Très attachée à mon psychiatre ça m'angoisse

Réalisée par Claire · 17 oct. 2018 Thérapie brève

Bonjour

je suis une jeune fille de 25 ans. Je fais une thérapie depuis un peu plus d'un an avec un psychiatre. Avec lui je me suis tout de suite sentie en confiance, entre de bonnes mains. Et je me suis de plus en plus attachée à lui. J'avance bien en thérapie. Je le vois une fois par semaine. Et mon attachement ne diminue pas au contraire.

Cet attachement intense me fait peur. J'ai déjà connu ça avec une prof d'espagnol que j'ai eue pendant mes 3 ans de lycée. Elle était mon mentor, me prêtait des livres et DVD en espagnol, on prenait des cafés pendant les vacances. J'étais malgré moi la meilleure élève de son cours. Quand je suis allée à la fac j'ai pleuré toutes les larmes de mon coeur chaque soir pendant 6 mois parce que cette prof me manquait. On est toujours en contact et on se voit une fois par an.

Je me rends compte qu'avec mon psychiatre je suis en train de m'attacher exactement comme avec cette prof d'espagnol., il est mon mentor, je rêve d'être sa fille. Et j'ai peur car la thérapie avec lui ne sera pas à vie. (je pense qu'il me fait au moins encore une bonne année). Et je sais déjà qu'il va énormément me manquer

Comment faire pour être un peu moins attachée à mon psychiatre ?

Je ne sais pas s'il y a un rapport, mon père a divorcé et est parti à l'autre bout de la France à mes 1 an
Je ne le voyais qu'aux vacances scolaires

Merci par avances aux personnes qui me répondront.

Claire

Réponse envoyée

Nous validerons bientôt votre réponse pour ensuite la publier

Une erreur s'est produite

Merci de réessayer plus tard

Réservez un rendez-vous immédiat en ligne pour 49 €

Obtenez une aide psychologique en moins de 72 heures avec des professionnels en choisissant le créneau horaire qui vous convient le mieux.

Meilleure réponse 17 OCT. 2018

Bonjour,

Pour répondre sur la phrase qui n'est pas partagée par Nathalie Follmann (et surement d'autres, heureusement qu'il y a des visions différentes), le lien qui se crée entre le patient et son thérapeute est nécessaire, me semble-t-il. Je ne vois d'ailleurs pas comment un travail au delà de quelques séances peut se passer sans qu'un lien se crée.
C'est de l'attachement, et l'attachement, en soi, n'est pas problématique. Ce qui est problématique (et dont souffre la personne qui écrit le message), c'est la dépendance à l'autre.
Au demeurant, le psy amène le patient à devenir autonome justement, y compris au moment de la fin de la thérapie. Sans cette phase où la dépendance se rejoue, elle ne pourrait pas être dépassée, me semble-t-il.

Bien cordialement,

Marion Favry

Marion Favry Psy sur Paris

796 réponses

1368 J'aime

Réalisez une thérapie en ligne

Contacter

Cela vous a été utile ?

Merci d'avoir donné votre avis !

19 OCT. 2018

Réponse Mme SHOPOVA,

Je constate votre méconnaissance dans mon approche thérapeutique.

La preuve ma thérapie a duré 2 ans et demi, donc ce n'était pas dans mon cas une thérapie brève...

Il y a encore beaucoup de méconnaissance sur l'hypnothérapie intégrative qui tout au long du parcours procure une formation en psychopathologie.

Donc vous voyez vous êtes très loin de l'hypnose de base comme vous le pensez.

Je peux comprendre votre positionnement, mais je connais l'approche que je pratique et je reçois un certains nombre de personnes qui ont galéré dans des thérapies psychanalytiques sans grand résultat.

N'hésitez pas à lire tout le cursus de ma formation, ça peut vous ouvrir les yeux sur vos croyances erronées de ma pratique.

http://www.institutsaktivarma-hypnose.com/-Formations-.html

Je n'ai pas à me justifier, mais ça peut servir à d'autres. Ceci sera également mon dernier message.

Nathalie Follmann Psy sur Clichy

5282 réponses

30060 J'aime

Contacter

Cela vous a été utile ?

Merci d'avoir donné votre avis !

18 OCT. 2018

Merci pour votre réponse, Madame Follmann !

