Je ne veux pas d'enfant

Réalisée par 29122022 · 2 mai 2024 Aide psychologique

J'ai 27 ans et j'ai beaucoup de problèmes hormonaux ( pour la plupart héréditaires) j'ai aussi des antécédents médicaux pas terribles ( dépression chronique, trouble borderline et post traumatisme, malformation auditive et de la cheville). De ce fait, au vue de la souffrance que ça m'a apporté tout au long de ma vie, et au vue du temps d'acceptation assez long, je me suis toujours promis de ne jamais le faire subir à mon enfant. Je suis fille de parent divorcés et d'un père qui n'en était pas un, et j'ai réalisé la complexité des relations amoureuses au fil de ma vie. Avec tout ça, sans être sûre de trouver le bon pour prendre la décision d'avoir un enfant, et la potentielle hérédité de mes pathologies, j'ai décidé de ne pas vouloir d'enfant. À ce jour, les hormones travaillent et suis en bataille constante avec moi même pour me rapeller les raisons pour lesquelles je n'en veux pas. J'ai peur de ne pas pouvoir lui expliquer et lui prouver que malgré tous les malheurs qu'il vit, il faut vivre et aller de l'avant alors que je n'en suis pas capable. Je l'aimerais trop pour le laisser souffrir et culpabiliserais toute ma vie s'il lui arriverait quoique ce soit qui serait en rapport avec ce que j'ai. Mais voilà, convaincue de mon état d'esprit, en salle d'attente pour un rdv il y avait un nourrisson magnifique et extrêmement mignon. Je ne pu m'empêcher de voir que je n'aurais jamais ça et j'ai fondue en larme de manière incontrôlable. Le papa s'en occupait merveilleusement bien et il avait cette naïveté qui me manquait temps. Je pensais être forte face aux arguments opposés, et me voilà à être emplie de tristesse, en deuil. Je ne comprend pas ce qui m'arrive je sais que j'ai du mal à vivre déjà et je ne veux pas sacrifier tous ce qui me reste pour une autre vie alors que j'ai encore trop à apprendre. Qu'est ce qu'il se passe ? Est ce que les effets biologique sont trop fort ? Est ce que je me suis plantée ? Est-ce que mon devoir de femme est d'enfanté, et que cette décision n'a rien à voir avec la société mais plutôt le corps humain ?
Je suis perdue et déjà que je n'ai rien prévu pour mon futur étant donné que je ne pensais pas me laisser vivre aussi longtemps, ce temps bonus comme je l'appelle, devient de plus en plus compliqué à remplir judicieusement...

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Meilleure réponse 3 MAI 2024

Bonjour,

Vous avez raison, un enfant n'est pas un droit mais une faculté qui implique beaucoup de devoirs et de sens des responsabilités.
La question n'est pas tant de savoir si vous le désirez que de savoir si vous le pouvez et quelles valeurs vous voudriez lui transmettre.
Dans ce que vous dites il y a la composante d'hérédité potentielle physique. Elle est à traiter avec les médecins pour voir de quel risque on parle vraiment. Il y a aussi la composante borderline qui ne se transmet pas nécessairement de manière génétique. Votre dépression chronique est sûrement liée à cette pathologie mais rien ne dit que votre enfant sera également borderline.
Il faudrait pouvoir échanger avec vous .
Je reste personnellement à votre disposition, sachant que ma première séance d'une heure en visio est entièrement gratuite et sans engagement. Vous pouvez librement prendre un rendez vous sur mon agenda en ligne.

Bon courage à vous

Michel le BAUT
Psychopraticien
Thérapeute Jungien
Analyse de rêves

Michel Le Baut Psy sur Marseille

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15 MAI 2024

Bonjour,
Je vous remercie du message laissé sur le site.
Je comprends que vous soyez dans une période difficile sur le plan émotionnel au regard de ce que vous vivez actuellement.
Je vous invite à me consulter afin que des mots puissent être déposés.
J’ai la croyance de penser que cela vous aiderait.

Certains psychanalystes assurent que le désir d’enfant est universel chez les femmes, qu’il est inscrit en elles. Mais je pense qu'aujourd'hui ce n’est plus vrai. Avant les années 1960, la question du désir ne se posait pas vraiment. Qu’elles l’aient voulu ou non, le destin des femmes était d’enfanter.
Faire un enfant relève aujourd’hui d’une démarche consciente, quelquefois programmée. Par ailleurs, de plus en plus de femmes se réalisent dans leur métier et se réalisent dans leur carrière.
Leur ambition et leur réussite professionnelles pallient l’absence du "père" (modèle), tout en les préservant de la procréation, parce que la perspective de cette expérience les angoisse. Avoir un enfant implique un remaniement, une perte de contrôle de l’image de soi, mais aussi, la grossesse peut renvoyer à une représentation des liens maternels vécue comme une dépendance quelquefois insupportable.
Ce qui est certains c'est que vos questions doivent trouver des réponses en levant les verrous de votre inconscient par la parole.

