Quand je bois de l’alcool, je n’arrive plus à m’arrêter. Comment m’en sortir?

Bonjour Léna,

Premièrement, tu peux te féliciter de prendre ce sujet en main et d'avoir fait le premier pas pour venir en parler ici.
Cela peut paraître peu, mais c'est à mon sens déjà la moitié du chemin parcouru.

Si tu souhaites échanger avec un coach spécialisé dans le domaine des addictions, et qui a accompagné plusieurs personnes sur le sujet de l'alcool, je te propose simplement de prendre un RDV dans mon agenda via psychologue.net :)

Cela te permettra d'avoir un espace d'écoute bienveillant et sans jugement.
Cela nous permettra de faire connaissance et de co-créer ensemble un plan d'action pour t'aider au mieux à avancer sur ce sujet.
Cet appel est totalement gratuit.

A très vite, si tu es prête en tout cas,
Thomas

Bonjour Léna, pour sortir d'une addiction à l'alcool il est effectivement important de se faire aider sur 2 plans. D'une part de prendre contact avec Alcool info service 09 80 98 09 30 et de rencontrer un psy pour travailler sur votre histoire familiale.
Il y a aussi des livres qui peuvent être une aide.
Bien à vous
Jean-Marc Alloua
Psychopraticien

Bonjour

Il semblerait que l alcoolisation produise des effets sur vous permettant ainsi de vous dépasser voire de vous deshiniber.
Ainsi en travaillant sur l'image que vous avez de vous et en mettant vos ressources en lumière vous gagnerez en confiance et l'alcool ne sera plus nécessaire pour "briller".
Par ailleurs, il serait intéressant de comprendre pourquoi cette forme d'insécurité s'est installée.
Un accompagnement avec un professionnel vous serait bénéfique pour cheminer en douceur.

Je reste à votre écoute si besoin. N'hésitez pas à consulter mon profil pour en découvrir davantage sur mon approche bienveillante.

Virginie Augias
Thérapeute (adulte, couple, famille)
Consultations en ligne ou à mon cabinet

Bonjour,
En effet vous êtes addict à l'alcool et seule une thérapie adaptée pourrait vous aider.
Toutefois, il est toujours plus pertinente de travailler sur ce qui vous a emmené à boire que traiter le symptôme (addiction) lui même.
Donc il faudrait revisiter toute votre enfance afin de traiter tous les souvenirs dérangeants du passé et ce qui est resté enkysté en vous au niveau émotionnel et croyance négative sur vous même...
Mon approche est pertinente pour faire ce travail d'exploration. (voir mon profil)

Cordialement
Hypnothérapeute clinique - Thérapie intégrative & holistique

Bonjour, je vous remercie pour votre partage, ne prenez que ce qui vous parle et jetez le reste. Le point positif est que vous avez conscience de ce qui se passe pour vous et surtout à quel moment cela vous arrive, c est vraiment un très bon point. L’hypersensibilité peut se corriger avec certaines substances comme par ex: l’alcool et permet de palier aux effets négatifs de celle-ci, d’autant qu’elle se manifeste le plus régulièrement en groupe. Maintenant il y a aussi d’autre façon saine d’y parvenir avec bien sûr l’option de vous faire accompagner. Si vous le souhaitez, une manière efficace de changer ces mécanismes serait d’aller voir avec un thérapeute, ce qui est à l’origine du fait que vous ne pouvez pas facilement refuser une proposition de boire et ainsi mettre en place des ressources pour y parvenir sans difficultés. Souvent un traumatisme est à l’origine du problème, ce n’est pas irréversible et une résilience est tout à fait possible et généralement avec moins de difficultés que celle que vous relatez actualité ment avec l alcool. En parallèle, un travaille sur les émotions et toutes les causes de celles ci peut aussi vous rendre la vie plus simple et agréable. Une suggestion pour ne pas totalement refuser, commencez par prendre un verre sans alcool, limonade ou ? et dire je préfère commencer par ça et j’en prendrait peut un avec alcool après ( ou pas). Le plus compliqué à refuser, c’est bien évidemment le premier, ça peut laisser un vrai sentiment de solitude, voir de honte, mais il est très important, puisque cela donne le courage et l’opportunité d’en refuser d’autre plus tard avec beaucoup moins de difficultés. Je suis à votre disposition si vous souhaitez de plus amples explications. J espère avoir pu vous aidez. Avec soutien GEBEL Sébastien.

Bonjour Lena,

Bravo pour ce partage qui est déjà en soi une reconnaissance de votre mal être !
Je comprends aisement votre souffrance et vous conseille de prime abord de consulter votre medecin traitant ou de vousvfendre dans un centre spécialisé dans les addictions ( je me permets d ecrire ce mot car vous m avez vous même évoqué ).
Soyez bienveillante envers vous même. Vous êtes déjà sir un chemin, celui de comprendfe.
Ensuite, une therapie semble pour moi indispensable pour comprendre qu est ce que vous voulez, inconsciemment bien sur, "étouffer" de votre histoire........rendre cette part de vous légitime et comprendre votre chemin.

Je vous invite à aller voir mon profil.
Bien à vous.
Karine BOYER
Thérapeute en libération emotionnelle et traumas enfouis.
Consultations en visio et en presentiel.

Bonjour
Un accompagnement en réseau peut être vraiment d'une grande utilité
Votre médecin traitant, vos proches, un une addictologue, et une psychothérapie
Bien à vous
Inès Avot

Bonjour Léna,

Merci pour votre confiance

Dans un premier temps je vous conseille de consulter votre médecin traitant et de lui parler de votre dépendance.

