ne pouvez pas l’aider contre son gré, et tolérer les insultes et la violence n’est pas une solution viable.
Une médiation familiale ou un accompagnement pour vous-mêmes (et vos autres enfants) pourrait vous aider à gérer cette situation avec plus de sérénité.
Vous avez le droit de protéger votre foyer et votre bien-être.
Je me tiens à votre écoute et à votre disposition.
Magali Bagot
Psychopraticienne (Val d'Oise et en visio)
12 MARS 2025
· Cette réponse a été utile à 2 personnes
Bonjour et merci pour votre message.
Ce que vous vivez est d’une violence inouïe, et je ressens à quel point vous êtes à bout. Deux ans à supporter des insultes, des tensions quotidiennes, une absence totale de respect… jusqu’à ce que la situation explose. Vous avez tout essayé : la compréhension, l’aide, la thérapie, le dialogue. Mais aujourd’hui, vous vous retrouvez face à un mur et à une souffrance immense.
Cette situation ne s’est pas construite en un jour. Votre fille porte une colère qui ne trouve pas de sortie autrement que par l’agression, et vous en faites les frais. Elle vous tient pour responsables, elle vous accuse de sa situation, et pourtant elle ne prend aucune responsabilité pour elle-même. Son rejet du système, son refus d’adhérer aux règles de la maison, son rejet de l’aide qu’on lui propose… tout cela montre qu’elle est enfermée dans un schéma où elle se positionne en victime et vous en bourreaux.
Mais la vraie question aujourd’hui, ce n’est plus elle. C’est vous.
Votre famille ne peut pas continuer à subir ce chaos. Votre fille est adulte. Elle a fait le choix de ne pas travailler, de ne pas prendre soin d’elle, de ne pas chercher de solutions. C’est dur à entendre, mais vous ne pouvez plus porter cela à sa place.
Votre maison est un lieu de vie, pas un champ de bataille. Et aujourd’hui, votre priorité doit être de vous protéger, vous et les autres membres de la famille. Cela ne veut pas dire couper le lien définitivement, mais cela veut dire poser des limites claires. Vous n’avez pas à accepter la violence, l’irrespect, la culpabilisation.
Elle a été mise dehors, et c’est un choc. Pour vous aussi. Mais peut-être que c’est le seul électrochoc qui pourra lui faire comprendre que le monde ne fonctionne pas ainsi. Elle a des choix à faire. Vous ne pouvez plus les faire à sa place.
Mais vous aussi, vous avez besoin d’aide. Cette situation a laissé des blessures profondes en vous. Comment reconstruire un équilibre après autant de violence ? Comment ne pas s’effondrer sous la culpabilité ?
Si vous ressentez le besoin de faire le point, de retrouver une posture plus sereine et de vous reconstruire après ces deux années de tensions, je vous invite à réserver une séance offerte. Ce n’est pas seulement votre fille qui a besoin d’aide. Vous aussi, vous méritez d’être accompagnés dans cette épreuve.
12 MARS 2025
· Cette réponse a été utile à 0 personnes
Bonjour et merci pour votre message. Chaque individu vit à travers un projet sens, c'est ce qui lui donne envie de créer et d'être présent dans une activité et d’être apaisé dans son existence. Dans la situation de votre fille, il s'agit d'une perte de sens. Il y a beaucoup de frustrations refoulées et un sentiment d'injustice présent depuis sa tendre enfance. Elle a des failles narcissiques et des carences affectives. Je note aussi de l'impatience chez elle. Il y a différentes origines à l'impatience. Quand il s'agit de l'exécution de son projet sens, il s'agit davantage d'une peur de la mort. L'individu devient très pressé et très exigent à se réaliser. Il a le sentiment que le temps passe très vite. Il faut (fausse obligation) faire très vite. Le licenciement, la perte d’un emploi, la séparation, le divorce, le décès d'une idole, une perte, entraîne chez certains individus cette perte de sens. Ils se sentent totalement perdus. Ils ne savent plus à qui ou à quoi s'identifier.
