Problèmes d'angoisses

Réalisée par Loulouu · 8 févr. 2023 Psychologue scolaire

Bonjour,
Je suis dépressive depuis 3 ans maintenant, j'ai de grosses difficultés à en parler mais tout se débloque un petit peu. J'ai commencé ma première année de licence à l'université. J'ai beaucoup de difficultés. Je ne sais pas si cette filière me plaît et m'investir pour quelque chose qui ne m'intéresse qu'à moitié me fatigue. De plus,je me sens submergée par la quantité de travail pourtant pas si conséquente mais elle me fait paniquée et me sentir mal. J'ai l'impression de sombrer et que je n'atteindrait plus jamais la surface... J'ai dû mal à me faire des amies parce que je suis de nature timide, je ne sais pas à qui parler. Pourtant, je ne me vois pas changer de filière, j'ai peur de perdre ou de gâcher du temps en recommençant. Je suis totalement perdue et je me sens bloquée.
On m'a souvent dit que j'étais trop sérieuse et que je travaillais trop, c'est sûrement vrai mais je n'arrive pas à me détendre si j'ai du travail à faire je me sens coupable de me reposer. Je ne sais pas quoi faire...

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Meilleure réponse 9 FÉVR. 2023

Bonjour Loulouu
Entrer dans l’âge adulte peut être un passage difficile à vivre. La période universitaire offre un préambule à la vie active et à l’entrée de plein pied dans le monde du travail, des responsabilités, en un mot : de l’autonomie.
Chez certaines personnes cette perspective peut affoler tous les sens et perturber le fonctionnement psychique.
Bien sûr la plupart du temps cela prend fin à l’issue de. cette période de transition, le temps que vous vous adaptiez au changement que représente ce passage.
Peut-être pourriez-vous apprendre à gérer la pression extérieure due aux études et apprendre à réduire la pression interne celle que vous vous mettez dans l’exercice de vos devoirs, de vos révisions etc…
Quand vous dites que vous vous sentez submergée par la quantité de travail qui n’est pas si importante c’est le signe que ce sentiment de « submersion «  vient d’ailleurs, peut-être de l’intérieur de vous même plutôt que de l’extérieur.
Ceci expliquerait aussi votre épisode dépressif et votre difficulté à aller vers les autres.
Je comprends que les finances soient serrées quand on est étudiant mais ce serait bien que vous puissiez parler de vos doutes, de vos peurs à un thérapeute professionnel ne serait-ce que quelques séances pour vous décharger de ce poids qui vous immobilise et vous bloque dans votre évolution.
Je reste pour cela à votre écoute,
Bien à vous
Frédérique Pouzol
Psychopraticienne
Psychothérapie -Psychogénéalogie

Anonyme-409158 Psy sur Le Bar-sur-Loup

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10 FÉVR. 2023

bonjour

les sentiments de perte de contrôle, de découragement et de culpabilité que vous décrivez sont fréquents chez les personnes atteintes de dépression. Les difficultés dans les relations sociales et l'investissement dans les études peuvent également aggraver les symptômes.

Il est important de prendre en compte vos besoins et vos limites pour gérer votre anxiété et votre dépression. Il peut être utile de discuter avec un psychothérapeute pour vous aider à trouver un équilibre entre le travail et le repos, ainsi qu'à développer des stratégies pour gérer votre anxiété.

Il est également important de travailler sur votre timidité et votre manque de confiance en vous pour vous aider à vous faire de nouveaux amis et à vous connecter avec d'autres personnes. Une thérapie peut vous aider à identifier et à travailler sur les croyances et les pensées qui vous limitent dans vos relations sociales.

Enfin, il est normal de se poser des questions sur la filière choisie et de se sentir incertain quant à son avenir. Il peut être avantageux de discuter de vos doutes et de vos aspirations avec un conseiller d'orientation ou un mentor pour vous aider à trouver des solutions qui correspondent à vos besoins et à vos intérêts.

Ulrich Alexandre Psy sur Narbonne

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10 FÉVR. 2023

Bonjour,

Vous êtes en première année de faculté et cela est souvent difficile. Ce n'est plus le même cadre et on est beaucoup plus livré à soi-même. On peut aussi avoir peur du nombre d'étudiants, se sentir stressé par autant de "concurrents".
Il ne faut pas vous laisser impressionner.
Reste que vous "traînez" une dépression depuis trois ans. Ce serait bien d'en explorer et d'en creuser la cause afin d'éviter que cela s'installe et se prolonge. Vous avez besoin d'en parler.
Je reste personnellement à votre disposition, sachant que ma première séance d'une heure est entièrement gratuite et sans engagement. Vous pouvez librement prendre un rendez vous sur mon agenda en ligne.

