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Réalisée par gegeandseb · 21 mars 2023 Addictions

Bonjour voilà pour vous expliquer brièvement ma situation.
J’ai 40 ans mariée avec deux enfants.
Tout vas bien dans ma vie sauf ma famille d’origine.
Mon père était alcoolique et est décédé il y a 12 ans.
Mon frère qui a 10 de plus que moi a pris le relai.
Diverses addictions, séjours psy, tentatives de suicide et j’en passe.
Cela fait bientôt 15 ans que ma mère vit un véritable enfer avec lui.
A l’heure d’aujourd’hui il est sous sa tutelle. Elle gère ses finances lui fait les courses les repas etc..
Elle ne vit que pour ça ne parle que de ça ne s’intéresse à rien d’autre.
Nous avons une relation complètement tronquée on ne partage rien à part cela.
Depuis plusieurs mois je me détache de plus en plus de cette situation qui m’exaspère et je sais très bien que tout ce qu’elle fait ne sert à rien nous en pouvons aider les gens qui ne Veulent être sauvés.
Malgré tout ayant grandi dans la culpabilité j’éprouve de la difficulté face à cela.
Est ce légitime de ma part? A t’on des obligations envers sa famille?
Vous voyez je viens de commencer une formation en vae car j’évolue au sein de mon entreprise on ne me demande même pas comment cela se passe (un exemple parmi tant d’autre.
J’ai besoin de vos avis.
Merci

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Meilleure réponse 22 MARS 2023

Chere Gégé,
Tout va bien dans votre vie.... Mais , du fait d'être en relation intime avec des personnes qui ne vont pas bien, vous n'allez pas bien.
1- sachez que c'est normal : cela s'appelle un traum vicariant. Ce sont vos neurones miroirs qui s'activent et vous ressentez intimement quelque chose qui est de la nature du trouble affectif que vivent vos proches.
Solution : technique FOCUSING : Vous dites voilà ma sensation limitante : je la décris (c'est celle où vous vous sentez dans la culpabilité, la dépendance affective, un peu victime aussi pour mériter les soins de votre mère etc) , je sens comment c'est dans mon corps. Puis vous cherchez la sensation que vous désirez vivre. Cherchez pas longtemps parce que vous l'avez déjà vécu, rappellez vous et installez là en vous, décrivez la avec précision (température, couleur où ça se passe dans mon corps? mouvement ou immobile ? )
Et puis vous cherchez à retrouver cette sensation à chaque fois que vous glissez de la sensation "Tout va bien dans ma vie" à " c'st pas juste!"
2- les relations tronquée : on ne s'occupe pas de féliciter les trains qui arrivent à l'heure. mais on se démène pour faire en sorte de comprendre et prendre soin de ce qui ne va pas. Et voilà comment l'attention et le temps de votre mère se trouvent accaparés par les besoins de votre frère. ... Croyez vous que tout son amour soit aussi accaparé? N'est elle pas soulagée et pleine de gratitude d'avoir une fille qui va bien et qui est à l'écoute? certes, dans nos familles où on n'a pas appris à dire ce qui va, elle ne sait pas vous dire sa gratitude. Peut etre meme que dans ce pays où on n'a pas appris à profiter de ce qui va , elle ne sait meme pas se connecter à son bien etre quand elle est en votre compagnie. trop long d'expliquer ici comment changer les fonctionnements de toute une famille mais on pourrait faire ça en seance.. ce serait autant de gagné pour votre relation avec votre mère puis avec vos enfants et pour les générations à venir : le meilleur investissement en temps et en intelligence qui soit!
3- obligations de soins et légitimité de la demande d'attention... les liens affectifs ne sont ni obligés ni tarifés ni légitimes (au sens de régulés par la loi)... Sauf pour les parents envers les enfants mineurs (loi de la protection de l'enfance) .. si c'était obligatoire cela n'aurait pas la meme saveur vous le sentez bien. C'est parce que vous aimez librement et gratuitement SANS CALCUL que c'est bon d'etre aimé par vous! et idem, quand votre mère vous contacte alors que vous n'avez besoin (apparemment ) de rien, et qu'elle ne le fait pas par peur d'etre une mauvaise mère, peur d'avoir raté sa mission de mère que c'est bon.
4- Votre mère sent les contraintes que son fils lui inflige comme un enfer, cela doit bien aggraver la situation de votre frère qui doit culpabiliser d'une manière insupportable, douloureuses.. Il y a partout des besoins pas écoutés, qu'il pourrait etre utile d'observer et d'écouter et de partager..;
On voit comment faire ensemble?
Je vous souhaite une très belle journée, à la hauteur de votre "tout va bien dans ma vie" qui sonne comme une pépite sur ce site.
Bravo et merci pour ces mots.
Sandrine

