Mon père est violent, que faire?

Réalisée par CY · 11 mars 2025 Aide psychologique

Bonjour, je suis étudiante et j'ai 22 ans cette année.
Depuis toute petite, mon père est violent verbalement, et physiquement (avec ma mère seulement). Il a arrêté de la battre quand mon dernier frère est né (ce qui fait 12 ans). Il a toujours piqué des crises pour tout et rien et toutes ses colères sont explosives. Il hurle à pleins poumons sur nous, nous rabaisse, nous insulte, nous menace de nous tuer, il tape dans les murs, jette des objets...
Durant mon adolescence, nous avons déménagé pendant les grandes vacances scolaires. Et durant toutes les vacances scolaires mon père n'a fait que nous hurler dessus du matin jusqu'au soir et jour après jour. Après quoi, j'ai commencé à avoir des idées noires. Plusieurs années après les idées noires sont restées et quand je suis devenu majeur, un jour, j'ai fait 2 tentatives le même jour. Une en essayant de me pendre et l'autre avec des médicaments. Ça n'a pas marché. Vraisemblablement, il n'y a eu aucunes séquelles puisque je suis toujours en vie, bien que je pensais que les médicaments avaient marché puisque le lendemain, après les avoir pris, j'avais un mal de crâne horrible et je n'ai fait que vomir.
Suite à ces tentatives qui étaient traumatisantes, mes idées noires ont disparu et mon envie de vivre était revenue...
Je pensais que j'étais finalement guéri, or, j'ai dû passer par des moments où tout n'aller pas bien et durant ces moments, c'est comme si je refaisais une rechute avec les idées noires qui montent directement à la tête avec une envie presque incontrôlable de mourir et de me faire du mal. C'est à ce moment-là que j'ai compris que je n'étais pas guéri. Depuis que j'ai des idées noires, j'ai toujours pensé que j'étais en dépression, mais je ne me suis jamais faîte diagnostiquer. Avec les années, mon père s'est calmé. Cependant, hier, il a explosé pour un rien et comme à son habitude les hurlements, les insultes et les menaces de mort envers nous ont fusés. Durant ces moments-là, je discute avec mon frère par message pour savoir comment il va (je précise nous vivons tous sous le même toit.). Il est au lycée et en a ras le bol de mon père. Il m'a dit qu'il voulait fuguer. Et je ne sais pas quoi faire. Je sens que mon mental s'affaiblit et j'ai peur. J'ai essayé de me renseigner sur ce que je pouvais faire pour que mon père sorte de notre vie malheureusement cela s'avère difficile, car il faudrait des preuves... Et à part un pauvre témoignage oral de moi et de mes frères et sœur, il semblerait qu'il n'y ait rien à faire à part subir encore et encore jusqu'à qu'on partent tous définitivement de la maison. J'aimerais ajouter que mon père ne nous frappe pas, car il sait que cela alertera l'école et les coups laisseraient des traces qui pourraient être utilisées comme preuves, il est très intelligent et sait ce qu'il fait. Je suis majeure donc partir ne sera pas un problème pour moi, mais je pense surtout à mes frères et sœur qui sont encore jeunes (2 sont encore au collège et un au lycée, je suis l'aîné) et qui auront à subir des années de violence verbale avant d'être majeur. J'en veux énormément à ma mère qui ne nous a jamais protégés. Elle avait eu des occasions de le quitter et de nous emmener avec elle. Elle avait déjà fait appel à une association de femme battu, mais elle est revenue avec mon père. Elle regrette, mais à chaque fois elle dit qu'ils ont construit trop de chose et qu'elle ne veut pas tout recommencer de zéro. De plus, je sais que si ma mère demande le divorce, il va la tuer.
Je suis coincée, je ne sais pas quoi faire.
PS: Ne me donnez pas comme solution de mettre des limites svp ou une quelconque confrontation, mon père n'est pas une personne qui ce soucis de ça....il n'a aucune gêne à dire que ses enfants ne sont que des fardeaux et qu'on est inutile
J'ai déjà consultés plusieurs forum pour avoir une solution et aucune d'entre elle ne semble crédible.....

