J'aime parler devant du monde faire le rigolo me faire remarquer.
Met au fond jai un mal être
Je ne suis ni beau ni moche
Je pense être réellement un pervers narcissique.
Je fais beaucoup de remarque a ma copine cela fais 5 ans que nous sommes ensemble.
Je lui dis des choses du style ferme la porte le chauffage , tu comprend rien faut te le répéter, je lui parle des vacances de cette été et je lui dis on est encore ensemble sans savoir réellement la raison que je lui dis sa .
Plein de petite choses
Je suis jaloux de la facon qu'elle s'habille, qu'elle sois aussi cool
Jaloux des gens qui sois plus beau qui réussit mieux que moi je suis toujours à me comparer . Je deteste la gentillesse je trouve sa cul cul .
Je juge beaucoup les gens et critique aussi .
J'ai grandi avec mes deux parents ma mère Étant quellequn de très autoritaire me brider quand j'étais adolescents de sortie , elle parler très mal a mon pere , elle rabaisse beaucoup, ce victimise ect ect
Jetais en couple il a maintenant 5 ans en arrière cette fille etait gentil avec moi met j'ai perdu un peu la tête je pensais etre schizophréne je suis partie en dépression je passez mon temps sur internet à me nourir de mauvaise choses . Je l'ai quitter sans réel raison et je me suis senti re vivre avec ma nouvelle compagne met maintenant je vois qu'en vivant tout les deux je suis sur dur j'ai des changements d'humeur je fais beaucoup de réflexion.
Je contrôle tout l'argent, les courses , les travaux de la maison ect
Je fanstame beaucoup sur les femmes dans la rue meme sur c'est propre soeur .
J'ai l'impression de remplir mon vide met ce vide ce ne remplie jamais .
Je vie pas tout ca bien je vois que jai énormément de trait de pervers narcissique.
Je suis vide je n'ai pas dempathie je suis quellequn d'impulsif.
J'ai enormenet de pensée intrusive de faire du mal de tuer, de violer , de jalousie extrême ect ..
Je pratique beaucoup la mastubation par moment j'ai un mal etre en moi defois je déteste les gens une haine en moi .
Je suis suivi par un psy et psychiatre ils m'ont diagnostique une personnalité obsessionnelle de l'anxiété généralisé.
Et des traits toxique .
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Meilleure réponse
22 JANV. 2025
· Cette réponse a été utile à 44 personnes
Bonjour Alex.
Ce que vous décrivez de votre vie me fait penser à un enfer ! Ce doit être un enfer que d’être en permanence en train de chercher à combler un vide qui ne se comble pas, de ne jamais être satisfait de ce que l’on a, etc. Bref, de se sentir en insécurité permanente, avec la dose de colère qui va avec. Car je sens de la colère derrière vos mots, la haine des gens mais aussi peut-être de vous même.
Mais je ne vous vois pas comme un pervers narcissique. Si vous l’étiez, tous ces comportements, tous ces ressentis, vous les trouveriez probablement naturels et justifiés. Or, ils ne vous conviennent pas. Et s’ils ne vous conviennent pas, c’est que vous avez en vous des références plus « saines ». Un travail intéressant à faire serait d’ailleurs de clarifier ce qui vous conviendrait, à la place de tout ce que vous décrivez. Puis de regarder d’où vous viennent ces références : de qui ? De quel moment de votre histoire ? Etc.
Ce que vous dites de la relation avec votre mère est très éclairant. Une mère autoritaire et rabaissante, qui bride et se victimise, peut-être manipule, c’est très insécurisant. Pour un enfant, et encore plus pour un adolescent. Et grandir dans cette ambiance amène à se sentir très en insécurité dans ses relations.
Quand on se sent en insécurité, en particulier avec sa copine, on veut la contrôler, pour qu’elle ne nous échappe pas. Ou la rabaisser, pour se sentir « meilleur ». On se compare, et on juge, pour se sentir meilleur, ou pour ne pas se sentir moins bien… tous un tas de pensées et de comportements qui cherchent à se « rassurer », mais qui ne marchent pas, et qui pour finir nous poussent à en faire plus. Et on sent le vide, car pour exister il faut se sentir reconnu.
Je ne mettrais pas en cause le diagnostic des professionnels que vous consultez. Et je travaillerais pour rétablir ce que j’appelle la sécurité en relation.
J’entends par « sécurité en relations » le fait de se sentir avoir de la valeur, reconnu pour qui l’on est, et donc sans risque d’être abandonné ni utilisé ou contraint. Tel que vous êtes, libre et reconnu.