Ensuite n'hésitez pas à envisager une thérapie pour vous aider à sortir de cette addiction.

N'hésitez pas à consulter mon profil et revenir vers moi si vous en ressentez le besoin

Bien à vous

Mr keddi

Bonjour Léna,

Il y a très probablement une cause à trouver dans votre toute petite enfance.
Comment se sont passés vos premiers jours de vie ? Premières semaines et premiers mois ?
Y aurait-il eu une difficulté pour vous nourrir ? Cela arrive fréquemment que l’allaitement maternel mette un peu de temps à se régulariser, le lait n’arrive pas assez vite parce que le bébé n’a pas la force de téter et/ou la maman découvre et tatonne. Peut-être avez-vous eu faim et pas assez de lait ou au contraire une arrivée trop rapide, avec une tétine de biberon trop ouverte ?…
Toutes ces situations donnent un message d’insécurité au nourrisson, et cet apport trop lent ou trop rapide de liquide soulage sur le moment la faim pour quelques heures plus tard provoquer des douleurs gastriques.
N’est-ce pas cela que vous vivez avec l’alcool ? Le premier verre est agréable, joyeux, amène du sucré, de la douceur. Puis il y a une sorte d’appel à prolonger ce moment de béatitude, alors, il y a un deuxième verre. Imaginez à ce moment-là le bébé qui continue à téter parce que qu’on lui présente encore du lait dans le biberon ou parce que le contact du sein est agréable. Et puis un 3ème verre. Et pourquoi s’arrêter alors que cela rappelle le moment le plus doux et sécurisant ?
Le bébé ne sait pas que quelques heures plus tard il va se tordre de douleur parce que son ventre est trop rempli. La maman ou l’adulte qui lui a donné à boire ne connait pas non plus les limites, le trop plein.
Et vous c’est le lendemain que vous allez pleurer dans votre lit, avoir la gueule de bois.

Alors comment faire maintenant ?
Déja cette prise de conscience peut vous permettre de remettre les choses à leur place. Aujourd’hui vous êtes adulte et n’êtes plus dépendante d’un adulte qui vous fait boire.
Ensuite quelques séances de déprogrammation avec un-e thérapeute pourra vous être bénéfique. Hypnose, méthode TIPI ou NERTI ou toute autre méthode propore à chaque thérapeute.

Et en même temps, si vous faisiez un pas de côté ?
Le problème que vous amenez ici est récurrent et très généralisé. Interrogez vos amis, demandez leur comment ils vivent leur dimanche, observez s’il savent se réguler en soirée ou si comme vous ils boivent encore et encore jusqu’à s’écrouler…
Et si vous proposiez une fois une soirée sans alcool ? Juste pour voir, pour expérimenter, prenez le comme un jeu ! Et si ce soir on innovait dans des coktails colorés à base de fruits, de légumes, d’eau gazeuse, limonade … ?

Votre santé vous appartient, soyez créative, soyez authentique, dites à votre entourage ce que vous vivez, vous verrez vous aurez sûrement beaucoup de proches qui feront le même constat. Soutenez-vous, c’est plus facile quand on est entourés.

Je reste à votre écoute.
Claire Thomas,
Psychosomatothérapeute

Bonjour Lena,
merci de de votre message.
C'est devenu maintenant un schéma récurent, une sorte de reflexe inconscient. Il nous faut modifier ce processus, avec des cles sur les causes et sur les effets.
C'est aussi de l'autosabotage, qui prend racine sur vos expériences et sur votre estime de vous, comme si vous vous punissez.
NE restez pas ainsi, car vous vous faites mal.

Avec bienveillance, empathie et sans jugement, je consulte en cabinet ou mais aussi en visio (Doctolib) : cela permet une grande discrétion et confidentialité, sans vous déplacer et aux moments ou vous êtes disponible.

Spécialiste en de nombreux sujets dont la sexualité, les relations de couple, sociales, amoureuses ou toxiques, angoisses, crise de sens...Ecrivez moi ou appelez moi et nous en discuterons.
Bien cordialement,
Christian RICHOMME
Psychanalyse - Hypnothérapeute - Sexothérapeute
Paris

Bonjour à vous,
Dans un premier temps il serait bien de voir votre médecin traitant afin qu’il vous indique la marche à suivre pour vous couper de cette dépendance. ( Douceur et bienveillance).
Dans un deuxième temps vous devez essayer de comprendre pourquoi vous avez autant de colères et de culpabilité en vous. De remonter à la source de votre souffrance afin de couper définitivement avec celle-ci. ( Douceur et bienveillance).
Je sollicite également votre curiosité afin d’aller chercher dans votre histoire personnelle et familiale les réponses qui vous ouvriront les portes de la compréhension.
" La connaissance de soi " " L’expansion de conscience " sont des outils formidables et efficaces qui répondent à votre demande. Je vous invite à vous renseigner. A participer à un stage qui changera votre vie. Je suis disponible pour tout renseignement complémentaire. Cordialement. Christine Lorijon.

Bonjour Léna,

Je vous remercie de vous être confiée ici, c’est une très bonne démarche, bravo!

Je commencerai par vous conseiller de consulter votre médecin traitant et de lui parler de votre dépendance, il saura vous orienter et éventuellement vous proposer une aide médicamenteuse contre l’alcoolodependance.

De plus, je vous suggère d’envisager un suivi thérapeutique, afin de vous aider à comprendre ce qui vous arrive pour peu à peu vous en détacher.

Restant à votre écoute avec bienveillance et empathie
Bien à vous
Marjorie Lugari Psychanalyste