propos désobligeants envers enfant

Bonjour Charlene,
Votre message est très courageux et montre que vous souhaitez sortir d’une situation qui vous fait souffrir. Il montre également que vous auriez besoin d’en parler, de déplier tout cela par la parole pour y voir juste, pour y voir clair dans ce que vous traversez. Si vous avez écrit à ce site, ce n’est pas un hasard. Donc n’hésitez pas à entamer une psychothérapie même brève qui vous aidera énormément. Bien à vous.

Bonjour Charlène
C'est très bien que votre fils ait pu vous dire ce qui s'est passé avec son oncle même si ce n'est pas agréable de se rendre compte que des personnes de la famille qu'on croit connaitre se permettent ce genre de choses. Et félicitations d'avoir un fils qui veut régler les conflits au lieu de les fuir.
Dans votre situation, il y a deux éléments à traiter différemment: la demande de votre fils et votre attitude face à votre frère.
Pour votre fils, pourquoi pas l'accompagner si c'est vous qui décidez le lieu. Je vous suggère un lieu neutre qui obligera votre frère à se comporter de façon acceptable, c'est à dire un lieu public, un restaurant, un café... ça limitera les possibilités d'altercation et d'agressivité. N'allez pas chez lui, car c'est son territoire et il sera en position de force. Ensuite, ce moment sera pour votre fils et je vous suggère de ne pas confronter votre frère à ce moment-là en sa présence. Il faut montrer à votre fils qu'il n'a rien à voir dans cette histoire.
Vous n'êtes pas responsable de la relation de votre fils avec sa famille. vous n'êtes pas obligée de lui donner d'envie d'aller les voir. Ils sont responsables de ce qu'ils disent et s'ils vous dénigrent, votre fils va s'éloigner et c'est normal. Il met des limites et c'est une bonne chose. Il n'a aucune obligation envers eux et il est assez grand pour les voir comme ils sont.
Ensuite, si vous pensez que c'est une bonne idée, prenez ensuite un rdv avec votre frère pour le confronter. Je pense qu'il faudrait que vous prépariez bien ce rdv pour ne pas vous faire embarquer dans une discussion que vous ne voulez pas avoir. Je ne pense pas que ça aggravera la situation qui est déjà insupportable. Ne rien dire, c'est le conforter dans sa position. Dire quelque chose est le seul moyen d'envisager un changement. Prenez le temps de réfléchir et de prendre conseil.
Nathalie Goursolas Bogren
Analyste transactionnelle, psychopraticienne
Maitre en psychologie du développement et de l'éducation

Bonjour Charlène,
merci pour votre message, et je comprends votre désarroi de vivre cela. Je ne suis pas pour vous conseiller ce que vous devez faire ou dire. Cela est fonction de ce que vous avez envie de vivre.
Si votre fils a envie de parler à son oncle, je pense que c'est important que vous puissiez l'accompagner. je trouve beaucoup de courage et de force chez votre fils d'autant que vous dites bien qu'il souhaite exprimer à son oncle la peine que cette histoire lui fait et non venir accuser ou reprocher à son oncle. Ce sont les bases de la communication consciente.
Discuter avec votre frère, peut aussi vous permettre de poser vos limites et cela permet de gagner en confiance en soi. Connectez vous avec ce que vous avez envie et besoin, ainsi vous saurez ce qu'il vous paraît juste de faire.
Je vous souhaite de trouver la voie juste pour vous et votre fils.
Bien à vous.
Anne-Sophie (Praticienne Gestalt)

Bonjour Charlène,

Si je résume la situation, votre fils se sent tiraillé entre prendre parti pour sa mère d’un côté ou prendre parti pour son oncle et le reste de la famille d’un autre côté. Il est face à un conflit de loyauté ou fatalement être loyal envers un camp implique de trahir l’autre.

L’inconscient de l’adolescent est encore en pleine construction à 15 ans. C’est l’âge auquel il va confronter ses idées, ses valeurs, il va réfléchir, remettre en question, argumenter et s’opposer parfois. En somme, il va apprendre à s’affirmer tout en respectant les lois de la société. Ainsi va se constituer son libre arbitre qui sera une sorte de guide, de conseiller interne qui l’aidera à faire la part des choses entre ce qui est bien et ce qui est mal dans le respect de la Loi.

Par conséquent pour répondre à votre question et l’aider à sortir de ce conflit de loyauté, il faut vous appuyer sur la loi. La Loi aide à trancher et prendre position sur ce qui est juste. La loi française n’interdisant pas l’union ou le mariage mixte, vous pouvez donc rassurer votre fils sur ce point.
Votre frère, quant à lui, cherche plutôt à imposer sa loi, une loi faible qui fait plus référence aux us et coutumes d’une famille qu’aux lois d’une république, ce qui laisse à penser qu’une confrontation serait probablement inutile et perte de temps. Apprenez plutôt à votre fils que ce n’est pas toujours celui qui crie le plus fort qui a raison et qu’il doit apprendre à se faire confiance car ainsi il n’aura plus besoin de l’approbation des autres.
Quant à vous, avez-vous songé à officialiser votre union devant Monsieur le Maire? C’est une belle façon d’harmoniser l’amour et la loi vous ne croyez pas ?

