Separation difficile parents

Réalisée par Laurine73 · 3 janv. 2023 Aide psychologique

Bonjour, je vous contacte car j’ai des soucis avec la séparation avec mes parents. J’ai 23 ans, je suis étudiante et j’ai un appartement à 2h de route de chez mes parents. A mes 18 ans j’ai du partir de chez eux pour les études et la séparation à été extrêmement difficile. J’ai eu une période où je ne me nourrissait plus, chaque trajet pour rentrer c’était des grosses crises de pleurs. A ce moment-là je vivais à 4h de route de chez mes parents et j’étais avec ma soeur dans l’appartement. Je pensais que la séparation serait plus facile avec ma soeur mais au final pas du tout. Je me suis après rapprocher à 2h de route mais rien n’a changé. Chaque dimanche soir je pleure et j’ai juste envie de rester avec eux. Quand ils viennent me rendre visite je suis contente et je rentre tous les week-ends. Quand je suis chez eux le week-end je n’ai pas beaucoup de vie sociale car je veux passer un maximum de temps avec eux.
J’ai pourtant des amies là où je vis, je fais des sorties mais pour autant je suis malheureuse loin d’eux. Je pensais qu’en grandissant ça passerais mais même après 5 ans le problème est toujours là.
Est ce que je pourrais avoir des conseils de votre part ? Merci

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Meilleure réponse 4 JANV. 2023

Bonjour Laurine,
Il est important dans votre cas de déterminer ce qui vous conduit à ces crises de pleurs. Est ce un sentiment d'abandon, de culpabilité, de solitude, de défusion...? Quel est la nature du lien que vous entretenez avec vos parents? Bref, il vous faut faire un travail personnel pour comprendre puis transformer la raison qui vous maintien attachée au cocon familial pour vivre une vie épanouie d'adulte.
Faites vous accompagner par un professionnel de l'accompagnement qui saura vous guider. Bien à vous.

Frédéric Vezzosi Psy sur Bron

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10 JANV. 2023

Bonjour Laurine,
vous semblez vivre une situation de séparation de vos parents vraiment intense, avec une focalisation forte sur vos émotions autour des moments de retrouvailles et de séparation.
Quelques premières questions pour examiner votre situation:
- Avez vous l'impression que "plus vous allez voir vos parents, plus vous avez besoin de les voir"? ou pas?
- Vous parlez de vos parents comme d'une unité, pouvez vous lors de votre prochain aller-retour observer vos émotions (joie, tristesse, peur et leur intensité) en distinguant votre père et votre mère?
- Le sujet des retrouvailles/séparations avec vos parents occupe t il tout votre espace mental, ou presque?

Votre récit donne l'impression que le sentiment de manque était plus dur à vivre 18 ans qu'à 23 ans. Il serait intéressant de vérifier ce point et d'identifier les ressources qui vous ont permis d'y arriver.

La thérapie brève peut vous aider, et je vous conseillerais également de tenter l'hypnose qui peut vous aider à vivre différemment les émotions fortes que vous vivez avec vos parents.

Bien à vous,
Bernard

Bernard Hasson Psy sur Paris

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10 JANV. 2023

Bonjour
Cette inquiétude extrême est semblable à celle que certains parents surtout les mères éprouvent pour leurs enfants. De plus elle est ancienne de plusieurs années ce qui tend à montrer qu’elle doit en réalité avoir une origine lointaine. Il faudrait explorer analytiquement votre lien a eux et voir comment et pourquoi cela affecte au delà de votre psychisme , votre corps. Je peux vous accompagner dans cette démarche car il me semble que vous avez là manifesté un vrai appel à l’aide. Bien à vous

Myriam Lasry Psy sur Paris

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10 JANV. 2023

bonjour Laurine
la séparation avec les parents est une période difficile , elle dépend de plusieurs facteurs , les liens avec les parents , les peurs liées à la séparation , les angoisses de devenir autonome , le manque de sociabilisation. Peut être un manque d’intérêt pour vos études.
Un sentiment d'abandon et de solitude , qui découle de relations fusionnelles ou d'inquiétude liée à vos parents. Pour vous aidez il faudrait avoir des éléments sur le contexte familiale qui crée chez vous cette déprime , ces angoisses qui ne passent pas avec le temps Vous avez pensé à consulter un psy afin de comprendre cet état ?Parfois il y a des peurs tres anciennes qui remontent au moment du départ du foyer familiale , ces peurs sont enfuient dans l'inconscient .