Je suis bien sûr à votre disposition si vous souhaitez aller plus loin dans cet échange.
Guillaume Lemesle
Hypnose – Thérapies brèves – En visio ou en présentiel
26 JANV. 2025
· Cette réponse a été utile à 0 personnes
Bonjour,
Tout d’abord, je tiens à souligner votre courage de mettre des mots sur ce que vous ressentez et de partager ces pensées complexes et parfois troublantes. Ce que vous décrivez est un mélange de souffrance émotionnelle, de comportements maladaptés, et d’un besoin urgent de mieux comprendre ce qui se passe en vous. Cela montre une volonté de changement, ce qui est une première étape essentielle.
Le vide que vous ressentez, cette insatisfaction constante et ces pensées intrusives, peuvent être les manifestations d’une difficulté à construire une identité stable et une estime de soi solide. Vous semblez avoir une lutte intérieure entre un besoin de contrôle sur votre environnement et une frustration liée à un manque de satisfaction personnelle. Votre enfance, marquée par une mère autoritaire et rabaissante, pourrait avoir influencé cette dynamique. L’image d’une mère dévalorisant votre père pourrait aussi avoir nourri votre rapport au contrôle et à la critique.
Plutôt que de vous étiqueter comme “pervers narcissique”, il est important de comprendre vos comportements comme des mécanismes de défense. Votre tendance à contrôler, critiquer, et à avoir des pensées intrusives peut être liée à une profonde insécurité et à une peur de l’abandon ou du rejet. Ces traits, bien qu’ils puissent blesser les autres, traduisent une souffrance personnelle.
Continuez à travailler avec votre psy et psychiatre. Le diagnostic de personnalité obsessionnelle et d’anxiété généralisée est une base importante. La thérapie analytique pourrait explorer en profondeur vos schémas relationnels et ce vide intérieur.
En plus de cela, voici quelques pistes à explorer :
• Explorez vos pensées sans jugement avec votre thérapeute.
• Travaillez sur votre empathie et votre manière de communiquer avec votre partenaire. La critique constante peut éloigner, alors que l’écoute renforce le lien.
• Enfin, votre sexualité et vos fantasmes peuvent être explorés en toute sécurité dans un cadre thérapeutique pour mieux comprendre leur lien avec vos blessures psychiques.
Votre prise de conscience est une force : elle montre que vous êtes prêt à avancer.
Bien à vous,
Séverine Hutinet
Psychanalyste Jungienne et analyste de rêves
24 JANV. 2025
· Cette réponse a été utile à 0 personnes
Bonjour,
Merci d’avoir pris le temps de partager votre histoire avec autant de détails et de sincérité. Ce n’est jamais simple de poser des mots sur ce que l’on ressent, encore moins sur ce que l’on perçoit comme ses défauts ou ses comportements toxiques. Votre démarche montre que vous êtes conscient de vos difficultés et que vous souhaitez comprendre ce qui vous traverse. C’est un premier pas très important.
D’après ce que vous décrivez, il semble que vous portez un grand mal-être en vous, une souffrance profonde qui s’exprime de différentes manières : des réflexions envers votre compagne, de la jalousie, des pensées intrusives, des critiques envers les autres, et ce sentiment de vide que rien ne semble pouvoir combler. Ce vide, souvent associé à des blessures anciennes, peut être une source de tension et de frustration, mais il est possible de travailler dessus et d’apprendre à le remplir autrement.
Vous évoquez également une éducation marquée par une mère autoritaire et rabaissante, ce qui a pu avoir un impact sur la manière dont vous percevez les relations, l’autorité et votre propre estime de vous-même. Ces blessures de l’enfance ne définissent pas qui vous êtes, mais elles peuvent influencer vos comportements aujourd’hui.
Le fait que vous soyez suivi par un psy et un psychiatre est une excellente chose. Cela montre que vous prenez votre santé mentale au sérieux et que vous êtes prêt à travailler sur vous-même. Les diagnostics qu’ils ont posés – personnalité obsessionnelle, anxiété généralisée et traits toxiques – ne sont pas une condamnation, mais plutôt des outils pour mieux comprendre vos schémas de pensée et vos réactions.
Vous semblez très dur envers vous-même, notamment en vous qualifiant de "pervers narcissique". Ce terme est souvent mal utilisé et ne reflète pas nécessairement ce que vous vivez. Vous êtes conscient de vos comportements et de leur impact sur les autres, ce qui est rarement le cas des véritables pervers narcissiques. Ce qui transparaît dans vos mots, c’est une grande souffrance, un besoin de reconnaissance et d’amour, et une difficulté à gérer vos émotions et vos impulsions.