Explication succincte :
Il est très important de comprendre que chaque individu mémorise chaque instant de sa vie. Vous pensez avoir oublié, eh bien, ce n'est pas le cas. Notre existence commence au début de notre conception et ne s'arrête qu'une fois décéder. Chaque individu est influencé par ce qu'il ressent durant cette période. La construction de cet individu se réalise entre les 12 mois avant et 12 mois après sa naissance, cela s'appelle les fondations de l'être. L’individu détermine de manière inconsciente un projet sens à réaliser. Très souvent, il reprend le projet sens de ses parents (les attentes et les désirs inconscients) par loyauté et fidélité. Il se crée d'énormes attentes, ce qui va lui demander de s'appliquer une très grande exigence (l'injonction du "Soit parfaite").
La psychologue clinicienne, Marie-Noëlle Maston-Lerat, a réalisé un excellent ouvrage sur le sujet.
Aujourd'hui, votre fille vit de la déception, de la désillusion. Elle a beaucoup de colère, de rancœur, de frustrations et de la peur, par rapport à la perte de sens de son existence.
Ces émotions contribuent à alimenter ses injonctions (soit parfaite, soit forte, fait un effort, fait plaisir), ses distorsions (raisonnement dichotomique : bien et mal) et ses dissonances cognitives ainsi que ses biais cognitifs de confirmation et de cause unique.
Lorsqu'un individu est dans cet état, cela ne sert à rien de le pousser. Cela ne fera qu'amplifier sa haine, sa honte, sa culpabilité, vis-à-vis de lui-même. Cela va accentuer son sentiment de rejet et d'injustice.
Dans le cas de votre fille, il s'agit de reprendre avec elle un grand nettoyage de ses mémoires émotionnelles, de se détacher de son projet sens originel et de le transformer, de l'accompagner à combler ses failles narcissiques et ses carences affectives afin qu'elle puisse retrouver un sens et un équilibre dans son existence.
Je rappelle que les parents ne sont pas fautifs de son état.
Chaque individu choisit son interprétation (les mémoires émotionnelles) de ce qu'il perçoit, de sa réalité.
Cependant, il est important que les parents acceptent d'être vulnérables et impuissants par rapport à cette situation, afin d'accompagner son enfant dans la compassion et la compréhension.
Je souligne que donner un sens à sa vie ne se limite pas à trouver un métier, un CDI, à acheter un appartement, à avoir un partenaire de vie, à faire des voyages ou autres… C'est bien plus complexe que cela.
Il s'agit de réaliser plusieurs aspects de soi. Cela demande de mieux se connaître et d'avoir conscience de son existence (valeur de soi) et de son histoire émotionnelle. Cela demande de l'investissement, de la persévérance, de la patience et beaucoup de compassion pour son apprentissage.
La transformation de soi reste complexe et demande d'être accompagnée.
Je suis à votre disposition pour tout complément d'information.
Bien à vous,
Jonathan Desjours - Coach et thérapeute de l'inconscient.
12 MARS 2025
· Cette réponse a été utile à 0 personnes
Bonjour Madame,
Votre fille aînée est certainement psychologiquement fragile et actuellement déstabilisée (en dépression ?!) par quelques événements qui ont précédé son retour à la maison.
Ceci étant, il y a toute une histoire familiale de vos rapports et l’éducation que vous lui avaient donné qui joue dans la situation actuelle : comment sa fait que vous avez accepté tout son comportement depuis 2 ans ?!
Avez vous discuté avec elle de sa situation, de ce qu’elle devait faire pour retrouver un travail, les pistes de recherche, sa discipline de vie ?
La mettre à la porte en sachant qu’elle n’a aucun autre toit est un peu extrême et brutal tout d’un coup…
Vous avez bien besoin d’une thérapie familiale, qui peut commencer par une thérapie de votre couple parental, pour apprendre comment parler et imposer des règles de vie à cette jeune femme perdue… et qui déverse sa colère (contre « la société »…) sur vous, puisque vous êtes à proximité.
Vous pouvez d’ailleurs ensuite lui poser comme condition d’habiter chez vous le fait de vous accompagner pour faire cette thérapie familiale, en l’encourageant de participer pour exprimer tous ses griefs contre vous.
Je vous souhaite d’arriver à aider votre fille aînée à retrouver une autonomie et une indépendance financière et affective, et à se construire une vie à soi satisfaisante.
sp
12 MARS 2025
· Cette réponse a été utile à 0 personnes
Bonjour,
La situation que vous décrivez est extrêmement éprouvante pour toute la famille. Il est compréhensible que vous vous sentiez à bout.
