Mon conjoint est d'humeur néfaste

Réalisée par Jusrho · 16 févr. 2023 Aide psychologique

Bonjour,

J’ai rencontré mon conjoint il y a 7 ans alors que je vivais seule avec mon garçon de 18 ans.
Il est peu à peu entré dans ma vie, lui sans enfants, nos débuts on été assez incertains car malgré la séduction et de bons moments, et il n’était pas encore décidé à prendre une place de beau-papa. C’est un homme anxieux de nature qui à eu une enfance contrariée, notre parcours est assez similaire et on se comprenait sur pas mal de points.

C’est aussi une personne loyale, d’une gentillesse profonde et très ouvert d’esprit. Le dialogue est là. Et nous nous sentons du même monde.

Nous avions aussi des incompréhensions, elles étaient dues à un mal être qu’il l’accompagne depuis l’adolescence. Il monte vite en tension à cause de petits détails et peut être facilement sur la défensive lorsqu’il est tendu. Il canalise mal ses émotions et peut gâcher l’ambiance par son irritabilité pesante. Jamais de violence physique ou de vulgarité, mais du mépris et de l’agressivité dans le ton et le regard. Dans ces moments la moindre phrase est interprété de la pire façon. C’est très contrariant et cela gâche des heures ou des jours de vie, car moi de mon côté, j’attend que ça passe dans un lourd silence. Il dort mal la nuit et se sent souvent fatigué, il a une tendance hypocondriaque et je crois que c’est un hypersensible. son mal être est envahissant.

Au début je ne comprenais pas pourquoi il était parfois si désagréable, maintenant je le connais bien et je sais que c’est plus profond qu’une simple mauvaise humeur de réveil de sieste.

Nous nous sommes séparés quelques fois pendant 2 ans et à chaque rupture il avait élan de volonté positive et arrivait à me convaincre de réessayer. Alors que notre relation était au beau fixe depuis 6 mois et qu’il s’impliquait beaucoup avec mon fils, tout laissait penser que nous avions trouvé un équilibre, nous décidions que je vienne emménager chez lui, avec mon fils.
Mais 1 ans après notre vie commune et malgré mon attache pour lui, son mal être est revenu peu à peu et de plus en plus, en plus de nos désaccord d’éducation (il a été élevé à la stricte et moi plutôt à la cool), j’en ai eu assez. Il avait souvent des excès de colère avec mon fils qui ne dormait pas ou cherchait les limites. J’aspirai à me libérer de ses maux et vivre avec plus de légèreté. Nous nous sommes donc encore séparé et avons passé 2 mois sous le même toit car je ne trouvais pas d’appartement disponible.

Biensûr en se détachant de nous (mon fils et moi) pendant ces 2 mois il est devenu beaucoup plus zen et agréable.
Nous parlons beaucoup, de ce nous ressentons, de ce que l’on souhaite… Je ne lui cache pas mes sentiments négatifs ou positifs.
On se rapproche. On décide de faire une thérapie de couple pour voir si nous avons encore une chance.
À l’issu de cette thérapie, je propose de faire un contrat avec des engagements sur nos attentes de part et d’autre pour notre bien-être. Respect, dialogue, bienveillance, prendre soin de soi… 
Nous repartons dans une relation épanouie, fusionnelle et équilibrée pour 1 an, il s’occupe de mon fils comme un père et il gère ses réactions avec succès.

À l’issu de ces 3 ans écoulés et cette dernière année de bonheur, on décide d’aller un peu plus loin et d’acheter une maison en commun. Coup de cœur on s’installe, 8 mois on suivit. Je tombe enceinte par notre volonté mutuelle. Une petite sœur qui a aujourd’hui 2 ans et demi.