Sandrine de Monsabert Psy sur Toulon

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28 MARS 2023

Bonjour,
C'est difficile de se détacher d'une situation qui a occupé toute une famille toute une vie.
En réalité, vous n'avez pas de dette envers votre famille, et vous êtes libre de vos choix.
Les dépendances sont toxiques, y compris dans les relations.
Reprendre de l'espace pour vivre votre vie semble plutôt sain, et nécessaire.
Je vous encourage à continuer vos projets, et à ne pas hésiter à vous faire accompagner si la culpabilité persiste, car il y a sans doute beaucoup de colère à exprimer, et qui a besoin être accueillie.
Bon courage à vous.
Chaleureusement.
Aurélie LAUMONT
Psychopraticienne en thérapie relationnelle intégrative.

Aurélie Laumont Psy sur Troyes

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24 MARS 2023

Bonjour, je comprends que vous vous sentez pris entre deux feux avec votre frère et votre mère. Il est normal de se sentir coupable ou en conflit face à une situation familiale difficile, surtout si elle a été présente pendant une longue période de votre vie. Cependant, il est important de prendre soin de soi et de se loger sur son propre bien-être.

Il n'y a pas de réponse unique à la question de savoir si vous avez des obligations envers votre famille, car cela dépend de chaque personne et de chaque situation. Cependant, il est important de prendre en compte vos propres besoins et de ne pas vous sentir obligé(e) de prendre soin de votre frère ou de votre mère à tout prix si cela affecte votre propre santé mentale et émotionnelle.

Je vous encourage à prendre rendez-vous en ligne pour une séance de psychothérapie pour discuter de ces sentiments de culpabilité et de la manière de prendre soin de vous-même tout en étant là pour votre famille. Vous pourriez également bénéficier d'un soutien émotionnel pour gérer le stress de votre formation et le manque de soutien de votre entourage professionnel.

Je suis là pour vous aider si vous avez besoin d'aide pour trouver un thérapeute en ligne qui convient à vos besoins.

Ulrich Alexandre Psy sur Narbonne

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23 MARS 2023

Bonjour,

Vous êtes adulte, en couple avec deux enfants. Votre priorité est de vous consacrer à votre famille.
Votre mère a fait le choix de s'occuper de son fils et d'en être même la tutelle. C'est son choix et vous n'avez pas à culpabiliser. D'autres solutions pourraient se mettre en place.
Vous pouvez néanmoins respecter le choix de votre mère et être un soutien moral pour elle. Si c'est trop lourd pour vous il suffit d'espacer les contacts mais surtout de ne pas couper la relation.
Par contre il serait utile que vous puissiez creuser pourquoi vous vous sentez rejeté car ce sentiment de rejet vous fait doublement culpabiliser.
Je reste personnellement à votre disposition, sachant que ma première séance d'une heure est entièrement gratuite et sans engagement. Vous pouvez librement prendre un rendez vous sur mon agenda en ligne.

Bon courage à vous

Michel le BAUT
Psychopraticien
Thérapeute Jungien
Analyse de rêves

Michel Le Baut Psy sur Marseille

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22 MARS 2023

Bonjour,
Il n'y a bien sur aucune obligation personnel, familial ou autre à s'imposer si cela vous nuit.
Comme vous l'avez compris, vous ne pourrez pas sauver votre frère, cette décision ne peut venir que de lui, il en est de même pour votre mère, c'est son choix et il faut le respecter. Cependant avez vous pu lui faire part de votre sentiment quant à votre relation mère/fille que vous vivez comme étant tronquée? Qu'est ce que cela crée en vous? Arrivez vous à trouver votre place auprès d'elle?
Vous parlez également de votre père qui était alcoolique, comment vivez vous le fait que votre frère reproduise cela? Quelle était votre place dans cette famille?
Comment vivez vous le fait que l'on ne s’intéresse pas à votre évolution professionnel?

Je reste à votre écoute si vous en ressentez le besoin.
Je vous souhaite un bon épanouissement personnel.
Prenez soin de vous.