Il est essentiel de poser un cadre avec des règles précises sur la cohabitation (participation aux tâches, respect mutuel, horaires…). Définissez ensemble les conséquences en cas de non-respect de ces règles (trouver un autre lieu de vie, etc.)
Votre fille rejette la responsabilité sur vous, ce qui peut être une stratégie d’évitement. Essayer d’argumenter avec elle risque d’alimenter les conflits. Travaillez sur votre posture émotionnelle pour ne pas entrer dans l’engrenage de la culpabilité ou de la justification.
La colère et l’épuisement peuvent pousser à des réactions regrettables, mais il est essentiel d’éviter toute escalade. Si la tension devient trop forte, mettez en place des stratégies pour prendre du recul (s’éloigner temporairement, respirations profondes, exercices de gestion du stress…).
Il est important que votre deuxième fille et votre fils ne soit pas impliqués dans cette spirale de violence verbale. Assurez-vous qu’ils puissent exprimer leurs émotions et se sentir en sécurité.
Même si votre fille refuse toute aide, vous pouvez consulter un thérapeute de votre côté pour mieux gérer la situation et retrouver un équilibre familial. Une approche thérapeutique pourrait vous aider à exprimer ce que les mots ne parviennent pas toujours à dire et à relâcher les tensions accumulées.
Vous n’êtes pas seuls. Si vous ressentez le besoin d’un accompagnement pour retrouver un mieux-être et poser un cadre plus serein.
Prenez soin de vous.
Betty
thérapeute (psychothérapie, art-thérapie, thérapie cognitive et comportementale)
suivis en ligne
10 MARS 2025
· Cette réponse a été utile à 0 personnes
Bonjour Sylvie,
Cette situation était effectivement un calvaires pour toute la famille. Se faire traiter de la sorte, pendant 2 ans a du être une sacrée épreuve.
Votre fille à l'air très activée sur le plan émotionnel. Sa colère n'est que le symptôme de son trouble. La peur engendre souvent cette fichue colère. Vous me dites qu'elle avait déjà cette activation à l'adolescence... C'est donc avant cette période qu'il faudra travailler, si elle l'accepte.
Son père n'a fait que mettre un terme à cette souffrance familiale. Il ne faudrait pas l'en blâmer. Protéger, c'est ce qu'il a fait. Le moyen employé était la solution pour sauver le reste de la famille. La colère refoulé de son père n'a fait qu'acroitre son agressivité.
Pour le moment, c'est de vous qu'il faut prendre soin. Votre famille a besoin de repos.
Vous pouvez faire une thérapie familiale sans elle, pour que chacun exprime sa colère, sa peur, sa tristesse. Ajuster, vous remettre tous les 4 de ces 2 années.
Comprendre que chacun a fait ce qu'il pouvait face à cette violence, et qu'il n'est pas dans votre pouvoir de changer votre fille. Elle seule a les commandes de son propre navire, comme nous tous.
Je suis disponible si besoin.
Avec toute mon empathie.
10 MARS 2025
· Cette réponse a été utile à 0 personnes
Dans de nombreux cas, une thérapie familiale peut aider à ouvrir des canaux de communication, résoudre des conflits et permettre à chaque membre de mieux comprendre les attentes et les frustrations des autres.
Avant tout, essayons de comprendre ce qui a poussé votre fille a revenir chez vous. Est-ce réellement lié à des problèmes financiers, ou à d'autres difficultés personnelles, des conflits, ou un manque de soutien dans sa vie personnelle, affective. A-t-elle une vie sociale?
Il est crucial d'avoir des conversations ouvertes avec elle, vous dites qu’elle refuse de consulter, de discuter, en connaissez-vous les raisons. Essayez de comprendre pourquoi elle ressent le besoin de revenir chez vous, a-t-elle besoin de vous pour se rassurer? alors qu'est ce qui la pousse a vous traiter de la sorte? (comportements violents ou insultants). Il peut y avoir des frustrations profondes ou des ressentiments non exprimés.
Les insultes et le manque de respect ne sont jamais acceptables. Il est essentiel de mettre en place des règles de respect mutuel. Pensez Vous pouvoir établir un dialogue et lui exprimer clairement ce que vous attendez d'elle en termes de comportement et d'attitude?
Pensez-vous pouvoir vous réunir chez un thérapeute familial pour restaurer une communication et vous donner l’occasion de tout mettre à plat. C'est avec l’aide d’un thérapeute familial, dans un autre cadre, qu’il est possible de dénouer les tensions et probablement de trouver des solutions adaptées.
