Je suis divorcée , j ai deux filles 14 ans et 13 ans ma fille de 14 ans s est fâché avec son papa et ne veut plus retourner chez lui et depuis elle est malheureuse a des idées noires, elle ne va pas bien ,de plus le collège le stress des notes elle commençait à faire des crises d angoisse et elle ne me parle pas de ses problèmes elle est réservée je l ai emmené chez une psychologue de Circonscription d'action sociale, je lui fais part de mes inquiétudes, afin d accompagner ma fille et ouvrir le dialogue avec moi , apres quelques seances elle m à dis elle va tenter une réconciliation avec le papa, et ma fille, elle m à convoqué après pour me dire que le papa s est énervé et parti sans dire aurevoir et que je dois saisir le juge pour retirer l autorité parentale.( je n ai pas fait ça) Elle a jugé que le papa a des defaiences et elle a interdit au père de contacter sa fille sans passer par elle . En sortant je l ai trouvé très stricte ,surtout que je sais que ma fille veut encore voir son père et que ce n est fini avec lui elle a une colère après lui mais au fond d elle ne veux pas l oublier et l aime encore. Je trouve des mots ou elles exprimer bien l envie de le voir le contacter .
Apres La psy m a conseillé de consulter un poedopsychiatre. Qui a prescrit un antidépresseurs à ma fille elle dormait pas la nuit, depuis je n ai pas eu de nouvelles de la psy . Lors de la dernière consultation avec le psychiatre il a proposé un hébergement thérapeutique à ma fille deux trois soirs dans la semaine dans le but de travailler la confiance en soi apparemment la psy l appeler et elle est à l origine de cette proposition. J étais choquée dernière à savoir les choses ma fille a dis oui et apparemment la psy lui a déjà expliqué tout ça , j ai tenté de comprendre jvai posé des questions au psychiatre. Qui m à dis votre fille à besoin de voir d autres adultes
et elle ne veux pas que vous sachez ce qui se dit avec la psy il était clair , J ai pris rdv avec la psy pour tenter comprendre les motivations, je l ai trouvé tendu , toujours dans le jugements et comparaison avec d autres parents. Zt au final aucune transparence. Je lui dis que ma fille a besoin de voit son père le peu que j échange avec elle elle l exprimé bien
Elle me répond oui vous avez raison j ai échoué, j ai confronté ta fille et le papa, en pensant q elle va comprendre ses défaillance et l oublier mais ce n est pas le cas .
Et elle me dis que ma fille n as pas dépression.
Ca fait un an et demi que ma fille est accompagnée par cette psy.
Quand je suis partie le lendemain je lui envoyé un mail pour tenter d avoir une transparence sur la nature du conflit avec ma fille afin de rétabli le dialogue avec moi et son père je n ai jamais eu de réponse.
Aujourd'hui je suis dans le flou total je ne sais pas ce qui se passe est ce que elle veut éloigné ma fille de moi de son père ?
Un psychologue peut faire ce genre de demande ?
A t il le droit d interditr un papa d appeler ou d'envoyer un message à sa fille.?
J ai le droit de changer de psy ou contacter son supérieur ?
Ma fille a peur de reprendre contact avec son père pour ne pas décevoir la psy ?
Le papa envoi des messages d amour ma fille , elle les lu mais ne répond pas.
Je me sens pas alaise avec la psy de ma fille .
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4 JANV. 2023
· Cette réponse a été utile à 5 personnes
Bonjour,
Votre fille souhaite que tout ce qui se passe en séance psy reste entre elle et les professionnels, c’est son droit. Il est vrai qu’en tant que parent on s’inquiète du bien-être de ses enfants, mais trop souvent les parents ne sont pas les meilleurs thérapeutes pour leurs propres enfants.
Il semble qu’il y ait des problèmes avec son père, mais peut-être aussi qu’il y a des problèmes avec vous. Votre fille semble avoir besoin d’être accompagnée pour réussir à dépasser ses problématiques, vous devriez vous fier aux professionnels qui font leur métier. N’oubliez pas que votre fille souhaite cet accompagnement.
Aidez la en lui disant que vous serez toujours là pour elle et que si elle a besoin de vous, qu’elle peut toujours venir vous parler et que ce sera sans jugement de votre part.
Je reste à votre disposition et à votre écoute.
Pour plus de détails, contactez-moi.
Christophe
_______________________________
Thérapeute de couple - Sexothérapeute
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5 JANV. 2023
· Cette réponse a été utile à 3 personnes
Bonjour,
Votre fille est mineure. Sa psy n' a pas d'autorité pour imposer quoi que ce soit même si elle est rattachée à la protection de l'enfance. Seule une décision de la justice peut vous imposer de vous soustraire votre fille sous quelque forme que ce soit.
Par contre vous êtes indirectement entre les mains de cet organisme qui peut très bien saisir le procureur de la république en prétendant que votre fille est en danger, si vous ne "leur obéïssez pas". En réalité cette psy est dans l'abus de pouvoir. Mais cela est malheureusement fréquent avec cet organisme. Il faut donc être prudent.
Je vous conseille de demander à votre fille si elle serait d'accord pour voir un autre psy. Si oui vous pouvez le faire et je pense a priori que ce serait une bonne chose. Il est évident que votre fille a besoin de conserver un lien avec son père.
Si d'aventure les choses se compliquaient avec la protection de l'enfance, n'hésitez pas à consulter un avocat.
Je reste personnellement à votre disposition, sachant que ma première séance d'une heure est entièrement gratuite et sans engagement.