Léana

Martinon Léana Psy sur Le Luc

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22 MARS 2023

Bonjour
Vous vous détachez de cette situation qui est une impasse, mais elle appartient à votre mère, effectivement pas à vous.
Vous avez fait le bon choix, car vous n'avez qu'une vie et il est légitime que vous souhaitiez la vivre et être heureuse.
Vous n'avez pas d'obligation envers votre famille, et vous avez le droit de choisir la vie qui vous convient
Bien cordialement Inès Avot

Inès Avot Psy sur Ouve-Wirquin

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22 MARS 2023

Bonjour
Certain être humain vive leur existence, à travers des addictions comme l'alcool que vous citez. Malheureusement, ce symptôme est celui de votre père. Vous envisagez un éloignement, une séparation à ce déboire, tout en éprouvant des sentiments pour ce père qui sombre et envenime la vie de votre mère.
La culpabilité se loge où chez vous ? Quelle est-elle ? Comment fonctionne t-elle dans votre quotidien et ses conséquences ?
C'est peut-être de cela qu'il serait bon d'envisager, pour vous reconstruire dans une certaine harmonie familiale.
Je vous offre la possibilité d'en parler avec moi, en présentiel ou en ligne, afin de résoudre cette situation, et de trouver ensemble les solutions les plus adaptées.

Patrick Groult Psy sur Nice

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22 MARS 2023

Bonjour

Vous avez connu déjà les ravages collatéraux de l'alcool avec votre père et maintenant alors que vous perdez de la même façon votre frère, c'est votre mère qui en quelques sortes disparaît en n'existant plus que pour ce frère ( "on ne me demande pas comment ça se passe" dites vous en fin de message. Affectivement cela fait vraiment beaucoup.

Vous dites que vous vous détachez depuis plusieurs mois, mais est-il vraiment possible de se détacher de la "perte " de sa mère ?
Forcément vous ne pouvez que culpabiliser.

Vous dites que vous avez grandi dans la culpabilité sans autres explications. Qu'avez vous appris dans votre enfance que vous devez, à votre famille, ou aux autres pour "être une personne qui a le droit de recevoir de l'amour", ou pour avoir le droit d'exister.....
Il serait nécessaire d'en savoir plus pour y travailler.

D'autre par vous réussissez dans votre vie et à 40 ans le manque reconnaissance de la part de votre mère vous est une blessure. Existez vous vraiment par vous même ? Autre question à aller explorer pour en sortir.

Les obligations envers sa famille ne sont que celles qu'on se donne, ou plus exactement celles qui nous sont édictées par notre inconscient, donc nos valeurs. Parfois l'inconscient nous emprisonne dans ce qu'il a construit, mais qui n'est pas, ou plus, adapté à la situation que l'on vit.

Cela répond à votre question mais ne changera pas votre fonctionnement cognitif qui a commencé à se former depuis votre naissance. En quelque sorte il est nécessaire que vous puissiez toujours avoir en vous l'amour pour votre mère qui se dévoue, mais que cet amour ne soit pas un boulet qui vous empêche de prendre le recul nécessaire par rapport aux manifestations d'amour qu'elle ne peut pas vous donner.

En travaillant sur vos propres besoins, vous sortirez de la spirale .

Les TCC vous permettent de comprendre le pourquoi de votre fonctionnement cognitif actuel, et s'appuyant notamment sur les théories de l'apprentissage, réapprennent à votre cerveau un nouveau fonctionnement.
Vous reconstruisez vos pensées, vos comportements et les émotions qui en découlent, selon un schéma plus adéquat.

Si cela vous intéresse, n'hésitez pas à me contacter directement au 06 88 98 48 81. Je vous répondrai si possible ou laissez moi votre message pour que je vous rappelle.Vous trouverez plus d'informations ainsi que toutes mes coordonnées sur mon site neuracosme.

