21 FÉVR. 2022
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Bonjour,
Nous devons être des millions, à souffrir de ça, à différents degrés.
Il y a plusieurs facteurs qui peuvent en être à l'origine.
Et nous pouvons avoir différentes motivations.
Alors voici quelques recettes, si je puis dire.
Je ne sais pas par quoi, commencer, si je veux être à votre écoute.
Je vous liste ces quelques idées.
Boisson Pulco orange, avec une ou deux pincées et demi de bicarbonate de soude alimentaire, en moyenne surface, au rayon condiments, avec de l'eau bouillante. Laisser refroidir. Boire le soir ou le week-end. Aide à se détendre, fluidifie le sang, est purificateur, draine, assainit.
Varier, de temps en temps, avec du Pulco citron. Libère les viscères.
Aller aux toilettes, bien, je veux dire, régulièrement, et, recette de grand-mère, comme pour les enfants, attendre, excusez-moi, de faire pipi, une deuxième fois. (Contracter l'urêtre, jambes serrées, et, détendre, relâcher, en ouvrant les jambes, nerfs détendus, pour évacuer ce que j'appelle le pipi nerveux, que bien souvent, on accumule, sans véritablement s'être vidé entièrement ). (C'est le cas souvent de personnes vivant dans la peur, ou stressées, complètement bloquées pour vivre sereinement leur intimité, atteintes de ce mal, pendant plusieurs années, sans le savoir ).
Vous allez penser que tout ceci n'a aucun rapport, mais il s'agit bien de bien-être, et cela commence par là. Se sentir libéré.
Ensuite, il y a cette discipline de ne manger qu'une seule sorte d'aliment par jour, ou deux ou trois. Mais sans trop de mélange. Un peu, au jour le jour, comme aller s'approvisionner dans le magasin, en prenant soin de choisir agréablement ce que l'on mangera aujourd'hui, et simplement.
Vivre et avoir une discipline d'esprit de l'instant. Une chose après l'autre. En conscience.
S'aimer.
Aimer la vie.
Profiter de la vie.
Remercier de pouvoir se nourrir, comme se vêtir. Être vivant, entier.
Cela semble aller à l'encontre du souhait exprimé, mais en fait, il s'agit de vivre en conscience chaque instant qui nous fait.
Bien choisir ses aliments selon nos goûts et de manière équilibrée.
Si gourmandise (chocolat, gâteaux ), il y a, restreindre le jour suivant, en mangeant plutôt fruits ou yaourts.
Être à l'écoute des besoins de son organisme. Viande, poisson, légume, ou pain grillé si l'on aime le pain et privilégie sandwicher. (Privilégier les pains complets ).
Il ne faut pas se priver, et se miner moralement.
Mais, connaître une discipline en conscience.
Se réapproprier bien-être du corps et sérénité de l'esprit.
L'apprentissage, quand à la vie, et, être maître de soi, nous prend, parfois, plusieurs années. Puis, nous pouvons être parasités par des événements qui nous privent de nous-mêmes, nous enlèvent l'appréciation de nous-mêmes, quand à nos vies et notre espace temps.
Bien souvent, nous avons du mal à accepter, ce ventre. Région centrale, de nous-mêmes.
Mais c'est comme pour tout il faut se dire, que tout n'est que cycle, passage, voyage, transformation, énergie. Et être dans l'acceptation d'un ventre parfois plat, (rarement ), parfois gonflé par ce que l'on vient de manger ou boire, c'est normal, c'est le bien-vivre. Sinon, nous ne serions pas vivants.
Mais cela s'équilibre. Avec le sport aussi, si l'on veut.
Pour bien vivre tout cela, c'est de s'enfermer un peu dans sa bulle et vivre les choses à son rythme, sans obligation. Et autant à l'intérieur de soi que bien, dans ses vêtements.
Se venger sur un paquet de gâteaux ou de chips, est bien souvent, nerveux. Puis, ne pas l'accepter, c'est ne pas avoir été dans l'instant présent. C'est à dire avoir mangé, inconsciemment. Sans s'en rendre compte. Ne pas l'avoir apprécié.
En fait, pour chaque chose de la vie, il faut être maître de soi, être acteur de chaque instant, dans une journée, si l'on le peut, selon là où l'on réside, vivre et être dans l'instant, en conscience.
Manger un paquet de gâteaux, sans être concentré un minimum, nous échappe, et alors, nerveusement, énergétiquement, cela ne nous a apporté aucun bien-être ou mieux-être.
C'est beaucoup avec la conscience de et dans l'instant, que déjà, nous pouvons retrouver harmonie.
Se faire vomir est une autre démarche. Mais ce n'est pas un geste naturel. Et cela peut être violent.
Être vivant, c'est vivre pleinement, ce qui nous conditionne, de manière juste, saine et équilibrée.
À l'adolescence, lorsqu'on a du mal avec la nourriture, c'est aussi que l'on recherche un état originel qui soit pur. On remet souvent, tout en question.
Mais on peut trouver les voies de l'harmonie.
J'espère toutes ces idées, vous mettre sur la voie.
Je vous embrasse très fort
Lou Sarah Sheyen
Sheyen Evolving Psycho-philo-practice Hyper-conscience Philocognition Libération.