Inceste ou jeu ?

Réalisée par Sarah · 26 avril 2021 Aide psychologique

Bonjour,
Mon mari qui a 25 aujourd’hui m a fait part d’un secret qui le traumatise encore aujourd’hui.
Il est l aine d’une fratrie de 6 garçons.
Lorsqu’il était jeune lui et ses frères sont tombé plusieurs fois à la télé sur des films pornographiques.
Un jour il avait 10 ans, son 2 eme frère 8 ans et son 3ème frère 6 ans, ont voulu reproduire ces actes vu à la tête.
En mettant le sexe de chacun dans les fesses de l’autre ou dans la bouche de l’autre. Une 2eme fois ils ont voulu refaire et ont propose à leur 4ème Frere qui avait 4 ans mais celui là est tout de suite allez prévenir leur parents qui sont devenus dans une colère noir. Encore plus contre mon mari qui était l’aîné. Sa mère lui a notamment dit des phrases telles que « je vais te couper le zizi » et on tout de suite parler dinceste et d’homosexualité. Alors que ni mon mari ni ses frères ne connaissaiét ses termes. De ce fait mon mari est traumatisé et a toujours l’impression d’avoir commis quelque chose d’irréparable alors que dans leur tête d’enfants très proches dont les 3 grand étaient élevés de façon fusionnels n’avaient pas encore conscience de cet interdit. Ils étaient tous consentants et jouaient
Mais j’avoue que moi qui est fille unique et n’a jamais eu de contact rapproché ou ambiguë avec un membre de ma famille je suis un peu sous le choc.
Aurait t il fallu dédramatiser la situation à l’époque ? Est ce que ça arrive fréquemment ? Quelles conséquences ça peut avoir ?

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Meilleure réponse 26 AVRIL 2021

Bonjour Madame,

Ma première question : comment des enfants « tombent-ils » sur des films pornographiques ? N’est-ce pas qu’un adulte de la maison a choisi ce type de chaîne la veille ? Les enfants croient que ce que les parents regardent sont de bonnes choses. C’est donc un sujet valorisé : ils regardent ce que leurs parents ont regardé, et ils imitent.

Comment alors le jeune garçon qu’était votre mari a-t-il reçu la menace de sa mère et sa violence ? Il a certainement été humilié, même s’il ironise sur ce sujet.
Ces actes de violence et d’ambiguïté, incohérents avec l’usage que les adultes font de la télévision, sont écrasant. Cela sème la colère dans le cœur des enfants.

Bien sûr, sa mère savait que ces gestes étaient incestueux, qu’on ne touche pas le sexe d’un frère, d’une sœur, ni s’amuser à des jeux sexuels qui chosifient ce lieu de l’amour et de la vie. Elle aurait eu raison, avec son mari, de parler à leurs 3 fils aînés. Parler avec eux de la vie sexuelle, sans détails, parler aussi de la discrétion qui doit être d’autant plus forte que les relations sont proches, familiales. Et justement l’éducation « fusionnelle » ouvrait toute grande la porte aux gestes incestueux !

Mais les enfants comprennent très bien, non avec leur tête, mais dans leur corps et dans leurs émotions que ces gestes ne doivent pas avoir lieu. L’interdit du geste, le rend attrayant, le transgresser est excitant.
Le « consentement » d’un enfant face à son grand frère ne peut pas être considéré comme un consentenment. Et le 3° frère a dû être perturbé, mais assez fort pour parler à ses parents.
Il est normal que, dans les générations qui suivent, d’autres problématiques se manifestent, parce qu’il y a eu mensonges et actes pervertis. Lorsqu’il n’est pas dit clairement que ces gestes incestueux sont néfastes, oui, il y a des conséquences inattendues.

Il ne fallait pas dédramatiser, mais que les parents gardent leur calme, se reconnaissent dans ce qui arrive, et parlent paisiblement et clairement à leurs fils pour indiquer, que ce n’est pas un jeu, et que le respect de l’intimité de l’autre est essentiel entre tous les membres d’une même famille.

Cela perd toute gravité si celui qui a eu cette idée peut dire : je n’aurais pas dû vous proposer cela, c’est faux et malsain, excusez-moi de vous avoir entraînés, sans le savoir, dans ce que je croyais être un jeu. Je sais maintenant que c'est dangereux.
Sans doute serait-il bon qu’il trouve un(e) professionnel(le) avec qui faire une démarche personnelle, pour se défaire de cette culpabilité qui le fait douter de lui-même.