Pendant la grossesse j’ai vécu des échantillons de ce que nous avions connu 2 ans auparavant. J’ai eu des pics de dépression courts mais intense surement pour des raisons hormonales. Je ne me suis pas sentie soutenue. Je lui en veut encore de m’avoir laisser partir seule un après midi d’été pour pleurer dans l’herbe pendant des heures. Après qu’il m’ai balancer un « Tais-toi ! » agressif après une dispute au sujet de l’éducation de mon fils. On attendait des amis à lui, il les a reçu seul. J’étais au bout du rouleau et j’avais plus que tout besoin de lui.
Je ne voulais plus être enceinte et j’ai eu des pensées suicidaires. Je pensais avoir fait une grosse erreur.
Une parenthèse et d’autres, durant une grossesse reposante et ensoleillée en plein confinement.

L’accouchement fut assez laborieux, arrivée le samedi matin pour accoucher le dimanche soir, sans avoir manger depuis 24h ni dormi. Mon adorable fille est arrivée. Épuisement total, je ne peux me lever car ça tourne et je perds du sang. On me transfère dans ma chambre directement avec le lit roulant et je ne peux attraper mes sandales. Je lui demande de les prendre et ma demande fut accueillie avec mépris, j’étais dans les choux… Je me rappelle + de l’émotion que de la forme. Je comprends qu’il était fatigué aussi mais j’étais choqué de son mauvais traitement après un tel moment.

Ces deux anecdotes m’ont marqué et m’ont mis l’alerte aussi que tout ça n’était pas complètement dernière nous. Je lui en ai voulu et je lui ai dit. Maintenant c’est passé. On avance
Mais les maux reviennent, 1 fois par mois, 1 fois par semaine, tous les deux jours… L’atmosphère est maintenant pesante. Il se décharge sur mon fils. Parfois même plus que sur moi. Il n’a plus aucune parole bienveillante avec lui et depuis l’arrivée de la petite il l’a complètement mis de côté. Il s’en occupe pour la logistique et elle est grande, mais plus pour les moments de qualité. Il ne le supporte plus. J’ai conscience que l’éducation est difficile et que mon fils à son caractère. Il faut de la patience. Il n’en a aucune, il démarre souvent au quart de tour.

Mon fils ne se sent pas bien depuis 2 ans, il se sent nul, déprimé, incapable, triste. Je ne mets pas la faute à 100% sur mon conjoint, mais je pense que son manque de pédagogie et son rejet y contribue fortement. De mon côté j’ai des phases de déprime périodique. Plus d’envie, dans l’action de la routine pour retrouver une ambiance incertaine le soir. Je ne vois plus mes amis (manque de disponilibilités et distance). Je ne peux me confier à ma famille car ils ont mis du temps à l’apprécier et je ne voudrais pas créer une polémique et ajouter encore plus de négativité dans mon entourage.
Ma fille est trop petite pour se rendre compte, même si elle l’entend souvent crier après mon fils. Il est très tendre avec elle. Mais elle est petite et facile pour le moment.

Je ne laisse plus passer et je monte le ton aussi car je ne veux plus supporter ça, entre nous c’est devenu conflictuelle malgré quelques moments de répit.
Nous avons encore beaucoup parlé, je lui ai demandé de faire une thérapie ou ce sera fini. Il l’a fait 3 séances et à arrêter à cause d’une déception relationnelle avec la psy.

Cet hiver nous avons décidé de vendre la maison pour se remettre en ville, car je ne supporte cet isolement. On a même décidé de changer de région, mais rien n’est encore engagé. Au fur et à mesure que la date de déménagement approche je doute de cette décision. J’y crois de moins en moins, mes sentiments sont sabotés. Je ne sais pas si je peux l’aimer encore, je pense à mon fils, et à ma fille.
J’ai peur de me retrouver loin de ma famille avec lui si ça ne marche plus. Je suis perdue. Je suis de nature optimiste et enthousiaste, mais je me reconnais plus, je deviens comme lui, plus goût à rien.
C’est peut être l’occasion pour moi de recommencer une vie de mère célibataire. Où est-ce que ça va nous faire du bien ? Pour combien de temps ?

