Presque 23 ans je déteste tellement ma vie que je ne fait que dormir

Réalisée par Ausecours · 6 mai 2024 Aide psychologique

Bonjour,

Je ne sais plus quoi faire pour m’en sortir. Ce message est une tentative désespérée de trouver de l’aide, ces derniers temps les pensées suicidaires sont devenus tellement fortes que je n’entends plus que ça.

J’ai l’impression d’avoir toujours été une personne triste, ayant beaucoup déménagé pendant mon enfance je n’ai jamais eu beaucoup d’amis et j’ai toujours eu du mal à allez vers les autres. Je me trouve trop empoté, gênante qui ne sais pas dire les bonnes choses au bon moment, et on me le fait bien ressentir ! Harceler, exclue mes années collège était très difficile et le fait d’être un peu ronde et moquer sur ça n’a pas aider mon estime de moi dégringolante. J’ai vécu avec ma mère malade (et violente) jusqu’à mes 12 ans ou son état ne lui permetais plus de payer le loyer, on allez se retrouver à la rue donc j’ai été quelques temps en foyer (ma mère est partie à l’hôpital et n’en ai jamais revenu) puis mon père et réapparu dans ma vie a mes 14 ans. J’ai vécu chez lui (nos rapports étaient compliqué) mais je suis partie a mes 18 ans pour vivre avec ma copine, une relation lesbienne qu’il n’autorisait pas.

18 ans, bac S en poche avec de plutôt bon résultat scolaire je part en fac de biologie, mais je dois vite trouver du boulot pour payer le loyer de mon nouvelle appart et je décroche petit à petit des cours. L’ambiance a la fac est horrible, je me sens perdu je n’arrive pas a me faire des amis ou même à discuter avec les gens, je sort des amphi en pleures parceque je ne comprends rien, j’hyperventile tout les jours avant en allez en cours, et entre les heures à la fac et au boulot je ne révise plus du tout et foire totalement les partiels de mi semestre. En novembre je décide d’abonner pour passer en temps plein. Mais le Covid arrive et je perd mon boulot. En panique totale je n’ai plus d’argent et personne pour m’aider. Ma copine m’aide mais nos relations se sont dégradées à cause d’une tromperie de sa part que sur le moment j’ai décider de pardonner parceque je n’avais nul part ou allez. Avec cette fille j’ai commencer à fumer du cannabis, et à partir du moment où on a pris notre appart et que le confinement et tomber notre consommation a augmenter de manière exponentielle, une addiction que j’ai toujours aujourd’hui.

Après cette année catastrophique et une santé mentale en ruine (toujours plus de penser suicidaire, sentiment de persécution au travail et chez moi, énorme anxiété, envie de rien emoussement affectif) je décide de me réorienter en psycho (ironique je sais) mais j’adore mes études et j’adore la psychanalyse et je passe ma licence sans grand mal (l’angoisse scolaire est toujours bien présente mais je réussi les partiels, je trouve un stage)

L’été de ma L2 je me sépare de ma copine, grosse moment de down, j’ai pas d’appart pas de taf pas de copine pas de thunes, je me retrouve à la rue qql temps , avant la rentrée j’arrive a trouver un nouvel appart tant bien que mal je bosse de nouveau à côté des cours.
Mon stage me fait vite déchanter, en fait je me rend compte que je ne sais pas si je veux faire ça de ma vie. J’ai eu un gros moment de doute pendant tout l’hiver, je ne sais pas quoi faire, j’ai le cœur brisé de me dire que c’est pas fait pour moi, mais je décide de valider mon année puis je me remet un peu dans le deni et décide de passer à tout prit la sélection en master et on verra après.

Malgres la sélection je suis prise dans plusieurs fac donc mon choix n1 la meme fac que ma licence
Je rentre en M1 de psycho en ayant mis de côté tout les doutes et sans trop me préoccuper des cours pendant la première partie de l’année. J’ai demander à être reprise au meme lieu de stage et on m’a dit oui alors même que ça ne me plaisais pas trop, mais j’avais pas chercher d’autres stages et il était trop tard.
C’est maintenant la fin du M1 je passe mes partiels dans deux jours je les ai a peine réviser et je suis pas aller en cours non plus, j’ai pas non plus réussi à écrire une seule ligne de mon mémoire
Je n’arrive tout simplement pas à réfléchir et organiser les idées dans ma tête

