Pourquoi je reagi ainsi, quand on répond a mon envie ? Questions existentielles.

Pourquoi je reagi ainsi, quand on répond a mon envie ? Perds je réellement de l'intérêt ? Ou c'est un mécanisme de défense ? Autre ?

Bonjour,

J'ai une petite question.
J'ai commencer à m'intéresser à quelqu'un. On s'appelait tout les soir pratiquement. Et depuis très longtemps où comme si ça ne m'étais jamais arriver. Cette excitations. Cette hâte quand je suis au téléphone avec. Je me retenais tellement mes rire ou sourire quand je parlait. Y'avait une sensation forteen moi, et ca ma fait tant de bien que ca m'avait comme raviver, reimpulser de l'envi et du redemarage.
Mais à un moment donnée j'ai essayé de poser la question qui est pas évidente pour moi. Je lui demandais, car je me disais que je crois pas qu'on soit sur la même longueur d'onde ? Et il m'a dis qu'il ne touche pas au personne déjà en couple. Car oui je suis en couple depuis 2 3 ans avec quelqu'un, dont je ne suis pas amoureuse. On en a déjà parlé et il était okay avec ça. Pour autant on était pas à l'aise sur le sujet. Et c'est une sensation de restrainte... cette personne est probablement la personne la plus gentilles envers moi, pense pour moi etc. Quand je l'ai rencontrer je n'ai pas été attirée par lui peut être ? ( me souvient pas très bien). J'ai l'impression que ça a basculer à un moment. On était ensemble dans un lit dans le noir. Et j'aimais bien ce que je ressentait dans cette ambiance. Les choses ont probablement changer pour moi lorsqu'il m'a fait un bisou. Qui n'était pas désirée par moi. J'aimais la tension douce qui était juste avant. Et je crois que je me suis sentie obliger de retourner le bisou ensuite. Et je ne suis pas habituer à en fournir n'ayant eu qu'un seul relation de couplé auparavant, express de 3 mois. Et netant pas dans une famille où les câlin règnes ni même les compliments, plutôt des remarques. Aucun garçon ne pourrai te supporter. Avec ton bordel. Mange comme une fille. Tu es une fille et tu ne tapprete même pas. Tu repasse même pas juste ton t-shirt. Tu thabille comme une clocharde. Et il arrive que je dis doucement un truc sur moi, et c'est par mégarde et habitude, puis mon père aquiesce. Ce que je prends mal, puis il dis bah quoi c'est toi même qui le dit. Je n'aime pas le moi, au sein de ma famille. Même en groupe j'aime pas ce moi. Je me sais pourtant à priori être une personne digne d'intérêt ne serai que pour mon potentiel artistique ( un style de dessin particulier et une écriture sensible ). Ce garçon auquel je m'intéressais du coup. Oui je dévie trop facilement. C'était un enfer les dissertation au lycée. Ce garçon... les choses ont commencer à baisser lorsque, l'insertion de la question que j'ai un copain. La question de si je dois rester avec. Que c'est absolument mon unique point d'appui. Je peux considérer que je n'ai pas d'ami ? ( 2 qui ne m'écrivent pas un message ou alors il en faut des décennies, un pareil mais j'appréhende de le voir car je ne suis pas détendu avec lui, un autre par téléphone mais je ne me sens pas comprise et obliger d'expliquer et parfois ça ne tient plus debout ce que je souhaite ou veut lui expliquer, cette sensation bizarre que quand on me met en fasse de qqc, bizarre tout est blanc plus d'avis, et ne sais plus trop ce que je souhaitais défendre.