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Meilleure réponse 13 MARS 2025

Bonsoir,

Cette situation n'est pas facile. Vous avez la solution pour vous même mais culpabilisez pour vos frères et soeurs.
Pour autant vous n'allez pas pouvoir tenir le coup.
Vous pourriez essayer d'en parler à une assistance sociale.
Vous ne devez pas non plus vous empêcher de partir. Faites le en restant proche de vos frères et soeurs et lorsque vous partez n'hésitez pas à dire à votre père que si vous apprenez qu'il les maltraite vous n'hésiterez pas à faire un signalement à la police ou l'ARS.
Comprenez bien que ce genre de personnalité ne craigne qu'une autorité plus grande qu'elle. C'est la seule solution pour les calmer à défaut de pouvoir partir.
Je reste personnellement à votre disposition, sachant que ma première séance d'une heure en visio est entièrement gratuite et sans engagement. Vous pouvez librement prendre un rendez vous sur mon agenda en ligne.

Bon courage à vous

Michel le BAUT
Psychopraticien
Thérapeute Jungien
Analyse de rêves

Michel Le Baut Psy sur Marseille

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20 MARS 2025

Bonjour,

Votre mère est visiblement sous l’emprise de votre père et elle ne peut pas s’y soustraire.

Quand à vous, les enfants, il serait bon de surtout ne pas croire aux insultes de votre père (vous dire qu’il a tort de vous traiter comme il l’a fait) et quitter la pièce quand il fait ses crises de colère.

Vous pouvez raconter votre situation à une assistante sociale qui peut vous aider à connaître les alternatives qui se présentent à vous, les enfants.
Peut être que cela pourrait déclencher une enquête sociale qui pourra amener votre père à prendre conscience du mal qu’il fait à sa famille.

Connaissez vous l’histoire familiale de votre père ? Il se peut qu’il ait été lui même violenté étant enfant. Ceci n’excuse en rien son comportement, mais peut l’expliquer un peu.

Vous concernant il serait bon pour vous de vous trouver des amis bienveillants qui vous aident à vivre des moments agréables de partage d’activités qui vous font du bien, et aussi, bien entendu, de quitter la maison dès que possible financièrement, tout en aidant votre fratrie de faire pareil.

Quand à votre mère…, vous ne pouvez pas l’aider beaucoup, puisqu’elle semble avoir choisi sa vie.

Si vous pouvez, allez en parler à un-e psy : ça vous fera du bien.

Je vous souhaite de pouvoir vous éloigner au plus vite de l’ambiance familiale très lourde qui règne à la maison : dans un premier temps dans votre tête (en prenant une certaine distance par rapport à votre père), ensuite dans la réalité en construisant votre propre vie loin de la violence familiale.
sp

Silvia Podani Psy sur Issy-les-Moulineaux

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14 MARS 2025

Bonjour

Votre message me touche beaucoup, j'y sens bien toute la souffrance et la détresse que vous vivez au travers de cette situation.

En première lieu sachez que la violence intrafamiliale ne se caractérise pas uniquement au travers de violences ^physiques, les violences psychiques sont tout aussi illégales.

Vous êtes deux adultes majeurs dans cette histoire.
Tout d'abord votre mère, elle pourrait tout à fait demander le divorce et il existe de nombreux dispositif de protection et d mise à l'abri pour ce type de situation. Il peut être envisagé dans ce cadre de protection. Mais je vois bien la difficulté et la peur de tout recommencer à zéro qui peut paralyser votre mère. Elle n'a pas suffisamment cheminer sur ce sujet, cela demande du temps, de la réflexion. Travailler avec une association de victimes de violences conjugale est sans doute une des meilleurs façon pour être accompagné dans cette réflexion, avec des psychologues, avec des pairs, avec des juristes etc....
Vous pouvez inciter votre maman à reprendre ce travail.

