Une sensation de perte de sentiments majeur, et d'autre symptômes bizarre, PTSD?
Bonjour, depuis 2 ans je travers une expérience extrêmement difficile et bizarre depuis certaines événement, et cela de pire en pire, voici mon histoire
Je vient d'une pays d'Asie, et pas de l'Asie de l'est, avec ma famille ici en France depuis mon premier adolescent, mon père m'a mère et ma petite soeur, en générale je suis quelqu'un de extrêmement introverti et je passe mon temps à lire des chose en anglais dans ma chambre ou étudier, j'ai des excellents note a l'école, je suis quelqu'un qui aime utiliser son cerveau, entre notre culture et culture américaine il y a une différence majeur, c'est l'importance au sentiment intra humaine et spécialement familial, la place du famille est incalculable, et cela pour moi l'était aussi, mais aussi une différence qualitative, c'est la concept de sentiments de piété filial est l'essence du persone et du famille, l'attachement fort, tendre, reconnaissance sacrifice et avoirs plain de pense affectif pour l'un des autre, entre parent et enfant, mais aussi entre aîné et cadet qui ont une relation filial hiérarchique plutôt que égalitaire avec des sentiment parental et j'ai une attachment at sense de devoirs très for pour mes parent et ma petite sœur, je vais en peu parler de celle ci puis en bref de mes parent,
Depuis mon enfance, j'ai toujours été un enfant très calme et obéissant. Ma mère m'aimait beaucoup et prenait soin de moi, et mon père aussi, bien qu'il soit souvent occupé par le travail ou d'autres activités en dehors de la maison. Je me sentais souvent très seul, surtout que je ne voyais pas souvent mes cousins et tantes. Je souhaitais donc toujours avoir un frère ou une sœur, de préférence un frère. Les histoires de frères et sœurs aînés prenant soin des plus jeunes m'ont profondément marqué, et j'étais donc ravi lorsque ma mère est tombée enceinte. Je me souviens de ces moments où je parlais à ma sœur dans le ventre de ma mère. Cependant, tous ces souhaits qu'elle soit un frère se sont évanouis lors de la première rencontre avec ma sœur nouveau-née. Les sentiments de solitude et de tristesse qui résonnaient dans les murs silencieux de notre maison se sont dissipés grâce à sa douceur, son parfum et son rire innocent. Sa présence m'a rempli de bonheur et d'affection, et j'ai commencé à développer un fort attachement envers elle.
Je m'occupais d'elle comme de mon propre enfant, tout comme mes parents l'avaient fait avec moi : je jouais avec elle, je lui changeais ses vêtements, nous regardions ensemble ses dessins animés préférés, je lui brossais les cheveux et je la portais dans mes bras. Notre relation était rarement entachée de disputes, car notre différence d'âge et mon éducation m'avaient inculqué un sentiment de respect et de tendresse envers elle. Cependant, en grandissant, nous nous sommes naturellement éloignées, bien que mes sentiments parentaux envers elle soient restés inchangés. Son visage me semble toujours aussi innocent que celui d'un enfant, sa voix, son rire et le bruit de ses pas dans la maison me remplissent d'amour et de tendresse. Son sourire délicat et ses joues rosées de l'enfance sont encore vivants dans ma mémoire. Elle est toujours la petite fleur de jasmin, la perle cachée près de mon cœur, me comblant d'un amour maternel débordant.
Nous ne sommes pas aussi proches que des amis, pour être honnête, nous ne parlons pas beaucoup, sauf occasionnellement, mais je la soutiens quand elle en a besoin et je lui donne de l'argent de temps en temps. Cependant, j'ai toujours voulu la gâter, surtout en grandissant, et sortir avec elle pour créer des liens. Je ne me souviens même pas de la dernière fois où je l'ai serrée dans mes bras ou montré de l'affection physique depuis qu'elle était petite, à part quelques rapides accolades lors d'occasions formelles qui ne comptent pas car elles sont formelles et sans sentiment. Je ressens toujours une tendre nostalgie, me demandant comment je me sentirais si je la serrais dans mes bras ; je pense que je pleurerais. Je suis sûr que si, Dieu nous en garde, quelque chose arrivait à mes parents et qu'ils venaient à décéder, je renoncerais à tout et ne penserais pas à mon avenir pour le bien de son bonheur, sans regret ni hésitation, car mon bonheur réside dans le fait de la voir sourire.
La deuxième chose est que, bien sûr, je suis tout aussi attaché à mes parents, surtout à ma mère, qui m'a élevé avec amour et tendresse depuis mon plus jeune âge. Je veux être bon envers eux de toutes mes forces, et je souhaite toujours vivre dans la même maison qu'eux et leur être filial. En bref, notre maison était calme mais harmonieuse et remplie de chaleur, jusqu'à ces deux dernières années.