Lui avez-vous exprimer oralement votre refus de subir une telle situation? Et que de tels comportements (insultes) ne sont pas tolérés et les conséquences qui peuvent en découler.
Émotionnellement : a-t-elle des sentiments tels que de la frustration. Elle paraît en colère, mais encore !
Et vous que ressentez-vous? De la frustration ,de la honte, de la colère, de la culpabilité?
Quelle est la source de ce conflit?
Je souhaite diriger votre réflexion sur ce qui se cache derrière ce comportement. En effet, il est important de ne pas seulement réagir aux insultes. Même si c’est une situation difficile a vivre et que la réaction de Monsieur était impulsive et légitimée par l'excès de violence verbale de votre fille.
Je vous invite à contacter un thérapeute familial, mon cabinet est à votre disposition, un entretien avec les membres de la famille, aussi bien, vous les parents, que les membres qui sont témoins de ces scènes de violence verbale, car eux aussi sont impliqués et souffrent de cette situation en silence, mais cela les marque tout de même.
En somme, il faut beaucoup de patience et de compréhension de part et d’autre. Cette situation peut être difficile, mais avec du dialogue, des limites claires, et du soutien extérieur, il est possible de restaurer un climat plus sain dans la famille
J'espère vous avoir aiguillé.
10 MARS 2025
· Cette réponse a été utile à 1 personnes
Bonjour,
Ce que vous traversez semble extrêmement éprouvant, et on sent dans votre message une grande détresse ainsi qu’une accumulation de tensions sur plusieurs années. Vous avez essayé de tendre la main à votre fille à plusieurs reprises, mais elle rejette votre aide tout en vous tenant responsables de sa situation. Aujourd’hui, la violence, verbale et physique, a franchi un seuil qui devient insoutenable pour tout le monde.
Votre fille exprime une immense colère, mais derrière cette colère, il y a probablement de la souffrance qu’elle ne sait pas mettre en mots autrement. Vous-même, vous vivez cette situation avec un mélange d’épuisement, de tristesse et de colère. Et face à ce conflit qui s’aggrave, la question est peut-être : comment poser un cadre clair tout en restant alignés avec ce que vous voulez vraiment pour vous et votre famille ?
Des gestes et des paroles violentes ont été échangés, et même s’ils ne sont pas appropriés, ils appartiennent désormais au passé. Vous ne pouvez pas revenir en arrière, mais rien n’est jamais figé. Il viendra un temps où chacun pourra prendre du recul, reconnaître sa part de responsabilité et, si c’est possible, reconstruire quelque chose sur de nouvelles bases. Mais pour l’instant, l’urgence est ailleurs : comment faire pour sortir de ce cercle de souffrance et retrouver un équilibre ?
Vous ne pouvez pas forcer votre fille à accepter une aide qu’elle refuse, mais vous pouvez décider de ce que vous acceptez ou non dans votre maison. Poser une limite ferme – sans violence mais avec clarté – est parfois nécessaire pour se protéger et rétablir une forme de respect mutuel. Lui dire, par exemple : "Nous comprenons que tu es en difficulté, mais nous ne pouvons plus vivre dans un climat d’insultes et de violence. Nous sommes prêts à discuter avec toi si tu veux chercher des solutions, mais nous ne pouvons pas continuer ainsi."
Elle est adulte, et même si cela fait mal, c’est à elle de prendre la responsabilité de sa vie. Peut-être que la rupture actuelle, aussi brutale soit-elle, peut être une opportunité pour chacun de sortir de ce cercle vicieux et de prendre du recul.
Vous avez aussi le droit de chercher du soutien pour vous-mêmes, que ce soit auprès d’un thérapeute, d’un groupe d’entraide ou d’un médiateur familial, même si elle refuse d’y participer.
Prendre soin de vous est essentiel dans cette période.
10 MARS 2025
· Cette réponse a été utile à 1 personnes
Bonjour.
Je suis désolé de lire que vous vous trouvez dans une situation aussi douloureuse, où toutes les solutions constructives que vous avez essayées et proposées n'ont pas abouti.