Vous êtes à 27 ans à un moment où la courbe de fécondité féminine est optimale, soit entre 18 et 30 ans. Un seul rapport sexuel peut suffire, surtout quand on est jeune, pour que le biologique prenne effectivement le pas sur le psychologique. Votre corps vous parle. Vous dites "il y avait un nourrisson magnifique et extrêmement mignon. Je ne pu m'empêcher de voir que je n'aurais jamais ça et j'ai fondue en larme de manière incontrôlable."
Quelque fois, l’inconscient s’efface : il « laisse passer » les bébés, même non désirés.
Et si la perspective d’enfanter ravive des moments douloureux, génère de l’angoisse et des problématiques psychiques, le désir a beau être là, vos choix conscients d'avoir où pas un enfants ont toutes les chances d’être bloqués. L’inconscient l’emporte sur le physiologique…
Il faudrait revenir aux sources de votre vie pour envisager ensemble la perspective de choix conscient de ne pas avoir d'enfant, et de l'assumer pleinement.

Je reste disponible si vous souhaitez m'en parler Elisabeth

Elisabeth GIACALONE Psy sur Aix-en-Provence

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6 MAI 2024

Bonjour,
Merci pour votre message et votre confiance.
Les besoins et les envies évoluent au fil du temps et c'est ok. Vous avez le droit de douter, de ne pas savoir et de remettre en question ce que vous pensiez certain et décidé. Je ne pense pas qu'il y ait de devoir de femme mais il y a ce qui vous convient à vous là maintenant. Nous apprenons et évoluons chaque jour, l'apprentissage est sans fin et les erreurs inévitables :)
J'entends votre peur de ne pas transmettre vos souffrances mais c'est aussi toute votre conscience et lucidité (que beaucoup de personnes n'ont pas!) sur la situation qui vous permettent une plus grande sensibilité et attention aux autres, et donc aux enfants si vous décidez d'en avoir.
Connectez-vous à votre coeur et non votre raison pour emprunter le bon chemin pour vous.
Victoire

Victoire Maçon Dauxerre Psy sur Paris

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6 MAI 2024

Bonjour,

Vous traversez l’un des conflits intérieur les plus puissants… c’est normal de vous sentir si « perdue » ! On comprend bien dans votre récit que la raison (celle qui vous dit qu’il ne faut pas avoir d’enfant en invoquant vos responsabilités) s’oppose à votre cœur et vos envies profondes !

Ma première question porte sur les aspects héréditaires qui vous freinent tant : avez-vous clairement posé la question à un ou plusieurs médecins qui vous ont confirmé que vos handicaps / malformations pourraient se transmettre génétiquement ?
Concernant vos troubles psychiques, sachez qu’il n’y a aucune certitude qu'ils se transmettent à vos enfants. En psychopathologie, il y a toujours des composantes génétiques mais aussi expérientielles (votre vécu) à prendre en compte !

D’ailleurs, de ce côté, vous semblez avoir eu une enfance difficile (divorce de vos parents, figure paternelle défaillante, souffrances du fait de vos différences) qui a créé en vous un grand manque de confiance et qui peut être à l’origine de votre dépression chronique.

En démarrant un travail thérapeutique, vous pourrez :
- D’une part explorer votre vision de la maternité, ce choix d’enfanter ou non, vos croyances en lien avec la parentalité (qui sont très dures)…
- D’autre part (et c’est le plus important à mon sens) reconstruire votre amour de vous-même, apprendre à vous accepter enfin pleinement. Et qui sait, une fois que vous aurez parcouru ce chemin, vous pourrez alors faire un choix en paix.

Je reste évidemment à votre entière disposition pour en parler plus longuement si vous le désirez.

Anaïs | Psychopraticienne | Consultations en visioconférence et tarif libre (à partir de 20€/ séance, le patient décide)

Anaïs Goguenheim Psy sur Aix-en-Provence

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6 MAI 2024

Bonjour,

Il n’y a aucun « devoir » d’enfanter…, et heureusement de nos jours chacun est libre de prendre la décision d’avoir ou pas d’enfants en fonction de sa situation et de ses convictions.

Mettre au monde un enfant demande d’avoir la force, la capacité et les conditions nécessaires à son éducation.

Si vous êtes malade, en souffrance psychique et n’avez pas un partenaire qui puisse participer à élever l’enfant…, il vaut mieux réfléchir à 1000 fois avant de décider d’avoir un bébé…, qui de toute façon grandira (ne sera pas toujours un bébé mignon et soumis…) et ne fera pas sa vie avec vous et pour vous.

Vous avez encore du temps, vous êtes jeune.
Pensez d’abord à votre propre santé et bien être actuel.
Il serait bon pour vous d’aller aussi parler de tout avec un-e thérapeute : ceci vous aidera à éclaircir vos idées et ressentis.

Je vous souhaite de trouver le chemin pour votre propre mieux être.
sp

Silvia Podani Psy sur Issy-les-Moulineaux

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4 MAI 2024

Votre sentiment de ne pas avoir d'enfant, aggravé par vos problèmes de santé et vos expériences personnelles, reflète un profond conflit intérieur. Il est naturel de ressentir un tiraillement face à l'innocence et à la joie d'un enfant, même si vous avez pris une décision réfléchie en fonction de votre situation.