Dans notre culture il est normal et commun de sentirez de sentiments complex vers le mariage et de grandire donc comme je suis grandit j'aime commece a réalisé que ma sœur va aussi grandir et ce marier ce qui est certes a des sentiment heureux mais aussi triste, très triste, j'ai pleuré et commencer a regarder des video de marriage dan mon et autre culture similaire qui sens tristesse aussi, j'ai l'habitude de voire et lire des histoires familial émouvante aussi, mais le problème c'est que en anglais c'est different, il ya beaucoup des commentaires qui m'ont traumatisé et de réponse qui pathologie et sexualité ce type de sentiments, et de toutes comportements proche et filial et jolie, il y a beaucoup d'exemples, par exemple j'ai vu une interview d'une grand frère de19ans et petite soeur de11 chinois out le grand frère l'apprendre ses leçons et la sors avec elle et achet des chose, il la vois comme un père, il a rigoler quand on a lui demander c'est quoi son plat préféré et il a dit elle pour dire indirect qu'elle est mignonne, les commentaires sont positive dans tout les langue sauf anglais avec Alabama et il mange quoi ect... Et beaucoup des commentaire et d'autre chose comme ça qui sont le contraire de ma culture, j'ai sentit extrêmement honte et j'ai senttit un extrême pression social, les commentaires commencent à me shocker, a se répéter dans ma tête, j'ai commencer a ce sentirez juger, mon culture est inférieur, les commentaires devient très haut, les yeux de sociétés me presse a confirmer, un conflit se produit dans ma tête et une fort mal dans ma tête au milieu je sens que je mes sentiments se supress et après trois mois de tout ça je me suis aller a lopitale parce que les maux de tête se sentait comme des électricité et mon cœur va s'arrêter et je sens comme si mon cerveau et consianse vont se casser de mal at mes penser vont disparetre, je senti une disassociation qu'il m'ont dit à cause du stress et mes sentiment se sens plus faible, mais j'ai nest pas parles de la traumatism ni de la sentiment de honte et de pression social et de tout les cause, j'ai seulement dit que j'ai des maux de tête et que mes penser se perturbe, au lieu de dire je sens une pression et hont a changer, donc le psychiatre penser que j'ai de la psychose et ma envoyer vers un psychologue aussi, il m'ont donner lorazepam pour dormir et les sentiment que mont cerveau veul se casser a finit, pendant deux ans je sens de pire en pire, toujours Ilya une conflit dans ma tête entre mes sentime et la pression et moi jessay de contrôler cas, qui fini avec je sens que mes sentiments se vaporise et va et une sensation que mon parti droite de mon cerveau en mal et des spasme, de plus en plus je sens que mes sentiment s'en vas, des fois je sent que mon serveur et en conflit aussi, même en prenant le médicament de psychose, alors avant quelque semaine j'aire 1 semaine sans médicaments et puis j'ai repris, même avec le medicament je sentais un episode de fort tension, je sens que mes sentimes se part, mon côté droit mal et mon cœur cas s'arrêter, mon cerveau sans contrôle et comme si il ou mon consciousness vs se casser et mon capacité cognitive faible je n'arrive pas a dormir, pour dormir mon medicine general ma prescrit lorazepam, ce qui a arrêter le sentiment que mon cerveau et conscience vas s'arrêter, et je dormit, mai je sent beaucoup moin mes sentiment, puis je sent le pression et le stress de supression de mes sentimes dan mon côté droite puis il se vaporise
En regardant mes symptom et le faite que il ya plus que le moitier des chose je n'est pas dit au médecin et que je n'ai pas amailleurer avec le medicament depuis 2 ans
Voilà ce que je pense
J'ai ete traumatisé par les commentaires agressive contre mon plus important chose, même en essayant de parler de ça est dificil
Puis j'ai PTSD avec une pression social et hont qui ont donner les symptôme des mot de tête(stress), le sentiment que mon cerveau va se casser ( angoisse, pour cela il part avec lorazepam) pression social a changer au lieu de penser qui se perturbe que j'ai dit au médecin, avec des idées intrusive, une pression et stress qui cause un détachement émotionnel qui me donne l'impression que mes mémoire affective inaccessible et du burnout émotionnel qui donne l'impression que mes sentiment se vaporise et je sens plus mes sentiment et l'épuisement du mon côté droite de cerveu, avec des trouble disassociation a cause du stress et que mes sentiment sont pas las, tou ça au lieu de psychose, j'ai jamais eu des hallucinations ni des délires ni des comportements désorganisé, et je suis pas mieux avec le médicament même après deux ans, maintenant je suis en très mauvaise états mental, je sent fort detachment emotional et je sens pas mes sentiment ni mes mémoire sentimental, fatigue très fort mental et cognitive, sentiment bizarre en général a cause de ça, la honte est là mais a cause de detachment emotional il est calme, j'ai décider de dire tout ça et la vérité de mon histoire au psychatre mais je pense qu'il va pas changer son avis que c'est de la psychoseet j'ai peur de ça, qu'il ne me respecte pas. Tout ce que je vous c'est mes sentiment revient et l'épouisment cognitive partis, le sentiment de honte je veut pas quell part just être vivre avec, mon psychologue a dite que les sentiments ne pars pas ce qui m'a donné de l'espoir, c'est quoi ça ? Qu'est ce que vous penser ? Mes sentiment ne sont pas beaux ? Comment il peut revient? Je sens je suis au limite, je n'est pas tout dit