Il est vrai que tout comme vous qui ne voyez pas l'utilité d'un transfert dans un travail thérapeutique comme indispensable au bon déroulement de la thérapie, je suis d'avis que les thérapies brèves ne vendent que du vent aux accompagnés !

Je reconnais qu'une personne qui a besoin de résultat immédiat, donc qui recherche une solution rapide à ses symptômes se tournera vers les thérapies brèves, le coaching, les thérapies dites "new age". Nous vivons dans une société qui nous conditionne et nous pousse à avoir des résultats rapides, à moindre coût / coup et en peu de temps... donc on observe une expansion des thérapies brèves ! Mais, sont-elles vraiment efficaces, tiennent-elles "la route" dans la durée, pendant des années !? Je n'en suis pas très sûre !

Pour moi se lancer dans une telle thérapie qui utilise "des outils" et qui n'est pas basée sur la relation humaine, donc les transferts, sur une connaissance profonde de l'inconscient, de ses mécanismes de protection, des pulsions, etc, c'est comme se lancer dans "un bricolage" qui tôt ou tard va "s'effondrer".
Désolée si mes paroles étaient "agressives" mais tout comme vous, je défends mon métier.
D'ailleurs, ce message sera mon dernier à votre égard et je ne m'expliquerai plus à ce propos avec vous.

Bonne suite à vous,

Bien Cordialement,
Tsvetanka Shopova

Tsvetanka SHOPOVA Psy sur Metz

145 réponses

233 J'aime

Contacter

Cela vous a été utile ?

Merci d'avoir donné votre avis !

18 OCT. 2018

A l'attention de Mme SHOPOVA,

Moi je suis étonnée que souvent mes interventions sont critiquées car je ne pratique pas la même approche que la plupart des intervenants de ce forum...

Quant à mon travail sur moi même, j'ai fait un travail sur 2 ans et demi avec la thérapie que je pratique aujourd'hui, où je m'y sens totalement à l'aise.

Relisez bien ma 1ère intervention et vous n'y verrez que du bon sens...
A quel moment je parle de 3 séances dans le cas présent ?

Mon énoncé n'est-il pas correctement écrit pour comprendre ce que je ne dit pas ?

J'espère avoir répondu à vos questions.

Nathalie Follmann Psy sur Clichy

5282 réponses

30060 J'aime

Contacter

Cela vous a été utile ?

Merci d'avoir donné votre avis !

18 OCT. 2018

Réponse à Nathalie Follmann,

Madame, Je suis souvent étonnée de vos réponses lorsque vous vous positionnez comme une toute puissance, qui sait maîtriser les émotions de ses patients ! Je me demandais comment vous pouvez rationaliser un transfert qui se passe en grande partie sur un mode émotionnel? Vous dites utiliser des outils ? Car peut être vous même vous ne savez comment gérer ces situations émotionnellement fortes, et vous avez besoin de rationnaliser ! Mais ce n'est pas ainsi que la nature humaine fonctionne! On ne peut tout rationnaliser, on doit pouvoir le ressentir, le vivre et le traverser à l'intérieur de soi...
Je me demande aussi quel travail avez vous fait sur vous-même, parallèlement à vos formations ?

A cette jeune patiente, je lui souhaite du courage et de développer les ressources nécessaires en elle pour sortir des attachements excessifs... Car la relation thérapeutique lui permettra de travailler sur ces aspects en elle ! Et non, on ne guérit pas ave une baguette magique qui comme par miracle peut soigner en 3 séances!

Bien cordialement à tous,
Et bonne suite à cette jeune femme
Tsvetanka Shopova

Tsvetanka SHOPOVA Psy sur Metz

145 réponses

233 J'aime

Contacter

Cela vous a été utile ?

Merci d'avoir donné votre avis !

18 OCT. 2018

Bonjour,

Mener un travail sur soi lors d′entretiens de type analytique nécessite d′être en confiance avec la personne qui vous renvoie, comme en miroir, vos forces comme vos faiblesse, ce qui est visible comme ce qui est caché.
Autrement dit, si l′empathie est nécessaire du côté du psy, elle doit se traduire par la confiance et la disponibilité mentale chez son patient.