Bon courage à vous et peut être à bientôt

----Olga Sero-Guillaume----
Neuracosme
Psychopraticien – Hypnothérapeute
Psychothérapie - Accompagnement au changement
Développement personnel
--- Visio et Présentiel ---

Olga Sero-Guillaume Psy sur Laval

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22 MARS 2023

Bonjour,
Vous avez bien compris qu'on ne peut pas effectivement sauver quelqu'un qui ne veut pas l'être ou qui ne trouve pas en lui les ressources nécessaires pour s'en sortir.
Votre mère a choisi le sacrifice : d'abord pour son mari et ensuite pour son fils : elle s'obstine dans cette posture parce qu'elle a cette croyance qu'elle ne peut pas "abandonner" son fils. Elle est dans une reproduction de schéma et il y a fort à parier que sa propre mère l'était aussi. Elle n'a pas non plus conscience "qu'en passant toujours la serpillère" derrière son enfant, elle l'entretient quelque part dans son inertie. Pourquoi changerait-il puisqu'elle fait tout pour lui ? Elle ne perçoit pas non plus que vous vous sentez oubliée. Lui avez vous dit vos ressentis ?
Votre challenge à vous, est de couper ce schéma et vous ne devez pas vous sentir coupable de vous choisir, de vous mettre à l'abri, ce qui ne veut pas dire que vous n'avez pas de compassion et que vous ne serez pas là si besoin.
Il serait important pour vous de ne pas faire une affaire personnelle du comportement de votre mère à votre égard : elle est tellement empêtrée dans ses soucis avec votre frère qu'elle croit que vous êtes forte et que vous n'avez plus besoin d'elle. Dites vous que cela lui appartient et que vous savez bien que vous méritez son attention. Je pense que vous avez déjà ressenti cela dans votre enfance et que la peur du rejet qui s'est installée se réactive au travers de la situation actuelle.¨Peut-être pourriez vous consulter pour déposer vote souffrance et apprendre à vous détacher du dysfonctionnement de votre entourage ?
Je consulte en présentiel ou par visioconférence. Merci de me contacter avant de vous inscrire sur l’agenda de la plateforme.
Bien à vous
Véronique BLANCHE, Thérapeute Holistique
Guérison de l’enfant intérieur
Hypnose Ericksonienne
Soins énergétiques

Véronique Blanche Psy sur Quessoy

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22 MARS 2023

Bonjour,

C'est une situation bien, épineuse et compliquée. Je ne peux pas me substituer à qui que ce soit dans cette famille pour prendre une décision et vous dire ce qui doit être fait. En revanche je peux rester général et vous parlez de principes qui ont de l'importance et sont souvent oubliés ou mal compris.
Si je comprends bien vous poser la question de la légitimité, et des limites, jusqu'où aller pour aider un proche, des proches. Avons-nous des obligations envers notre famille ? Je pense que moralement, oui, mais cela ne signifie pas des responsabilités illimitées, où est votre propre limite ? Voilà une question que vous devez vous poser honnêtement. Dois-je me sacrifier pour ma famille ? Là encore c'est une situation éthique pour laquelle vous devez prendre vous-même votre décision et fixé les propres limites.
De façon très générale, on ne peut pas aider réellement sa famille ou qui que ce soit d'autre, si on n'est pas suffisamment équilibré et bien dans sa peau et lucide.
Je pense personnellement que le concept de sacrifice est tout à fait toxique dans la plupart des cas.
Voilà ce que vous suggère. Posez vous ces questions : Qu'est-ce que je peux apporter à ma famille, à ma mère, à mon frère, qui leur soit utile, et que je puisse faire sans me mettre en grande difficulté ? Comment pourrais-je les aider du mieux possible en fonction de ce que je suis, en ce moment, de mes limites et de mes possibilités actuelles ?...
La culpabilité est terrible en ce sens que elle ne vous laisse pas prendre de décision équilibrée et juste. Vous êtes, avant tout responsable de vous-même, de ce que vous faites, de votre propre équilibre, de votre bien-être et de ce que vous proposez aux autres ! Là se trouve les fondements de votre légitimité et l'étalon qui vous permettra d'évaluer la pertinence de vos choix.
Vous n'êtes pas responsable de ce qui arrive à votre frère, et le fait que votre mère décide de se sacrifier, est admirable, mais ce n'est pas votre décision, et il y a peut-être mieux à faire que de gâcher votre vie car cela n'arrangerait rien. Comment pourriez-vous être un soutien, une aide pour elle sans pour autant plomber complètement votre vie?
Parvenir à penser, comme cela, vient du fait que vous vous serez libéré de votre culpabilité, et que vous aurez accepté vos limites, le fait que vous ne pouvez pas faire certaines choses et que cela ne vous rend pas coupable pour autant. Il s'agit de vous respecter, ce qui vous permettra dans un deuxième temps de vraiment respecter les autres et d'apporter le meilleur de vous-même sans vous sacrifier....