bien cordialement catherine MAQUERE psychanalyste

Catherine Maquére Psy sur Paris

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7 JANV. 2023

Bonjour Laurine
Je pense que la séparation a été trop brutale pour vous, sans doute que vos parents sont très aimants, et que vous n'étiez ni prête ni désireuse de vous éloigner d'eux.
Je vous aide sur 2 à 3 séances à parler de ce qui vous rend malheureuse (présentiel ou visio)
Avec bienveillance
Inès Avot

Inès Avot Psy sur Ouve-Wirquin

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5 JANV. 2023

Bonjour Laurine,
Etes vous partie pour vos études de votre plein gré ? Ou pour satisfaire une autre raison ou une autre personne?
Votre tristesse s'apparente à une angoisse de séparation, celle-ci peut en effet être handicapante.
Comment réagissent vos parents lors de vos départs? Comment s'est déroulé la mise en place de votre tout premier déménagement?
Comment vous sentez-vous pendant la semaine lorsqu'ils ne sont pas avec vous?
Quel regard avez-vous sur cette dépendance? Quel manque ressentez vous lors de vos départs? Quelle peur se dessine?
Je pense qu'une thérapie pourrait vous permettre de travailler sur votre lien d'attachement à vos parents et à votre cocon familial.

Je reste à votre écoute si vous en ressentez le besoin.
Je vous souhaite un bon épanouissement personnel.
Prenez soin de vous.

Léana

Martinon Léana Psy sur Le Luc

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4 JANV. 2023

Bonjour Laurine,

Ce que vous décrivez se rapproche de ce que l’on nomme l'anxiété de séparation chez l'adulte.
De nombreux adultes souffrant de ce type d'anxiété déclarent qu'ils ont toujours été plus ou moins anxieux lorsqu'ils étaient séparés de leurs proches, qu'ils ont eu des difficultés dans leur enfance à aller à l'école et qu'ils se sont souvent inquiétés du bien-être de leur famille lorsqu'ils étaient séparés. Ensuite, une fois adulte, ils notent que leurs difficultés et leurs craintes ont eu tendance à augmenter plutôt qu'à diminuer.

Je vous conseille de travailler sur cette anxiété, d’apprendre à l’accepter et à y faire face, vous pouvez aussi vous faire accompagner par le thérapeute de votre choix si vous souhaitez davantage creuser et comprendre.

Je reste à votre écoute avec bienveillance et empathie
Bien à vous
Marjorie Lugari
———————-
*** psychanalyste praticien en psychothérapie
*** sexothérapeute aide à la Parentalité

Anonyme-377370 Psy sur Aix-en-Provence

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4 JANV. 2023

Bonjour Laurine,

Votre message transcrit vos émotions à fleur de peau et votre attachement immense à votre cocon de protection et d'amour inconditionnel que représentent vos deux parents. C'est très beau, à mon sens.
Lorsque nous entrons dans la vie de "jeune adulte", nous aspirons à trouver une émancipation, une plus grande liberté d'agir sans avoir l'approbation parentale.
Pour autant, nous sommes comme le funambule sur son fil, entre deux points d'ancrage, le passé représenté par notre enfance et notre évolution d'ado et de l'autre côté, la nouvelle existence, celle des responsabilités, des prises de ses propres décisions, de ses choix même si nous savons que pas bien loin de nous, nos parents seront toujours ces êtres qui ne nous décevront pas et qui ne nous laisseront jamais seul en cas de panique ou d'émotions vives.
Vous avez partagée avec votre soeur cette amour parental mais votre lien d'attachement est encore extrêmement prégnant, votre corps l'exprime par des larmes, vius êtes angoissée à l'idée de partir et de rejoindre votre propre appartement.
Peu importe que votre soeur ait pu vivre au début de vos années d'étudiante avec vos côtés, vous l'aimez indubitablement mais d'un amour différent. L'amour filial reste unique, incomparable, il n'a pas de prix.
Votre cercle amical est une bonne chose, vos sorties vous permettent de vous évader et de ne pas procrastiner, les ruminations sont toujours mauvaises conseillères, vous avancez petit pas après petit pas, chaque personne est différente de par son tempérament, sa sensibilité, vous n'avez pas à vous sentir coupable ou différente, à vous culpabiliser de partager tant d'amour avec vos imagos parentaux.
Au contraire, ils prouvent qu'ils sont votre socle, votre base refuge, votre repère envers et contre tout. Ils sont là, pour vous et je pense qu'ils seront extrêmement fiers et heureux de voir que à un moment donné, vous les regarderez en partant de chez eux comme le petit enfant regarde sa mère ou son père pour valider ses pas, s'assurer qu'il peut marcher seul , en confiance, en sérénité.