De votre côté, vous êtes majeurs et pouvez partir si vous le souhaitez mais le volonté de protéger votre fratrie vous entrave dans cette démarche et c'est tout à votre honneur.
Cependant vous pouvez tout à fait prendre contact avec une assistante sociale, d'une part elle pourra si elle le juge nécessaire émettre une Information Préoccupante qui déclenchera une enquête sociale. Ce faisant cela mettra du cadre et des limites, ce n'est pas vous qui poserez ces limites. D'autre part elle pourra voir avec vous l'ensemble des dispositifs d'aide et de soutien dont vous, votre mère et vos frères pourraient bénéficier ce qui vous permettra sans doutes de découvrir de nouvelles perspectives.
Tout ceci est une démarche qui suppose une réflexion et donc un peu de temps, en l'absence de violence physique vous pouvez commencer par emprunter ce chemin.
Enfin si la violence physique, où les menaces de morts s'invitaient de nouveau sachez qu'il existe des dispositifs d'urgence de mise à l'abri.

Vous pouvez appeler le 3919, vous y trouverez de l'écoute et des conseils, vous pourrez être orienté vers des professionnels qui pourront vous accompagner au mieux.

En ce qui vous concerne, je sens bien que toute cette histoire vous à fortement ébranlé et marqué, il vous faudra sans doute envisager un travail thérapeutique pour pouvoir dépasser tout cela et vous accompagner dans cette traversée difficile.

Je reste à votre écoute et à votre disposition si vous souhaitiez en parlez plus, n'hésitez pas à me contacter.

Bien cordialement

Bruno BRICE

Bruno Brice Psy sur Meyreuil

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14 MARS 2025

Bonjour

Votre message me touche beaucoup j'y sens bien toute votre souffrance et votre détresse.

En premier lieu sachez que les violences intrafamiliales ne se caractérisent pas que par le la violence physique, la violence psychique est tout aussi illégale.
Da

Bruno Brice Psy sur Meyreuil

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14 MARS 2025

Bonjour CY, et bien je pense qu'une solution plus pragmatique serait d'appeler les services spécialisés, comme il est écrit dans une autre réponse vous pouvez appeler le 119.
En cas de violences intra-familiales les mineurs sont placés en familles d'accueil, pour votre mère et aussi pour vous, il existe des associations qui accueillent les femmes victimes de violences conjugales.
Je comprends que vous vous inquiétiez pour vos frères et soeurs, mais il est aussi important que vous partiez de cette environnement.
Quant à votre mère, certaines personnes n'ont pas la force de vivre seul et ont énormément de mal à sortir d'une relation d'emprise si el est le cas. Ce sont des situations difficiles.
Je reste à votre écoute en cabinet à Nice ou en visio.
Cordialement.
Laurent Stevenoot
Psycho analyste clinicien.

Laurent Stevenoot Psy sur Nice

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14 MARS 2025

Bonjour,

Votre vécu est extrêmement lourd, et votre souffrance est profondément légitime.
Vous avez fait preuve d’une force remarquable pour tenir jusque-là dans un climat aussi toxique.
Il est essentiel que vous ne restiez pas seule avec ce poids : un accompagnement psychologique régulier pourrait vous aider à vous reconstruire, et à faire face à ces rechutes douloureuses.
Même si les solutions paraissent limitées, il existe des dispositifs d’aide spécialisés pour les victimes de violences intrafamiliales, y compris pour les frères et sœurs mineurs. Essayez peut-être de vous rapprocher de ces associations/aides spécialisées...
Vous avez le droit d’être en sécurité, d’être entendue, et surtout, d’espérer un avenir plus apaisé.

Je reste à votre écoute,

Magali Bagot
Psychopraticienne

Magali Bagot Psy sur Cormeilles-en-Parisis

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14 MARS 2025

Bonjour et merci pour la confiance que vous accordez en partageant cette situation douloureuse.
Ce que vous décrivez illustre une configuration familiale où la violence verbale s'est installée comme un mode de communication, créant un environnement hautement toxique pour tous les membres du système familial. Votre préoccupation pour vos frères et sœurs, particulièrement celui qui envisage de fuguer, témoigne d'une grande lucidité et d'un sens des responsabilités remarquable dans ces circonstances difficiles. La souffrance que vous exprimez et les idées suicidaires que vous avez traversées montrent l'impact profond que cette situation a eu sur votre développement psychologique.

