Peur de la solitude, renfermement, abandon et angoisse

Bonjour
Je pense que le décès de votre maman a des conséquences sur vous.
Une thérapie vous aiderait vraiment beaucoup
Avec plaisir en présentiel ou en visio
Bien à vous
Inès Avot

je comprend ce que vous vivez, et le décès de votre mère à un age aussi jeune à des conséquences, et le deuil n'est pas simple à cette age suivant le soutien que vous avez eu plus jeune, la dépendance affective en lien avec la perte et le manque est normale et une conséquence direct de cela, ceci vous fragilise et vous fait vivre ces difficultés, avec le risque de soit vivre dans l'insécurité soit vous isolée, et c'est un creclr

Bonjour Gamarla,

Vous imaginiez sans doute le type de réponses que nous ferions en rédigeant ce message, mais se serait bref et irais droit au but, vous devez entrer en thérapie avant que ça n’empire.
Les thérapies d’engagement et d’acceptation feront partie de votre parcours.

Choisissez judicieusement votre thérapeute, bien cordialement.

Bonjour,

Vous décrivez un état de mal-être fait de peu d'estime et de confiance en vous.
Il semble que vous ayez vécu un profond attachement infantile peu sécurisant qui vous a laissé beaucoup de peur de la solitude et de peur d'être abandonnée.

Je vous conseille de faire le point en thérapie sur ce que vous avez vécu, sur cette angoisse d'abandon , quelle en est l'origine, comment y remédier et vous permettre ainsi de vous sécuriser et de prendre confiance en vous.

Je reste à votre écoute,
Bien à vous,
Edith Entringer

Bonjour Gamarla,

Merci pour votre témoignage qui dénote un grand recul et discernement de votre part. Vos pleurs ainsi que la colère dont vous parlez sont des éléments clés sur lesquels vous pouvez travailler car ils sont l'indicateur que quelque chose a été vécu douloureusement, difficilement. Je pense notamment à la perte de votre maman, qui a certainement dû être vécue comme un abandon. Avant toute chose, vous avez besoin d'apprendre à conscientiser votre histoire de vie sous un aspect émotionnel: cela signifie repasser par les moments durant lesquels vous vous êtes sentie tellement seule! Et ensuite, vous pourrez poser les jalons pour équilibrer votre vie et la nourrir de ce qui vous fait du bien. Vous avez été confrontée à la violence de la vie très tôt, il est important de soigner la petite fille en vous qui a connu ces étapes traumatiques. Vous rejettez peut-être les autres pour vous sentir d'autant plus seule: c'est inconscient, mais bien en place.


Je suis à votre écoute si vous souhaitez approfondir vos questionnements, en toute bienveillance

Bonjour,
C'est ce que vous avez vécu dans votre enfance (même avant 12 ans) qui a installé en vous cette tristesse et cette dépendance affective.
il et temps de vous faire aider pour guérir vos blessures d'origine et apprendre à voir la personne que vous êtes et qui mérite d'être aimée.
Le programme que je propose vous permettrait d'atteindre cet objectif.
Je consulte en présentiel ou par visioconférence. Merci de me contacter avant de vous inscrire sur l’agenda de la plateforme.
Bien à vous
Véronique BLANCHE, Thérapeute Holistique
Guérison de l’enfant intérieur
Hypnose Ericksonienne
Soins énergétiques

Bonjour Gamarla,

Bravo d'avoir osé poser votre question !
Perdre sa mère très jeune et un véritable traumatisme, car à 12 ans on a besoin de son accompagnement pour vivre pleinement des moments de légèreté et d'insouciance.
Vous souffrez de cette blessure d'abandon qui impacte votre vie et vos relations.
Ce serait important de vous faire accompagner pour libérer ces blessures, la colère et cultiver la bienveillance envers vous.
Vous êtes jeune et votre vie est invitée à prendre une nouvelle couleur.
Je suis à votre écoute.

Je vous souhaite une très belle journée.