Je vous encourage beaucoup à aider votre mari dans ce sens
Bien cordialement
Béatrice Fierens

Béatrice Fierens Psy sur Montpellier

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27 AVRIL 2021

Bonjour Sarah,
ceci est une requete pour un tiers donc votre mari. Parlez lui en soyez franche face à lui quant à vos questions.
Le jour où LUI désire entamer une thérapie il choisit son thérapeute et le travail thérapeutqiie peut commencer

cdlt
Les maux à dire

LES MAUX A DIRE Psy sur Mougins

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27 AVRIL 2021

Bonjour Mme,
Les enfants partent à la découverte de leur corps et de celui des autres; ce qui reste tout à fait normal.
Ce qui influence leur vécu sont les réactions des adultes qui les entourent.
Si on renvoie à l enfant de la culpabilité, de la honte, de l interdit , que c est sale ou mal alors il va intégrer cela comme événement traumatique.
Ce qui dans cette situation a fait choc se sont ces images pornographiques visualisées sans garde fou!!

Peut être que qques séances permettraient à votre mari de se raconter, de livrer ses souvenirs et surtout de se rassurer sur son comportement.
Restant à vitre écoute.
Sylvie Fleurat

Sylvie Fleurat Psy sur Tours

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27 AVRIL 2021

Bonjour Sarah ,
On peut comprendre que cette scène soit fixée dans les souvenirs de votre mari car elle est fondatrice. L’irruption des parents dans la scène que vous décrivez ne peut être qu’émotionnelle . Nous avons 3 frères 10, 8 et 6 ans qui découvrent la puissance d’une castration par la mère «  je vais te couper le zizi », . Nous sommes avec une fratrie ( 6 garçons ) pas facile de comprendre dans ce cas la différence des sexes et la découverte de cette différence a été brutale .
Si la mère est restée aussi présente dans la mémoire alors que les deux parents étaient là c’est qu’elle portait cette différence inquiétante celle qui n’a pas de zizi ( pourquoi? Est il possible qu’on lui ait coupé? voilà la question que peut se poser des jeunes garçons et c’est terrifiant).
La castration c’est l’interdit de l’inceste , c’est le NON. Les 3 frères confondus (10/8/6) étaient si fusionnels , que l’interdit a été compris cette fois là , alors que le petit frère de 4 ans( pas dans la fusion ) lui avait apparemment intériorisé l’interdit .
Votre mari avait 10 ans et a pris de plein fouet la culpabilité car les limites lui ont été rappelées et compte-tenu de son âge ses parents lui en ont fait porter la responsabilité.
Nous sommes en face de découverte de la sexualité dans une fratrie très proche, votre mari a eu besoin de se confier à vous et ce n’est certainement pas par hasard , il porte en lui cet événement traumatique. Quelques séances chez un thérapeute l’aideront à remettre la scène dans son contexte et à se débarrasser non seulement de cette culpabilité mais aussi à comprendre que le développement psycho-sexuel du jeune enfant passe par certaines étapes . Il est probable que le fait d’être 6 frères ait rendu plus tardives des découvertes qui auraient dues se faire plus tôt. Hors votre mari avait 10 ans (période de latence),c’ est un âge où l’on prend conscience de beaucoup de choses autour de soi , c’est l’âge de l’apprentissage et de la raison, l’âge où l’enfant cherche à être l’enfant parfait de ses parents , l’âge de la culpabilité.
Ne vous inquiétez pas, même s’il est logique que votre expérience de fille unique soit bousculée par l’expérience de votre mari: ainé d’une grande fratrie ; vos deux histoires font la richesse de votre couple.
Bien à vous
Psy-Veronique-Eyraud

Véronique Eyraud Psy sur Les Angles

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27 AVRIL 2021

Bonjour, cet événement n'aurait pas du être dramatisé, les enfants imitent experimentent découvrent et la réaction de ses parents était culpabilisante alors qu'il n'y a absolument rien de grave. Si il n'arrive pas à s'en convaincre il peut voir un thérapeute qui pourrait le rassurer. Bon courage Sandrine Nede

Sandrine Nede Psy sur Bordeaux

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27 AVRIL 2021

Bonjour Sarah,

Ce qui crée le traumatisme, dans le cas que vous évoquez, c'est la réaction inappropriée des parents, qui culpabilisent les enfants en leur prêtant des intentions pervers qu'ils ne sont pas en capacité d'avoir à cet âge, alors qu'ils ont eux-mêmes laissés leurs enfants en bas âge sans surveillance, à plusieurs reprises, devant des programmes télés pornographiques ! Voilà une manière de projeter leur culpabilité inconsciente sur autrui.... C'est d'autant plus facile qu'un enfant, dans sa logique inconsciente, va toujours accepter la de prendre la culpabilité qu'on lui tend pour protéger ses parents...

