Je sais plus quoi faire, où aller, je suis bloquée

Réalisée par Perdue · 17 mai 2023 Trouble de la personnalité

Je sais plus comment m’en sortir. J’ai même peur ou plus envie d’appeler au secours. Je me souviens de mon groupe d’écriture qui a capté les miens, m’a fait comprendre que c’était le cas, et en conscience décidé de les ignorer sciemment. De mes thérapeutes qui ont paniqué quand je les multipliais depuis l’été dernier, mais je me sentais pas comprise, qu’on voulait me «recadrer», on me parlait de cadre contenant, et cette idée, ce mot de «contenant» m’effrayait et quelque chose en même temps ruait à l’intérieur de moi. Mes émotions hurlaient, débordaient, la détresse me torturait. Mais je faisais tout pour garder un dernier bastion de contrôle, pour ne pas me laisser disloquer complètement. Ma psychologue m’a un jour demandé qu’est-ce qui me permettrait de lâcher ? Elle m’a dit que je suis très forte, peut-être trop. Je me souviens de ça maintenant. J’ai dit que je savais pas. Mais en fait, je peux pas me le permettre. Qu’est-ce qui se passerait si je lâchais ?? Je serais à la merci des autres. Je dois tenir bon ! On veut m’hospitaliser, par exemple. Que je prenne des médicaments. Tout ça, c’est pas ok pour moi. Je peux pas rester avec quelqu’un dans ma chambre, ce sera impossible de dormir et j’ai dû déjà tellement lutter pour reconstruire un peu de sommeil qui reste toujours précaire et tributaire de bcp de conditions et de tous mes efforts. Je peux pas être avec tous ces gens, tous ces bruits, ces médecins qui me regardent de haut, qui peuvent tout décider pour moi au nom de mon bien et qui n’écouteront ni mes protestations ni mes supplications (qui de toute façon n’arriveront neuf fois sur dix pas à franchir le barrage de mes lèvres). Ils croiront tout connaître et tout comprendre de moi parce qu’ils ont étudié de longues années durant l’esprit humain, ses mécanismes, son fonctionnement et ses dysfonctionnements. Je respecte l’immense somme de leurs connaissances et compétences et suis heureuse lorsqu’ils m’en partagent un peu, qu’on peut discuter, se poser des questions ensemble, qu’ils m’accompagnent à mieux me comprendre. Mais quand on m’arrache ma parole pour la disséquer et me la rendre ensuite sans mot dire, assénant finalement ceci ou cela comme des sentences qui me condamnent à me voir au travers de l’objectif «pathologies» qu’ils ont braqué sur moi, qu’ils décrètent savoir et comprendre mieux que moi tout ce que j’ai traversé dans ma vie… Ca c’est comme si on me prenait les dernières parties de moi que j’avais mises à l’abri derrière mon mur. Ce mur qui s’est effrité il y a maintenant cinq ans. Quand des souvenirs ont commencé à remonter.
Trouble dissociatif de l’identité. C’est l’hypothèse avancée par ma psychologue. Qui m’a dit en être assez convaincue, parce que je serais l’incarnation de ce qu’elle a étudié dans les livres et dans ses cours. Mais le diagnostic n’est pas posé et récemment mon infirmier m’a dit qu’ils [les thérapeutes du réseau] ne savent pas ce que j’ai. Peut-être que c’est parce que les psychologues ne sont pas habilités à poser officiellement des diagnostics ? Ou parce que ma psy n’en a pas parlé aux autres personnes du réseau (auquel cas je lui en serais immensément reconnaissante ! Mais je n’ai jamais osé le lui demander). Ou encore parce qu’elle ne pense plus que j’ai ça, qu’elle est revenue là-dessus et a des doutes maintenant ?
En tout cas, au début, quand elle m’a dit ça, je ne comprenais pas. Comme la majorité des gens, sûrement, je ne connaissais pas. Enfin, le côté «personnalités multiples» oui, mais avec tous les clichés accolés à ce trouble. Et je pensais que ce sont forcément des personnes malsaines et dangereuses. Et folles. Et je trouvais ça horrifiant d’être assimilée à cela. Et puis, ça faisait quelque chose de plus à porter dans la honte et le secret. Ne pas pouvoir dire. Ou risquer les conséquences d’avoir dit. Elle m’a peu à peu expliqué des choses. Et des petits «tilts» se faisaient dans mon esprit. Ah oui, ça ça me parle ! Oh, mais oui, c’est tout à fait ça ! Et puis elle m’a proposé la lecture d’un livre, à partir duquel nous pourrions travailler ensemble ensuite. J’ai commencé. J’ai lu peut-être deux ou trois chapitres, max. Bouillonnement. J’ai couvert des pages et des