Merci de m’avoir lu, et pour vos conseils.

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Meilleure réponse 17 FÉVR. 2023

Bonjour

Ce qu'il y a de sûr c'est que le problème de fond qui est en lui n'est pas résolu et il ne manifeste pas un véritable désir d'en changer ni de faire un travail sur lui.
Ce qu'il y a de certain aussi c'est que l'arrivée d'une "fille à lui" n'a fait d'une certaine façon qu'aggraver le problème et révéler son vrai caractère.
Enfin le fait de penser que de changer de région améliorera les choses est une illusion. C'est une forme de fuite qui évite d'affronter le problème. A mon sens il est hautement imprudent de vous isoler actuellement et vous avez le devoir prioritaire de protéger vos enfants. Vous ne devez effectivement pas exclure de redevenir une mère célibataire.
Je reste personnellement à votre disposition, sachant que ma première séance d'une heure est entièrement gratuite et sans engagement. Vous pouvez librement prendre un rendez vous sur mon agenda en ligne.

Bon courage à vous

Michel le BAUT
Psychopraticien
Thérapeute Jungien
Analyse de rêves

Michel Le Baut Psy sur Marseille

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20 FÉVR. 2023

Bonjour Madame,

A la lecture de votre très long message plusieurs questions me viennent à l'esprit :
- quel âge a votre fils aujourd'hui ? 18 ou 25 ans ? Puisque ça joue dans votre dynamique familiale..., et la suite de votre vie commune. Si votre fils est en âge de quitter la maison ça peut faire descendre une grande partie de la tension actuelle.
- pourquoi avez vous décidé de changer de région ? pour vous rapprocher ou vous éloigner de quoi / qui ?
- si ça s'est mal passé avec la psy que votre compagnon a vu 3 fois... envisage-t-il de changer de psy ou pas ?
Même si son humeur même et ses propres interprétations des dires d'un-e psy peuvent jouer sur la connection / confiance établie ou pas, et il peut encore rejeter d'autres psys.

Vous avez commencé votre message ici avec un ton plus positif, et en énumérant certaines des qualités de votre conjoint que vous appréciez.
Ensuite, vous vous êtes rappelé quelques événements et faits qui vous ont chagriné et contrarié, et qui ont largement contribué à votre déception actuelle.
Et puis, vous décrivez un état de déprime et chez votre conjoint, et chez vous et chez votre fils... et il est facilement imaginable que chacun alimente l'état de mal être des autres.

Avez vous pensé à proposer une thérapie à votre fils ? Il est à priori à un âge difficile : l'âge de la séparation des parents.
Vous n'écrivez pas quelles sont les relations qu'il a et qu'il a eu avec son propre père, et pourquoi vous avez souhaité que votre conjoint prenne ce rôle auprès de lui...

Et vous...: avez vous pensé vous offrir une thérapie qui vous aidera à prendre du recul et voir plus clair dans votre histoire ?

Beaucoup d'inconnues dans votre système familial... : je ne crois pas qu'il faut croire qu'un déménagement apportera la solution à vos problèmes, et d'ailleurs la séparation de votre conjoint non plus..., avant de comprendre ce qui se joue actuellement entre vous et s'il n'est pas possible de trouver autrement un plus de sérénité et de bienveillance réciproque.

Peut être que repasser par une thérapie de couple avec un-e thérapeute familial-e pourrait vous aider à comprendre la nécessité de changer vos points de vue et vos comportements, et convaincre aussi votre compagnon à travailler sur ses blessures du passé.
Et puis..., ce type de thérapie peut vous amener vers des prises de conscience qui vous permettront de décider ensemble si et comment continuer en couple ou vous séparer en limitant les conflits et en pensant au bien être de votre fille.