La seule chose auquel je peut penser et le fait que je suis une grosse hypocrite, je suis toujours autant renfermer n’arrive pas à être engager dans des relations sociales que ce soit au travail ou à la fac. Je n’ai pas d’amis et je fuis toute interaction sociale. Je fume tout le temps pour supporter mes angoisses et mon quotidien mais meme ça ne me calme plus. Je reste enfermé chez moi toute la journée dans mon lit car tout est insupportable mais cette vie dans laquelle je me met est tout autant insuportable. Je n’ai pas de famille, pas d’argent, pas d’amis, je pense avoir fait ses études certes parceque ça me plaisais bien mais avec tout les problèmes et surtout ma manière de voire la vie comme un énorme fardeau que je n’arrive pas à porter je me dis que je ne sais même pas si je veux devenir psychologue.

Les aléas de la profession m’inquiète aussi beaucoup, j’ai peur de ne pas pouvoir trouver d’emploie de galerer encore à payer mon loyer ou de me retrouver de nouveau à la rue. Et je le sens stupide de penser à tout cela maintenant, en master a 22 ans. Tout les gens d emojis âge on bien avancer et savent ou ils vont pas moi. Je pense que j’aime bien la psycho et j’ai des facilités qui m’ont permis de passer la licence mais je ne me sens pas capable d’aider qui que ce soit et honnêtement je suis pas sur d’avoir retenu tant de choses que ça de mon cursus.

Depuis février dernier je passe tout mon temps libre à dormir car je n’arrête pas de penser a tout ce que je fait de mal. Je n’ai pas chercher de stage pour l’année prochaine, je n’arrive pas à me mettre devant mon ordi pour travailler sans vouloir me cacher au fond de mon lit je suis en train de sombrer totalement et je laisse faire
Je dors pour pas en être témoin d’à quel point la vie perd de son sens mais je m’enfonce dans mes problèmes parceque je ne fait rien et je n’arrive à rien faire

Je suis suivie en analyse depuis 1 ans mais j’ai l’impression que ça ne sert à rien, j’ai beau parler de tout cela a ma psy, d’essayer de m’instaurer une routine ou de changer de perspective je n’arrive pas à me motiver a avoir envie ou à faire les choses. La simple penser de mon avenir me fait me mettre en boule. J’ai peur de tout foirer de rater ma vie de gâcher tout mon potentielle.

Je ne sais plus quoi faire pour me faire agir. Je passe le reste de mon temps si ce n’est pas dormir a chercher des moyens de me réorienter (aucunes débouchés ce qui me deprime encore plus mais de toute façon je n’ai envie de rien et ne sais pas ce que je veux faire)
Je n’arrive pas a voir l’avenir tout est sombre et mortifiere
Il n’y a plus rien pour moi je n’ai plus le goût à rien et je suis tout le temps déboussoler j’en fait des connerie qui me coute beaucoup d’argent que je n’ai pas (j’ai casser mon ordi, perdu mon téléphone) et je n’arrive plus à trouver les ressources en moi pour surmonter tout ça.

Je pense tout le temps au suicide, dès que je me lève et juste avant de me coucher, ou, comment, quoi dire dans les lettres que je laisserai, à quel moment. Toute la journée des images horribles passe dans ma tête. Je n’arrive à penser a rien d’autres qu’au fait que j’ai tout gâcher, qu’il n’y a plus rien pour moi

J’ai pas la force de me relancer dans 5 ans d’études et je serai même pas pour faire quoi, je vais clairement rater mon année et je ne sais même pas si je pourrais (ou voudrais) y retourner l’année d’après
Je suis tellement perdu que ça me donne envie de vomir et ça me paralyse et m’angoisse tellement que je préfère dormir pour ne pas y penser. Meme si mon sommeille n’est pas du tout reposant.

Je ne sais pas ce que je recherche en postant ce message, mais j’en ai lu beaucoup de personne qui comme moi était un peu perdu
Mais j’ai le sentiment que j’ai toujours été perdu j’ai toujours étais mal à l’aise socialement et déprimé
J’ai l’impression de ruiner les « plus belles années de ma vie » à ne penser que a des choses très sombres.
Je pense que le problème viens intimement de moi et que je n’arriverai jamais à sortir de ce schéma de penser. Je n’arrive pas à être heureuse je n’arrive pas à me satisfaire des petits plaisirs ou que sais je encore je veux tout simplement disparaître

Et j’ai bien peur de ne plus pouvoir battre ses pensées longtemps

La personne que je suis me dégoûte profondément et je n’ai aucune force pour changer ou rebondir, j’ai l’impression que quoi que je fasse je ne supporterai pas la vie et je suis fatigué de tant de souffrance

Je ne sais pas quoi faire pour m’en sortir

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Meilleure réponse 7 MAI 2024

Bonjour,

Vous êtes actuellement en dépression : c’est une maladie, il faut donc la soigner.
Allez voir votre médecin traitant (ou tout autre médecin généraliste) et parlez lui de votre état de votre souffrance : un antidépresseur peut vous aider bien à sortir de votre lit et à vous occuper de vous, quitte à faire une pause dans les études, après avoir trouvé un travail qui vous permettra de souffler un peu et de prendre du recul.