Bon courage à vous

Michel le BAUT
Psychopraticien
Thérapeute Jungien
Analyse de rêves

Michel Le Baut Psy sur Marseille

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9 FÉVR. 2023

Bonjour,
Si vous ne vous sentez pas vraiment à votre place dans ce cursus, il n'est pas étonnant que vous éprouviez des angoisses.
Et si vous avez tendance à en faire trop, c'est probablement parce que vous n'avez pas assez confiance en vous et cela vient de la façon dont vous vous êtes construite depuis votre enfance.
Je vous encourage à consulter.
Je consulte en présentiel ou par visioconférence. Merci de me contacter avant de vous inscrire sur l’agenda de la plateforme.
Bien à vous
Véronique BLANCHE, Thérapeute Holistique
Guérison de l’enfant intérieur
Hypnose Ericksonienne
Soins énergétiques

Véronique Blanche Psy sur Quessoy

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9 FÉVR. 2023

Bonjour, merci pour votre message, ne prenez que ce qui vous parle et jetez le reste. Comme vous l’exprimerez dans votre partage, vous avez de grosse difficultés à exprimer votre état, mais comme vous le dites également tout ce débloque. Je trouve ça très encourageant, je vous invite a continuer . Ce qui vous arrive peu être assez logique, lorsque nous sommes stressé, nous travaillons beaucoup, il arrive que nous nous devions nous mettre une pression de plus au plus grande. Si nous dépassons nos capacités, en nous retrouvant dans une zone de stress ou d’adaptation de manière trop régulière, au fur et à mesure notre état d’épuisement augmente. Le problème est que nous puisons de plus en plus dans nos ressources, jusqu’à la épuisement qui peut parfois conduire à un burn out, voir une dépression.
Dans cet état, d’ailleurs souvent bien avant, nous ne vivons plus mais survivons. Les conséquences sont que nous arrivons moins, voir plus du tout à nous détendre. Nous avons de moins en moins d’énergie. Nous sommes de moins en moins agréable, de plus en plus distant avec les autres, tous devient de plus en plus contraignant, voir jusqu’à être insupportable, y compris dans les relations.
En parallèle, plus nous l’intensité du mal être augmente plus nous essayons d’y mettre fin, en se mettant encore plus la pression pour régler la charge de travail ou en se protégeant de la réalité. Cette manière de faire peut par exemple, donner lieu à des angoisses. Heureusement, il est possible de faire en sorte de transformer cela et rendre votre vie, vos études, vos relations tellement plus agréable. Si cela vous parle, il serait certainement favorable pour vous de prendre contact avec une personne neutre, qui vous écoutera sans vous jugez, ni vous mettre de pression supplémentaire.
Par exemple un thérapeute avec qui vous vous sentirez en confiance, qui vous permettra d’être dans un espace de sécurité ou vous pourrez évoquer vos problématiques. Ainsi si vous souhaitez vous dirigez vers cette solution, il sera plus simple pour vous de revisiter vos priorités, vos limites pour être bien en vous, ainsi que dans votre vie. J’espère vous avoir un peu aidé, si vous souhaitez plus d’informations je suis à votre disposition, avec soutien, GEBEL Sébastien.

Sebastien Gebel Psy sur Thann

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9 FÉVR. 2023

Bonjour Loulouu,

Merci pour votre témoignage. En écrivant sur ce forum, vous commencez à prendre appui sur votre environnement et à chercher des réponses à vos angoisses à l'extérieur et ça, c'est un signe d'ouverture, je vous félicite, c'est une démarche courageuse.
De ce que vous écrivez, vous avez l'air de tâtonner dans vos études, dans votre vie relationnelle sans trop savoir qui ou ce qui vous plaît vraiment. Est ce que petite, vous étiez encouragée à exprimer votre désir, votre volonté? J'ai l'impression que vous auriez à travailler votre narcissisation: votre valeur ne passe pas par ce que vous faîtes ni la somme de travail que vous abattez bien mais bien par la belle personne que vous êtes.
Un travail thérapeutique pourrait vous aider à en prendre conscience pour affirmer vos choix et avancer dans la vie avec plus de sérénité et d'assurance.