Voici quelques pistes pour avancer :
• Continuez votre suivi avec vos professionnels de santé, en leur parlant de ce que vous ressentez, notamment des pensées intrusives, qui peuvent être très envahissantes.
• Travaillez sur votre relation à vous-même : ce vide que vous ressentez ne peut être comblé par le contrôle ou la comparaison avec les autres. Il peut être apaisé par une meilleure connaissance de vos besoins, de vos peurs, et de ce que vous ressentez au fond de vous.
• Concernant votre compagne, il peut être utile d’en parler avec votre psy pour comprendre comment vos réflexions et comportements naissent. Apprendre à communiquer différemment et à mieux gérer vos émotions peut transformer votre relation.
Enfin, rappelez-vous : ce chemin est un processus. Vous avez déjà fait un grand pas en vous posant des questions et en cherchant des réponses. Continuez à avancer à votre rythme, avec bienveillance envers vous-même, même dans les moments où cela semble difficile.
Si vous souhaitez approfondir certains aspects ou avez besoin d’un espace de réflexion, je suis à votre disposition pour en parler davantage.
Avec bienveillance,
Delphine Bailly
23 JANV. 2025
· Cette réponse a été utile à 0 personnes
Bonjour Alex,
Le simple fait que vous vous posiez toutes ces questions et que vous exprimiez votre mal-être montre que vous n’êtes pas un pervers narcissique. Une personne qui le serait ne douterait pas de son comportement et ne chercherait pas à comprendre ce qui ne va pas.
Ce que vous décrivez ressemble davantage à une grande souffrance intérieure qui vous amène à avoir certaines attitudes dont vous avez conscience et qui vous inquiètent. Vous êtes suivi par un psychologue et un psychiatre, ce qui est une excellente démarche. Vous n’êtes pas seul dans ce cheminement, et il est possible d’apaiser ces tensions et ces pensées envahissantes avec le temps et un accompagnement adapté. Si vous sentez que vos accompagnements (psy et psychiatre) ne vous font pas avancer, n'hésitez pas à changer de professionnels, les psychologues n'ont pas tous les mêmes méthodes et d'autres pourraient vous convenir davantage.
Votre mal-être semble profond, et il mérite d’être écouté avec bienveillance, sans vous juger trop sévèrement. Ce que vous traversez n’est pas simple, mais le fait d’en parler et de vouloir comprendre ce qui se passe en vous est déjà un premier pas important. Cependant, si vous sentez que votre attitude peut-être dangereuse pour votre entourage, prenez les distances nécessaires. Continuez à avancer à votre rythme, en prenant soin de vous et des vôtres.
22 JANV. 2025
· Cette réponse a été utile à 0 personnes
Bonjour Alex,
Qu'attendez vous de nous en posant votre message ? Qu'aimeriez vous savoir ?
Votre psy et votre psychiatre vous ont posé un diagnostic, je pense qu'il serait bien de continuer à faire un travail sur vous en ce sens.
C'est déjà un grand pas de conscientiser que l'on a un souci de toxicité. En prenant cela en compte, la psychothérapie devrait vous aider à ce que ces troubles ne rejaillissent pas trop sur votre entourage, et notamment sur votre compagne....
Si toutefois vous pensez être dangereux pour elle, je vous suggère de prendre les décisions qui s'imposent.
22 JANV. 2025
· Cette réponse a été utile à 5 personnes
Bonjour,
Si vous étiez pervers narcissique vous n'écririez pas ce post.
Vous êtes effectivement quelqu'un de très angoissé.
Dans la relation vous reproduisez les attitudes de votre mère qui vous ont blessé car vous avez du mal à les gérer autrement qu'en faisant sentir aux autres la souffrance qu'on vous a infligé.
Je reste personnellement à votre disposition, sachant que ma première séance d'une heure en visio est entièrement gratuite et sans engagement. Vous pouvez librement prendre un rendez vous sur mon agenda en ligne.
Bon courage à vous
Michel le BAUT
Psychopraticien
Thérapeute Jungien
Analyse de rêves
22 JANV. 2025
· Cette réponse a été utile à 1 personnes
Bonjour Alex,
Ce que vous traversez ressemble à un véritable tourment. Vivre constamment en quête d’un vide impossible à combler, éprouver une insatisfaction chronique, et ressentir cette insécurité permanente... cela doit être épuisant. Ce mal-être semble nourrir une colère sourde, que vos mots laissent transparaître : une colère dirigée non seulement vers les autres, mais peut-être aussi contre vous-même.