La psychanalyse est une thérapie longue, surtout si votre psychanalyste est silencieux.
Il est probable qu’une thérapie plus active vous soit plus utile en ces moments.

Étant donné les difficultés que vous avez connu dès votre plus jeune âge, vous avez déjà montré une résilience certaine, donc beaucoup de ressources.
Vous avez certainement une grande intelligence, que vos résultats aux études ont montré.

Vous pouvez peut être renouer avec votre père ? Avec les peu d’amis que vous devez avoir ?

Oui, vous avez beaucoup souffert.
Mais vous êtes très jeune, vous pouvez envisager de vous construire petit à petit une vie plus sereine, et toute nouvelle : ne vous laisser pas abattre par votre dépression.

Je vous souhaite de réussir à voir la grande lumière qui se profile au bout du tunnel dans lequel vous êtes encore enfermée.
sp


Silvia Podani Psy sur Issy-les-Moulineaux

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15 MAI 2024

Bonjour,

Ce qui est sûr c'est que la vie ne vous a pas fait de cadeaux et que votre histoire personnelle est aujourd'hui à l'origine d'une grande insécurité et d'un mal-être profond. Vous n'avez pas fait la paix avec ces événements, même si vous les avez déjà évoqué en analyse (d'ailleurs les traumatismes sont comme des "oignons" et il y a de nombreuses couches à décortiquer pour pouvoir arriver au cœur).

Votre message sonne comme un appel à l'aide urgent (c'est votre pulsion de vie qui s'exprime). Pour vous aider, je vous invite donc à mettre en place certaines actions très concrètes :

1- Consulter un médecin afin qu'il vous prescrive un traitement médicamenteux qui vous soulage et vous serve (dans un premier temps) de béquille pour "remonter la pente". Votre dépression semble grave et la thérapie n'est pas suffisante notamment pour éloigner ces pensées suicidaires invasives !

2- Parler à votre psychologue pour lui partager votre ressenti face à vos séances. Peut-être que son approche ne vous convient pas et que vous avez besoin de changer de praticien pour redonner un nouvel élan à votre travail thérapeutique ? Vous semblez vous détestez, votre image de vous-même est très négative et il faut donc trouver la bonne approche pour vous permettre de retrouver l'estime de vous-même que vous méritez !

3- Prenez en charge votre addiction au cannabis (il existe de très nombreuses associations et centres d'aide) car elle contribue à alimenter le cercle vicieux dans lequel vous êtes coincée (montée des angoisses, perte d'envie, déconnexion de la réalité...).

Sachez que si vous vous tournez vers le métier de psychologue et la relation d'aide ce n'est certainement pas par hasard... Il n'y a absolument rien d'hypocrites à cela et bon nombre de praticiens ont aussi choisi ce métier pour soigner une partie d'eux-mêmes...

Je reste évidemment à votre écoute, vous pouvez me contacter directement via mon profil si vous en ressentez le besoin.

Anaïs | Psychopraticienne | Consultations en visioconférence et tarif libre (à partir de 20€/ séance, le patient décide)

Anaïs Goguenheim Psy sur Aix-en-Provence

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10 MAI 2024

Bonjour,

Effectuer une première démarche pour trouver de l'aide afin d'aller mieux est déjà une grande étape.
D'après ce que vous avez expliqué, vous avez vécu des événements de vie difficiles qui ont eu une charge émotionnelle forte, ce qui a eu des conséquences tout au long de votre vie, sur vos pensées, vos émotions et votre comportement.

Il pourrait être intéressant de vous diriger vers la thérapie cognitive et comportementale ainsi que l'hypnose.