Bien cordialement

Lucie Brétille
Gestalt thérapie

Lucie Brétille Psy sur Versailles

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9 FÉVR. 2023

Bonjour Loulou,

Vous êtes en première année de licence et vous avez des doutes sur votre orientation.
Vous avez du mal à vous faire des amis. Vous vous sentez bloquée.
On vous voit comme quelqu’un de sérieux qui travaille trop.
Et vous, comment vous voyez vous ?
Vous êtes jeune. A votre âge, le cerveau est très plastique. Vous pouvez retrouver une vitalité. Celle avec laquelle vous êtes arrivée au monde.
La timidité, la peur, l’angoisse ne sont pas vous. Vous êtes comme cela, car vous avez reçu beaucoup de pression, d’exigences. Vous avez capté beaucoup de peurs dans votre histoire et vous êtes « en mode survie ».
Je vous invite à vous faire accompagner pour vous libérer de vos schémas et de la pression que vous vous mettez.
Cela vous permettra de retrouver de nouveaux repaires.

C’est vraiment ce que je vous souhaite de tout cœur.

Je suis à votre écoute,

Chaleureusement,

Chantal Michel, Thérapeute

Chantal Michel Psy sur Chatou

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9 FÉVR. 2023

Bonjour Loulou,

Vous avez fait le grand saut en entrant dans le cycles des études supérieures et c'est toujours une révolution: changement de lieu de vie le plus souvent, détachement du cocon familial et des habitudes, bouillonnement de la faculté, de nouvelles disciplines et la nécessité de savoir gérer son travail personnel par une bonne organisation car en fac on est solo et même si il y a assez peu d'heures de cours, c'est le travail perso qui compte pour payer ensuite et se démarquer le plus,...).
Vous précisez être perfectionniste, c'est un bon point mais pour perdurer dans le temps, il vous faut peut-être revoir vos priorités de travail, caler un planning et vous y tenir.
Et puis vous parlez de votre timidité, vous avez quand même a minima une ou deux copines, non.... Il ne faut jamais être seule en fac. Aussi petit soit le groupe, il est pilote pour être soudée et se sentir moins vulnérable. C'est stimulant.
Vous vous sentez perdue et bloquez car visiblement vous n'avez pas saisi le fonctionnement de ce nouvel univers où nous sommes totalement livrés à nous-même, donc vous paniquez, vous perdez votre confiance en vous, et dans ce cas, comment est-il possible de vous détendre? Vous êtes en boucle négative et cela vous use, psychiquement et physiologiquement par effet écho, c'est clair.
Il ne s'agit pas forcément changer de filière, surtout si les disciplines enseignées vous plaisent.
Mais de modifier votre mode de fonctionnement et d'adapter votre comportement à ce premier pas vers le monde adulte, ne pas rester en retrait, aller vers les autres même si au début cela vous en coûte un max, je saisis très bien.
Vous avez un très grand besoin de grandir intérieurement et d'être "drivée" pour ouvrir les barrières devnat vous les unes après les autres et avoir un autre regard de votre parcours universitaire, par un nouveau prisme, et vous épanouir.
Chez vous, il ne s'agit pas d'angoisse ( l'angoisse, nous n'n connaissons pas la cause) mais un méga stress ( le changement de vie par les études, et tout ce qui est lié dans votre quotidien, donc vous avez la raison du souci).

Et puis, ceux vous ayant dit que vous étiez trop sérieuse, prenez le comme un compliment car c'est grand atout et la preuve de votre détermination; laissez glisser tout jugement; l'essentiel c'est vous !!!!
Alors au boulot, apprenez à vous connaître en valorisant vos points forts et en travaillant vos faibesses ( nous avons tous des failles sinon nous ne serions pas des humains...); la démarche analytqiue vous donnera les clés de votre personne et une belle boite à outils pour avancer, par la connaissance de vous-même tout simplement. Vous arrêterez les fausses croyances, les ruminations et la spirale infernale.
je suis à votre disposition en téléconsultation à votre convenance pour vous guider sur ce nouveau chemin, celui de votre vie de jeune adulte à l'avenir s'ébauchant sous un nouveau jour. vous vous poserez alors les bonnes questions et à voix haute pour débloquer votre psyché.
Courage !!!
c'est un passage difficile mais qui se négocie en ayant les clés pour agir.

