Sexualite et addictions anal passif

Réalisée par Anonyme · 23 févr. 2022 Aide psychologique

Bonjour mon problème est un peu long voilà j'ai eu des femmes toutes ma vie sans jamais n'avoir aucune pensée deviante .. ni envers un homme ni autre .. mes fantasmes ont toujours été vers les femmes .. mes relations de couples sexuelles etc étaient top ... aujourd'hui j'ai 32 ans tout était niquel jusqu'à mes 27 ans .. ou je découvre le plaisir anal avec une femme avec les doigts ... sans que je sois vraiment d'accord mais c'était bien très bien même..

Et depuis ce jour j'ai découvert les femmes transexuelles ... pourquoi? Je ne sais pas ..peut être ce petit plus quelles ont pour stimuler lanus .. peut être cela m'a fait un déclenchement que je ne connaissais pas dans la tête lors de ce fameux acte à 27 ans avec cette femme ...

Pendant cette période de 27 ans à 30 ans j'avais des relations avec des femmes normales libido au top du top .. mais il y avait ce besoin de revisiter ce plaisir là anal ..avec des transexuelles de temps en temps .. mais cela me gênait c'était uniquement passif comme un robot... je me met en position et hop je me.rhabille je rentre chez moi .. et je me disais que ce n'était pas ça... ce n'a jamais été ma sexualité....

Vers 31 ans donc lannee 2020 je me met en couple avec une fille .. la femme de ma vie pour moi javais enfin trouvé chaussure à mon pied.. sexuellement c'était bien même tres bien j'aimais tout son corps ... ses yeux tout ..

Puis tout remonte bcp d'émotions pleurs.. mal être et libido coupé comme si je devais tout réapprendre alors que jexcedais dans cela on va dire avec les femmes ..

On est resté 2 mois et elle m'a quitté. J'ai été voir une psycologue qui m'a posé des questions et ma demandé si j'avais été victime d'abus.. j'ai répondu oui à 10 ans alors que javais pas ni jamais pris conscience de cela ... c'était avec un homme plus âgée..18 ans il devait avoir .. plus comme un jeu .. unecmanipulation mental mais à l'âge la on sait pas ce que l'on a pu dire ou entendu ou faire qui aurait pu inciter la personne à jouer avec nous .. on sait pas ce que l'on ressent non plus ni plaisir colère dégoût on sait pas...excitation..

Et depuis ces 1 an et demi jeccume les thérapies brèves. Hypnoses.. nul à chier .. kinesiologie ..accupressure ..magnétisme..reiki psycologie .. rien n'y fait .. je suis tombé dans les addictions aux jeux d'argent peut être pour avoir un certain pouvoir que l'on ma enlevé.. mais de l'autre il y a tjr ce côté ou plutôt cette pulsion que anale ...d'être passive.. et je sais que ce n'est pas émotionnel ni affectif .. car dez fois je ressens pas le besoin de voir la personne qui me prends.. juste le plaisir de domination par ce côté-là... pk ? Je sais pas et impossible de couper..comme si le cerveau avait retenu que cela et effacer le reste de ma sexualité.. et de mes désirs.. que sest il passer dans mon cerveau a 27 ans quand cette femme m'a fait découvrir ce plaisir anal ? Et depuis à déclenche quelque chose .. je me pose milles questions.. si je regarde un homme cela me fait quoi je devrais me forcer ou non ..une femme ça me plaît mais un homme peut être je fais semblant .. ou je dois me forcer.. comme si le cerveau ne sait plus ou se tenir et de savoir ce qui est normal ou non on va dire ou se positionnée.. alors qu'il n'a jamais eu à le faire pendant 27 ans .. ni meme à y penser.. jusque mes 14 ans j'ai tjr eu cette intrigue de ce côté anal seul ou des jeux de doigts avec des amis pour rigoler comme si je connaissais déjà la sensations et ça m'est passé.. mon cerveau s'est coupé carrément sans jamaisny faire attention pendant plus de 15 ans ..

Mtn c'est comme si tout etait mélange et oublié.. et que au 1er plan il y avait que ce plaisir anal et cette honte après..

Je ne me vois pas BI car j'ai jamais regardé ni admire un homme physiquement ou autre .. c'est vraiment que ce plaisir anal passif et avec des trans .. pk ? Je sais pas et comment couper pour revenir à une vie normal et retrouver ma libido avec des femmes.. je ne prends de plaisir avec elle que lorsque j'ai le pouvoir ou que je à voix s'abandonner à moi pendant l'acte.. chose que jamais j'ai eu besoin avant .. j'ai meme du mal à me faire faire une felation alors que avant j'adorais cela .. mais des que je suis en erection je n'ai plus cette peur de lacte sexuel dit normal .. que c'est il passé et comment guerir ou reprogrammer mon cerveau ou effacer ces comportements surtout si il y a la notion de plaisir ...