L'indépendance ( affective) s'acquiert de manière différente selon le lien noué dans la petite enfance, notamment les trois premières années de la vie.
Je pense que la source de votre angoisse, de vos crises de pleures et de votre souffrance psychique lors de ces séparations se trouve simplement à cette période de votre vie dont vous ne pouvez plus avoir de souvenirs mais des empreintes dans votre mémoire. Sauf "exception", on dit que les souvenirs débutent vers l'âge de 3 ans selon le développement cognitif et psycho-affectif des petits.
Un petit travail d'analyse, tout simple, pour découvrir qui est la petite fille cachée dans la jeune femme que vous êtes devenue, Laurine, avec des projets et des études, des amis, des centres d'intérêt, qui était cette enfant et quel a été votre lien d'attachement avec vos parents?
Les émotions se vivent, elles se partagent et elles se régulent dans cet espace de la famille. L'attachement évolue quand nous nous engageons dans la vie, de par les études, puis la profession et la construction d'une famille ensuite aussi...
Echanger sur la vie de vos émotions pour les mettre un peu à distance et ne pas en éprouver de la souffrance serait judicieux.

Vous savez, le professeur Marcel Rufo a dit: " Détache-moi! "
il faut se séparer pour grandir et mûrir mais là aussi, quelque part, nous attendons la validation, l'accord même inconscient de nos parents comme l'enfant attend que sa mère lui dise: vas-y, tu es une grande maintenant, tu as mon estime.
Votre maman vous a apporté l'estime de vous-même, votre papa est venu parfaire le travail an vous conduisant vers le monde ( la société) et il vous a, lui, apporté la confiance en vous.
Vous possédez ces facteurs existentiels fondamentaux, il suffit désormais juste de les éclairer et de les mettre sur le devant de la scène de votre vie, vos parents n'en seront que plus fiers encore et également soulagés, ils savent et auront la confirmation que leur mission de parents a été remplie au mieux devant cette jeune femme indépendante et sûre d'elle même.

Je voulais vous dire une dernière chose, même si je suis un peu longue dans ma réponse mais proportionnelle à mon ressenti lié à votre appel à conseils:
votre refus de manger au début de votre séparation est le parfait reflet que l'alimentation est donnée en premier à travers le lait - maternel ou infantile si biberon, mais cette alimentation n'est pas simplement qu'à usage nourricier, elle est le lien affectif entre vous - bébé- et votre maman.
Rejeter l'alimentation c'est éprouver peut-être chez vous une détresse émettant un signal d'appel à votre maman pour lui dire:
" ne m'oublie pas, je suis toujours là, même si je n'habite plus dans ta maison! "

Je vous demande d'excuser cette longue réponse mais vous avez fait émerger pas mal de facteurs que nous utilisons en psychologie d'aide à la parentalité et de manière globale en thérapie analytique.

Je reste à votre entière disposition en téléconsultation si vous avez besoin d'être ré-assurée pour avancer en sérénité et vivre votre plein épanouissement.

Surtout restez confiante.

Avec toute mon empathie et ma bienveillance.

Béndicte Escaron
Praticienne en Psychothérapie
Psychanalyste
Thérapeute d'aide à la parentalité
Sophrologue
Praticienne PNL
Diplômee en Neurosciences ( Paris ) et Psychautraumatologie (Nancy).