Dans votre cas, on sent bien que cela va bien au-delà de votre propre empathie, et que cette relation renvoie à un attachement très fort, à un besoin de protection, qui s′étaient déjà déjà actualisés avec votre prof d′espagnol.
Attachement dont vous prenez conscience et qui justement devra être dépassé afin de ne pas se répéter à chaque fois avec les personnes qui vous sont chères.... chères parce qu′elles sont à votre écoute.
Cela a t′il rapport avec votre papa, c′est fort possible. Et cela sera abordé de toute façon.

(Alors, transfert ou pas.... il est quand même plus motivant d′avancer avec quelqu′un avec qui on se sent bien...quand on sent qu′on va mal)

En tout cas cette dépendance est l′occasion de Re-Vivre momentanément une situation d′attachement afin de mieux l′identifier pour mieux la dépasser, même si cela doit passer par quelques étapes affectivement difficiles, même si cet attachement est pour le moment lourd à porter.

En gros, c′est comme cela que fonctionnent les thérapies de type analytique.

Il en existe d′autres aussi, qui en 3 séances vous délivrent de vos chaînes... à vous de voir ce qui vous convient le mieux.

Cordiales salutations

Maurice Gaillard Psy sur Vincennes

2269 réponses

6731 J'aime

Contacter

Cela vous a été utile ?

Merci d'avoir donné votre avis !

18 OCT. 2018

Bonjour Claire,

Vous êtes donc une jeune femme de 25 ans, qui souffre encore des suites de la séparation de ses parents et du départ et l'éloignement de son père... quand elle avait 1 an..., départ vécu probablement comme un "abandon"...angoissant... : tout ceci explique ce que vous vivez aujourd'hui dans votre thérapie... dont l'angoisse d'abandon qui accompagne votre attachement fort à votre bon psychiatre.

Oui, le transfert (positif et négatif) existe... et non pas seulement en thérapie, mais aussi dans la vie de tous les jours.
Oui, ce "transfert positif" et cet attachement (attachement naturel et normal vis-à-vis de toute personne qui vous fait du bien..., comme votre ex prof d'espagnol, effectivement) est bon pour votre parcours thérapeutique... et le moment venu votre psy va vous aider à vous séparer de lui et à vivre par la suite toute séparation comme étant différente d'un abandon.
Et... comme il est si "bon" avec vous et que les séances de thérapie vous font du bien... vous aimeriez avoir eu un père comme lui... et aussi avoir pu voir et parler à votre vrai père plus souvent et régulièrement (comme avec ce psy que vous voyez une fois par semaine...).

Restez confiante..., n'ayez pas honte de ce que vous ressentez... et osez en parler à votre psychiatre... qui est habitué aux situations et sentiments comme les votre.
Dans quelque temps... vers la fin de votre thérapie... vous allez pouvoir rigoler doucement tous les deux en vous rappelant cette étape de votre parcours.

Je vous souhaite une très bonne continuation de votre thérapie et une rapide ouverture agréable sur la vie !
sp

Silvia Podani Psy sur Issy-les-Moulineaux

4149 réponses

11422 J'aime

Réalisez une thérapie en ligne

Contacter

Cela vous a été utile ?

Merci d'avoir donné votre avis !

18 OCT. 2018

Bonjour,

Mener un travail sur soi lors d′entretiens de type analytique nécessite d′être en confiance avec la personne qui vous renvoie, comme en miroir, vos forces comme vos faiblesse, ce qui est visible comme ce qui est caché.
Autrement dit, si l′empathie est nécessaire du côté du psy, elle doit se traduire par la confiance et la disponibilité mentale chez son patient.

Dans votre cas, on sent bien que cela va bien au-delà de votre propre empathie, et que cette relation renvoie à un attachement très fort, à un besoin de protection, qui s′étaient déjà actualisés avec votre prof d′espagnol.
Attachement dont vous prenez conscience et qui justement devra être dépassé afin de ne pas se répéter à chaque fois avec les personnes qui vous sont chères.... chères parce qu′elles sont à votre écoute.
Cela a t′il rapport avec votre papa, c′est fort possible. Et cela sera abordé de toute façon.