Je sais pas vers quoi me tourner sachant que j'ai tout essayer .. j'ai voulu tenter la stimulation cerebrale magnétique mais c'est une opération du cerveau je crois et pas sur que ça cible mon problème..

Comme les thérapies.. cela se trouve mon problème n vient pas de l'abus..en lui même et il vient d'un autre soucis ..

Si j'étais attiré vraiment j'aurais pas besoin d'être que passif et avec des trans .. pk être seulement passif comme un jouet pour elles ...

Si j'ai éprouve du plaisir pendant mon abus c'est comme si je l'avais voulu vu que je comprenais pas ce que c'était.. donc comment traiter cela si il y a la notion de plaisir... zst ce que cela peut simplement etre du au circuit de récompense des addictions aux jeux d'argent que javais un peu avant mais sans plus d'incidence et que cela se traduit au niveau anal? difficile .merci de m'aider svp ..

Ps pour infos jamais je me verrais verd autre chose que une femme vrai on va dire ..sans dénigrer les femmes trans .. les femmes en pleines conscience c'est tracé chez moi ça s'explique pas .. je me retourne dans la rue sur une femme pas sur autre que une femme .. on va dire .. automatiquement..instinctif..compliqué comme pb ..

Peut être j'ai eu des sensations étant jeune à ce niveau qui se sont coupé pendant 20 ans et qui sont ressorties très poussées..mais de la à effacer toute ma sexualité autant .. c'est qu'il ya un soucis .. sachant que je n'ai aucune attirance physique vers autre que une femme .. mais la comme si il n'y avait plus de conscience ou tout était mélangé.. ou confus ..car trop d'expériences trop de sexe je sais pas .. etvplus moyen de se positionner.. comme revenu 20 ans plus tôt peut être je sais pas .. encore si javais une grosse libido comme il y a 3 4 ans cela me generait pas mais la ça m'a coupé de la à redouter lacte avec lez filles choses que j'avais jamais avant même avec la moin belle tant que je m'envoyais en l'air.. et la tout s'efface comme si il ne savait plus ce que s'était l'excitation..
Ya un soucis ..

Ps : c'est vrai que depuis plus de 10 ans j'ai pas eu l'occasion d'avoir des relations sérieuses où j'ai été aimé.. une femme qui trompait son mari avec moi .. une bipolaire et plus rien en sérieux.. peut être cela a pu joué aussi que je n'arrivais plus ressentir de l'amour envers quelqu'un ou que j'arrivais plus laisser entrer quelqun dans ma vie mon cerveau a plus l'habitude je sais pas ..

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Meilleure réponse 24 FÉVR. 2022

Bonjour Anonyme,

Votre message montre la grande confusion dans laquelle vous êtes, et dans laquelle vous vous êtes enfoncé progressivement. Vous vivez votre goût pour le sexe anal comme quelque chose d'extérieur à vous, qui vous semble incompréhensible, et même de plus en plus incompréhensible.

Tout d'abord, vous vous interrogez sur votre orientation sexuelle, comme si, pour vous, le sexe anal chez un homme était synonyme d'homosexualité. Cela n'a rien à voir.
Ensuite, vous semblez porter un jugement sévère sur les pratiques anales (et peut-être sur l'homosexualité masculine), ce qui, évidemment, crée ou renforce le conflit intérieur dans lequel vous êtes. Et, comme vous vous jugez, comme vous n'aimez pas cette partie de vous, vous vous isolez, vous coupez le lien à l'autre.
Puis, les abus dont vous avez été victime. Peut-être que c'est à explorer, car, de fait, grâce ou à cause de cette psy qui vous a posé cette question directe, vous avez conscientisé quelque chose qui était dans un oubli relatif. Cette sortie d'amnésie partielle a-t-elle été prise en charge par cette thérapeute ? Si non, il y a surement quelque chose à faire. Dans les addictions, on trouve souvent un psychotraumatisme dans la vie des personnes et, fréquemment, des abus. Cela vaudrait le coup de se pencher sur ce problème, qui n'a peut-être pas de lien avec vos préférences sexuelles mais qui a peut-être bien un lien avec la passivité et l'impression d'étrangeté que vous ressentez.
Enfin, vous avez écumez différents praticiens pour des thérapies brèves. Il est peut-être temps d'envisagez un travail plus long, en restant avec le même psy. Votre problème étant aussi (et peut-être principalement) un problème de lien, de relation, la confiance installée sur le long court peut vous être salvatrice.

