Bonjour, je vais essayer de vous parler de ma situation de la manière la plus simple possible.
Il arrive parfois à des moments ou je suis seul (en train de travailler, écouter de la musique ou essayer de m'endormir) d'avoir des moments ou mon cerveau devient comme possédé. Il peut m'arriver d'entre ma voix (qui répète un mot une phrase) et cela de manière continue, je l'entendrais de manière : aigu ; en criant ou super rapide. Et cela m'empêche de réfléchir, je n'est que ça dans la tête et seul les pensés suicidaire vienne. Le seul moyen de faire partir ces pensées est de partir faire autre chose et ravoir un contact humain (mais cela est un peu compliqué quand il est 1H du matin et que je suis dans mon lit). Je ne pense pas que cela pourrait être de la schizophrénie, mais l'idée de parlé seul à mon subconscient est assez tiré par les cheveux. Je me rend compte aussi (en écrivant ce message) que plus le temps passe et moins j'ai de souvenir de qu'il se passe dans mon cerveau à ce moment là. C'est comme si mon cerveau avait un black out (je ne consomme ni alcool ni substance illicite). Il m'arrive aussi que mes pensées parte dans tous les sens après une multitude de d'auto questions que je me pose qui me ramène automatiquement à la réponse dite facile(le suicide). Je n'est jamais fait de tentative car j'arrive à reprendre mes esprits toujours après que cela soit parti trop loin à l'intérieur de moi. Dans ces moments, il peut aussi m'arriver d'avoir un sentiment de supériorité intérieur comme si les personnes que je côtoie dans la vie de tous les jours (famille/amis) ne valait pas le coup de me parlé (dans cette situation, je ne peux fuir en étant sociable avec le monde qui m'entoure car j'ai beau parlé, au fond de moi, je ressent de la haine verbale au fond de moi). Enfin, pour revenir sur le sujet de la schizophrénie, il m'arrive assez souvent de parlé seul avec mon subconscient, ce qui est étrangement bizarre. Etre seul devient pour moi bizarre et minimum une fois par semaine je ressens le sentiment de me dire : Et si je passais à l'acte, est-ce que les gens le remarquerais ? Malheureusement, j'ai peur que l'une des ces pensées en devienne un acte un jour.
Pour finir, voici une petite description de moi même :
Je suis quelqu'un de très sociable et extrêmement à l'aise oralement.
Je suis une personne assez agitée comme si j'étais hyperactif(j'ai été diagnostiqué précoce il y a 8 ans).
Dans ma vie perso, j'essaye pas mal d'attiré l'attention afin d'être sur d'être apprécié de tous positivement. Devant tous le monde, j'aime montré que les critiques rabaissant me passe au-dessus, mais au fond de moi, je crois pas forcément en moi même et je me sous-estime énormément, je doute constamment de mon entourage et personne qui m'entoure comme si j'étais constamment jugée par les autres
Cela fait maintenant 7 ans (j'ai 18 ans) que ce genre de pensée ont commencé (en sachant qu'elle ont repris depuis un an après 4 ans sans black out suicidaire de ma part).
Merci d'avoir pris le temps de lire ceci, en espérant qu'il y est une explication à tous cela. Bonne journée/soirée.
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Meilleure réponse
9 FÉVR. 2024
· Cette réponse a été utile à 29 personnes
Bonjour,
Je pense qu'il faut aller voir un médecin/psychiatre au plus vite, face à ces idées suicidaires et aussi pour établir un diagnostic des troubles qui se manifestent. Il est nécessaire de comprendre l’origine de ces idées qui peuvent s’intensifier si elles ne sont pas abordées à leurs racines. Votre cas demande un suivi médical et psychothérapeutique, qui permettrait d'investiguer les éventuels déclencheurs biologiques (dysfonctionnements neurochimiques), sociaux (la façon dont vous voyez et ressentez le monde, vos relations avec vous-même et les autres) et psychologiques (émotionnels, valeurs, croyances, traumatismes, désirs, peurs, pulsions). Pour ces derniers aspects, les approches thérapeutiques telles que la TCC, l’hypnose et d’autres outils de thérapie brève comme la PNL fonctionnent très bien.