Chantal Michel, Thérapeute

Bonjour ! Il se trouve que vous avez vécu de nombreuses blessures dans votre enfance qui continue à agir sur vous. Il y a un élément qui me paraît important de souligner, c'est votre envie de vouloir plaire à tout prix aux autres qui n'est pas forcément lié uniquement à la blessure d'abandon mais aussi à l'effet de l'hormone de récompense qui se développe chez chaque individu lorsque celui-ci dès la petite enfance souhaite attirer le regard des parents. Vous savez ses premiers pas qui sont regardés avec attention par les parents. L'enfant comprend alors qu'il attire les attentions parce qu'il fait. L'enfant va le reproduire de manière inconsciente avec son entourage et ses proches, puis vis-à-vis d'un ou d'une petite amie. C'est envie d'être brillant, d'être un héros aux yeux de l'autre et des autres. C'est cette même envie qui vous pousse à être perfectionniste et idéaliste. J'espère que cela vous a éclairé sur ce que vous ressentez. cordialement, Jonathan Desjours- coach et thérapeute de l'inconscient.

Bonjour Gamarla,

Vous vous décrivez comme une personne fragilisée, certainement depuis de nombreuses années (la mort de votre mère que vous évoquez est certainement un élément déterminant).

Vous vous êtes isolée au long de votre vie et continuez de le faire, tout en ayant peur de la solitude.
Vous découvrez depuis peu la sexualité, et investissez vos rencontres d'un très fort lien affectif. Vous vous projetez immédiatement dans le futur de ces relations, ce qui n'est pas le cas de vos partenaires.
Vous souffrez manifestement d'une blessure d'abandon. Le besoin exacerbé d'être aimée vous fait vous attacher à chaque homme rencontré, et vous suscitez chez eux une réaction de rejet, ce qui ne fait que renforcer ce sentiment d'abandon.
Le repli sur soi est un mécanisme de protection de cette blessure qui vous affecte. Cependant ce mécanisme, sensé vous protéger, vous fait souffrir.
vous évoquez par ailleurs une faible estime de vous, des sentiments de colère qui vous submergent, qui vous font vous replier sur vous, qui vous font souffrir de solitude, etc... c'est un cercle vicieux dont vous ne parvenez pas à vous extraire.

Ce fonctionnement relève d'un trouble de l'attachement. Cela fait de vous une personne insécure sur le plan affectif. Vous avez besoin des autres pour être rassurée, et à la fois vous les fuyez de peur de subir à nouveau l'abandon.

En travaillant sur ce qui vous a amené à vous construire de cette manière, et en apprenant progressivement à acquérir un nouveau comportement face à ces situations, les thérapies comportementales peuvent vous permettre de guérir de cette blessure, de vous "réparer", et d'accéder à un mode de fonctionnement plus serein, et adapté à vos besoins.

Restant à votre écoute.

Agnès FAVARD, psychopraticienne (consultation en cabinet et visioconsultation)

Bonjour Garmala,

Vous sentez bien que, à la fois, vous avez envie de lien, et en même temps cela déclenche en vous beaucoup d'angoisse et de peur. Ce que vous décrivez de vos relations avec les hommes en est une illustration. Le sexe et le fantasme (projection que vous faites) remplace une vraie relation, dont vous avez très fort envie mais aussi terriblement peur.
Pourtant, vous avez un groupe d'amis (8 amies, croyez-le ou pas, c'est déjà pas mal du tout) mais bien entendu cela ne règle pas le problème : le sentiment de solitude n'a souvent pas grand chose à voir avec l'isolement réel. Jung disait que le sentiment de solitude n'est pas lié au manque d'humains autour de nous mais liée au fait qu'on ne parle pas avec eux de ce qui compte vraiment pour nous. Souvent, même sans s'en rendre compte, on n'est pas vraiment soi avec les autres et sans sincérité on ne peut que se sentir seul et incompris.
Vous pourriez entamer une thérapie pour aller vers des relations plus apaisées et plus nourrissantes pour vous.

Je vous souhaite une bonne journée,

Marion Favry

Bonjour,
Vos expériences passées, ont provoqué en vous une perte de confiance et d’estime qui s’exprime par la peur de l’abandon.
Ce genre de conviction par rapport à soi-même et profondément ancré est difficile exBonjour,
Vos expériences passées, ont provoqué en vous une perte de confiance et d’estime qui s’exprime par la peur de l’abandon.
Ce genre de conviction par rapport à soi-même et profondément ancrée et difficile à dépasser seul a dépassé seule.
Toutes les vicissitudes relationnelles dont vous parlez ont pour origine cette perte d’estime de vous-même. Je vous invite à travailler sur cet aspect de vous-même, cela pourra grandement améliorer votre qualité de vie et la qualité de vos relations.
Je reste à votre écoute avec attention, si vous souhaitez approfondir.