Les cohabitations peuvent être difficiles quand les valeurs, les attentes, ne sont pas les mêmes. Toutefois, ces difficultés ne peuvent se résoudre, sans que ce ne soit nécessairement facile pour autant, que dans le dialogue. Et le dialogue, tendu ou non, a l'inconvénient de n'être possible que si toutes les personnes concernées sont prêtes à y participer, ce qui dans la situation que vous décrivez n'est pas le cas de votre fille.
Par ailleurs, les insultes sont des violences verbales, et ne sont donc pas acceptables, quels que soient les reproches que votre fille a à vous faire. Il me semble particulièrement alarmant qu'elle, une adulte, insulte régulièrement son frère de 14 ans.
Vous vous retrouvez donc dans une impasse où soit vous vous retrouvez dans une situation invivable (ce que vous avez enduré pendant deux ans!), soit vous laissez votre fille dans une situation précaire. Je n'ose même pas imaginer à quel point il doit être douloureux pour vous d'être coincée entre ces deux alternatives.
Que l'attitude de votre fille soit ou non la conséquence d'un mal-être, il est très rarement fructueux d'amener en thérapie une personne qui n'a pas envie de changer. Vous avez même proposé une thérapie familiale, envoyant implicitement le message que vous n'estimez pas que le problème vient uniquement d'elle et que vous êtes prête à vous remettre en question si nécessaire.
Je n'ai malheureusement (et pourtant j'aimerais!) pas de solution à vous suggérer autres que celles que vous avez déjà mises en place. Une thérapie individuelle pourrait éventuellement vous aider, non pas à résoudre directement la situation avec votre fille, mais à prendre soin de vous et à mieux trouver l'attitude qui vous convient le mieux à vous dans le conflit intérieur que vous vivez.
Je vous envoie tout mon soutien.
Grégoire Taconet
Psychopraticien en Approche Centrée sur la Personne
Consultations en cabinet à Lyon, et en visio
10 MARS 2025
· Cette réponse a été utile à 1 personnes
Bonjour Sylvie,
Je comprends pleinement que ce soit très difficile pour vous et votre mari et aussi quelque part pour votre fille.
Pour en arriver à ce comportement, elle semble traverser des sentiments malaisants très forts en elle et ne trouve visiblement que cette manière violente de l'exprimer, même si cela ne justifie en rien les insultes et la violence qui restent inacceptables, cela traduit quelque chose de sous jacent.
Vous avez vous aussi le droit d'être en colère et de poser des limites sous votre toit tant pour elle que pour vous.
Aujourd'hui étant adulte, si elle refuse toute forme d'aide psychothérapeutique, notez que vous ne pouvez pas la forcer cependant simplement l'informer par exemple par message, que vous restez disponible et prête à l'accompagner si elle venait à changer d'avis.
En attendant je sais que cela reste très frustrant et d'une grande pénibilité.
D'un côté il y a cette jeune femme qu'elle est devenu et qui se déchaîne et de l'autre cette petite fille qui est la votre et dont, j'en suis certaine, vous aviez fait tout votre possible pour la choyer. Elle est en souffrance certes mais doit aussi comprendre qu'il y a des limites à ce que vous pouvez accepter.
Vous devez cependant protéger votre bien être émotionnel et partager cela dans le même sens avec les autres membres de la famille, surtout préserver le plus jeune de 14 ans.
A ce stade il peut être utile et pertinent et de consulter un professionnel de la santé mentale, même vous seule, pour avoir un soutien et des conseils sur la manière de gérer cette situation malaisante.
Je reste à votre disposition pour toute demande, je consulte en ligne à distance de n'importe où cela vous conviendra et je pratique la psychothérapie traditionnelle et la thérapie brève cognitive et comportementale (TCC).
10 MARS 2025
· Cette réponse a été utile à 1 personnes
Bonjour,
Je vous remercie tout d'abord pour ce message que vous nous transmettez.
J’ai l’impression que c'est vraiment lourd ce que vous vivez.
Pleins d'émotions sont présentes surtout dans cette idée où vous avez l’impression de laisser votre fille à la rue.
C'est important de vous rassurer sur votre rôle de mère, ainsi que celui du père.. vous avez fait ce que vous avez pu, vous l'avez élevé comme vous le pouvez, puis vous l'avez à nouveau héberger, sans qu'elle ne prenne en compte vraiment l’importance de l'impact sur votre vie aussi.