Bien cordialement,

Marion Favry

Marion Favry Psy sur Paris

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24 FÉVR. 2022

Bonjour,

Tout d'abord merci pour votre partage. Je vous sens troublé et perdu. Et avec votre vécu, je vous dirai quoi de plus normal.

Vous avez reçu beaucoup d'informations qui vous ont amené à beaucoup d'interrogations. Vous avez déjà un peu de réponses.
Oui, il y a eu cet abus, cette confiance aux autres détruite, cet isolement et cette addiction. Autant d'épreuves que vous avez surmonté ou que vous avez encore à surmonter. Vous devez apprendre à avoir de nouveau confiance en vous. A croire en votre jugement.
Je vous propose de vous aider dans votre chemin parsemé de questionnement, de doutes, de peines et de colères. Un accompagnement basé sur la résilience avec pour méthode inspiré du Kintsugi.
Je serai ravi d'échanger avec vous. Je suis disponible par mail téléphone ou visio.
N'hésitez pas.
Bon courage.
Bailleul Rodrigue.

Bailleul Rodrigue Psy sur Calais

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24 FÉVR. 2022

Bonjour,
J'ai lu avec attention ce que vous nous décrivez. Vous utilisez tantôt le masculin et puis le féminin pour décrire vos expériences.
Je travaille déjà sur la question de l'identité sexuelle et des paradoxes que nous rencontrons sur notre chemin.
Que pensez-vous d'en discuter ensemble lors d'une première séance, si vous souhaiter aller explorer cet endroit qui vous ait inconfortable, je consulte à distance ou en présentiel à mon cabinet.
Bien cordialement.

Caroline Iannuzzi-Gagne Psy sur Montceau-les-Mines

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23 FÉVR. 2022

Bonjour,

Merci pour votre partage. Je comprends ce que vous ressentez. Votre dernier "PS" en dit presque plus long que le reste de votre message. Toutes les addictions sont liées à la relation que l'on entretient avec son environnement. S'il y a de l'amour, de la sécurité affective, des relations sociales épanouissantes, le risque de devenir addict, quel que soit l'objet de l'addiction, est moins important.

Alexander avait démontré grâce à des expériences sur des rats que dans un environnement où les individus pouvaient aller et venir librement avec un niveau d'interaction élevé, et des relations sexuelles régulières, l'addiction à la morphine était quasi inexistante, alors que dans un environnement où les individus étaient isolés, la consommation de drogue était très importante. Et les addictions les plus sérieuses n'impliquent pas forcément de toxiques.

L'addiction est un refuge qui permet de ne pas affronter une réalité qu'on ne parvient pas à comprendre, à regarder en face parce qu'on ne se sent pas suffisamment fort, solide, compétent, aimé pour pouvoir assumer sa responsabilité de construire soi-même son propre bonheur, des relations épanouies et une existence pleine de sens. L'addiction, tout comme les TOC, ou même la procrastination, est liée à un déficit d'autonomie et un déni de responsabilité.

Tant que vous chercherez des solutions à votre addiction en restant focalisé sur le problème et sans prendre en compte cette dimension, vous ne pourrez pas avancer.
Beaucoup des approches que vous avez citées sont des soins énergétiques, que vous recevez de manière passive (tiens ?), et qui ne favorisent donc pas le développement de votre autonomie.

L'échec de ces méthodes vous permet de continuer à évoluer dans votre illusion : tant que votre esprit est tourné vers ce problème qui occupe toute la place (dans votre vie mais aussi dans votre récit, au point de ne laisser transparaître qu'à la toute fin des informations essentielles), il se leurre en vous faisant croire que vous ne pouvez pas agir en responsabilité pour le reste. Votre énergie est accaparée par cette addiction mais aussi par la recherche de compréhension, par les évènements du passé, par des tentatives de solution que vous mettez en place en sachant à un niveau inconscient que ça ne marchera pas.

Vous avez besoin de développer votre estime de vous-même et votre confiance en vous pour poser des actions dans le but de vous épanouir dans tous les domaines de votre vie, et pas seulement un seul, et surtout sans en occulter un seul.