Je vous souhaite d'arriver à aller mieux, chacun d'entre vous séparément et si possible ensemble aussi.
sp

Silvia Podani Psy sur Issy-les-Moulineaux

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20 FÉVR. 2023

Bonjour Madame,

j'ai été touchée par votre long récit.

J'avais rédigé hier un long message très explicite mais le site ne l'a pas publié comme depuis 48h très souvent.
Je vous invite à me contacter sur mon site web sous mon prénom et mon nom si vous souhaitez que je vous accompagne et si bien sûr ce énième message ne subit pas le même sort que le premier par le site.

Bien chaleureusement.

Bénédicte Escaron
Praticienne en Psychothérapie
Psychanalyste
Thérapeute d'aide à la parentalité

Benedicte Escaron Psy sur La Haye-d'Ectot

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20 FÉVR. 2023

Bonjour madame
Le déménagement ne va faire que vous isoler davantage et même si la décision a été prise, il est toujours possible de ne pas partir.
Quitte à aller chez vos parents, le temps pour vous de prendre conscience de la violence psychologique à laquelle vous êtes soumise et à laquelle vous vous êtes habituée.
Il n'y a que du malheur dans cette relation, et c'est sur des points de souffrances que vous vous êtes reconnus au départ.
Prenez le temps de faire une psychothérapie, afin de prendre du recul et de décider de ce qui sera le mieux pour vous et votre enfant
Il vous est nécessaire de retrouver des forces, car tout cela épuise et vous empêche de réfléchir en pleine possession de vos moyens.
Je vous reçois avec bienveillance et sans jugement ni à votre égard ni envers votre conjoint
En présentiel ou visio
Inès Avot

Inès Avot Psy sur Ouve-Wirquin

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20 FÉVR. 2023

Bonjour Madame et merci pour ce long récit si explicite,

Je ressens votre détresse et une immense souffrance, des doutes dans chacune de vos phrases et pourtant une indulgence face à votre conjoint dont vous faites à plusieurs reprises ressortir les qualités Mais vous êtes épuisée et à bout après autant d'efforts, d' adaptabilité, vous êtes inquiète et vous avez pleinement conscience des impacts de ces troubles de l'humeur de votre compagnon sur vous, sur votre fils et sur votre fille.
Vous avez réalisé une thérapie de couple, elle a redonné un certain élan dans votre dynamique et une petite fille est née peu de temps après mais ne pensez vous pas que c'est votre compagnon qui doit admettre qu'il faut qu'il soit aidé?
L'enfance difficile n'est à mon sens pas le seul point à mettre en exergue, vous aussi visiblement avez eu des souffrances et pourtant, il n'y a pas de regard ou de paroles dotés d'agressivité, d'égocentrisme. N'est-ce pas?
Nous ne pouvons pas systématiquement renvoyer ou plutôt rechercher les causes des comportements dans le passé et le vécu, il existe aussi une part de la personnalité du sujet, son Moi.

Vous pouvez vous sentir perdue en dépit de votre optimisme et de votre joie de vivre, d'aller de l'avant, il va sans dire que la relation amoureuse est faite de concessions partagées et non à sens unique.

Je retiens aussi une chose, le rejet de base de votre fils puis le comportement à la maternité, mais n'a-t-il pas finalement toujours eu peur d'endosser un rôle paternel?
Vous lui avez fait le plus beau cadeau du monde, votre fille. Est-il pleinement conscient de cela ou est-ce normal pour lui? Où sont ses élans avec cette petite fille?
Et vous, hormis suivre dans les déménagements, vous éloigner de votre propre famille, donc vous isoler et être hors zone de confort et de sécurité dirais je, où est votre place dans cette histoire? Quel rôle avez vous concrètement dans sa vie?
Autant de facteurs abordés largement en thérapie de couple mais visiblement non assimilés.... Puisque récurrents dans ses attitudes.