Je peux vous accompagner dans une meilleure compréhension de la situation, dans une libération émotionnelle de ce que vous avez pu vivre aussi, de vous apporter d’autres possibles perceptions pour pouvoir prendre en compte de nouvelles situations d’une autre manière.
Toutefois, si c'est pour votre fille, cela risque d'être compliqué car tant qu'elle ne souhaitera pas en discuter de son plein gré, un suivi ne sera pas pertinent.
Avec un suivi pour vous, vous pourrez possiblement gérer autrement les futures situations et lui permettre de prendre conscience de l’importance de déposer ses émotions d’une autre manière que dans ce genre de passages à l’acte.
10 MARS 2025
· Cette réponse a été utile à 2 personnes
Bonjour,
Son comportement est celui d'une adolescente mais qui a quand même 29 ans. Possiblement il y a un problème psychique mais si elle refuse de se faire aider cela est effectivement compliqué.
Vous ne pouvez pas supporter cette situation. Il faut lui expliquer qu'elle doit se prendre en charge et donc trouver un travail et un logement, que de toute façon vous ne voyez pas pourquoi elle reste à la maison puisqu'elle vous trouve si insupportables. Si elle est si forte que cela elle devrait être capable de vous prouver qu'elle peut vivre de manière autonome.
Organisez son départ dans la douceur. Ne vous justifiez pas à ses yeux. Elle a le droit de penser ce qu'elle veut de vous mais pour autant vous n'avez pas à la supporter.
Je reste personnellement à votre disposition, sachant que ma première séance d'une heure en visio est entièrement gratuite et sans engagement. Vous pouvez librement prendre un rendez vous sur mon agenda en ligne.
Bon courage à vous
Michel le BAUT
Psychopraticien
Thérapeute Jungien
Analyse de rêves
10 MARS 2025
· Cette réponse a été utile à 1 personnes
Bonjour Sylvie,
Je comprends votre sentiment d'impuissance, malgré le chaos que votre fille a décidé d'installer dans votre famille, vous semblez avoir une certaine maitrise de la situation, tout espoir n'est pas perdu. Vous lui avez offert tout ce qui est en votre pouvoir, un toit, un temps suffisant pour réfléchir à sa situation, un dialogue possible et une thérapie pour avancer objectivement ensemble.
Ce débordement découle de son mal-être et d'un cadre qui n'a peut-être pas été posé assez fermement au départ (cela est une hypothèse car je n'ai pas toutes les informations en ma possession). Si elle souhaite revenir sous votre toit, ce sont vos règles qu'elle devra respecter et il faudra se montrer intransigeant là-dessus. Si vous ne souhaitez pas l'accueillir à nouveau, cela est tout à fait légitime. Aujourd'hui, c'est une femme, une adulte, qui malgré tout, doit être responsable de ses actes.
Je ne connais pas les raisons de son retour à la maison, peut-être a-t-elle vécu des évènements qui l'on amené à trouver refuge chez vous. Son mal-être et sa violence verbale ont-ils toujours été présent ? Peut-être a-t-elle des difficultés à elle-même comprendre ou à vous communiquer ce qui en est à l'origine.
Etant de la même génération que votre fille, peut-être que votre fille éprouvera plus de facilité à s'exprimer, alors bien sûr, ma porte lui est ouverte et vous pouvez me contacter également.
Charlotte Brément,
Psychopraticienne hypnothérapeute
10 MARS 2025
· Cette réponse a été utile à 1 personnes
Bonjour Madame
Pour vous répondre au mieux, j'aurai besoin que vous précisiez votre demande: vous aider en quoi ? A accepter la situation ? à exclure votre fille de la maison ? à comprendre la réaction de votre mari ? à comprendre votre fille ? à dire à votre fille comment vous vivez la situation présente ?
Vous n'êtes pas coupable de la façon dont votre fille vit sa vie... car vous l'avez élevée certainement avec les meilleures intentions et que si vous aviez pu savoir, vous auriez fait différemment... tout au plus vous vous sentez responsable de la situation c'est-à-dire concernés par sa situation.
De même que ce n'est pas de la faute de votre fille de vivre ce qu'elle vit, comme elle le vit ... n'ayant pas soigné ses blessures d'enfance liées à ses parents ou pas, en tout cas à son entourage.