Vous pouvez de votre côté éviter de reproduire la même erreur et relativiser cet épisode, qui s'il est regrétable n'est pour autant pas certainement pas imputable à votre mari, en terme de responsabilité.
Peut-être que ces mots pourront l'aider à s'apaiser et à relire son histoire de manière différente.

Bien à vous,

Caroline GORMAND
Psychothérapie intégrative, thérapie systémique du couple et de la famille

Caroline Gormand Psy sur Clermont-l'Hérault

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27 AVRIL 2021

Bonjour Sarah,

Votre message est très impressionnant et les réponses apportées ici le sont aussi : c'est quand même troublant de voir comment ce sujet est abordé par divers psys avec de l'expérience.

A mon avis, plusieurs aspects sont très importants dans votre message.

Il y a d'abord le fait que ces jeunes et très jeunes enfants ont pu avoir accès à des films pornographique sur la télé familiale.
Or, nous savons tous aujourd'hui (oui, nous, psys, nous devrions le savoir...) que la pornographie avant un âge bien avancée (au moins l'âge de la dite "maturité sexuelle...) peut être un réel traumatisme et l'équivalent d'un "abus sexuel sur mineur".

Ensuite, si effectivement des jeux divers liés à la curiosité sexuelle existent entre enfants, il est bon que les parents aient à l'esprit que ceux ci doivent être interdits dans une fratrie, comme entre les membres de la même famille (dont les cousins...), puisque ceux ci sont de l'ordre de l'inceste, oui. Et l'interdit de l'inceste est structurant pour toute famille et société.

Les "imitations" des actes pornographiques qui ont eu lieu sont, de plus, des "viols", puisqu'il y a eu pénétration (par la bouche...).

Le comble : la réaction violente de la mère et ses menaces démesurées, dans un contexte où les deux parents n'ont pas su assurer l'éducations sexuelle de leurs enfants en expliquant les interdits, ni leur protection contre le traumatisme de la pornographie, tous deux nécessaires à leur construction psychique saine.

Cet aspect de "fusionnalité" et de trop grande promiscuité mène souvent à l'incestuel, voir à l'inceste, si les interdits ne sont pas énoncés par les parents.

Il n'est pas rare que des attouchements divers se produisent dans une fratrie où il y a trop de promiscuité, mais des gestes de nature très sexualisée (ou de type "viol") sont plus heureusement plus rares.
Les enfants devenus adultes sont toujours plus ou moins marqués, parfois de façon très grave (maladies auto immunes, troubles de l'alimentation ou autres psycho-somatisations diverses).

Pour toutes ces raisons..., il est donc naturel que votre mari soit encore perturbé..., surtout que probablement ce sujet n'a pu être à nouveau abordé en famille depuis cet épisode qui a certainement marqué tous les enfants (même si il y eu probablement une sorte d'oubli pour les plus petits).
Ceci étant..., il n'est pas "responsable" du trouble chez les autres... et il serait bon pour lui qu'il se fasse aider (par un-e thérapeute) pour analyser toutes les conséquences de cet événement sur lui même, dont sa culpabilité qui devrait être remise dans le contexte familial décrit.

J'espère vous avoir aidé à comprendre pourquoi votre mari est encore traumatisé.
Je vous conseille d'écouter avec votre mari une récente émission passé sur France Inter dans le cycle "grand bien vous fasse" dont le titre est évocateur : "la pornographie est-elle une agression sexuelle sur mineur" ?
Je souhaite à votre mari de pouvoir bien comprendre ce qui s'est passé dans le contexte familial et de dépasser son traumatisme.
sp

Silvia Podani Psy sur Issy-les-Moulineaux

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27 AVRIL 2021

Bonjour,
Oui, ce genre de situation est très fréquent.
Votre mari aurait besoin de se faire accompagner pour évacuer son sentiment de culpabilité, aggravé par les propos de sa mère : encore enfant, méconnaissant la sexualité, il a été comme ses frères, confronté à une initiation télévisuelle choquante et à une réaction parentale inappropriée : plus qu'une expression de colère, il aurait fallu un recadrage, des explications. Ces enfants sont restés sur des incompréhensions. Mais ce qui est fait est fait, il faudrait maintenant travailler sur ces mémoires négatives. Pour répondre entièrement à votre question, ces épisodes peuvent avoir plus ou moins de conséquences sur le développement de la sexualité. Dans le cas de votre mari, le fait qu'il vous en ait parlé le soulage peut-être. Mais il se pose sans doute des questions sur l'incidence de cet épisode sur ses frères plus jeunes à l'époque : peut-être qu'une conversation avec eux pourrait le rassurer.
Bien à vous
Véronique BLANCHE, Thérapeute Holistique
Guérison de l'enfant intérieur
Hypnose Ericksonienne
Soins énergétiques