L'hypnose permettra de désactiver la charge émotionnelle des différents événements de vie que vous avez pu vivre, ce qui permettra de rééquilibrer les pensées, les émotions et le comportement.
Quant à la thérapie cognitive et comportementale, elle permettra de travailler directement sur les pensées automatiques négatives afin de mettre en place des pensées équilibrées, ce qui aura pour conséquences également de rétablir un équilibre positif au niveau de vos pensées, vos émotions et votre comportement. C'est également un panel d'outils à utiliser au quotidien, toujours dans le but de retrouver un équilibre.

Pour ma part, je propose un accompagnement avec l'hypnose et la thérapie cognitive et comportementale.

Je reste à votre disposition si vous avez besoin d'informations complémentaires. Je propose des séances en cabinet mais également en visioconférence.

Bien à vous,

Sylvia Legros
Psychopraticienne & Hypnothérapeute

Sylvia Legros Psy sur Châteauroux

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9 MAI 2024

Bonjour

Je suis très touché par votre message qui porte à la fois tant de détresses et tant d'autres choses que je trouve remarquables.

Je ne vous l'apprendrais pas, manifestement vous traversez un épisode dépressif sévère, il faut donc que vous soyez prise en charge, ce devrait être votre priorité. Vous êtes épuisée il faut que vous trouviez de l'aide pour pouvoir vous reposer.
Prenez rendez-vous avec un psychiatre ou rendez-vous dans un CMP. Je sais bien que l'accès à ces professionnels est parfois difficile, dans ce cas l)à vous avez toujours la possibilité de vous rendre aux urgences psychiatrique de l'hôpital le plus proche, ils pourront vous proposer un temps de répit.
Enfin n'oubliez pas que si vos pensées suicidaires deviennent trop envahissantes vous pouvez composer le 3114.
La priorité pour vous maintenant est de pouvoir vous poser quelques temps pour reprendre pieds.

Je voudrais revenir sur ce qui m'a fortement touché dans votre message. Vous avez eu un parcours de vie extrêmement compliqué, extrêmement angoissant et semé d'embuches toutes plus insurmontables les unes que les autres, et pourtant vous les avez surmonté et de façon plutôt remarquables. Quels parcours! Cela suppose de grandes, de très grandes compétences et aptitudes, des qualités qui s'expriment en termes de volonté et de résiliences (nous autres thérapeute narratifs sommes très attachés à regarder cela)
Vous êtes en master de psycho, même si vous ne validez pas votre année ce n'est pas bien grave, il faut continuer ces études qui vous plaisent malgré tout et qui vous assureront de trouver un emploi à l'issue, il y tant de demande de psychologue en institution qui ne sont pas satisfaites. Et rien ne vous empêchera par la suite de reprendre un cycle d'études si vous le souhaitez rien n'est jamais figé, vous en avez manifestement les compétences.

Continuez votre travail thérapeutique, avec votre psy actuelle ou changez en si elle ne vous convient pas, mais continuez ce travail, vous êtes bien placée pour savoir qu'il est important pour vous et qu'il vous permettra d'avancer. Il est nécessaire de revenir sur ce parcours hors normes, la thérapie narrative vous proposerait d'y revenir entres autres sous l'angle de vos compétences et ressources.

N'oubliez pas que votre priorité devrait être celle de pouvoir vous reposer en vous appuyant sur un professionnel de santé mentale (Psychiatre, CMP etc…) un appui médicamenteux peut être le bienvenu pour cette étape.

Je reste à votre écoute et à votre disposition si vous souhaitiez approfondir cet échange, n'hésitez pas à me consulter.

Bien cordialement

Bruno BRICE
Thérapeute Narratif Psychopraticien

Bruno Brice Psy sur Aix-en-Provence

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8 MAI 2024

Bonjour,

Je suis profondément désolée d'apprendre que vous traversez une période si difficile et douloureuse. Il est clair que vous avez vécu des épreuves extrêmement difficiles tout au long de votre vie, et il est tout à fait compréhensible que vous ressentiez une telle détresse face à ces circonstances.

Il est encourageant de voir que vous avez cherché de l'aide en écrivant ce message, et cela montre que vous avez encore la force de chercher un chemin vers la lumière, même si cela semble difficile à imaginer en ce moment.

Il est essentiel que vous continuiez à parler de ce que vous ressentez, que ce soit à travers ce message ou avec des professionnels de la santé mentale. Vous avez mentionné être en analyse depuis un an, et bien que vous puissiez ressentir que cela ne vous aide pas suffisamment pour le moment, il est important de reconnaître que le chemin vers le rétablissement peut être long et parsemé d'obstacles. La thérapie peut être un processus lent et progressif, mais avec le temps et un engagement continu, cela peut vous aider à trouver un soulagement et des stratégies pour faire face à vos difficultés.