Benedicte Escaron Psy sur La Haye-d'Ectot

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4 JANV. 2023

Bonjour Laurine

Il serait nécessaire de rentrer davantage dans les détails avec vous, d'aller regarder comment s'est passée votre enfance. Avez vous été séparée d'eux quand vous étiez petite ? Lorsque vous dites à vos 18 ans "j'ai dû partir de chez eux" , était ce votre choix, ou le leur? comment s'est passée cette séparation ? Et eux mêmes, comment réagissent ils lorsque vous partez ?
Je vous invite à prendre rdv avec l'un de nous pour aller regarder en profondeur d'où vient cette douleur de la séparation. Je peux ressentir comme un besoin d'être rassurée constamment par leur présence à vos côtés. Vous êtes vous déjà sentie en danger en leur absence?
Je me tiens à votre disposition pour vous accompagner dans cette recherche.

Prenez soin de vous
Hélène Chambris
Gestalt Thérapie Humaniste Intégrative
Rdv en ligne ou en présentiel à Marseille 8ème

Hélène Chambris Psy sur Marseille

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4 JANV. 2023

Bonjour Laurine,
Vous souffrez visiblement d’une angoisse de séparation qui est universelle dans sa forme banale.
Nous ressentons tous un léger trouble au moment de nous séparer des personnes qui nous sont chères et proches.
Cette anxiété, cette tristesse nous pouvons la relier au sentiment d’angoisse qui nous a étreint lorsqu’enfant nous avons réalisé que nous ne faisions pas « un » avec notre mère et avons ressenti ce sentiment de perte de l’objet d’amour unique et exclusif qui avait su comblé tous nos besoins et nous apporter une satisfaction pleine et entière.
A votre âge vous devriez être en mesure de vous éloigner de vos parents pour vivre vos propres expériences sans que cela ne génère rien d’autre qu’un petit pincement au coeur au moment du départ.
L’angoisse de séparation ou angoisse d’abandon, est un trouble obsessionnel qui déclenche des manifestations émotionnelles disproportionnées par rapport au contexte, à la situation et à votre âge.
Ces symptômes peuvent aller du simple mal de ventre et/ou mal de tête à des crises de larmes à l’idée irrationnelle que quelque chose de terrible va arriver, en passant par des brusques changement d’humeur, ou des ruminations négatives.
Dans sa forme paroxystique le sujet souffre de crises d’angoisse et d’attaques de panique lorsqu’il est éloigné de son/ses objet d’amour.
Bien sur ces symptômes sont invalidants et provoquent conséquemment une forme de phobie sociale ou une réticence à sortir de chez soi, ou du lieu qui représente le cocon.
La vie sociale et professionnelle en est impactée, autant que les relations affectives, amicales ou amoureuses.
Ce désordre est invalidant particulièrement désagréable pour vous et vos parents qui souhaitent peut-être autre chose pour leur fille que de la voir toujours très dépendante d’eux-même.
L’angoisse de séparation rend les sujets qui en souffrent dépendants et à terme peut générer des troubles dépressifs.
La mise en place de stratégies d’évitement ou de « comblement » des vides affectifs (vivre avec votre soeur, vous rapprocher à. 2h de route de chez vos parents etc.) ne sont pas des solutions viables à moyen et long terme.
Je ne saurais trop vous recommander de consulter un thérapeute car il existe des solutions pour en guérir et vous épanouir dans votre vie. Il vous faudrait revisiter votre enfance (encore toute proche) pour regarder avec votre regard d’adulte, comment les liens se sont tissés, et rompus, et comprendre pourquoi vous ne vous sentez pas bien en votre propre compagnie. La solitude peut être source de créativité et de sérénité à condition d’avoir apprivoisé l'angoisse de séparation.

