Réponse à Xavier Martin-Prével
Bonsoir Monsieur,
Je n'attendais pas de réponse précise. Merci tout de même pour les vôtres. Ma décision n'était pas véritablement actée lors du tout premier message. Je ne sais pas, je voulais douter et que ce doute bénéficie au suivi. Mes idées se sont éclaircies depuis : je ne veux pas d'un suivi psy plus blessant qu'aidant. Je n'éprouve aucun plaisir à souffrir et depuis que j'ai décidé d'arrêter le suivi cette lourdeur à ma poitrine m'a quittée. je ne palpite pas en allant au travail, mais j'ai gardé ma concentration. Ma qualité de sommeil ne s'est pas améliorée mais elle n'a pas empirée, entre autres : je fais la liste des plus et des moins ne sachant pas identifier mes ressentis avec clarté. Donc pour l'instant, et sans remettre en cause la psy (c'est un rapport interpersonnel qui n'a pas fonctionné), évidence ou pas quitter cette psy me fait plus de bien que de mal.
Cordialement.