Avec ce garçon qui m'intéresse, je me sens un peu comprise, même si je sens quelque point où on marche pas sur le même univers, j'ai du mal à l'exprimer. En tout cas j'ai de l'admiration pour et bon je lidealise je pense l'ayant jamais vu.... ensuite par message je montre mon envie, et peut être que je m'enflamme un poil trop comme si c'était pour l'accaparer pour l'instant. Mais il habite à l'autre bout de la France. Et j'ai envie d'acheter un billet de train pou y aller. Et puis par message quand il a commencer à mettre des cœurs et un " moi aussi je taime" je crois que c'était dans un sens général c'est quelqu'un de pas mal à la cool et c'est le type de personne que je cherchais à fréquenter car je sors avec un copain assez tendue et je trouvais déjà que c'était ni pour moi si pour lui. Du coup je sens qqc qui s'enclenche en moi. Comme la peur de ne pas répondre à ses attente. Que ça va trop vite la ( j'avais due mal comprendre). Si jamais il me plaît pas ? Jusqu'à euh. Comme une baisse un peu soudaine quand il me dit moi aussi ? Pourquoi j'ai cette réaction ? La réciprocité fait fuir ou il faut que je creusé plus loin ? De plus que je l'ai souvent dit par tel, par besoin d'être rassurée probablement, que je parle beaucoup tu sais ? Tu pourrai ( accepter ? Ça va pas déranger ? Je m'intéresse pas assez au autres ? ( m'a grosse culpabilité, on me reproche de trop parler de moi, et l'impression que quand c'est sur les autres mon intérêt s'évapore ? Ou c'est juste un comportement encore plus renforcer suite à ce qu'on m'a dit ? Comment me comportait je avant ? Ça me réussi pas tout ces avis coller sur l'image de moi même. ) il m'a dis que c'était okay. Mais c'est bizarre cette sensation de platitude, après le pic d'acceptation ? Pourquoi ?
J'ai envie de le voir pour voir comment ça fonctionne dans le "reel" . Avec mon copain, entre temps il y avait une semaine un peu difficile car je lui ai dis ce qui me bloquait et que j'avais du mal à le dire. De plus que j'ai des question personnel sur ma sexualité, ai je peu de libido ou c'est parceque à priori mon copain ne m'attire pas ? Peut on vraiment apprécier la penetration vaginale ? Je trouve ça très bizarre comme sensation. Du mal à se voir comme une femme adulte ? Mon cerveau alliene par l'envie de plaire, et les fantasmes des hommes ? Mon cerveau éduquer dans ces fantasme qui ressemble ni à la réalité ni à ma personnalité ? J'envie les relations platonique. J'envie d'avoir jamais eu d'intérêt pour le sexe. Peut être une envie de préserver quelque chose de pure ? Et puis qu'on aime pour mon esprit et pas ce que m'a chair provoque de désir. Idée bateaux. Mais j'ai l'impression que quelque chose dans ça j'arrive pas à l'exprimer ou à le saisir. Et puis après la masturbation j'ai souvent une sensation de perte de temps, et j'aurai préféré ne pas faire, car après j'ai des périodes où ça me parasite la pensée même en journée. Et c'est embêtant. Le garçon qui m'intéresse n'es pas très grand. Et je vois que une personne grande a côté me rassure tout de suite. Mais il y a aussi une différence entre courir vers ce que j'ai l'impression d'avoir besoin, pour me sentir bien et en confort "contre" ce qui m'aiderai à être une personne a part entière ?

J'aime pas enclencher le sexe. Car après ça revient même de moi même. Bizarrement. Comme par mécanisme. Mais chaque fois qu'il vient c'est quelque chose que j'appréhende. Que je demande parfois en amont si c'est possible que ça n'ai pas lieu et ce qui l'énerve et le blesse. Ce qui est quelque chose que j'apprécie pas chez lui... ça me tilte.

Aussi concernant ce que je ressens pour lui. Je ne pense pas être amoureuse. Ce qu'il m'a dis au final qu'il était okay au départ. Ensuite j'ai l'impression que c'est parceque il me pense réagir différemment des autres et avoir du mal a savoir moi même. ( il me pense un peu sur le spectre du trouble autistique ). Mais après la tornade de tristesse car je pensais le perdre. Bah tout est comme revenu comme avant.

Fin voilà voilà Je ne sais pas si j'ai tout dit de nécessaire.

Je suis preneuse pour les conseils, même des conseil de livres, et même exercices pour l'introspection ? Ou faire face à quoi ?

Petite étudiante à Rouen
Et l'Ain me manque depuis le déménagement de ma famille.....