Pour que sa situation s'améliore, elle a effectivement à soigner ses blessures-là qui agissent à travers elle dans ce comportement agressif qu'elle a ... mais si elle ne le souhaite pas alors il ne vous reste que peu de choix pour vous: parler avec elle de vos ressentis si c'est possible et des limites que vous, vous ne pouvez pas dépasser.
Si vous souhaitez de plus amples informations sur la logique des émotions et les comportements qu'elles induisent, je vous invite à me contacter.
Mme D.A. Graf-Lapeyre
psychologue clinicienne Diplômée d'Etat
thérapeute en libération des émotions et comportements induits
consultation en ligne et présentiel
10 MARS 2025
· Cette réponse a été utile à 1 personnes
Bonjour Sylvie,
Vous êtes partagée entre votre désir de mère de protéger votre enfant et votre désir d’adulte de pouvoir vivre dans un foyer en paix, ce qui n’est pas vraiment possible à cause de sa présence.
Cependant, ses réactions ne sont pas compatibles avec une vie de famille. En effet, pour vivre en communauté, il faut en accepter les règles, ce qu’elle n’arrive pas à faire.
Votre partenaire l’a mise dehors, mais cette décision était certainement la meilleure pour éviter qu’un nouvel accès de violence ne s’invite. Tant que votre fille ne souhaitera pas se faire aider, il est illusoire de pouvoir la réintégrer chez vous pour lui venir en aide.
Je vous invite à essayer de trouver une autre façon de l’aider.
Je reste à votre disposition et à votre écoute.
Pour plus de détails, contactez-moi.
N’hésitez pas à vous faire une idée du sérieux de ma méthode en consultant les avis sur ma fiche.
Christophe
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Thérapeute de couple - Sexothérapeute
* Rendez-vous en ligne uniquement
10 MARS 2025
· Cette réponse a été utile à 1 personnes
Bonjour,
Si votre fille ne veut pas d'aide, vous ne pouvez l'obliger, car les soins n'auront aucun intérêt.
Quand vous décrivez son comportement, ce qui me fait écho c'est son manque d'estime de soi et de confiance en soi. Ce qui créé un climat anxiogène et donc la réponse est l'agressivité.
Je comprends que vous êtes à "bout de souffle" et que vos actes ont dépassé votre volonté.
Il existe les hospitalisations sous contraintes avec l'aide de votre médecin, si vous jugez qu'elle se met en danger et que son état nécessite une intervention.
Mais cela reste très "violent" psychologiquement pour toute la famille...
Ce que vous pouvez faire c'est renouer le contact avec elle, essayez de poser un cadre et ensemble trouver des solutions. Comme un logement indépendant où un retour à domicile avec un réglement claire à respecter.
Élever son enfant, c'est l'accompagner vers l'autonomie, même si cela est difficile.
La mettre en confiance et la féliciter de ses réussites, de ses forces et de lui parler d'amour...
Vos propositions sont bonnes mais elle n'est pas prête et se sent "attaqué" dans ce parcourt.
j'espère avoir répondu à votre question, je vous souhaite bon courage, belle journée Mélina
10 MARS 2025
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Bonjour,
Malheureusement, vous n'êtes pas les seuls à vivre une telle situation. Sans doute par manque de limites, qu'il aurait fallu poser fermement dès la toute petite enfance. La solution actuelle est de refuse de l'héberger. C'est dur mais c'est la seule solution. Main courante pour vous protéger si elle devient violente. Si vous avez les moyens, achetez-lui un petit utilitaire d'occasion pour qu'elle y vive afin de vous sentir plus en paix quant au fait qu'elle vive dehors. Il vaut mieux aider financièrement, si on le peut, une telle personne, que de l'avoir sous le même toit. Elle comprendra vite qu'elle doit vous respecter. Surtout, rester ferme. Ne pas lui faire confiance. Elle a un travail à faire sur elle-même de respect des autres. Pas sûr qu'elle y arrive un jour. Peut-être manifeste-t-elle une immense jalousie, voire envie très haineuse envers ses frères et sœurs. A-t-elle reçu suffisamment d'amour petite? Elle a clairement besoin d'aide mais vous ne pourrez jamais la forcer à voir un psy. Ne rompez pas le contact, mais ne lui permettez pas de s'installer chez vous. Et si malgré ça, elle ne vous respecte pas (inadmissible de traiter sa mère ou son père et de leur cracher à la figure), dites lui que vous refuserez tout contact jusqu'à ce qu'elle change de comportement. Que vous l'aimez mais que vous ne supporterez pas toute cette haine. L'amour ne fait pas tout.