Si vous vous sentez en danger immédiat, je vous encourage vivement à contacter une ligne d'assistance téléphonique d'urgence ou à vous rendre aux urgences d'un hôpital où vous pourrez recevoir un soutien immédiat.

Je comprends que vous vous sentiez dépassée par vos pensées suicidaires et par le sentiment d'impuissance face à vos circonstances actuelles. Mais sachez que vous n'êtes pas seule et qu'il existe des gens prêts à vous aider et à vous écouter. Il est important de vous rappeler que vous valez la peine d'être aimée et soutenue, même si cela peut sembler difficile à croire en ce moment.

Je vous encourage à continuer à chercher de l'aide et du soutien, que ce soit auprès de professionnels de la santé mentale, de membres de votre famille ou d'amis de confiance. Vous n'avez pas à traverser cette épreuve seule, et il est important de demander de l'aide lorsque vous en avez besoin.

Je vous souhaite courage et force pour traverser cette période difficile, et n'oubliez pas qu'il y a de l'espoir même dans les moments les plus sombres.

Je reste personnellement à votre disposition pour vous accompagner dans ce processus de guérison. Je propose une séance gratuite de 30 minutes en visioconférence, sans aucun engagement de votre part. Vous pouvez librement prendre un rendez-vous sur mon agenda en ligne.

Bon courage à vous,

Muriel Gravouil
Art thérapeute & coach

Gravouil Muriel Psy sur Nantes

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8 MAI 2024

Bonjour,

D'après ce que j'ai compris, vous avez eu un parcours de vie difficile, avec plusieurs hauts et bas, avec des ruptures importantes au début de votre vie d'adulte. Je comprends que le poids des obstacles auxquels vous avez été confrontés est lourd, au point de vous donner l'impression que tout est contre et vous laisser submerger par des pensées limitantes .

La vie, cependant, est faite de pics de bonheur et de tristesse. Même si nous ne pouvons pas faire disparaître les moments malheureux comme par magie, nous pouvons les ralentir en abordant nos humeurs, nos pensées et nos émotions. La combinaison de ces facteurs va par conséquent changer notre vision de la vie. Vous montrez des signes constants de résilience malgré les difficultés. Vous avez eu la force de poursuivre vos études jusqu'à présent et vous disposez de plusieurs ressources personnelles à canaliser. La preuve en est que vous décrivez clairement votre problème, et que vous avez pris l'initiative de venir ici chercher une solution.

N'oubliez pas que vous avez toujours le pouvoir sur vos pensées et comportements si vous le décidez, et qui les pensées qui ne correspondent pas toujours à la réalité. Les pensées négatives peuvent à tout moment être remplacées par des pensées positives. Personne, à part vous-même, ne peut empêcher que cela se produise. La thérapie peut vous aider à capitaliser sur tout le potentiel dont vous disposez.

Je me mantiens à disposition si besoin,

Nilton Mascarenhas,
Praticien en Hypnose Ericksonienne et Thérapies Brèves.

Nilton Mascarenhas Psy sur Paris

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8 MAI 2024

Bonjour,

Bravo pour votre courage d’avoir écrit votre histoire.

Vous n’êtes pas seule, et cela peut changer car vous possédez beaucoup d’atouts, notamment intellectuels avec une aisance dans les études.

Beaucoup de personnes se sentent, à un moment de leur vie, perdues, en proie à des idées noires, des angoisses, et parfois sans ami, sans famille.

Je vous propose un plan d’action qui me paraîtrait pertinent :

- le suivi en psychanalyse me semble très important, il vous permet un point d’ancrage régulier, un repère, car vous avez manqué d’ancrage avec les déménagements successifs, le départ de votre mère à l’hôpital, et l’absence de votre père. En outre, ce suivi vous sera très utile intellectuellement pour un atout supplémentaire dans votre panoplie de futur psy.

- en parallèle au suivi en psychanalyse, je vous invite à vous rapprocher d’un hypnothérapeute, pour effectuer un travail comme le réalisait le Dr Freud, avec la méthode cathartique. Cela vous permettra d’évacuer beaucoup d’émotions qui vous freinent et vous encombrent l’esprit, et ne vous permettent plus de réfléchir avec des idées claires.