Bien à vous,

Chrystelle Dumort
Psychanalyste à Nîmes et à distance.
Site internet: https//www.psychanalystenimes.fr

Bonjour Charlène,
Votre vie et votre bonheur n'ont besoin d'être validés par personne à part vous. Vous semblez prise dans des relations toxiques avec le reste de votre fratrie. Je vous conseille de vider votre sac avec eux sur les événements que vous décrivez. Pour pouvoir franchir la barrière de la loyauté familiale, je vous suggère de vous faire aider par un thérapeute.
Bon courage à vous!
Frédéric DUQUEROIS
Psychopraticien en Analyse Transactionnelle Adultes et Couples, en Individuel et en Groupe
Nantes

Bonjour Charlène,

Malheureusement, et vous pouvez le constater autour de vous, le racisme se répand dans la société. Personne n’y échappe, pas même votre frère visiblement.
Il vous faut, aujourd’hui, aider votre fils en allant vous confronter à ce frère. Vous lui indiquerez que vos choix de vie n’appartiennent qu’à vous seule et qu’il n’a pas à les critiquer. D’ailleurs, critiquez-vous sa façon de vivre ? J’imagine que ce n’est pas le cas. Vous lui direz que ces pensées nauséabondes ne regardent que lui et qu’il n’a pas à mêler votre fils à cela. Vous finirez par lui dire que, si son attitude reste constante à votre égard, vous serez dans l’obligation de limiter drastiquement vos relations avec regret, mais par nécessité.

Je reste à votre disposition et à votre écoute.

Pour plus de détails, contactez-moi.
N’hésitez pas à vous faire une idée du sérieux de ma méthode en consultant les avis sur ma fiche.

Christophe
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Thérapeute de couple - Sexothérapeute
* Rendez-vous en ligne uniquement

Bonjour Charlène,

Vous avez parfaitement raison! Qu'un adulte dise du mal ainsi d'une mère à son enfant tout en lui demandant de garder le secret est totalement pervers. Votre frère a vraiment des problèmes psychologiques, peut-être une jalousie maladive à cause de désirs incestueux envers vous, une peur de l'autre, de la différence qui le rend raciste et qui est pathologique. Il serait bon que votre fils et vous même évitiez cette personne toxique.

Je peux vous accompagner si vous le désirez pour vous libérer de ce poids : dois-je être validée par ma famille?

Bien à vous, Anne Fierry Vérité, psychologue clinicienne

Bonjour,

Votre situation est délicate, car elle mêle des blessures personnelles, des conflits familiaux, et le bien-être de votre fils. Voici quelques pistes pour avancer tout en préservant l’équilibre émotionnel de chacun.

Concernant votre fils :
Votre priorité immédiate est de l’aider à retrouver confiance et sérénité. Vous pouvez lui expliquer que ce qu’il a vécu est injuste et qu’il n’avait pas à porter ce poids. Rassurez-le : son rôle n’était pas de vous défendre, mais il a fait preuve de courage en vous en parlant. Cela montre sa maturité et son amour pour vous. Encouragez-le à exprimer ses émotions à son oncle si cela l’apaise, mais assurez-lui que vous serez à ses côtés pour le soutenir. Dites-lui aussi que son appréciation pour votre compagnon est ce qui compte réellement, et non les jugements externes.

Concernant votre frère :
Il est important d’adresser ce conflit, mais avec tact et fermeté. Vous pourriez lui écrire une lettre ou discuter calmement en mettant l’accent sur votre ressenti plutôt que sur l’accusation. Expliquez que vous êtes blessée par ses propos, non seulement pour vous, mais pour l’impact qu’ils ont eu sur votre fils. Rappelez-lui que votre bonheur n’a pas à être validé par quiconque et que le respect de vos choix est essentiel pour maintenir une relation familiale saine.

Pour vous-même :
Prenez du recul face à cette situation en vous concentrant sur ce qui vous épanouit : votre relation, vos enfants, et votre vie. Considérez la possibilité de consulter un thérapeute pour vous aider à naviguer dans cette dynamique familiale et mieux gérer vos émotions face aux blessures infligées par votre frère.

Votre bonheur est précieux, et il ne doit jamais être soumis au regard des autres, même de votre famille.

Bien à vous,

Séverine Hutinet
Psychanalyste Jungienne et analyste de rêves

Bonjour Charlène ,

Je suis vraiment désolé d'apprendre ce que vous traversez. C'est une situation très délicate et douloureuse, surtout quand cela implique des membres de la famille et des propos blessants.