Cependant, je ne vous perçois pas comme un pervers narcissique. Si tel était le cas, ces comportements et ces ressentis vous paraîtraient normaux, voire légitimes. Or, vous semblez en souffrir, ce qui indique que vous possédez en vous des repères plus sains. Cela pourrait être une piste précieuse à explorer : quelles valeurs ou visions vous semblent essentielles, et d’où proviennent-elles ? Quels moments ou figures de votre histoire les ont façonnées ?
Votre relation avec votre mère, telle que vous la décrivez, est aussi éclairante. Grandir auprès d’une figure autoritaire, rabaissante et parfois manipulatrice peut profondément marquer un enfant. Cela peut générer un sentiment d’insécurité affective, qui se prolonge souvent dans la vie adulte, notamment dans les relations.
Face à cette insécurité, le besoin de contrôler ou de rabaisser l’autre peut surgir, comme une tentative de se protéger. On se compare, on juge, on cherche à se rassurer… mais ces mécanismes, au lieu d’apaiser, renforcent le vide intérieur. Car au fond, pour se sentir exister, il faut avant tout être reconnu et accepté pour ce que l’on est vraiment.
Je ne remets pas en question le diagnostic posé par les professionnels qui vous suivent, mais je crois qu’un travail autour de la notion de sécurité relationnelle pourrait être bénéfique. Cela signifie retrouver un sentiment de valeur personnelle, de reconnaissance, et de liberté dans vos relations – sans crainte d’abandon, d’utilisation ou de contrainte.
Si vous souhaitez approfondir cette réflexion ou explorer ces pistes ensemble, je suis à votre disposition.
Cabine de psychothérapie
TCC 3ème vague - EMDR - GESTALT
22 JANV. 2025
· Cette réponse a été utile à 41 personnes
Bonjour Alex,
Déjà si vous étiez vraiment un pervers narcissique, vous seriez incapable de le reconnaitre et donc d'écrire ce message.
Par contre, quand vous décrivez votre parcours de vie, on constate de suite votre conditionnement et les les schémas impactés.
Votre passé vous tourmente et votre comportement est beaucoup en lien avec tout cela. Je ne crois pas à une maladie mentale, seulement à des traumas qui vous ont formaté et qui continue à vous influencer de manière inconsciente. Ce vide abyssal que vous ressentez en est la résultante.
Un psychiatre n'est pas adapté pour traiter ce qui doit l'être. Je travaille sur les troubles de la personnalité, si troubles il y a vraiment... Mon approche intégrative hypnotique permet d'avoir beaucoup de techniques pour régulariser l''état émotionnel ainsi que la restructuration des évènements (voir mon profil). Une thérapie uniquement verbale n'aura pas d'impact.
22 JANV. 2025
· Cette réponse a été utile à 1 personnes
Bonjour,
Je voudrais attirer votre attention sur cette notion de "pervers narcissique" rendu si populaire, mais galvaudé et mal utilisé de nos jours. Pour rappel, ce diagnostic n'est pas inscrit dans le DSM (manuel qui référence l'ensemble des troubles psys) et son sous-bassement théorique vient plutôt de la psychanalyse. Ce que vous apportez, n'évoque pas le champ de la perversion, mais davantage ce qui se joue du côté de la névrose obsessionnelle avec son rapport ambivalent amour/haine, ses attaques à l'encontre de l'objet aimé... ce qui peut entrainer beaucoup de culpabilité, et on observe souvent une sorte de "diabolisation" de soi chez l'obsessionnel qui n'est pas à l'aise avec son désir et ses sentiments contradictoires. Ce n'est pas une fin en soi, un travail de type analytique, est-tout à fait indiqué pour travailler ce type de structure.
Je reste à votre écoute,
Bien cordialement,
M. Vaillant
21 JANV. 2025
· Cette réponse a été utile à 3 personnes
Bonjour Alex,
L’avis du psy et du psychiatre qui vous connaissent et vous suivent depuis un certain temps est celui qui est à prendre en compte.
Il y a en vous une grande insatisfaction et une forme de souffrance qui prennent pour l’instant toute la place et vous ferme aux autres.
Continuez votre traitement et votre thérapie et estimez vous heureux d’avoir une compagne qui vous aime certainement si elle vit avec vous : donc, vous n’êtes certainement pas « mauvais ».
La thérapie va vous aider petit à petit à réguler vos émotions, dont l’anxiété et les impulsions diverses, à accepter les frustrations inhérentes et à vivre mieux avec les autres.