Je suis entièrement à disposition pour un accompagnement à distance ou en cabinet. Bien à vous,
Nilton Mascarenhas,
Praticien en Hypnose Ericksonienne et Thérapies Brèves.
10 FÉVR. 2024
· Cette réponse a été utile à 28 personnes
Bonjour
Vous ne manifestez pas de signe de schizophrénie.
Il n'est pas du tout anormal de se parler à soi-même. Il est même plutôt sain de le faire. Le tout est de savoir à quelle partie de nous même nous parlons. Apparemment vous parlez actuellement beaucoup avec la part de vous même, moins maîtrisée, qui envisagerait de mettre fin à ses jours. Mais aussi bien vous pourriez parler à d'autres parties de vous même, notamment celle qui vous conseille de vivre.
Je vous recommande dans un premier temps de renoncer à la discuter avec cette part morbide de votre personnalité. Ce que vous faites actuellement, en passant à autre chose, est bien. On ne discute pas avec ses mauvaises pensées, on les remplace par autre chose. La nuit renoncez à discuter avec elles en vous concentrant sur des images positives comme un beau paysage.
Enfin il faut aller chercher à la racine la cause de ces pensées négatives. Ce serait bien que vous vous fassiez accompagner quelque temps.
Je reste personnellement à votre disposition, sachant que ma première séance d'une heure est entièrement gratuite et sans engagement. Vous pouvez librement prendre un rendez vous sur mon agenda en ligne.
Bon courage à vous
Michel le BAUT
Psychopraticien
Thérapeute Jungien
Analyse de rêves
8 FÉVR. 2024
· Cette réponse a été utile à 1 personnes
Bonjour pseudonyme Un homme normal,
Donner une explication à tous tes symptômes et tes ressentis est un acte plus complexe que cela et demande de prendre le temps d’entrer dans le détail pour bien comprendre ta situation et commencer à trouver des possibles explications.
Une émotion ou un évènement personnel douloureux et intolérable peuvent parfois tenter de s’exprimer par un symptôme (les pensées envahissantes par exemple) ; lorsque pendant longtemps des parties de soi ont été enfouies. Garder les choses volontairement ou involontairement cachées, c’est dire refuser d’y penser ou de les ressentir, peut fonctionner un certain temps, mais elles peuvent aussi revenir sous une autre forme plus ou moins violente (le black-out, les pensées qui partent dans tous les sens et autre).
Peut-être que lorsque tu as une occupation ou des relations sociales cela te permet de ne plus penser à certaines choses. Toutefois, celles-ci restent présentes et reviennent souvent dans les moments de solitude (le soir par exemple).
Les idées suicidaires sont parfois un moyen, « le dernier recours » pour éviter certaines choses de son histoire et fuir certaines émotions devenues difficiles à supporter. La détresse psychologique et émotionnelle semble être devenue plus intense depuis un an. En 2023, quel(s) évènement(s) s’est-il produit dans la famille, le cercle d’amis, la scolarité ou le monde professionnel ? Quel(s) a été ta réaction ou ton ressenti ?
Ta peur d’un passage à l’acte est légitime et ta parole peut être entendue à tout moment. Si les pensées persistent ou que tu crains pour ta sécurité, n’hésite surtout pas à contacter des professionnels qualifiés pour t’accompagner dans cette épreuve de ta vie. Voici l’un parmi d’autres numéros d’urgence : le 3114.
La description de toi-même laisse apparaitre d’autres difficultés et souffrances que tu rencontres. Cet espace de question-réponse peut t’apporter des éléments de compréhension, sans aucun doute, essentiels pour toi, et pour avancer. Toutefois, cet espace ne permettre pas de débuter un processus thérapeutique ou de développer précisément la situation en toute confidentialité.
Lorsque tu te sentiras prêt prend le temps d’échanger avec un professionnel adapté à tes besoins, que cela soit de façon occasionnelle ou pour une psychothérapie.
Je reste à ton écoute
Romane PENA,
Psychologue clinicienne et psychothérapeute