(Alors, transfert ou pas.... il est quand même plus motivant d′avancer avec quelqu′un avec qui on se sent bien...quand on sent qu′on va mal)

En tout cas cette dépendance est l′occasion de Re-Vivre momentanément une situation d′attachement afin de - mieux l′identifier pour mieux la dépasser, -même si cet attachement est pour le moment lourd à porter.

En gros, c′est comme cela que fonctionnent les thérapies de type analytique.

Il en existe d′autres aussi, qui en 3 séances vous délivrent de vos chaînes... à vous de voir ce qui vous convient le mieux.

Cordiales salutations

Maurice Gaillard Psy sur Vincennes

2269 réponses

6731 J'aime

Contacter

Cela vous a été utile ?

Merci d'avoir donné votre avis !

17 OCT. 2018

A l'attention de Marion Favry

Il ne faut pas confondre la bienveillance, le professionnalisme d'un thérapeute avec l'attachement.

L'attachement comme son nom l'indique reflète souvent des manques dans l'enfance du patient, et le fait d'être écouté et compris par son thérapeute peut déclencher le trouble de l'attachement.

Un thérapeute ne doit pas susciter cela, mais renforcer le Moi de l'individu en lui redonnant force et autonomie et non être dépendant de son psy.

D'où la raison de mon message, je suis très attentive à cela en thérapie, que l'individu ne développe pas un trouble d'attachement, et j'utilise des outils de renforcement du Moi, d'où ce transfert qui ne se passe jamais dans ma pratique.

Cordialement

Nathalie Follmann Psy sur Clichy

5282 réponses

30060 J'aime

Contacter

Cela vous a été utile ?

Merci d'avoir donné votre avis !

17 OCT. 2018

Bonjour,
Je me démarquerai de mes confrères en vous invitant à réfléchir sur les sources de l'attachement, mais en faisant bref : "on s'attache à quelqu'un qui nous fait du bien".
Au départ, celui ou celle qui répond à notre manque, qui nous nourrit car il compose le manque qui fait souffrir. Un bébé qui a faim va "s'attacher" à celui ou celle qui répond à sa demande, n'est-ce pas ?
Ce vieux réflexe est inscrit dans notre inconscient, elle est associée à notre "pulsion de Vie" : je ne peux survivre seul, j'ai besoin de l'Autre. Je me reconnais en l'Autre et / ou je m'identifie à lui.
En quelque sorte, ce que l'Autre est ou fait pour moi répond à un besoin que j'ai, du coup je m'attache à lui car il nourrit les manques qui me font souffrir.
D'où l'idée que de perdre cet autre vous fait mal car cette source de plaisirs disparait plus ou moins complètement, ce qui se passe avec votre prof'.
Pour votre psychiatre c'est différent, nous sommes dans une relation "thérapeutique" et vous le payez pour qu'il vous rétablisse ou vous guide vers un réel mieux être.
Cette relation va se terminer d'un commun accord et vous devriez moins en souffrir car justement, il vous aura aider à développer votre "autonomie" et permis de trouver en vous les ressources de votre bonheur.
Bon cheminement.

Anonyme-265309 Psy sur Vienne

438 réponses

689 J'aime

Cela vous a été utile ?

Merci d'avoir donné votre avis !

17 OCT. 2018

Bonjour Claire,

Il est normal de se sentir en confiance et de développer une forme d'attachement à son psy.
La thérapie analytique est un processus évolutif et humaniste. Les premières phases doivent constituer cette partie essentielle à la poursuite de ce processus, elles doivent établir une totale confiance entre vous, une alliance en quelque sorte.
Cela vous permettra de vous confier sur votre enfance et d'effectuer les ajustements nécessaires.

Dans un second temps, le psy vous guidera vers votre nouvelle indépendance, vous trouverez le chemin pour sortir du nid mais cette fois-ci avec un nouveau regard sur vous-mêmes. En résumé, la thérapie analytique est un processus régressif dans un premier temps et un processus d'émancipation dans un second temps. Ce qui se joue donc entre vous et votre psychiatre est normal, c'est une étape.

En ce qui concerne vos relations amoureuses, je suppose qu'elles doivent aussi ressembler beaucoup à ce que vous décrivez mais je peux bien sur me tromper.

Bonne continuation.
P Castello

CASTELLO Philippe Psy sur Avignon

70 réponses

206 J'aime

Contacter

Cela vous a été utile ?