Je reste à votre écoute si vous souhaitez poursuivre cet échange,
Bien à vous,

Frédérique Pouzol
Psychopraticienne
Psychothérapie -Psychogénéalogie

Anonyme-409158 Psy sur Le Bar-sur-Loup

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4 JANV. 2023

Bonjour Laurine

Vous êtes jeune et la séparation avec ses parents n'est pas toujours évidente et demande plus de temps à assimiler pour certaines personnes plus sensibles.
Je me demandais, quand même, en vous lisant, qui était vraiment triste dans cette famille. Je m'explique: il arrive que des enfants pour soutenir inconsciemment leurs parents agisse d'une certaine façon, exemple un petit garçon qui va avoir des mauvais résultats en classe pour essayer d'aider sa mère car il croit qu'en s'occupant de lui, elle va sortir de sa déprime.
Les enfants sont d'excellents antidotes pour leurs parents, le problème c'est que ces comportements deviennent fixes et répétitifs avec le temps.
Ce n'est évidemment qu'une piste de travail mais il serait intéressant, pour votre épanouissement et si vous en sentez le besoin, que vous exploriez en thérapie, les fils qui vous relient à vos parents.

Bien cordialement

Lucie Brétille
Gestalt thérapie

Lucie Brétille Psy sur Versailles

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4 JANV. 2023

Bonjour,
Vous êtes en dépendance affective par rapport à vos parents et cela vient de la peur de l'abandon contractée pendant votre enfance. Cela peut être en lien avec une situation traumatisante (un parent hospitalisé par exemple ou éloigné à cause du travail) ou encore à cause de la façon dont on vous a élevée : peut-être qu'un sentiment d'insécurité s'est installé à cause de paroles ou comportements trop protecteurs ou culpabilisants. Vous auriez alors grandi en ayant cette fausse croyance que vous ne pourriez pas vivre loin de vos parents. C'est donc la petite fille que vous étiez (votre enfant intérieur maintenant) qu'il faudrait aller rassurer. Cela nécessiterait de vous reconnecter à elle et d'être pour cela accompagnée (personnellement, je le fais en séance avec l'hypnose).
Il se peut aussi que vous ne soyez pas à votre place dans votre formation et que vous soyez dans le déni pour ne pas décevoir vos parents et que vous cachiez cette état de fait derrière la peur de la séparation. Cela mériterait aussi d'être vérifié.
Enfin, et pour avoir moi-même expérimenté cette situation à votre âge, je peux vous rassurer en vous affirmant que les choses vont s'arranger progressivement : certaines personnes mettent un peu plus de temps à couper le cordon.
Je consulte en présentiel ou par visioconférence. Merci de me contacter avant de vous inscrire sur l’agenda de la plateforme.
Bien à vous
Véronique BLANCHE, Thérapeute Holistique
Guérison de l’enfant intérieur
Hypnose Ericksonienne
Soins énergétiques

Véronique Blanche Psy sur Quessoy

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4 JANV. 2023

Bonjour Laurine,

Vous avez apparemment un lien très fort avec vos parents, tellement fort que vous vivez très mal la séparation avec eux. Il serait intéressant de questionner ce lien que vous avez, qu'est ce qui fait qu'il est si intense ? De quoi avez vous peur en partant ? Ou en encore, qu'est ce qui vous manque quand vous n'êtes plus avec eux ?
Il se peut qu'il y a une fusion, une symbiose qui aujourd'hui crée un déchirement lorsque vous n'êtes plus avec vos parents. Peut être comme si on vous enlevait un bout de vous-mêmes ?
Avant d'avoir vos crises de pleurs, qu'est ce que vous vous êtes dit en partant ? Que vous les abandonniez ou l'inverse ? ou bien c'est plutôt une douleur corporelle ?

Je vous invite à explorer ce lien si intense sous toutes ces formes et à être accompagnée pour le faire.

Bonne continuation,

Samantha CORDEMANS
Thérapeute
"Approche intégrative"

Samantha Cordemans Psy sur Toulon

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4 JANV. 2023

Bonjour Laurine

En effet votre difficulté n'est pas facile en tant qu étudiante.

Je vous rassure vous réussirez à dépasser cette phase et devenir autonome sans ressentir ce besoin d'être avec vos parents.

Il va être nécessaire de voir un thérapeute pour qu'il puisse vous aider

Si vous le souhaitez nous pouvons en parler par téléphone

Bien à vous

Mr keddi

Alessandro Keddi Psy sur Rouen

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