Vous n'avez pas un problème d'addiction, ou pas seulement, vous avez aussi un problème de relation. Relation à vous-même et relation aux autres et au monde. Peut-être que vous pourriez commencer par accepter vos désirs et vos envies, sans jugements.
Je ne nie pas vos difficultés ni vos souffrances, et je tiens à ce que vous soyez assuré de toute ma bienveillance. Je pense que les thérapeutes qui se feront happer par votre problème, par les histoires que vous vous racontez (et qui sont bien réelles, ce n'est pas ce que je veux dire), ne pourront pas vous aider autant qu'ils le voudraient.

Nous pouvons en parler plus avant si vous le souhaitez. Vous pouvez m'écrire ou m'appeler, je me ferai un plaisir de vous répondre.

Belle fin de journée !

Boris Amiot

Boris Amiot Psy sur Serris

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23 FÉVR. 2022

Bonjour,

Il semble que ce plaisir anal vécu avec une femme vous ait bouleversé au point de révéler, soit une structure de plaisir qui était restée jusque-là inconsciente, soit un questionnement sur votre position psychique par rapport à la sexualité ou à l’identité sexuelle, soit un événement traumatique, celui dont vous faites l’hypothèse et qui serait survenu lorsque vous aviez 10 ans.
Plusieurs questions se présentent car vous évoquez de nombreux éléments. Le plaisir que vous ressentez vient-il de l’acte lui-même (la pénétration anale par une femme ou par une femme transsexuelle), vient-il d’une position corporelle spécifique, ou vient-il encore du « pas vraiment d’accord », une situation où l’on vous impose quelque chose dont vous avez envie, car aussi paradoxal que cela puisse paraître, ce dernier point a souvent pour mérite de diminuer une culpabilité et une honte ressenties.
Quand vous évoquez les femmes transsexuelles, pensez-vous à des personnes sous traitement hormonal, mais encore pourvues d’un organe masculin, ou à des personnes qui ont été opérées et qui ont changé de sexe ? Cette nuance peut avoir son importance.
Vous dites avoir eu la sensation d’une libido coupée, en 2020, dans la relation avec la femme de votre vie. Vous dites ensuite qu’il est impossible de couper lors de situations où vous vivez ce plaisir anal. Vous dites encore que votre cerveau s’est coupé pendant plus de 15 ans. Et plus loin encore dans votre message, vous dites que vous ne savez pas comment couper pour revenir à une vie normale. Puis, vous évoquez des sensations qui se sont coupées pendant 20 ans. Et enfin, vous écrivez : « ça m’a coupé de là à redouter l’acte avec les filles ».
Que vous évoque cette sensation ou cette nécessité de coupure ? Qu’est-ce qui devrait être coupé ? Qu’est-ce qui est en jeu dans ce terme « couper » qui revient plusieurs fois dans votre discours ?
Les termes que vous employez « pensée déviante », « femmes normales » dénotent que vous semblez pris dans une référence de norme socio-sexuelle sans pouvoir assumer le fait d’éventuellement vous en extraire. Une part du problème se situe peut-être plus à ce niveau qu’au niveau de votre sexualité proprement dite, c’est-à-dire non pas au niveau de la sexualité que vous vivez, mais au niveau du regard critique que vous portez sur cette sexualité.
Par ailleurs, le bouleversement que vous ressentez dans votre vie ne porte peut-être pas sur vos préférences sexuelles, mais sur un questionnement sur ce que c’est d’être un homme, d’être une femme. L’attirance pour des femmes trans, comme vous l’écrivez, pourrait être un moyen d’amener cette question sur le devant de la scène.
Vous répétez que vous êtes attiré exclusivement par des femmes. La recherche d’un plaisir anal ne signifie pas forcément que vous seriez homosexuel. Il y a des hommes hétérosexuels qui ont envie d’être pénétrés par des femmes. Orientation sexuelle et identité sexuelle, plaisir sexuel et position sexuelle, sont des choses distinctes.
Ce qui vous pousse vers une forme de plaisir sexuel et vers un type spécifique de partenaire pour ce plaisir ne serait-il pas la mise en jeu d’une question qui ne trouve pas de réponse ?
Toutes ces questions qui vous traversent pourraient être abordées dans le cadre d’une psychanalyse ou d’une thérapie à tendance analytique car leur dimension inconsciente est importante.

Bien cordialement,
Clara Maïda (psychanalyste - consultation en ligne) - À votre écoute si vous le désirez.

Clara Maïda Psy sur Paris

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23 FÉVR. 2022

Peut être j'ai lu aussi que ça peut être un défaut de testostérone ou problème plutôt médical..

Moi meme Psy sur Metz

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