Mon ex ne me laisse pas voir mon fils
Bonjour,
Mon cas est compliqué, mérite attention et peut faire l'objet de publication scientifique.Je suis franco marocain, médecin retraité âgé de 66 ans, divorcé en 2011 et remarié avec une autre personne en 2013 avec laquelle je n'ai pas d'enfant.J'avais connu en 2003 une jeune femme marocaine,mon ex épouse, que j'ai épousée en 2004.Elle m'a rejoint en France en 2005.Elle avait le niveau collège, sans situation professionnelle ni diplômes et vivant modestement.Dés son arrivée en Fr, son comportement a changé, plus de sentiments d'amour, intéressée par apprendre le Français, entamer une formation, travailler et aider financièrement sa famille.Elle n'était pas non plus motivée pour entamer un programme de procréation médicale assisté car j'avais de lourds soucis de fécondité.
Entre fin 2007 et début 2008, elle suivait une formation de 8 mois dans une ville à 65 km de chez nous où elle avait une chambre.Elle était absente du domicile et ne rentrait que le WE. En mars 2008, elle obtient sa carte de séjour permanente. En mi Avril 2008 elle elle obtient son diplôme. En fin mai 2008 une grossesse spontanée est décelée à 6 semaines. Dés le mois de Aout 2008, elle voulait quitter son domicile conjugal. Un petit garçon est né en début 2009. Neuf mois après après une petite dispute, elle quitte le foyer conjugal avec l'enfant qu'elle éloigne de 190 km de son papa en octobre 2009. Le divorce est prononcé en mai 2011: aux torts partagés, tort de Mme: abandon du domicile conjugal sans raison,mon tort: je n'ai pas payé les 1300 euros de devoir de secours pour l'ex épouse pendant la séparation.
Par la suite s'installe un conflit: moi je ne verse pas la totalité de la PA, et l'ex entrave mes droits au DVH. Progressivement au cours des années et des procédures soit de mon coté pour faire baisser la pension et de son coté pour m'enlever l'autorité parentale et les droits de DVH, s'installe un conflit de loyauté et l'enfant subit de plein fouet les effets de l’aliénation parentale.
L'enfant est très perturbé, troubles du sommeil,troubles alimentaires, et surtout il devient accroc aux écrans.
Un soir du mois d'avril 2019 alors qu'il était chez moi pour les vacances du printemps, il ne voulait pas dormir à 01 h du matin.Je me suis énervé et une gifle est partie.
Je l'ai pris en été 2019 et ça s'est bien passé.
A l'école en octobre 2019, CM2, l'enfant giflé par un autre camarade de classe. le lendemain mon fils va à l'école avec un petit couteau de cuisine dans son cartable.
Le directeur de l'école rédige une information préoccupante qui sera transmise aux services sociaux mais le dossier est classé.
Entretemps la maman prends avis chez son avocate et une procédure est démarrée! plainte à la gendarmerie, audition de l'enfant, sera vu par une pédiatre et une psychologue(qui ne trouvent rien) + deux "faux" témoignages? et m'assigne devant le JAF pour m'enlever l'autorité parentale et les droits de visite. J'avais demandé une enquête sociale. Le JAF (juin 2020) avait réduit mes DVH à 4 journées et 3 nuits pour les vacances. L’enquête sociale était à charge contre moi réalisée pendant cette période de pandémie stressante pour tout le monde.En juin 2021, le JAF suspend le DVH en attente d'une expertise psychologique que nous avons réclamée. Cette dernière était également à charge contre ma personne effectuée par une jeune psychologue sans vraie expérience de la vie ni expérience professionnelle.Au bout de 2 heures elle ne m'a pas posé de questions! et moi j'essayais de démontrer le comportement anormal de l'ex épouse et son retentissement sur l'enfant.Elle m'a étiqueté comme ayant des troubles de la personnalité et a demandé le maintien des contacts entre l'enfant et son papa mais en milieu médiatisé!. Je n'étais pas bien défendu ni conseillé par mon avocate.
Le résultat c'est que le JAF a décider de m'enlever l'autorité parentale et me laisse le droit de surveiller! puis de limiter mon DVH à une journée de 8 heures un samedi tous les 2 mois .
Actuellement j'ai fais appel de ces dernières décisions et j'ai changé d'avocat.
Voilà mon histoire qui est encore plus compliquée à ce que je raconte.Je ne vois plus mon fils depuis 10 mois, pas de contact téléphonique (la mère ne l'autorise pas). J'aime bien mon fils et il m'aime bien. Il y a une grande complicité entre nous deux.Il est pris dans les griffes de sa mère et la justice laisse faire. Elle installe l'enfant dans son un dangereux conflit de loyauté et conforte la mère dans son aliénation parentale.
Merci pour vos avis et vos conseils.