pages, des anecdotes de ma vie, des déclics, des questionnements, des bouts recopiés ou paraphrasés. Je n’ai pu en parler à personne, pas même à mes autres thérapeutes (hpynothérapeute et sexologue), que je ne vois plus maintenant d’ailleurs. Juste à une personne qui menait des stages de développement personnels auxquels j’ai assisté l’an dernier. Mais seulement parce qu’elle avait perçu ça chez moi et m’a envoyé une vidéo sur le sujet, me demandant ainsi avec délicatesse si j’étais concernée. Je lui ai avoué que oui. Lors du dernier jour du dernier stage, elle a fait un tour de table pour dire des choses sur chaque personne. Elle était assez dure avec tous le monde, révélant les pires défauts de chacun.e et sans mâcher ses mots. Arrivée à moi, je m’attendais au pire. Elle a dit que je suis quelqu’un de profondément bien mais qui se débat contre une psychose grave et lourde. J’ai eu envie de disparaître trente-six pieds sous terre. Je n’osais plus croiser le regard de personne. J’étais convaincue qu’ils me haïssaient tous désormais. Que j’étais la chose à abattre, à démolir, à piétiner. L’élément malade et pourri du système. La nature cherche naturellement à éliminer ce qui est trop malade, trop pourri. Un petit animal faible ou qui a des tares, la mère le laisse mourir.
Je crois que c’est depuis là que je n’ai plus osé ouvrir le livre, ni vraiment parler avec ma psychologue directement et franchement de ce trouble que j’ai peut-être. (Je ne lui ai d’ailleurs pas dit tout ça. Je devrais peut-être). Et quelques temps après, j’ai fait un voyage avec mon groupe d’écriture. Le même été. Il ne s’est rien passé de spécial, à part que l’un d’eux m’a fortement réactivée. Son attitude envers moi m’a je crois – et ça je l’ai compris plus tard – ramenée cinq ans en arrière. J’ai revécu des remontées de souvenirs. Et l’incompréhension, les jugements, les attaques de mon entourage, cette fois de mes thérapeutes (enfin pas les attaques mais l’incompréhension et les jugements, je sais pas, mais ça m’est arrivé de me sentir jugée pendant les huit mois de tourmente qui ont suivi), avec qui j’arrivais de moins en moins bien à communiquer, je m’enfonçais dans la méfiance, eux dans le doute à mon égard je crois, ils avaient en tout cas très peur pour moi, c’est ce que m’a partagé ma psychologue et je crois que ça a été très dur pour eux aussi et qu’ils ne savaient pas comment s’y prendre. Et pour moi, tout faisait écho soit à cette période atroce d’il y a 5 ans soit plus avant encore dans mon passé. Même et beaucoup en thérapie, ce qui était particulièrement déstabilisant. Les souvenirs, j’ai bloqué. Je les ai remvoyés d’où ils venaient. Comme j’ai dû le faire il y a cinq ans parce que mon contexte ne me permettait absolument pas d’y faire face. Et puis, j’ai été entraînée dans d’autres situations compliquées mais qui m’ont permis aussi des rencontres, des gens qui ont su percevoir parfois ce que j’avais ravalé mais qui restait là, à fleur de conscience. Et quelqu’un m’a posé une question très directe. Mais de façon respectueuse. Ca a débloqué le verrou que j’avais remis en place. Et c’est comme ça que j’ai pu oser quelques mois plus tard contacter l’association où j’ai trouvé ma psychologue.
Je commence seulement à comprendre un peu, à entendre enfin, que ce sont peut-être mes propres peurs, doutes, incertitudes, terreurs, dégoût de moi, etc. que je projetais sur mon entourage. Que je lisais dans leurs yeux, dans leurs gestes et dans leurs mots. Si c’est bien tout de moi que ça venait, je n’en peux plus d’être moi ! Peut-on guérir d’être soi ? Si je n’ai jamais pu me construire parce qu’abusée déjà au stade préverbal comme le formule ma psychologue, est-ce que je peux encore me construire un nouveau moi ? Un moi qui ne serait pas délabré et qui pourrait fonctionner ?
