Mensonges expertise psychologique
Bonjour, une expertise psychologique a été demandée par le JAF suite séparation avec le père de mes enfants. Vue à peine une heure au cabinet de la psy qui venait de voir mon ex aussi pour expertise.
Ainsi que mes enfants vus ensemble à peine 5 mn alors que mon ainé souhaitait être vu seul, craignant que sa soeur répête sans le faire exprès vu son jeune âge son discours à son père dont il a très peur.
En plus de me couper la parole sans arrêt et faire comme si elle ne croyait pas ce que je lui disait, elle a donné son avis médical lorsque je lui ai dit que cela "m'embêtait" que le père ne donnait pas les médicaments prescrits par le médecin. A ceci, elle m'a répondu deux fois, ce n'est pas grave tant que vos enfants ne vont pas aux urgences et a rajouté "qu'est-ce que cela peut vous faire puisque ce n'est pas vous qui ramassez le vomi ? (quand ils sont avec lui, sauf que moi je les récupère aussi malades puisque pas soignés ni traités). Je n'avais d'ailleurs pas parlé de "vomi" mais que ma fille faisait des angines à répétition.
Je précise que je n'ai aucun syndrome de Munchausen et que ce n'est pas moi qui inocule les microbes ou bactéries de mes enfants pour qu'ils aient des angines ou autres bronchites asthmatiforme (que la psy a réfuté disant que si je n'avais pas fait de demande de PAI, c'est que mon fils ne faisait pas d'asthme -bien qu'ayant précisé que c'était des bronchites asthmatiformes et non de l'asthme à proprement parler).
Je lui ai dit également que mon enfant faisait des allergies (suivi par allergologue) et elle m'a répondu sur un ton sarcastique "bien sûr, les allergies sont à la mode"insinuant que je mentais.
Pour autant, je ne pense pas que le médecin s'amuse à prescrire un traitement s'il n'avait pas lieu d'être.
Elle n'a pas voulu voir aucun de mes justificatifs pour quoi que ce soit y compris la précédente enquête sociale me disant qu'elle n'y avait pas accès et qu'elle ne voulait pas être influencée par ce qu'il y avait d'écrit. Bref, tout ce que je disais était tourné au ridicule, et ses questions très orientées m'ont convaincu que comme l'enquêtrice, le travail de sape de mon ex-conjoint qui me déclare partout folle, dépressive, voleuse, menteuse et violente l'avaient persuadé de sa véracité.
Puisqu'il y a eu des rumeurs partout là où je vis comme quoi j'étais folle que même le corps enseignant attestait mais ne voulait pas me dire quels parents essaimaient ces calomnies.
Le rapport indique que je suis hystérique au motif que j'ai grandi sans père et que je suis en conflit avec ma propre mère. Ce qui est absolument faux puisque ma mère et moi nous entendons parfaitement, pas de crise d'adolescence ni aucun problème d'ailleurs. Echange basé sur le respect et le dialogue. Comme je souhaitais le faire avec mes enfants sauf que mon ex est contre ça puisqu'il me reprochait sans cesse que je puisse échanger avec mes enfants dans la sérénité et la bienveillance, lui étant pour les tapes, les punitions et les humiliations.
Elle écrit aussi que je suis mythomane. Sur quelle base, je me demande puisque je n'ai rien allégué ni menti, ni exagéré. Bon pour sûr, les mythomanes eux-mêmes ne savent pas qu'ils mentent.
Mais personne mis à part elle, mon ex-conjoint et ses complices (son avocate ou ex-voisins) allèguent ces infamnies.
Du coup, inutile de lui parler de la violence physique et verbale de mon ex-conjoint. Elle ne m'aurait pas cru et était de toute façon dès le début très partiale. Bien que j'ai toutes les preuves intangibles de ce que j'avance. Il m'a semblé lire qu'en matière d'expertise psy, il n'était pas possible de demander de contre-expertise, à l'inverse d'une contre-enquête sociale. Partagez-vous l'avis de cette psy que toutes les femmes ayant grandi sans leur père sont histrioniques et hystériques ? (puisqu'elle me désigne en tant que telle sur ce motif).