- si besoin, si les angoisses deviennent insurmontables, n’hésitez pas à consulter un médecin qui pourrait vous prescrire une chimie légère pour enrayer les crises. Je n’encourage pas la chimie, mais elle est parfois utile sur des passages difficiles.

- il me semble que les études de psy sont vraiment une très bonne piste, à poursuivre.

Votre histoire, votre parcours, seront des atouts majeurs pour accompagner, plus tard, les gens en souffrance. C’est un cap à maintenir, quitte à redoubler l’année actuelle. Le travail sur vous, sera, quoi qu’il en soit, un bagage supplémentaire pour l’avenir. Ce n’est pas du temps perdu, c’est un temps gagné pour plus tard.

- En parallèle, créer du lien me semble très important. Pour ce faire, pratiquer une activité régulière permettrait d’ancrer une habitude, et de côtoyer des personnes qui partagent un même centre d’intérêt que le(s) votre(s).

Aimez vous le sport ? La danse ? Le chant ? Aimeriez-vous prendre des cours de dessin ? Une activité manuelle ? Un pôle caritatif ? Religieux ? La randonnée ? Les musées ? L’Histoire ? Etc.

Une activité qui vous nourrit intérieurement sera le gage de rencontres et de tissage de lien, au fil du temps. Petit à petit, les choses s’amélioreront avec l’évacuation des émotions par la méthode cathartique, vous sentirez davantage de joie et les liens sociaux seront plus fluides.

Voici les premières pistes qui me semblent intéressantes, et porteuses de progrès.

Je reste disponible pour en parler si besoin, je serais très heureux de vous accompagner si vous le souhaitez.

Bien cordialement

Robert Françon

Robert Françon Psy sur Lyon

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8 MAI 2024

Bonjour,

Bravo pour le courage d'écrire ce que vous vivez.

Vous n'êtes pas seule dans le cas de vous sentir perdue, sans appui, sans ami, sans famille, et cela peut se surmonter, d'autant que vous avez une aisance dans les études, une aisance intellectuelle.

Voici un schéma de mise en route qui me paraîtraît pertinent :

- le suivi en analyse est important, car il vous permet un point d'ancrage régulier, il constitue un repère structurant, et vous permet d'avancer intellecuellement sur la compréhension de votre histoire, le manque d'un père puis d'une mère, les déménagements successifs, le manque d'ancrage dans le lien social en général.

- en parallèle de l'analyse, je vous invite à vous rapprocher d'un hypnothérapeute, qui travaille comme le Dr Freud, avec la méthode cathartique. Cela vous permettrait d'évacuer des émotions et pensées qui vous encombrent depuis tant d'années.

Vous écrivez "je ne paviens pas à réfléchir et organiser les idées dans ma tête", d'où un travail nécessaire pour clarifier la pensée grâce à ce travail cathartique.

- en parallèle, si vous sentez que l'angoisse est insurmontable, n'hésitez pas à consulter un médecin, et le cas échéant, à vous faire prescrire une chimie légère, qui pourrait enrayer les moments de crises. Personnellement, je ne suis pas à encourager la chimie, mais parfois elle est utile pour des situations difficiles.

- Ensuite, il me semble que les études en psychologie vous conviennent, car votre propre histoire est un atout pour, plus tard, comprendre la psyché humaine, et l'accompagner. Le travail en analyse sera un atout supplémentaire à votre panoplie de psy.

- Créer du lien, cela pourra se faire en investissant une activité qui vous plaise, qui équilibrera votre vie d'étudiante :

aimez-vous la danse, le chant ? les activités manuelles ? L'engagement caritatif ? religieux ? un cours de dessin ? l'archéologie ? les jeux de société ? un sport de combat ? un sport collectif ? etc...

Trouver un point d'ancrage en plus du cabinet de psychanalyse, vous permettra de gagner en confiance, sortir des pensées tourmentantes, et créer des liens au fil du temps.

Ces premières étapes sont un début pour réapprivoiser la vie.

Je suis disponible, si besoin, pour en parler, je serais très heureux de vous accompagner si vous le souhaitez.