Je vous invite pour une fois à oser briller, à penser à vous, à vos deux enfants, faute de quoi vous êtes en plein sabotage, ce que l'on nomme le "complexe de la tortue". Ce n'est ni égoiste ni culpabilisant au regard des faits relatés dans ce grand message doté de souffrance, madame.

Je vois propose de vous accompagner, en téléconsultation si vous le souhaitez, dans ce cheminement existentiel pour vous soutenir mais aussi éclairer vos ressources, vos capacités et remettre les priorités là où elles doivent être positionnées.
Sachez que vous avez toute mon empathie et que des stratégies existent pour vous extraire de ce chao psychique.

Vous avez eu déjà le courage de déposer ces mots sur le site et je vous félicite, preuve de votre conscientisation qui démarre.
Continuez, le premier pas est toujours le plus délicat et le plus lourd.

Très chaleureusement.

Bénédicte Escaron
Praticienne en Psychothérapie
Psychanalyste
Thérapie humaniste et intégrative.

Benedicte Escaron Psy sur La Haye-d'Ectot

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17 FÉVR. 2023

Bonjour Jusrho,

A la lecture de votre récit nous serions en droit de nous demander ce qui motive ce monsieur, veut-il oui ou non faire partie d'une famille? Mais finalement cette question s'estompe petit à petit pour n'en laisser qu'une, vous, êtes-vous prête à vivre cette situation encore longtemps?

Vous avez fait une thérapie de couple, il a fait trois séances après un ultimatum, mais la situation ne semble pas s'améliorer. Le problème c'est que pour le couple, une forme de confort s'installe avec l'habitude, on hésite souvent à chambouler tout cela de peur du jugement des autres aussi. Vous le dites vous même, votre famille a mis du temps à l'accepter (sous-entendu, si je leur annonce une rupture que penseront-ils?). Vous avez une maison ensemble, une petite fille et un passé commun. Oui, ça fait beaucoup, beaucoup de raison de s'accrocher.

Mais s'accrocher au nom de l'habitude, de l'engagement n'est pas s'accrocher pour les meilleures raisons selon moi. Il n'y a qu'un curseur important ici, le votre, voulez-vous oui ou non poursuivre cette relation avec cet homme? Attention cependant, la réponse ne doit pas commencer par "mais notre fille/maison/famille etc". Ne pensez qu'à vous, ce n'est pas égoïste, au contraire, en prenant soin de vous vous prenez soin des vôtres, de votre famille et même de lui.

Que vous soyez dans une optique de rupture ou non, cela ne dépend que de vous.

Quentin GARDRAT, Praticien en psychothérapie distanciel, philothérapeute.

Quentin Gardrat Psy sur Le Havre

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17 FÉVR. 2023

bonjour
Il est évident que vous avez traversé de nombreuses épreuves au cours de votre relation. Il est important de comprendre que les comportements de votre partenaire sont très probablement liés à son mal-être et à son passé douloureux. Il est également important de reconnaître votre propre vulnérabilité, en particulier pendant votre grossesse. Il semble que la thérapie de couple ait été utile, mais peut-être avez-vous besoin de poursuivre le travail individuel en thérapie pour gérer vos propres sentiments et émotions. Vous avez également besoin de discuter des problèmes d'éducation et de trouver un terrain d'entente qui convient à tous les membres de votre famille.

Ulrich Alexandre Psy sur Narbonne

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17 FÉVR. 2023

Bonjour,

Merci pour ce long témoignage. Il est indéniable que cette relation va a apporté beaucoup de souffrance. Votre partenaire ne souhaitant pas vraiment se faire aider même si l’on ne peut que constater sa souffrance, il est difficile de penser qu’une amélioration est possible.
Vous avez besoin d’aider pour vous aider à percevoir au mieux vos perspectives d’avenir. Je vous invite à me contacter pour cela.

Je reste à votre disposition et à votre écoute.

Pour plus de détails, contactez-moi.
N'hésitez pas à vous faire une idée du sérieux de ma pratique en consultant les avis sur ma fiche.