Il est important de rassurer votre fils et de lui faire comprendre qu'il n'est pas responsable des propos de son oncle. Expliquez-lui que sa réaction est compréhensible et qu'il a le droit de se sentir blessé et en colère. Encouragez-le à exprimer ses sentiments et à ne pas garder cela pour lui.

Si vous décidez de parler à votre frère, essayez de le faire dans un cadre calme et respectueux. Exprimez vos sentiments sans accuser, en utilisant des phrases comme "Je me sens blessée quand..." plutôt que "Tu as fait...". Cela peut aider à désamorcer la situation et à ouvrir un dialogue constructif.

Il est crucial de protéger votre bien-être et celui de votre fils. Si les propos de votre frère continuent à être destructeurs, il peut être nécessaire de limiter les contacts avec lui pour un temps, jusqu'à ce que la situation se calme.

Parler à un thérapeute ou à un conseiller familial peut vous offrir un espace neutre pour exprimer vos émotions et obtenir des conseils sur la meilleure façon de gérer cette situation. Un professionnel peut également aider votre fils à surmonter ses sentiments de culpabilité et de détresse.

Entourez-vous de personnes qui respectent et apprécient votre bonheur.

Il me semble important de rappeler que vous méritez de vivre une vie épanouie et heureuse, sans avoir à justifier vos choix à quiconque.
Prenez soin de vous et de votre fils, et n'hésitez pas à chercher le soutien dont vous avez besoin pour traverser cette période difficile.

Courage à vous.

Bonjour,

Vos sentiments, et ceux de votre enfant, sont valides. Vous avez raison, vous n'avez pas à chercher de validation de la part de votre famille par rapport à votre vie ou à votre bonheur.

Cependant, les paroles de votre frère vous blessent. Cela reste dans votre tête et pèse sur votre mental dans la vie de tous les jours. Vous avez le droit de parler de votre ressenti. C'est même un besoin. Je ne peux pas vous promettre que la situation ne va pas empirer si vous en parler.

Par contre, cela vous soulagera de pouvoir lâcher ces pensées. Vous êtes légitime dans ce que vous ressentez, et il est normal d'avoir envie de lui en parler afin de partager ce qui pèse sur vous. Faites un point sur vos besoins, ce dont vous avez envie pour vous sentir mieux.

Je reste a votre écoute,

Gwenaël THING-LEOH
Psychologue clinicienne - Psychothérapeute

Bonjour Charlène

Vous avez tout à fait raison, votre vie et votre bonheur n'ont pas être validés par votre famille ils vous appartiennent.
Vous êtes issue d'une culture où traditionnellement la parole des felles n'était que peu entendue et cette culture assignait aux frères un rôle voire un devoir de protections de leur sœur. Ce sont la des traits culturels qui ne sont que des constructions sociales, et comme toutes les construction sociales elles appellent à être déconstruite. Déconstruites ne veux pas dire détruites, mais simplement questionnées et remises en perspectives avec les modes de vie actuels.
C'est ce travail de déconstruction des représentations sociales que vous devriez entreprendre avec votre fils, l'équilibre n'est pas facile à trouver parce que la culture c'est aussi une composante identitaire. La question c'est de trouver le juste équilibre entre comment s'affirmer individuellement à l'intérieur d'un groupe social sans s'en exclure.. D'un point de vue théorique c'est trouver l'équilibre entre les concepts de mêmeté et d'ipséité. Pardonnez-moi ce détours un peu (trop) théorique

De façon concrète parlez avec votre fils, parlez lui de votre culture de ce qu'elle a de bien et de ce qui n'est plus adapté, expliquez lui que votre frère se croit sans doute en devoir de vous protéger mais qu'il le fait très mal, que la protection d'une sœur n'est pas juger vi sa vie ni son bonheur.

De votre côté vous pouvez également vous positionner vis-à-vis de votre frère et de votre famille, il ne s'agit pas de leur dire qu'ils n'ont pas à juger vos choix, cela serait pris comme quelque chose d'agressif, voir de transgressif, mais vous pouvez simplement parler de votre bonheur et essayer de leur faire partager. En restant muette vous restez dans le rôle social qui vous a été assigné.

Tout ceci n'est pas facile j'en conviens, vous pouvez vous faire accompagner pour travailler ces questions là. La thérapie narrative peut vous aider en ce sens, parce que créer auprès de minorité, elle supposent à minima un travail de déconstruction des représentations sociales.

Je reste à votre disposition si vous souhaitiez en savoir plus sur la thérapie narrative ou approfondir cet échange, n'hésitez pas à me contacter.