Prenez soin de vous, bien cordialement

Robert Françon

Robert Françon Psy sur Lyon

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8 MAI 2024

Bonjour A... (impossible de vous appeler par le pseudonyme que vous avez choisi)

Vous décrivez une situation de très grande détresse avec des traumatismes précoces et considérables.
Vous êtes épuisée et isolée par le poids des épreuves rencontrées.
L'urgence est que vous soyez prise en charge.
Au vu de vos difficultés financières, vous avez droit à un soutien qui ne vous coûtera rien : allez voir un psychiatre compétent, qui envisagera le cas échéant une hospitalisation car vous avez besoin de soins, d'être prise en charge dans un cadre reposant et protecteur.
Si vous ne trouvez pas de psychiatre, rencontrez un médecin qui s'occupera de votre hospitalisation.
Et votre papa, n'est-il pas possible de le recontacter ? Vous ne pouvez pas rester seule dans cette situation.
Ce que vous appelez "les plus belles années de votre vie", vous ne les avez pas encore vécues.
Il est difficile d'être "à l'aise socialement" quand on a manqué de tout et de l'essentiel, en matière d'amour et de sécurité.
Vous n'êtes pas responsable de ce que vous éprouvez et subissez.
Ces démarches simples deviennent colossales dans la situation que vous vivez, mais il faut les faire.
N'avez-vous pas une personne (amie, oncle, tante, voisin, ...) qui peut vous emmener chez un médecin ?
Courage ! Rien n'est irrémédiable. L'important est de trouver la porte qui vous sortira, peu à peu, de cet enfermement.
Bien à vous,
VM

Valérie Maréchal Psy sur Metz

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7 MAI 2024

Bonjour Madame,

Merci pour votre courage et de témoigner ainsi que pour votre confiance.

De votre message émane une grande détresse à laquelle il conviendrait de réagir rapidement. J’observe que vous vous accablez beaucoup en vous adressant de lourds reproches. Vous n’êtes cependant pas responsable de votre état, mais en êtes davantage victime. Il faut que vous compreniez que les choses ne peuvent pas en rester à ce point qui semble être insupportable pour vous. Vous avez le droit de vivre et d’aller mieux. Cela est tout à fait possible si vous faites l’objet de soins adaptés. Réaliser une analyse est un formidable choix de votre part. Cependant, la psychanalyse est un travail qui nécessite du temps, souvent plusieurs années. Or, vous avez besoin d’une aide éminente. Je vous suggère grandement de contacter le service d’urgences psychiatriques de votre ville ou de la ville la plus proche de chez vous. Expliquez que vous avez des pensées suicidaires de plus en plus présentes et insistez sur ce point. Cela vous permettra de bénéficier d’une orientation au sein d’un service adapté qui pourra vous prendre en charge dans les plus prompts délais. Cela ne vous empêchera pas de poursuivre votre analyse, il s’agit de deux choses tout à fait différentes, mais bien loin d’être incompatibles !

Je vous souhaite beaucoup de courage dans cette période difficile et vous exprime tout mon soutien et la compréhension. Je reste à votre disposition au besoin.

Chloé Lefebvre, psychologue clinicienne

Chloé Lefebvre Psy sur Paris

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7 MAI 2024

Bonjour,
J'entends comme votre détresse est grande et vous avez eu le bon réflexe en nous partageant votre souffrance ici. Dans une situation comme la vôtre, il est important de ne pas resté isolée. Sachez aussi qu'en cas de crise suicidaire ou si ces pensées devenaient trop insupportables, il existe des lignes d'urgence qui sauront vous écouter 7/7 et 24/24. Je crois qu'aujourd'hui la priorité pour vous n'est pas tant de changer ou de rebondir, mais de souffler. La barque est pleine et vous avancez en pleine tempête. Votre santé est votre priorité et il y a un temps pour choisir ses batailles. Vous n'évoquez pas de traitement médicamenteux, si tel n'était pas le cas, je ne saurais trop vous encourager à aller voir un psychiatre qui pourrait vous proposer également une hospitalisation pour vous aider à vous recentrer sur vous même et à renouer avec davantage de sécurité intérieure. Vous êtes jeune, la vie offre des secondes chances et tant de chemins de traverse pour atteindre ses objectifs (et s'en découvrir d'autres), quant aux "belles années", elles commencent quand on se sent bien et à l'équilibre dans sa vie. Ne lâchez pas la barre, trouvez juste l'ilot pour vous poser et mieux repartir.
Je reste à votre écoute,
Bien cordialement
M. Vaillant