Mais l’ai-je été ? Ces derniers temps, plus que jamais, je remets tout en question. Et je m’enfonce. Je ne comprends plus rien. Je ne veux plus avoir d’histoire. Pendant longtemps, j’en avais occulté tout un pan. Oublié sans conscience de l’oubli. J’avais même oublié que j’avais oublié. Ca se tient. Si on oublie, pourquoi se souviendrait-on avoir oublié ? Mais des fois, des personnes savent qu’elles ont oublié une partie de leur vie. Moi je ne savais pas. J’étais depuis toujours habituée à composer avec une mémoire à long terme défaillante, que je compensais avec une mémoire de travail décuplée et très développée. Au point qu’il s’est fait un peu un mythe sur ma prétendue mémoire à l’école. Mais c’était faux, c’était du vent. Je pouvais me souvenir de plein de choses, mais en oublier plein d’autres. Comme tout le monde, au fond. Sauf que non. Je ne me souvenais pas des choses dont les autres se souviennent habituellement. Moins en tout cas. J’oubliais les visages, les noms des profs, plein de choses que les autres savaient sans problème. Alors je faisais semblant de savoir, de comprendre de quoi on parlait. J’apprenais à tout faire pour donner le change. Tout en étant constamment terrifiée qu’on découvre mon imposture et mes failles monumentales. Et ce que m’a dit mon infirmier, comme quoi on ne saurait pas ce que j’ai a relancé un cycle de la machine à doutes, et moi avec toutes mes parties dedans : le brans-le-bas de combat. Donc je n’ai peut-être rien vécu de particulier et suis juste quelqu’un qui aime bien se plaindre pour je ne sais quelle raison obscure de mon inconscient. Qui se crée des maux pour s’auto-flageller parce que maso sur les bords. On ne sait pas ce que j’ai parce qu’en fait je n’ai rien et je cherche à justifier le fait que je n’arrive à rien ni à rien faire, ni à avancer nulle part ni même à avancer tout court et à bouger, piégée par les maladies somatiques aussi.
Je sais pas pourquoi je vous dis tout ça, le dernier entretien avec ma psy m’a pourtant permis de m’extraire en partie de ces spirales infernales, de calmer tout ça et de remettre un semblant d’ordre dans le chaos. Elle m’a parlé avec conviction, avec assurance, m’a dit beaucoup de ce qu’elle pense mais aussi et surtout, j’ai entendu dans le son de sa voix que c’était «comme avant», aux débuts de notre cheminement thérapeutique et eu l’impression qu’elle n’avait plus l’attitude différente face à moi que je remarquais depuis l’été dernier, mais celle qu’elle avait avant, quand notre lien thérapeutique était plus solide et qu’elle était un soutien pour moi, la première personne qui m’a «vue vraiment», m’a reconnue, m’a comprise comme je n’avais jamais pu être comprise auparavant. Alors j’espère que quelque chose d’un «comme avant» est à nouveau possible, parce que ce changement d’attitude a été absolument terrifiant et menaçant pour moi. Je pouvais pas éteindre les craintes qui se réveillaient après la plupart des séances à cette période.
Normalement, j’en parle pas. Des choses comme ça, j’ai bien trop peur que les gens autour me confirment ce que je pense sur moi, alors que tant que ce n’est pas le cas, je peux de temps en temps m’accrocher au doute pour bricoler des bouts d’estime de moi, panneaux de carton qui s’écroulent au moindre souffle de vent et si rien ne vient de l’extérieur, alors ce sont mes sols marécageux qui l’avalent. Mon infirmier a ri quand j’ai fini par lui partager mes préoccupations au sujet de ma folie. Est-ce qu’il trouvait ça ridicule que je m’en rende compte seulement maintenant, que je suis psychotique ? Ou est-ce qu’il ne me croit pas folle et c’est pour ça qu’il aurait ri ? Comment savoir ? Je sais jamais comment comprendre les faits et gestes des autres, leurs propos, leurs attitudes. Alors j’y appose les filtres de mes expériences. On me dit que j’interprète. Oui, je fais ça. Mais quand j’entendais ça, et à force surtout, ça me met sur la défensive. J’ai l’impression qu’on me reproche. Tout ce que je fais, tout ce que je dis surtout.. et même ce que je pense. Mes pensées ne m’appartiennent plus, le fil est sans cesse coupé, quelque chose fait irruption dessus, je n’ai pas la paix, pas d’abri sûr même à l’intérieur de moi.
Et mon corps, c’est encore pire. Ma psychologue m’a dit que normalement, avec la dissociation, on ressent plus rien. Mais là encore, je suis pas normale : j’ai beaucoup de douleurs, très souvent. Et des fois, oui, je sens rien. Comme ces fois où je m’ébouillantais et rien du tout, et il y avait brûlure au second degré alors j’arrachais juste la cloque toujours sans rien sentir. Peut-être que j’ai pas de dissociation ni de trouble dissociatif ? Peut-être que je suis juste anormale et folle. Deux psychiatres ont une fois parlé de moi ensemble. C’était avant qu’on sache que j’ai des traumatismes je crois. L’une d’elles me l’a rapporté (on m’avait même pas demandé si j’étais d’accord pour cet échange avec mon ancienne psychiatre), qu’elles ne savent pas quoi faire avec moi ni ne me comprennent parce que je «réponds à trop de diagnostics». Je suis tellement folle que même deux psychiatres mettant leur bonne intelligence en commun ne parviennent à résoudre le casse-tête que je suis...