Bien cordialement

Bruno BRICE
Thérapeute Narratif

Bonjour Madame,

Ces agissements malsains s’inscrivent probablement dans une culture familiale où les hommes de la famille sont censés approuver et donner leur accord concernant les fréquentations de leurs filles / sœurs.
Est ce que votre compagnon actuel a la même religion que vous ? Cela peut être lié à cet aspect aussi.

Il serait bon d’arriver à parler à votre frère de la déception que ses propos tenus à votre fils vous a causé, et du trouble que cela a produit dans votre cellule familiale.
Vous pouvez même demander à votre frère quelle satisfaction il tire de ça et pourquoi il sème la zizanie chez vous.

Je ne sais pas si vous pouvez affirmer votre point de vue ainsi.,,

Autrement il me semble malsain de faire comme si de rien ne l’était, pour sauver les apparences.

Pensez à ce que vous voulez transmettre à vos enfants : dans toute culture familiale il y a du bon et du moins bon.

Je vous souhaite de pouvoir vous expliquer avec ce frère médisant.
sp

Bonjour,

Effectivement votre situation conjugale, comme tout ce que vous faites dans votre vie, n'a nullement besoin d'être validée par votre famille. Le problème vient d'eux et non de vous. Vous devez ne pas culpabiliser de cette situation ni vous en sentir jugée. Vous n'avez pas non plus besoin de vous justifier. Vous devez simplement prendre acte de cette situation et gérer à votre convenance, et non la leur, la relation avec votre famille dans le temps et l'espace.
Concernant votre fils il se sent coupable de ne pas vous avoir défendu. Comme il a 15 ans il faut voir avec lui s'il a vraiment besoin de cette confrontation avec son oncle -qui ceci dit ferait du bien à ce dernier. Ce qu'il faut surtout c'est lui enlever cette culpabilité en lui expliquant que "les gens sont comme ça" et que l'on ne peut pas toujours y faire grand chose car les gens ne changent pas facilement et qu'il rencontrera ce problème de nombreuses fois dans sa vie.
Je reste personnellement à votre disposition, sachant que ma première séance d'une heure en visio est entièrement gratuite et sans engagement. Vous pouvez librement prendre un rendez vous sur mon agenda en ligne.

Bon courage à vous

Michel le BAUT
Psychopraticien
Thérapeute Jungien
Analyse de rêves

Bonjour Charlène,
Merci pour votre message.
Savez-vous quel a été l'élément déclencheur de ce changement de comportement de votre frère avec vous et votre fils ?
Quoi qu'il en soit, la communication est toujours la bonne solution. Si vous en avez envie et vous en sentez capable, parlez en à tête reposée et de manière bienveillante (en utilisant le "je" et non le "tu") et en exprimant ce que vous avez ressenti et ressentez encore.

Votre fils n'a pas à s'en vouloir de ne vous avoir pas défendu. Il est très difficile de faire face à un adulte, même à 15 ans. Le principal est qu'il soit au clair avec ce qu'il ressent vis-à-vis de vous et de votre compagnon.

Il est sûr qu'il est bien plus facile de vivre pleinement sa vie lorsque chacun valide nos choix, nos relations... mais vous pouvez quand même être sereine si ces choix sont en accord avec vos valeurs et qui vous êtes.
Quant à votre frère, ce qu'il a fait n'est pas très moral. Mais vous devez accepter que vous ne pouvez pas avoir le contrôle sur ce qu'il s'est passé....

Je reste à votre disposition pour en échanger davantage si besoin.

Prenez bien soin de vous.

Clémence Henry

Bonjour,
Plusieurs piste de réflexion me viennent est-ce culturel ou de la jalousie de votre bien-être ?
Il est bien normal que garder pour soi ce genre de chose, fait mal...
Après le dire il faut vous demander "Est-ce que cela va apporter?" Si vous entrer en conflit avec votre famille, cela risque aussi de vous faire souffrir. Parce que l'oncle semble avoir conscience de l’indélicatesse de ses propos, vu qui souhaite que cela reste entre eux, il risque de sentir vulnérable et agressé. Donc discuter ne semble pas facile dans ces circonstances.
Après discuter, de manière positive avec lui, pour avoir son avis et exprimer vos craintes pourquoi pas ?
Votre fils peut souffrir aussi, d'être tiraillé par l'oncle qu'il adore et sa mère qu'il aime profondément, il peut consulter pour exprimer ce qu'il ne peut vous dire et ainsi se libérer de ses émotions... Vous aussi pouvez consulter pour surmonter vos difficultés. Vous avez le droit d'être heureuse.
Votre prise de recul est une bonne stratégie mais il faut être persuadé que c'est la bonne manière pour trouver les mots avec votre fils.
Votre témoignage est touchant, vous êtes en bonne voie, gardez confiance en vous et en ce que vous avez construit.
Ne restez pas seule dans vos souffrances, demandez de l'aide, je reste disponible, belle journée Mélina