Julien Vaillant Psy sur Montgeron

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7 MAI 2024

Bonjour à vous,

Vous êtes très fatiguée ! je ne vous apprend rien ! Lorsqu'il y a fatigue, il est impossible de penser ! Hors vous pensez trop, de plus si vous fumez cela n'arrange pas le problème. Désolée de dire la réalité !
Toutefois sachez que ma devise est : TOUT EST POSSIBLE !
La preuve vous avez de grande capacités pour apprendre !
Vous avez d'autres atouts majeures également : Vous êtes jeune, vous avez donc la possibilité d'une grande résilience !
Vous êtes un être humain ! Une autre grande capacité pour ouvrir votre conscience ! et faire grandir votre coeur !
Un adage chinois dit : toute chôse allant à son apogée, retourne toujours à son contraire !
Je pense que vous avez atteint l'apogée, vous ne pouvez que rebondir dans l'autre versant.
Oui il y a du chemin, toutefois vous devez comprendre que la vie n'est pas là pour vous punir, vous êtes en vie pour grandir, et évoluer vers le meilleur de vous même. Vous devez changer votre manière de penser !
Lorsque l'on se sent acculée, il nous faut mettre le problème dans une autre dimension afin de disoudre le problème et trouver d'autre solutions.
Plusieures solutions : Tout changer : comment ? la base, bien manger, bien dormir...
: trouver un stage pour s'occuper de plus malheureux ...
: allez faire de l'humanitaire.....
: S'ouvrir à un autre monde pour comprendre que nous ne sommes pas victime et ainsi assumer
notre responsabilité d'être !
: s'inscrire dans des associations d'entre aide de toute sorte....
: trouver des objectifs créatifs
: Se faire aider pour retrouver son dynamisme
:............
La vie est belle, ne restez pas dans une mare qui stagne, apprenez à regarder la sensibilité de la vie, tout autour de vous, il y a tant à découvrir et à expérimenter.....
Votre mental vous fait croire à l'illusion que vous êtes dans une mare et que vous ne pouvez pas en sortir. Le nénuphar est le symbole de la sérénité . Sachez qu'il pouse dans la boue, et pourtant il fait des fleurs magnifique !
TOUT EST POSSIBLE ! C'est dans l'obscurite que l'on voit la lumière !
Je vous envoie mille douceur, et de la force, afin que vous puissiez retrouver le courage pour ouvrir les porte de la connaissance et la comprehension de vous même. Prenez soin de vous, vous avez tout pour réussir !
Je vous remercie de votre confiance.
Cordialement. Christine LORIJON

Christine Lorijon Psy sur Haute-Goulaine

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7 MAI 2024

Bonjour,

Vous savez encore crier "au secours", c'est donc qu'il y a encore de la vie en vous.
Vous êtes intelligente mais votre histoire personnelle vous ronge de l'intérieur et vous donne une très mauvaise image de vous même.
Vous êtes clairement en dépression de choses qui ne sont pas soldées.
La prise de cannabis n'arrange rien car cela augmente l'angoisse chez les angoissés, perturbe vos facultés de concentration et vous courrez aussi le risque d'une perte de vos émotions. On ne peut que vous conseiller d'arrêter le plus vite possible.
On peut se demander aussi si vous n'auriez pas besoin d'un break par rapport à vos études. Vous pourriez peut-être poser vos valises, trouver un job à temps plein et poursuivre votre thérapie ou la reprendre avec un(e) autre psy si vous ne vous sentez pas totalement à l'aise ou si la thérapie choisie n'est pas assez efficace.
Il est possible que vous ayez aussi besoin provisoirement d'un traitement médicamenteux pour vous permettre de voir les choses moins négativement. Mais une vie régulière et le travail sont d'excellents traitements.
Je reste personnellement à votre disposition, sachant que ma première séance d'une heure en visio est entièrement gratuite et sans engagement. Vous pouvez librement prendre un rendez vous sur mon agenda en ligne.

Bon courage à vous

Michel le BAUT
Psychopraticien
Thérapeute Jungien
Analyse de rêves

Michel Le Baut Psy sur Marseille

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7 MAI 2024

Bonjour,

Pour commencer, ne pensez-vous pas qu’il serait souhaitable d’arrêter le cannabis et de vous faire aider par un psychiatre, car vous êtes probablement dans une dépression sévère ? C’est une maladie grave qu’il faut s’attacher à soigner pour enfin sortir la tête de l’eau et ne plus avoir les idées noires en restant couchée toute la journée.

Je reste à votre disposition et à votre écoute.

Pour plus de détails, contactez-moi.
N’hésitez pas à vous faire une idée du sérieux de ma méthode en consultant les avis sur ma fiche.

Christophe
-------------------------------------------------
Thérapeute de couple - Sexothérapeute
* Rendez-vous en ligne uniquement

Christophe Nieaux Psy sur Melun

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