Récemment, ma psy m’a dit que mes thérapeutes avaient tous peur de mon histoire. Je lui ai dit merci de me dire ça, parce que j’avais bien senti leurs peurs mais pensais que c’était de moi qu’ils avaient tous peur. Mais je ne sais quand même pas quoi faire de ça. Qu’est-ce qu’on fait de ça ? Je suis condamnée à y faire face seule, probablement. A ne pas chercher de secours quand les pires terreurs m’assaillent, parce que les réactions en retour vont me descendre encore plus. Alors je reste au fond toute seule, je parle juste à un ami par téléphone, sinon je ne vois personne, je suis claquemurée là depuis.. je pensais que c’était juste quelques semaines, mais peut-être que ça fait plus ? Deux mois ? Mon anxiété généralisée dévore toute ma vie, tous mes espaces, tout mon temps. Elle me fait devenir petit animal laid et inutile qui se terre dans son coin, qui craint tout, bientôt son ombre si ce n’est pas déjà le cas.
Je suis rentrée chez moi maintenant après quelques jours de «fuite». J’ai des besoins comme ça de partir régulièrement, l’angoisse monte, je ne me sens plus en sécurité alors que pour la première fois, j’ai vraiment un lieu où je suis bien et où je risque rien. C’est incompréhensible, mais je peux pas m’en empêcher. Et là, j’ai trouvé des petits carnets que j’avais oublié de prendre avec moi. Ceux où je note tous mes codes et mots de passe et aussi un où j’ai écrits des textes perso. Là j’ai un peu disjoncté. J’ai tout de suite pensé que mes colocs ont vu, lu et même peut-être imprimé et partagé avec d’autres personnes, que tout le monde est en train de s’amuser à craquer mes comptes et à divulguer mes textes au maximum de gens pour traîner tout ça dans la boue, les décortiquer, les déformer, se repaître de pensées que j’ai saisies sur le vif comme ça et couchées sur le papier mais juste pour moi. Pour ne pas oublier. Pour mettre des mots sur ces atmosphères internes qui peuvent m’entraîner si loin des fois. Alors que la panique montait, c’est comme si je déboîtais. Je laissais la panique et la paranoïa grimper en flèche et me suis laissée tomber comme un sac de patates à côté. Indifférence. Tant pis. Tout ça n’a plus d’importance. De toute façon ils me trouvent déjà tous un peu bizarre, ça va juste alimenter tout ça, et au bout d’un moment, ils s’en désintéresseront et passeront à autre chose, ils ont leur vie, la mienne n’a pas d’importance, elle ne retiendra pas longtemps leur attention.
J’aimerais lui demander à elle, ma psychologue, si elle a peur aussi. De mon vécu. Je sais pas si je vais oser, j’ai peur de la réponse aussi, mais j’aimerais lui poser la question, je crois que c’est important pour moi. Je comprends pas. Comment on fait avec toutes les personnes qui vivent infiniment pire ? La guerre, toutes sortes d’atrocités. J’ai connu plein de moments normaux, de vie de famille normale. Entre les moments où ça dérapait grave. Tout ça n’a aucun sens.
Désolée, je crois que c’est assez confus. Normalement, j’aurais relu, tout policé, arrangé pour que ce soit cohérent, digestible pour autrui. Mais là j’ai plus l’énergie. D’ailleurs je sais pas comment j’ai trouvé celle de vous écrire. J’arrive plus à me laver, plus à faire ma vaisselle, même plus à me changer.. J’ai eu un choc avec mon assitante sociale juste avant (on s’est parlé seulement par téléphone) parce que j’ai des factures très en retard et des injonctions de paiements et elle m’apprend qu’on s’est vues il y a deux mois la dernière fois et que là on est en mai. Ca a accentué mon vertige, je n’arrivais plus à voir clair ni à bien entendre, mais là ça va mieux. J’ai dormi ou somnolé et je crois que j’ai récupéré en partie d’un état où je me sentais très très loin de moi, de tout ce qui m’entoure, où je comprenais plus rien et où la date du jour restait une donnée qui ne voulait pas entrer dans mon «système».
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Meilleure réponse 18 MAI 2023