De plus, elle écrit que mon ex n'a pas de traits de perversité narcissique comme je l'aurais prétendu sauf que le terrain étant déjà glissant, je n'ai jamais évoqué cette chose-là auprès d'elle, ni même suggéré. Je suis restée factuelle et n'ai fait aucun diagnostic de ce type à l'encontre de mon ex-conjoint. Bizarrement, alors qu'elle dit au cours de l'entretien qu'elle n'ait pas vu le rapport d'enquête sociale, elle écrit néanmoins qu'elle m'aurait précisé que l'enquêtrice était une professionnelle avérée. Comment peut-elle en préjuger puisqu'elle dit ne pas avoir vu cette enquête ? Et donc ne sait pas qui a fait cette enquête. Oui, en effet, j'avais bien précisé que l'enquête était partiale et que d'énormes mensonges y étaient écrits, éléments irréfutables dont mon avocate et moi-même disposons. Elle écrit que ma relation à l'image maternelle est hyper conflictuelle (???bien que nos relations soient saines et au beau fixe depuis toujours) et que l'absence du père dans mon histoire personnelle est marquée, que je m'identifie à lui et que je ne cesse de l'admirer d'un point de vue fantasmatique. Elle écrit que je suis en insatisfaction sexuelle (bien que je n'ai aucunement parlé ni de sexualité ou de ce qui s'y rapporte).Elle écrit que je dénonce des faits qui sont enjolivés, que je suis mythomane, que mon réel est perçu mais qu'il est infiltré par mon imagination. Elle écrit que je subodore de la violence de la part de mon ex mais que je ne fournis aucun document pouvant l'attester. (je reprécise qu'ayant des documents en ma possession ce jour-là, je lui ai proposé de porter à sa connaissance certains éléments mais elle a refusé. Elle écrit que je suis persuadée que mon éducation est parfaite et que tous les autres ont tort. Je n'ai jamais dit ça ni même suggéré. Je lui ai dit simplement que j'étais pour l'éducation bienveillante et que je ne souhaitais pas que mes enfants grandissent dans les punitions ou humiliations.
Elle écrit d'autres faits que mon ex lui a répété qui sont faux et dont j'ai les preuves tangibles également (à titre d'exemple, des éléments comprenant des dates alors que je possède la preuve par les réponses et attestations qu'on m'a fourni que c'est impossible d'un point de vue temporel). Le chapitre concernant l'un de mes enfants où son nom est repris plusieurs fois désigne à un moment donné un autre nom et prénom sans que je sache de qui il s'agit, supposant que cela soit un autre adulte ou enfant ayant fait l'objet également d'une autre expertise.Elle explique le dessin que ma fille a fait à son cabinet disant à propos des couleurs qu'elle a choisi que le violet symbolise la joie et le bleu symbolise les émotions positives et la tranquillité (suggérant je suppose que ma fille serait dans un climat de joie et de tranquillité ???).Elle écrit que c'est ma fille qui a sollicité son père pour dessiner (rien d'étonnant à cela, c'est de son âge, et elle adore dessiner).Elle écrit que ma fille obéît plus à son père qu'à moi, son père ayant une autorité naturelle...Bien que mes enfants ne soient restés à peine 5 mn en ma présence et que je n'avais pas à me faire "obéîr" de quoi que ce soit. Elle met que je "projette" mes propres angoisses ou peurs sur mes enfants. Je souhaite seulement qu'ils grandissent dans un environnement respectueux, fait de dialogue sans violence éducative telle que claques, fessées, punitions arbitraires ou pas, humiliations verbales.(telle que bon à rien, stupide, ou pas d'cerveau comme je l'ai entendu souvent, d'où ma séparation entre autres). Le rapport est rempli de fautes d'orthographe, de grammaire, de surcroît, de nombreux passages et paragraphes ont été copié-collé sur divers sites internet (ce que l'on peut appeler plus communément du plagiat).
Elle a souhaité me soumettre à un Test de Rorschach, que je n'ai osé refuser puisqu'elle semblait fort inspirée bien que ces tests projectifs n'aient aucune validité scientifique, que de plus, je savais très exactement de quoi il retournait et que tout un chacun peut se permettre d'y répondre n'importe quoi, sachant que ces tests sont disponibles sur le net et qu'en fonction par exemple de la profession de chacun, on peut y voir des choses qui seraient qualifiées de perversité sexuelle ou autres "psychoses ou névroses" car l'ayant soumis à des proches, nous avons bien ri car un gynécologue y verra des choses différentes d'un chirurgien dentiste ou d'un pompier.
Bref, merci d''éclairer mes lanternes pour savoir comment rebondir pour démontrer au niveau de la justice que cette expertise est une fumisterie sans nom car le JAF s'en est largement inspiré et de ce fait, je ne vois pratiquement plus mes enfants dont la garde a été confiée au père qui d'ailleurs fait tout pour rompre le lien familial (refus de communiquer, pression psychologique, harcèlement moral, m'ayant même reproché il y a quelques semaines d'avoir des bouffées délirantes et déclaré qu'il s'inquiétait pour mes enfants et que je n'étais pas dans mon état normal, toujours le même crédo depuis des années).
Bonne journée.