Christophe
_______________________________
Thérapeute de couple - Sexothérapeute
* Rendez-vous en ligne uniquement
--------------------------------------------------

Christophe Nieaux Psy sur Melun

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17 FÉVR. 2023

Bonjour et merci de vous être ainsi confiée.

Il apparaît que vous avez vraiment fait preuve de patience, d'écoute, d'abnégation et avez continué à supporter les comportements de votre conjoint.
Vous êtes visiblement au bout de ce que vous pouvez encore donner.

La thérapie de couple n'a bien sur pas porté ses fruits, puisque comme très souvent, le fond des choses n'a pas été traité. Rien d’étonnant à ce qu'il revienne avec ses démons. Car c'est bien de cela qu'il s'agit, c'est de son coté qu'il faut soigner votre couple. Or également comme très très souvent, il ne suit pas sa thérapie.

Il est absolument vrai que la relation avec son psy est primordiale. Mais est-il allé vers quelqu'un d'autre? accepte t'il de le faire? accepte t' il de s'engager sur du long terme, avec assiduité jusqu'au bout ?
Vous risquez qu'il dise oui et qu'une fois de plus vous repartiez pour une période inconnue de mieux être, puis de revenir au point de départ.

Enfin, avez vous discuté avec lui de vos questionnements actuels et des autres possibilités que vous envisagez.

Vous vous questionnez encore et relatez votre état psychique qui se dégrade fortement.
Qu'est ce qui est vraiment derrière cet attachement à lui. Pourquoi la peur vous tient-elle.

Il s'agit donc aussi de travailler sur vous pour comprendre pourquoi après tout ce temps vous avez tant accepté, et continuez à vous interroger sur le fait de continuer avec lui.

Si vous le souhaitez je peux vous accompagner.
Pour prendre contact avec moi allez sur mon site neuracosme où vous trouverez mes coordonnées de contact direct.
Bon courage à vous

----Olga Sero-Guillaume----
Neuracosme
Psychopraticien – Hypnothérapeute
Psychothérapie - Accompagnement au changement
Développement personnel
--- Visio et Présentiel ---

Olga Sero-Guillaume Psy sur Laval

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17 FÉVR. 2023

Bonjour,

Il est vrai que toute relation demande un travail sur soi pour que ça fonctionne. Il faut apprendre à se connaître et à connaître et comprendre l'autre, évoluer etc... mais se connaître implique également comprendre ce que sont nos limites et comment faire en sorte de les faire respecter et de les assumer soi-même. Il me semble que vous avez fait de nombreux efforts pendant des années. En revanche, quand je vous lis, j'ai la sensation que vous ne parveniez pas à accepter certaines choses de vous-même et de votre conjoint. Par exemple, vous tenez visiblement à vivre tous les jours sous le même toit, mais cela a mal tourné à chaque fois..., je ne cherche pas à dire que votre relation est impossible mais peut-être que, compte tenu de vos fragilités respectives, un peu d'espace pourrait améliorer la situation. Vous semblez également attendre de lui, qu'il assume un rôle de père vis-à-vis de votre fils. Cela semble mal fonctionner également, peut-être est-il seulement capable de lui apporter un peu de soutien et une aide plus distante? Au final, je n'en sais rien, mais il me semble que c'est les modalités de votre relation que vous pourriez réfléchir ensembles. Aujourd'hui, vous êtes en souffrance, je le regrette, croyez-moi, toutefois c'est également l'opportunité de vous poser de bonnes questions et de remettre en question ce qui peut l'être.
Une thérapie de couple pourrait également beaucoup vous apporter.

Je vous laisse y réfléchir et reste à votre écoute, avec attention et bienveillance, si vous souhaitez poursuivre cet échange
Xavier Dubouch
Psychopraticien, Gestalt-thérapeute

Xavier Dubouch Psy sur Périgueux

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