Bon courage, bien à vous,
Anne Fierry Vérité, psychologue clinicienne
10 MARS 2025
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Bonjour Sylvie,
Merci pour votre authenticité c’est très douloureux ce que vous vivez.
Votre situation est extrêmement éprouvante, mais il est essentiel de rappeler que vous avez le droit de vivre dans un environnement serein et respectueux. Protéger votre famille ne signifie pas abandonner votre fille, mais lui permettre d’assumer ses responsabilités et de comprendre les conséquences de ses choix.
Fixer des limites claires, refuser la violence sous toutes ses formes et chercher du soutien extérieur sont des démarches essentielles pour rétablir un cadre sécurisé. Vous n’êtes pas seuls : des professionnels peuvent vous accompagner pour traverser cette épreuve.
L’amour parental ne signifie pas tout accepter, mais offrir un cadre structurant et bienveillant, même dans les décisions difficiles. C’est dans cette fermeté que votre fille pourra, un jour, trouver la voie vers un changement.
10 MARS 2025
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Bonjour,
Que vous reproche votre fille ? Y aurait-il eu un événement ou une situation qui aurait pu déclencher sa colère à l'adolescence ?
Juridiquement vous êtes en devoir d'apporter du soutien à vos enfants tant qu'ils n'ont pas les ressources suffisantes pour vivre en autonomie. Votre fille pourrait tout à fait vous demander une pension alimentaire...
Pour autant, elle peut trouver un autre hébergement que chez vous.
Vous dites que vous avez proposé à plusieurs reprises une thérapie, y compris familiale. Bravo d'avoir eu ce réflexe de vous faire accompagner et accepter de vous remettre en question.
Pour autant, elle a refusé.
Je vous invite à consulter vous-même, et/ou avec votre conjoint, afin de comprendre ce qui s'est passé et de trouver des pistes pour rétablir une harmonie familiale. Et trouver des solutions pour que votre fille soit accueillie quelque part en dehors de chez vous, peut-être avec votre soutien financier.
Je reste à votre disposition si vous souhaitez approfondir ces questions.
Claire Thomas,
Psychosomatothérapeute
10 MARS 2025
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Bonjour Madame,
Vous avez bien fait de nous écrire, vous vivez une situation difficile, je vous comprends.
Votre fille vous reproche d'être responsables de sa situation. Avez vous essayé de discuter avec elle et comprendre ce qu'elle veut dire? D'où viennent ces reproches? En tant que parents nous avons contribué à la structuration de la personnalité de nos enfants, c'est certain. En même temps à l'âge
adulte ils le deviennent aussi. Qu'est-ce qui
empêche votre fille d'être autonome? Elle est en souffrance et a adopté un mode de vie qui correspond à son état psychologique. Je décèle dans son attitude de la rancune contre sa famille, et de la violence verbale. Il est important d'essayer de la comprendre, garder si possible le contact avec elle, tout en mettant des limites.
En effet, une psychothérapie l'aiderait, mais si elle ne souhaite pas, vous ne pouvez rien faire.
J'ai tenté de répondre et vous donner quelques pistes, mais le cadre ici ne permet pas d'aller plus loin.
Je vous conseille de vous faire accompagner par un professionnel, éventuellement avec votre mari, car il est important de clarifier et faire évoluer vos relations les uns avec les autres, au sein de votre famille et avec votre fille. Ne restez pas seule dans cette situation, l'oeil extérieur d'un professionnel vous ferra avancer.
Je vous souhaite bon courage.
Bien cordialement,
Felicia Asan
10 MARS 2025
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Bonjour,
Je comprends la difficulté que vous vivez actuellement et la culpabilité qui semble vous habiter.
Votre posture parentale n est pas à remettre en question ,elle me paraît adapté : vous avez accueilli votre fille mais elle ne semble pas vouloir intégrer et appliquer les codes de la vie familiale.
Elle dans un mode de relations provocateur et en fait très infantile.
On ne peut se substituer à l autre si il ne souhaite pas suivre une thérapie.
La distance même si elle est difficile à vivre peut être bénéfique.
Votre enfant est une personne en recherche de sens ,en souffrance ,mais c est à elle désormais jeune adulte à trouver son chemin.