Merci d'avoir donné votre avis !

17 OCT. 2018

Bonjour,

Personnellement, je ne partage pas cette phrase :
"En fait, il est tout à fait normal (et même très souhaitable) de se sentir attaché à son psy, c'est le fameux mécanisme de transfert, celui qui soigne"

Toutes les personnes qui s'attachent à leurs psy en souffrent énormément.

Pour moi, ce n'est pas une guérison mais un trouble de l'attachement déjà existant chez le ou la patiente et qui la maintient dans un trouble affectif...

Il est évident que le départ de votre père a créé ce manque et ce trouble de l'attachement que vous reproduisez dès que l'occasion se présente.

Encore une fois, je ne partage pas le fait de s'attacher à son psy ou thérapeute.

Il est là pour redonner le pouvoir à l'individu avec bienveillance et non pour le maintenir dans sa fragilité et son trouble d'attachement.

Je me pose une question en vous lisant, avez vous un amoureux ?
Comment se passe vos relations amoureuses ?

Restant à votre écoute,

Nathalie FOLLMANN - Hypnothérapeute clinique à CLICHY

Nathalie Follmann Psy sur Clichy

5282 réponses

30060 J'aime

Contacter

Cela vous a été utile ?

Merci d'avoir donné votre avis !

17 OCT. 2018

Bonjour Claire,

qu'il est douloureux et angoissant d'être privée de son papa à 1 an; et comment faire confiance à l'autre après une telle expérience !

Au fait... avez-vous parlé de vos craintes avec votre psychiatre ? Pourquoi pas?

Bon courage, vous avez déjà entrevu l'essentiel
Sylvie

Sylvie Arondel Psy sur Paris

2 réponses

2 J'aime

Contacter

Cela vous a été utile ?

Merci d'avoir donné votre avis !

17 OCT. 2018

Bonjour Claire,

L'attachement à votre psychiatre vous fait peur et vous renvoie à une expérience très triste avec votre ancien prof d'espagnol. Eh bien c'est certainement le moment pour vous de "travailler" sur votre lien d'attachement.

En fait, il est tout à fait normal (et même très souhaitable) de se sentir attaché à son psy, c'est le fameux mécanisme de transfert, celui qui soigne.

L'arrêt d'une thérapie se prépare, cela ne va pas arrivé du jour au lendemain, mais vous y pensez déjà, au risque de chercher à éviter l'attachement (sans résultat, évidemment). C'est un très bon point à discuter avec votre psy pour faire avancer votre travail :)

En fait, toute relation est vouée à évoluer, et à cesser un jour. L'acceptation de cet état de fait est source de beaucoup d’apaisement et, paradoxalement, de sentiment de lien (au delà des circonstances qui séparent les êtres). Même si cela peut vous sembler assez abstrait aujourd'hui.

Bien cordialement,

Marion Favry

Marion Favry Psy sur Paris

796 réponses

1368 J'aime

Réalisez une thérapie en ligne

Contacter

Cela vous a été utile ?

Merci d'avoir donné votre avis !

Psy spécialisés en Thérapie brève

Voir plus de psy spécialisés en Thérapie brève

Autres questions sur Thérapie brève

Expliquez votre situation à nos psychologues

Faites votre demande de manière anonyme et recevez une aide psychologique en 48h.

50 Il est nécessaire d'écrire 12250 caractères de plus

Votre question et ses réponses seront publiées sur le portail. Ce service est gratuit et ne remplace pas une séance de thérapie.

Nous enverrons votre question aux experts de ce thème qui traiteront personnellement votre cas.

La séance de thérapie n'est pas gratuite et sera sujette aux tarifs en vigueur du professionnel.

La séance de thérapie n'est pas gratuite et sera sujette aux tarifs en vigueur du professionnel.

Renseignez un pseudo pour rester anonyme

Votre question vient d'être révisée.

Nous vous aviserons par e-mail quand elle sera publiée.

Si vous avez besoin d’une aide psychologique immédiate, vous pouvez réserver une consultation dans les 72 heures au prix réduit de 49 €.

Cette question existe déjà.

Merci d'utiliser la barre de recherche pour connaître la réponse.

psychologues 16000

psychologues

questions 12250

questions

réponses 132500

réponses