Très chaleureusement.

Bénédicte Escaron
Praticienne en Psychothérapie
Thérapie humaniste et intégrative
site web sous mon prénom et nom détaillé

Benedicte Escaron Psy sur La Haye-d'Ectot

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9 FÉVR. 2023

Bonjour Loulou

Dans votre récit vous exposez plusieurs mal êtres :
Tout d'abord cette difficulté à vous exprimer, à parler de vous, de ce qui vous encombre. Vous ne savez pas "à qui parler".
Nous sommes des êtres de relation et je comprends que vous avez besoin de cela dans votre vie. La communication, l'expression de soi nous nourrit et nous ressource. Cela nous donne de l'énergie.
De plus, vous avez des doutes sur vos choix de filière professionnelle. Vous avez peur de trop vous investir pour finalement vous rendre compte que ça n'est pas ce qui vous intéresse. Et en paralèlle vous avez peur de "gâcher du temps" en recommançant autre chose.
Ca serait comment de vous dire que vous avez le droit de chercher, de tenter quelque chose et d'éventuellement renoncer pour finalement prendre un autre chemin qui serait mieux pour vous ? et que vous "prenez le temps" nécessaire pour vous sentir bien et en accord avec vos choix ? Quels sont les enjeux à cela ? que se passerait-il pour vous si vous prenez votre temps ?
Trouver et s'engager dans une voie professionnelle est tout un travail et demande du temps, de la réflexion, de la recherche, du discernement, ...Pour cela en parler avec votre entourage peut vraiment vous aider à poser vos idées, vos réflexions et à avoir des retours éventuels qui peuvent aussi vous apporter. Accepter que cela prend du temps vous invite aussi à vous considérer, à prendre soin de vous et à être à l'écoute de vos besoins.
Enfin, le dernier point parle justement de la façon dont vous vous traitez : vous être trop sérieuse et vous travaillez trop. Vous culpabilisez lorsque vous vous reposez. Comment vivez-vous le fait qu'on vous dise cela ? est ce réellement un défaut pour vous ?
Peut-être avez vous été accompagné durant votre période de dépression ? l'êtes vous encore aujourd'hui ?
Je vous invite à poursuivre un accompagnement thérapeutique afin de vous aider à clarifier vos émotions, vos angoisses, à apprendre à mettre des mots dessus et à vous rassurer et enfin à poser un regard bienveillant sur ce que vous vivez afin de pouvoir avancer dans la sérénité et la confiance.
Je me tiens à votre disposition pour vous accompagner dans ce processus.

Prenez soin de vous
Hélène Chambris
Gestalt Thérapie Humaniste Intégrative
Rdv en ligne ou en présentiel à Marseille 8ème

Hélène Chambris Psy sur Marseille

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9 FÉVR. 2023

Bonjour

Êtes vous suivi pour votre dépression ?
En effet ce que vous décrivez ressemble à celle ci.
Concernant votre voie universitaire, vous êtes avez des doutes.
Sachez qu'il est normal de se poser des questions et de rechercher du sens à sa formation.

Votre anxiété vous empêche d avoir un regard positif, et crée ce blocage que vous vivez au quotidien.

Je vous propose de vous apporter mon aide

Je reste à votre disposition pour un premier échange téléphonique

Bien à vous

Mr keddi

Alessandro Keddi Psy sur Rouen

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9 FÉVR. 2023

Bonjour Loulou,

Le contexte de ses études semble vous mettre en difficulté. Vous parlez de dépression, avez-vous été diagnostiquée ? Ou simplement, ressentez-vous des symptômes dépressifs... De toute façon, peu importe, l'étiquette, vous vous sentez mal et angoissée. Il s'agirait de comprendre ce manque de motivation. Cela tient-t-il à la nature de ses études, à un manque d'organisation, ou bien de sens ??? Tout porte à croire que quelque chose n'est pas à sa place, que tant que les choses ne seront pas mieux abordé, situées et comprise, vous allez ressentir ces symptômes.
Si en plus vous êtes du genre à travailler énormément et à faire énormément d'efforts, cela va contre vos motivations profondes, et créer un grand conflit intérieur, qui est épuisant et usant.
Pourquoi ne pas vous faire accompagner sur juste quelques séances afin de comprendre un peu plus en profondeur votre situation, vos besoins et attentes plus ou moins conscients. Quand vous saurez exactement ce que vous les voulez faire, et à quoi cela pourra vous servir dans votre vie, tous vos efforts prendront naturellement du sens et votre vie deviendra légère.