Dans une perspective systémique comme celle de Palo Alto, nous observons que votre famille est prise dans ce que nous appelons un "pattern relationnel rigidifié". Votre père a établi un mode de communication basé sur l'intimidation et la terreur, créant un climat où tout le monde se trouve dans une position de soumission forcée. Ce type de dynamique n'est pas simplement le fait d'un "mauvais caractère", mais constitue une véritable violence psychologique qui s'inscrit dans un système familial dysfonctionnel où chacun, y compris votre mère, joue malgré lui un rôle dans le maintien de cette configuration.

La position de votre mère est particulièrement significative dans ce système. Elle a tenté des démarches par le passé (contact avec une association) mais s'est retrouvée prise dans ce que nous appelons une double contrainte: d'un côté la nécessité de protéger ses enfants, de l'autre la peur des conséquences d'une séparation et le sentiment d'être trop investie dans la relation pour tout recommencer. Il est important de comprendre que cette apparente "passivité" est souvent le résultat d'un traumatisme prolongé et d'une évaluation réaliste des risques d'une confrontation directe.

Face à cette situation, l'approche de Palo Alto nous invite à chercher des solutions stratégiques plutôt que des confrontations directes qui pourraient intensifier la violence. Il est juste de reconnaître que certaines des solutions habituellement proposées ("mettre des limites", "confronter") ne sont pas adaptées dans votre cas et pourraient même s'avérer dangereuses.

Voici quelques perspectives qui méritent d'être considérées:

Premièrement, concernant votre frère qui parle de fuguer: cette solution, bien que compréhensible comme tentative d'échapper à une situation insupportable, comporte des risques importants. Peut-être pourriez-vous lui suggérer de parler à un adulte de confiance dans son établissement scolaire (infirmière, conseiller d'orientation, assistant social). Les établissements scolaires sont particulièrement attentifs aux signes de mal-être chez les élèves et peuvent mobiliser des ressources sans nécessairement déclencher immédiatement une procédure judiciaire.

Deuxièmement, concernant les preuves: vous mentionnez que seuls des témoignages oraux seraient disponibles. Sachez que dans les situations de violence intrafamiliale, les témoignages concordants de plusieurs membres de la famille ont une valeur significative. De plus, il existe désormais une meilleure reconnaissance des violences psychologiques, même en l'absence de traces physiques. Des messages texte, des enregistrements, ou même un journal détaillant les incidents peuvent constituer des éléments de preuve.

Troisièmement, concernant les ressources disponibles: il existe des dispositifs spécifiques pour les situations comme la vôtre. Le 3919 (Violence Femmes Info) est désormais accessible 24h/24 et 7j/7, et peut vous orienter de manière anonyme. Des associations spécialisées peuvent accompagner l'ensemble de la famille, y compris les enfants témoins de violences, sans nécessairement déclencher immédiatement des poursuites judiciaires si cela représente un danger.


L'approche de Palo Alto nous incite également à chercher des points d'appui pour amorcer un changement dans le système. Le fait que votre père se soit "calmé" avec les années avant l'incident récent suggère qu'un changement est possible, même s'il n'est pas linéaire. De même, le fait que vous ayez surmonté vos idées suicidaires pendant un temps montre votre capacité de résilience.

Plutôt que de viser une solution "parfaite" et immédiate (qui risquerait d'échouer face à la complexité de la situation), l'approche stratégique consisterait à introduire des petits changements qui pourraient progressivement modifier la dynamique familiale. Par exemple, envisager comment soutenir vos frères et sœurs pour qu'ils développent des ressources extérieures (activités, soutien scolaire, relations avec d'autres adultes bienveillants) pourrait constituer une première étape.

