11 JANV. 2022
· Cette réponse a été utile à 1 personnes
Bonjour,
J'apporte toujours des réponses personnalisées, ou, j'aurais pu, plutôt, commencer par dire, je ne fais jamais ça, écrire, pour deux personnes, à la fois, j'apporte toujours des réponses personnalisées, donc, mais, il s'avère que j'eus la même réflexion, à la lecture de deux messages de deux patients ou personnes différentes. Alors, je partagerai cette même réponse, ou vision.
Le sentiment.
Le sentiment que l'on a de soi, de soi-même.
Un environnement peut, ou bien, nous être favorable, ou hostile. Et, en tant qu'être social, nos efforts nous appartiennent, mais, avant tout, je dirais, pour nous-mêmes. Parfois même, vous aurez beau, multiplier les possibilités d'existence, disons, pour résumer, ou, à l'inverse, vouloir disparaître ou s'inhiber, tant que nous ne trouvons pas l'équilibre, c'est mission impossible.
Et, malheureusement, nous ne vivons pas encore, dans un paradigme idéal où seule, notre innocence serait la bienvenue.
Nos parents sont ce qu'ils sont, parfois protecteurs, parfois néfastes, pour d'autres, il est sûr que l'on doit aussi, satisfaire une conscience de vivre, pour nous-mêmes. Le détachement d'avec l'extérieur est parfois, difficile, une distance, une distanciation.
Alors, c'est jouer son propre jeu, je, qui nous est demandé, dans l'âme, et c'est à nous, de mettre en œuvre, une formule de vie, pour laquelle, on se sente aligné, vivant, et bien dans sa tête, dans son corps, en esprit.
L'intégrité, la sincérité, l'honnêteté.
Parfois, l'extérieur est tout simplement jaloux, aussi.
Ou bien, pour d'autres cas, c'est que nous ne collons pas à notre environnement, peut-être, ne sommes-nous pas, dans notre élément. Ou n'avons pas appuyé sur notre propre interrupteur pour allumer notre propre lumière, et raison d'existence. Une vie terne, au lieu d'une mise en lumière, on est effacé ou bien, l'on vit des événements, sans réelle implication, ...
Pour d'autres, encore, c'est l'inverse, nous mettons tous les spots sur nous, mais l'éblouissement attire reproche ou abandon, ou doute...
On est là pour apprendre, et il peut même arriver, que l'on se découvre d'autres facettes ou profondeur d'esprit, profondeur de l'âme, une autre intelligence, une autre sensibilité, ou bien encore, d'autres centres d'intérêt pour d'autres domaines, bien plus tard, lorsque l'on se retrouve en état de réflexion, davantage. L'observance.
Un milieu peut influer. Et parfois, pas, dans le bon sens. Alors nous empruntons des comportements qui, parfois même, ne nous sont pas, du tout favorables, parfois même, nous pousser dans des extrêmes ou bien, à l'inverse, nous faire nous replier.
Ce n'est pas anormal. C'est juste une réaction, une attitude, comme une éponge emmagasinera les mêmes informations de son milieu environnant.
Le tout, c'est de trouver discernement entre soi et le monde extérieur.
Les cas de figures peuvent être, subir l'environnement, sans le savoir, ou, manquer de résonance et ne pas se sentir suffisamment vivant.
Le jeu, je, du miroir, pour soi, peut être un moyen de s'auto-évaluer, sans le regard des autres, et retrouver une motivation ou un amour propre, pour soi-même, sans aucun jugement, mais, affirmation de soi-même, en soi, pour soi, tout d'abord, et équilibre, résonance.
La sincérité du regard intérieur.
Et, soit, l'on retrouve alors, intégrité, soit, pour d'autres, source de motivation, tout à coup, révélation, se dire, que l'on a une envie de voyage, par exemple, s'acheter un véhicule, et partir, ou bien, pour d'autres, encore, refaire sa garde-robe, et se dire, qu'on va postuler dans un magasin de vêtements.
Voilà, je pense qu'il s'agit du sentiment que l'on a, de soi, surtout, également, de ne pas vivre l'emprise parentale, autant que ne pas souffrir du regard extérieur.
L'équilibre entre le monde extérieur et le monde intérieur.
Se connecter à soi, se brancher, ou débrancher si l'on a besoin de lâcher-prise. Et respirer.
Trouver l'équilibre dans la lumière, vivre son propre esprit, et esprit de cœur, sans chercher ou attendre ou croire, ou à l'inverse, refuser le miracle extérieur, mais véritablement, vivre pour soi, car c'est avec nous-mêmes, que, nous pouvons formuler un pacte de résonance et de bien-être, en esprit et au niveau de notre équilibre.
Je vous reste disponible. Je suis désolée, je ne fais jamais ça, encore une fois, en dehors des messages personnalisés, écrire pour deux personnes, un même message, mais je trouvais ces similitudes, venant de deux personnes, différentes, homme et femme, et une réponse, avec cette thématique, du sentiment pour soi, me venait, alors partagée pour ces deux personnes.
Très respectueusement.
Je vous reste disponible
Lou Sarah Sheyen
Sheyen Evolving Psycho-philo-practice.