Véronique Blanche Psy sur Quessoy

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27 AVRIL 2021

Bonjour Sarah,
Des jeux sexuels entre enfants peuvent arriver. Ils sont en général moins poussés que ceux effectué par votre mari et ses frères car ils partent du savoir de l'enfant, ce qui fait que cela est une répétition de ce qu'ils ont compris de la sexualité des adultes.
Le fait que des enfants aient vu des films porno peut donc entraîner cette volonté d'imiter pour mieux comprendre ce qu'est la sexualité. Les enfants sentent une forme de transgression dans ces jeux qui entraînent parfois à l'âge adulte une culpabilité tournant autour de la question d'avoir fait du mal à un autre enfant, d'être pervers, ou simplement pas normal.
Le fait que les parents aient culpabilisé votre conjoint et l'ait rendu responsable de son acte comme s'il en avait eu la pleine conscience était une erreur. Dans ce genre de cas il faut comprendre pour quoi des enfants mettent en place ce type de scénario, ce qu'ils ont compris de la sexualité, leurs questionnements, tout en leur rappelant fermement l'interdit de l'inceste. Votre conjoint et ses frères se sont retrouvés devant des films porno à un âge où ils n'était pas prêt psychiquement à cette crudité autour de la sexualité. Pour que votre conjoint s'apaise il faut qu'il explore tout ce qui s'est passé avec un thérapeute pour comprendre la place de chacun dans tout cela et également la place de ses parents, qui à l'âge qu'il avait devaient le protéger d'images pornographiques ou lui permettre de leur parler lorsqu'il était soumis à ces images ou après leur premier acte.
Il peut également en reparler avec ses frères pour voir ce que chacun en pense et que chacun entende à quel endroit il est touché par ce qui s'est passé.

Olivia QUETIER
Psychologue clinicienne

Olivia QUETIER Psy sur Paris

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27 AVRIL 2021

Bonjour Sarah,

En effet, ces jeux d'enfants arrivent, mais ils n'ont pas un caractère si culpabilisant ni traumatisant comme c'est encore le cas dans l'esprit de votre conjoint. Si ce trauma est toujours présent, il lui appartient de consulter un thérapeute de son côté.

Je reste à votre écoute avec bienveillance et empathie

Marjorie LUGARI - Psychanalyste - Sexothérapeute

Anonyme-377370 Psy sur Aix-en-Provence

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27 AVRIL 2021

Bonjour,
Pour répondre à vos questions : oui, ces comportements entre enfants arrivent.
Mais, ces comportements commis une ou deux fois entre gosses qui y voient un jeu pour imiter les adultes, c’est une chose.
Autre chose, ce qui se passe entre un adulte physiquement, sexuellement mature, et un gosse sous emprise, tenu au devoir de secret, soumis à des pratiques répétitives où il est réduit à l’état d’objet dans une totale transgression des générations.
Ce qui n’est pas le cas ici même  et donc les conséquences ne sont pas du même ordre.

Se pose néanmoins la question de l’irréparable : ces jeux ont ils eu des conséquences sur le développement affectif et sexuel de votre époux, sur sa vie d’ado, sur votre vie de couple, sur votre intimité ?
Dans la mesure où la réaction ferme des parents n’avait donné lieu à l’époque à aucune explication tenant compte de l’âge des enfants, tous ces non-dits ont ils induit une culpabilité qui est restée enkystée quelque part faute d’avoir jamais été verbalisée ?
Culpabilité (culpabilité au sens moral plutôt que trauma au sens psychique) de l’adulte qui voit cela avec ses yeux d’adulte et non de l’enfant qu’il était et qu’il n’est plus.
Votre mari vous a faite dépositaire du secret. C’est bien . Mais aborder ce secret avec une personne neutre qui l’aidera à se libérer d’une autre façon de son fardeau est aussi une piste à suivre.
Recevez mes salutations.

Maurice Gaillard Psy sur Vincennes

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26 AVRIL 2021

Bonjour,
Ce qui est important à retenir, c'est ce que vous a dit votre mari : "un secret qui le traumatise encore aujourd’hui."...
Ce type de situations arrivent... de là à dire souvent, pas forcément.
Par contre, être fusionnel c'est proposer ça au petit de 4 ans, je pense qu'il y avait un malaise dans la famille...
Bref, si votre mari se sent mal à l'aise avec ce souvenir, il serait approprié qu'il consulte un thérapeute.
Mon approche est très pertinente pour retraiter les traumas (voir mon profil).
J'ai une question, sexuellement parlant, votre mari est-il à l'aise dans sa sexualité ? et les rapports intimes sont-ils satisfaisants des deux côtés ?

Restant à votre écoute,
Hypnothérapeute clinique - Thérapie intégrative et holistique



Nathalie Follmann Psy sur Clichy

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