Votre position d'aînée vous place dans une situation particulière: vous êtes suffisamment mature pour comprendre la dynamique familiale, mais vous ressentez également une responsabilité envers vos frères et sœurs plus jeunes. Cette position est difficile mais peut aussi constituer un levier de changement si elle est accompagnée adéquatement par des professionnels.


Votre situation illustre parfaitement la complexité des dynamiques de violence familiale et la façon dont elles affectent profondément tous les membres du système. L'approche de Palo Alto, avec sa vision stratégique et systémique, offre des perspectives particulièrement adaptées à ce type de situation où les solutions "évidentes" se heurtent à des obstacles considérables.

Je vous invite à considérer un accompagnement thérapeutique spécialisé, qui pourrait vous aider à développer des stratégies adaptées à votre situation particulière. La thérapie brève selon le modèle de Palo Alto, en particulier, s'intéresse moins aux "pourquoi" qu'aux "comment", cherchant à modifier concrètement les interactions problématiques plutôt qu'à simplement les comprendre.

Vous avez fait preuve d'un courage remarquable en cherchant de l'aide et en vous préoccupant non seulement de votre situation mais aussi de celle de vos frères et sœurs. Cette démarche est déjà un premier pas vers un changement possible.

Avec toute ma considération.

Christophe Pavie Psy sur Jonzac

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14 MARS 2025

Bonjour,
Vous avez tout résumé dans votre phrase :
"J'en veux énormément à ma mère qui ne nous a jamais protégés. Elle avait eu des occasions de le quitter et de nous emmener avec elle", mais elle ne l'a pas fait, était sous emprise, peur ?...

Quoiqu'il en soit, vous êtes malheureusement victime du comportement de votre père, mais vous, vous pouvez partir et vous libérer, mais votre sœur et frère doivent subir les assauts de colère de votre père encore trop jeune pour prendre leur indépendance.

Votre mère me semble trop vulnérable pour prendre une décision, mais je vous conseillerai à l'encourager à faire le nécessaire pour votre sœur et frère.

Mais je n'ai pas de solution magique à vous proposer à part raisonner votre mère sur le mal qu'elle fait à tout le monde et à elle même.

Cordialement
Hypnothérapeute clinique - Thérapie intégrative & holistique

Nathalie Follmann Psy sur Clichy

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12 MARS 2025

Bonjour,

Vous êtes majeure et, pour le moment, vous devez vous soucier de vous avant de penser à aider vos frères et sœurs. En effet, si vous vous négligez et que vous retombiez dans une forte dépression, vous ne pourriez plus aider quiconque.
C’est pourquoi vous devez commencer à envisager de sortir de cet enfer. Vous pouvez vous faire aider par des associations spécialisées dans l’aide aux victimes de violence.
Ensuite, une fois que vous serez en sécurité dans un environnement extérieur, vous pourrez commencer à envisager l’aide que vous pourrez offrir à vos frères et sœurs.

Je reste à votre disposition et à votre écoute.

Pour plus de détails, contactez-moi.
N’hésitez pas à vous faire une idée du sérieux de ma méthode en consultant les avis sur ma fiche.

Christophe
-------------------------------------------------
Thérapeute de couple - Sexothérapeute
* Rendez-vous en ligne uniquement

Christophe Nieaux Psy sur Melun

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12 MARS 2025

Bonjour,
La violence verbale envers les enfants ne sera pas remise en cause. L'âge de raison pour être entendu par un juge des affaires familiales est de 11 ans. Il faut appeler le 119.
Un avocat pour enfant et gratuit vous rappelera.
Si vous n'avez pas de famille proche pour vous accueillir, je pense que les enfants mineurs seront placés. Pour vous, je pense également qu'il existe des structures pour femmes.
Effectivement vous avez raison sur le fait que vous ne pourrez pas changer votre père.
Il est grand temps de vous échapper.
Dans quelle région êtes vous ?
Bien à vous.
Je suis disponible si besoin gratuitement, si vous avez besoin de soutien.

Delphine koutcheravenko Psy sur Soissons

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