4 JANV. 2023
· Cette réponse a été utile à 0 personnes
Bonjour,
Déjà, en aucun cas un psychologue est habilité à interdire des contacts entre les parents et les enfants : seul le juge a le pouvoir de statuer sur l'autorité parentale et les droits de visite. Le juge cherche à maintenir au maximum les liens, sauf circonstances particulières (mise en danger, incapacité reconnue etc...). Si vous n'êtes pas déchargée de l'autorité parentale, le papa et vous pouvez parfaitement décider de confier le suivi à un autre professionnel : il n'est pas normal que votre fille refuse de voir son père pour ne pas décevoir la psy.
Je pense qu'elle ne trouve pas son compte dans cette prise en charge : il faudrait qu'elle puisse travailler sur les blessures réactivées par la séparation : on sait que dans le rapport avec le parent du sexe opposé, c'est la peur de l'abandon qui se crée. Elle lui en veut probablement et il est normal que cela ressorte à l'adolescence mais cela paradoxalement, cette rancœur n'empêche pas l'affection. De quelles défaillances relevées par la psy parlez-vous ?
Bien à vous
Véronique BLANCHE, Thérapeute Holistique
Guérison de l’enfant intérieur
Hypnose Ericksonienne
Soins énergétiques
4 JANV. 2023
· Cette réponse a été utile à 3 personnes
Bonjour Zaza,
D'abord, je constate que vous, maman, votre fille adolescente de 14 ans donc en pleine révolution à cet âge, et votre ex mari, souffrez chacun de votre côté.
Votre fille de 14 ans est suivie par une psy depuis une année et demi mais visiblement l'alliance thérapeutique n'est pas passée, cela ne se contrôle pas et personne n'est contraint de poursuivre quand le relationnel entre patient et thérapeute ne s'installe pas, srutout après aussi longtemps, il y a un souci. Le feeling est très personnel, ce n'est pas une question de compétences, mais une manière d'agir, d'appréhender le sujet, de parler, notamment avec une adolescente.
Il ne faut pas une relation de "dominante/ dominée" en thérapie. Le patient est fragile, ses émotions sont à fleur de peau, encore plus à 14 ans de manière globale.
Personne n'a le droit de faire poursuivre cette thérapie, qu'a-t-elle apporté au final à votre fille?
Des doutes, un bouleversement émotionnel supplémentaire, de la souffrance psychique, et j'en passe....
Qui peut emprêcher un enfant d'aimer ses parents, de prendre la main sur ses émotions si personnelles comme l'amour filial notamment?
Votre fille est perdue dans cet état si chaotique et je vois plus de dégâts que de ré-équilibrage de son psychisme.
Je ne me permettrai pas de porter un jugement sur des confrères et consoeurs mais où est la pathologie dépressive? Pourquoi une difficulté de sommeil doit elle susciter des prises d'anti dépresseurs à 14 ans? N'existe-il pas d'autres alternatives?
La dépression est un diagnostic posé normalement comme diagnostic différentiel par un psychiatre ( même si légion de médecins généralistes en parlent) mais cette névrose englobe bien plus de facteurs et symptômes que ce que vous énoncez.
En quoi la psy peut-elle éloigner votre fille de ses deux parents? N'est-ce pas l'état décisionnel du juge aux affaires familiales?
Elle peut rédiger un courrier exposant son point de vue au même titre que le pédopsychiatre mais étayé, et la décision ne revient qu'au JAF.
Visiblement, dans votre long récit de détresse, vous expliquez que l'autorité parentale est attribuée au papa, est-ce bien cela?
Pas de garde alternée?
Personne ne sait ce qu'il sait passé avec exactitude lors de l'entretien entre la psy et votre ex mari, pourquoi il s'est énervé; chose est certaine, on ne prend pas la décision de retirer une jeune fille de son foyer, dans ce cas le père.
Tout le monde êut s'enerver surtout en étant poussé dans ses retranchements ou par des allusions.
Personne n'a le droit non plus dde génerer de la culpabilité chez une ado si elle veut lire les messages de son père.
C'est un lien intangible, précieux et à ne pas détruire.
C'est le droit en revanche du psy de ne pas vous révéler la teneur des propos échangés avec votre ex mari, c'est déontologique mais
vous avez vous aussi le droit de changer de thérapeute pour aider votre fille, le droit d'être aidée sur le plan juridictionnel pour faire part de ces actions et des faits perdurant depuis un peu trop longtemps car tout le monde a une hiérarchie.
Enfin, Zaza, il n'est absolument pas question de Décevoir la psy, sortez ces faits faux de l'esprit de votre psy, elle n'est pas sous l'emprise d'un gourou. Au contraire, votre fille doit se sentir en confiance et avancer avec une psy, ne pas craindre ses réactions qu'elle se doit par ailleurs de contenir dans ce qu'on appelle le contre-transfert du thérapeute.
Et vous aussi; si cela ne matche pas avec la psy de votre ado, changez, vous n'avez pas fait le serment de vivre enchainée à elle.
Pas d'abus d'autorité ou de pression, c'est choquant de voir cela.
Les thérapeutes sont des aidants devant respecter la neutralité; la bienveillance, le non-jugement, des accompagnateurs vers un mieux-être, pas des personnes où la relation ne passe pas, où la communication bloque, c'est l'inverse justement.
Je suis à votre écoute en téconsultation si vous avez besoin d'être guidée dans ce vaste chao pour chacun de vous.
Vous devez sortir de cette situation et préserver les relations entre vous, parents, et vos deux filles adolescentes, c'est cela le point central.
Courage à vous et à votre fille.
Avec toute ma bienveillance et mon empathie.
Bénédicte EscaronS
Praticienne en Psychothérapie
Thérapeute d'aide à la parentalité
Psychanalyste
Sophrologue
Thérapeute en TCC grande anxiété, stress post-traumatique