Je vous laisse y réfléchir, et me tiens à votre disposition avec attention et bienveillance si vous souhaitez en parler.
Xavier Dubouch

Psychopraticien-Gestalt-thérapeute

Xavier Dubouch Psy sur Périgueux

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9 FÉVR. 2023

Bonjour,
Tout se débloque un petit peu, c'est déjà ça. Continuer à regarder les petits progrès que vous réalisez chaque jour et petit à petit, ils prendront de plus en plus de place en vous. En psychologie positive, il donne un truc : chaque soir avant de vous endormir remémorez-vous 3 moments positifs. Petit à petit, cela redonnera de l'énergie. Et puis, vous pouvez aussi vous donner des petits défis comme, par exemple, dire bonjour à 3 personnes et leur demander comment ils vont, etc.
Et puis, il vous reste à vous faire accompagner par un thérapeute pour vous sentir mieux.
Bien à vous
Jean-Marc Alloua
Thérapeute de couple-Psychopraticien-Art Thérapeute
Enfants Adolescents Adultes

Jean-Marc Alloua Psy sur Lyon

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9 FÉVR. 2023

Bonjour

Dépressive depuis 3 ans et vous êtes en parcourt universitaire.
Les études supérieures nécessitent beaucoup d'investissement et de concentration sur vos études. Or vous êtes très mal psychiquement.
De plus il semble que vous soyez plutôt une perfectionniste en temps habituel. Ce type de comportement met la personne en état de stress et d'anxiété permanent.
Enfin, vous exprimez votre manque d’intérêt et vos doutes sur le choix de votre filière.

Est ce que cette dépression vient de vos difficultés de choix, et d'un choix d'études, donc de vie future, par défaut.
Maintenant vous vous sentez acculée et vous avez peur de changer.
Avez vous pensé que changer vaut mieux que s'enfoncer. Avez vous évalué ce que vous perdriez vraiment à part le temps, et ce que vous gagneriez.
Quelle est votre notion de l'échec ?

Il est certain que des schémas de ce qui doit être ce sont construits dans votre enfance. Ce sont ces schémas inconscients qui guident vos pas aujourd'hui. Or ils sont erronés. Vous êtes donc tiraillée et descendez par conséquent dans la dépression qui elle limite vos capacités, vous affaibli physiquement et psychiquement.

Vous devez très vite arrêter ce cercle vicieux. Votre vie future est en jeu.
Une aide d'un thérapeute vous est nécessaire pour en sortir, aller trouver comment se sont créés ces schémas erronés et trouver des comportements adéquats dans la vie. Vos émotions et vos pensées seront transformées. Vous sortirez définitivement de la dépression.
Vous apprendrez donc à vous connaître et savoir les chemins de vie qui vous motivent.
Les TCC qui vous permettront de faire ce travail sur vous et votre avenir.

Je vous engage à agir maintenant en vous faisant aider.
Bien sur j'aurai plaisir à vous accompagner dans vos transformations.

----Olga SERO-GUILLAUME----
NEURACOSME
Psychopraticien – Hypnothérapeute
Psychothérapie - Accompagnement au changement
Développement personnel
--- Visio et Présentiel ---



Olga Sero-Guillaume Psy sur Laval

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9 FÉVR. 2023

Bonjour,

La dépression n'est pas un état facile à gérer et il est normal que vous soyez perdue.
Concernant votre filière, il faut vous poser les bonnes questions pour savoir si cela vous plaît réellement et si vous vous projeter dans un métier qui y serait relié.
En effet, si vous êtes en première année de licence, vous êtes encore très jeune et vous avez le temps de commencer autre chose. La réelle perte de temps serait d'aller jusqu'au bout de vos études et vous rendre compte, à la fin, que ce n'est pas ce que vous souhaitez.

Je ne vous conseille pas d'abandonner ici mais plutôt de peser le pour et le contre et de prendre du temps pour réfléchir à ce que vous voulez réellement faire.

Aussi, êtes-vous accompagnée par un professionnel pour travailler votre dépression, votre confiance en vous et le lâcher-prise ?
Sinon, cela pourrait être une solution intéressante pour vous.

Je reste à votre disposition et vous souhaite une belle journée,

Melissa Vieira

Melissa Vieira Psy sur Paris

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