J'espère que ces quelques mots vous aideront à réfléchir et avancer, je reste à votre écoute avec attention et bienveillance
Xavier Dubouch
Psychopraticien, Gestalt-thérapeute

Xavier Dubouch Psy sur Périgueux

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22 MARS 2023

Bonjour,
Il est tout à fait compréhensible que vous ressentiez de la détresse et de l'impuissance face à la situation de votre frère et à l'emprise qu'il a sur votre mère. Il est également compréhensible que vous ayez besoin de vous détacher de cette situation pour préserver votre propre bien-être.
Il n'y a pas de réponse universelle à la question de savoir si l'on a des obligations envers sa famille, car cela dépend de chaque situation individuelle. Cependant, il est important de se rappeler que vous n'êtes pas responsable de la situation de votre frère, et que vous ne pouvez pas changer ou contrôler les choix qu'il fait dans sa vie. Vous pouvez offrir de l'aide et du soutien à votre frère et votre mère, mais cela ne doit pas se faire au détriment de votre propre bien-être et de votre propre vie.

Votre formation et votre évolution professionnelle sont des réalisations importantes qui méritent d'être célébrées. Bien que votre famille soit une partie importante de votre vie, il est important de vous rappeler que vous avez le droit de poursuivre vos propres objectifs et de vivre votre propre vie.

En fin de compte, vous devez faire ce qui est le mieux pour vous et pour votre propre bien-être. Cela peut signifier prendre du recul par rapport à la situation de votre famille et vous concentrer sur votre propre vie et vos propres objectifs. N'hésitez pas à chercher du soutien auprès de professionnels de la santé mentale pour vous aider à traverser cette période difficile.
Peut être avez vous besoin d être épaulée .
Très bonne journée !
Thalia Inna
Praticienne en psychologie et hypnose
Eft, PNL, EMDR
En visio et presentiel

Thalia Inna Psy sur Bordeaux

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22 MARS 2023

Bonjour à vous

Je ressens votre souffrance face à la situation de votre frère alcoolique et celle de votre mère qui s'occupe de lui et qui ne s'intéresse qu'à lui. Vous vous sentez très seule face à cela : d'un côté impuissante à pouvoir les aider, de l'autre avec le sentiment que personne ne s'intéresse réellement à votre vie et votre évolution professionnelle.
C'est extrêmement pesant et cela me touche profondément.
Comme vous le dites, vous ne pouvez rien faire pour quelqu'un qui ne veut pas changer et cela est valable pour votre frère mais également pour votre mère. Ils sont adultes et ce sont leurs choix de vie.
Vous avez besoin aujourd'hui de vous libérer de cette enfance difficile pour vivre pleinement votre présent et évoluer comme vous le souhaitez, sur le plan professionnel biensûr mais également personnel et familial.
Un accompagnement thérapeutique peut vous aider à exprimer vos émotions et vos pensées et redonner du sens à ce que vous avez vécu de façon à vous libérer de cette culpabilité qui ne vous appartient pas.
Je me tiens à votre disposition pour vous accompagner dans cette recherche.

Prenez soin de vous
Hélène CHAMBRIS
Gestalt Thérapie Humaniste Intégrative
Rdv en ligne ou en présentiel à Marseille 8ème

Hélène Chambris Psy sur Marseille

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22 MARS 2023

(suite de la réponse tronquée)
d'autres aides qui l'aideraint à prendre du recul.
c'est une condition nécessaire, pour qu'elle retrouve un peu d'existence, et une meilleure relation avec vous.
vous construisez votre vie, continuez sur votre chemin!

Corinne Starynkevitch Psy sur Bourg-la-Reine

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22 MARS 2023

Bonjour,
vous avez raison, on ne peut pas sauver quelqu'un qui ne veut pas l'être. Votre frère est prisonnier de ses addictions , et sa mère, qui est aussi la vôtre, est absorbée par son malheur comme par un trou noir.
Votre mère, à son corps défendant, est à toutes les places (assistante sociale, auxiliaire de vie...). du coup elle n'est plus disponible pour vous, ni pour elle même, ni sans doute pour qui que soit .
Pourriez vous l'aider à déléger ce qui peut l'être? une assisatnte sociale serait sûrement de bon conseil ; il est possible, entre autres choses, de déléguer la tutelle ; et sans doute de pui proposer d'autres aides, qui l'a

Corinne Starynkevitch Psy sur Bourg-la-Reine

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