Bonjour, merci de nous avoir partagé votre témoignage.

Je comprends que vous traversez une période extrêmement difficile et que vous vous sentez dépassée par vos émotions. Il semble que vous ayez rencontré différentes difficultés dans votre parcours thérapeutique, avec des professionnels qui ont parfois du mal à comprendre pleinement vos expériences et à trouver le bon diagnostic. Cette situation peut être frustrante et renforcer votre sentiment de solitude.

Je tiens à vous rassurer en vous disant que vous n'êtes pas seule dans votre lutte. Il est courant de rencontrer des obstacles lorsqu'on explore des questions complexes et douloureuses liées à notre passé. Il est important de trouver un professionnel de confiance, un psychologue qui puisse vous écouter attentivement, vous comprendre et vous soutenir de manière appropriée.

Je vous encourage vivement à prendre contact avec moi en privé afin que nous puissions entamer une discussion plus approfondie et trouver des solutions ensemble. En tant que psychologue et praticien EMDR, je suis spécialisé dans le traitement des traumatismes et des troubles dissociatifs de l'identité. Je peux vous aider à mieux comprendre vos expériences, à explorer les traumatismes éventuels et à travailler sur des stratégies pour vous reconstruire et avancer dans votre vie.

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Arnaud SOTO,
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Arnaud Soto Psy sur Juillan

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18 MAI 2023

Bonjour et merci de votre témoignage effectivement "perdue" est le mot clé. Je vous perçois comme un enfant qui a besoin de réconfort, d'être prise dans les bras. Vous avez un besoin primordial qui n'est pas comblé et ce manque crée une panique totale dans votre système de pensée.Tournez vous vers les thérapies corporelles, le massage, par exemple. Tout semble pour le moment déconstruit chez vous, il faut repartir de la base, de l'ancrage et ensuite les pensées se mettront en ordre.Bien à vous. Véronique.

Véronique Le Bideau Psy sur Paris

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