Bien à vous

Xavier Dubouch psychopraticien

Bonjour Gamarla.
Vous êtes en effet dans une situation difficile, et qui vos fragilise puisqu’elle vous met dans la position d’être maltraitée par des hommes qui peuvent vous faire du mal… ce qui ne fait qu’empirer les choses !
En tant qu’humains, nous sommes des êtres relationnels, et nous ne pouvons vivre normalement que si nous avons suffisamment de relations affectives avec d’autres – ou une autre - personne. Et c’est ce qui fait que vous vous accrochez aux personnes qui vous plaisent, par exemple, car on ne peut pas vivre sans se sentir aimé !
Et nous avons besoin de nous sentir libres dans ces relation, pour être complètement nous-mêmes. Libres et en sécurité, c’est à dire certains que nous sommes acceptés tels quels, et c’est sans doute ce que vous éprouvez quand vous êtes avec vos amis fidèles.
Les difficultés commencent quand nous n’avons pas ce sentiment d’être suffisamment libre dans nos relations, car alors soit nous nous sentons seuls, et c’est insupportable (les prisonniers à l’isolement complet peuvent devenir fous), soit, pour conserver les relations que nous avons, nous acceptons de nous faire maltraiter, c’est à dire de nous plier aux désirs de l’autre au lieu d’être nous -mêmes. Et si je comprends bien c'est ce qui se passe avec ces hommes qui vous plaisent mais qui vous maltraitent.
Sortir de cette situation suppose d’intégrer le sentiment de « sécurité dans la relation », c’est à dire d’avoir « ancré » au plus profond de soi la sensation que l’on est aimé, ou que si on ne l’est pas sur le moment, on a la capacité à l’être de nouveau suffisamment rapidement. C’est quelque chose qui s’installe normalement dans la jeunesse et l’enfance, d’abord par la relation avec nos parents, puis avec notre entourage, quand tout se passe bien. Mais hélas, tout n’est pas toujours si simple…
Vous ne dites pas grand-chose de votre enfance – et je vous comprends – mais j’en déduis que pour vous tout n’a pas été simple.
Il est tout à fait possible pour vous de « guérir » de cette difficulté. Il faudrait pour cela connaître un peu plus votre histoire, et travailler sur ce qui vous bloque, ou qui vous manque, et cela c’est très personnel. Mais sachez que l’approche des thérapies brèves, en particulier l’approche narrative, alliées à l’hypnose, est un outil puissant pour régler – assez rapidement en général – ce type de difficulté.
Je reste à votre disposition pour un échange plus approfondi, si vous le désirez
Guillaume Lemesle
Hypnose et Thérapies brèves

Bonjour,

Il y a quelque chose dans votre histoire personnelle, dès votre petite enfance, qui a construit un sentiment d'abandon. On trouve aussi les traces d'une perception dominatrice et violente de la paternité. Cela se manifeste notamment par le choix de vos compagnons qui ont le même profil, possiblement, que votre père, qu'inconsciemment vous cherchez en eux. La colère que vous ressentez s'adresse probablement à un membre de votre famille qui vous "a faite comme ça". Vous repousser tout le monde car vous avez peur de vivre une seconde fois l'abandon.
Bref il y a des choses à creuser dans votre histoire personnelle sur la base desquelles on pourrait reconstruire quelque chose.
Je reste personnellement à votre disposition, sachant que ma première séance d'une heure est entièrement gratuite et sans engagement.

Bon courage à vous

Michel le BAUT

Bonjour,

L’abandon est vraiment une cause majeure qui revient perpétuellement dans votre histoire. Il y a quelque chose à régler de ce côté ci à mon avis.

Je vous laisse y réfléchir

Bien à vous
Marjorie Lugari psychanalyste

Bonjour,
Le fait que vous vous exprimiez maintenant, que vous analysiez votre situation avec du recul, c'est déjà prendre soin de vous.
C'est aussi peut être le signe que le moment est venu pour vous de commencer un travail sur vous, par rapport à ce que vous avez vécu dans votre enfance, et en lien avec les comportements et pensées sur vous-même et sur les autres, que vous ne désirez plus avoir aujourd'hui;
Je ne peux que vous inviter à continuer dans cette voie.
Cordialement