Envisagez la possibilité d'une voie du milieu, comme le suggère le principe de modération Bouddhiste - en explorant ce à quoi la maternité pourrait ressembler pour vous tout en atténuant le risque de problèmes héréditaires. Cela pourrait impliquer d'envisager des alternatives telles que l'adoption ou le recours à un donneur, ce qui vous permettrait de vivre la maternité d'une manière qui vous semble responsable et satisfaisante.

La thérapie peut être un espace précieux pour explorer ce que la maternité signifie pour vous, en réfléchissant à votre histoire personnelle, à votre conditionnement émotionnel et à ces voies alternatives. Au cours de nos séances, nous pouvons approfondir ces sujets. Si vous souhaitez approfondir ces réflexions, notre première consultation est gratuite, ce qui vous permet d'entamer cette exploration sans pression.

Lorena Salthu
Conseils téléphoniques personnalisés. Urgences pendant le weekend
Psychopraticien -Coach de vie-Psyconeuroimmunologist -Psychanalyste
Séances en ligne ou en présentiel.
Français, English et Español

Lorena Salthu Psy sur Paris

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3 MAI 2024

Bonjour,

Merci pour votre message et pour votre confiance.
Le 29 12 2022 semble être une date, si c'est bien le cas, a -t-elle un lien avec ce que vous décrivez ?

Nous nous leurrons quand nous pensons prendre toutes nos décisions avec notre raison et notre tête, car nous sommes avant tout des êtres émotionnels. Nos émotions sont là pour nos rappeler qui nous sommes et ce qui est important pour nous, autrement dit nos besoins psycho-affectifs. Tout comme nous sentons notre ventre gargouiller quand nous avons faim, nous avons aussi des sensations internes pour nous dire ce qui doit être pris en compte : amour, respect, partage, communication, intimité, liberté, sécurité, développement, tolérance, etc.

Nous pouvons avec notre cerveau qui réfléchit beaucoup et qui est très très fort, faire comme si ce que nous ressentons n'était pas juste, pas adapté, pas approprié, pas légitime… Mais pour autant, c'est là. Nos envies et nos besoins ne se taisent pas. Ce n'est pas une question de devoir. Il n'y a rien de logique ou de rationnel, c'est là.

Vous semblez voir le côté sombre de l'existence et vos peurs semblent occuper beaucoup de place dans votre regard et dans vos prises de décisions.
Il n'est pas nécessaire d'être parfait pour avoir un enfant. La perfection ne fait pas partie de l'expérience humaine. Personne n'est jamais vraiment prêt à être parent. Mais ça n'en est pas moins une aventure merveilleuse, qui ne nous empêche pas d'apprendre et de nous développer, bien au contraire. Nos enfants nous aident à grandir bien souvent.

Etre parent, c'est aussi apprendre à lâcher sa toute puissance. On ne peut pas tout pour nos enfants. On ne peut pas leur épargner la souffrance, la maladie, la mort, les peines de cœur, les blessures, les doutes et les deuils. Tout cela fait partie de la vie. Etre parent, c'est juste se tenir à côté d'un autre être et dire : je suis là pour toi, quoi que tu traverses. Je ne peux pas t'interdire de souffrir, car c'est comme cela que tu vas te construire. Je peux juste t'apprendre du mieux que je peux à voir où est la joie et à devenir quelqu'un de plus responsable.

C'est ce que nous faisons quand nous accompagnons quelqu'un. En tout cas, c'est comme cela que je vois les choses.

Nous ne sommes pas responsables des souffrances de nos enfants. Nous sommes responsables des nôtres, c'est déjà beaucoup.

Je reste à votre écoute si vous le souhaitez.

Belle fin de journée et au plaisir d'échanger.

Boris Amiot

Boris Amiot Psy sur Serris

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3 MAI 2024

Bonjour,

Je tiens tout d'abord à vous félicitez pour votre courage d'exposer ici votre questionnement sur la nécessité ou pas de devenir mère avec tout ce que cela implique.

Vous analysez très bien les croyances que vous avez sur le sujet du couple et de la relation amoureuse mais cela ne vous appartient pas et parle de l'histoire de vos parents. Mais vous, de quoi avez vous réellement envie ?

Allez vous reconnecter à vous me parait essentiel pour poser les choses de façon claire sans être influencé par des croyances limitantes.

Je suis à votre disposition pour un entretien de 30 mn OFFERT au cours duquel nous irons voir ensemble comment je peux vous accompagner.

Cordialement

Carole Rouzioux
Praticienne en Gestalt thérapie et hypno coach

Carole Rouzioux Psy sur Saint-Aignan-Grandlieu

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3 MAI 2024

Bonjour,
A vous lire, je ne retiendrai que ces mots "vous êtes perdue"...
Je vous conseillerai vivement de consulter car tout ce que vous évoquez ce sont des croyances négatives derrière lesquelles vous vous confortez et/ou confrontez.
Je pense que les souffrances que vous énumérez semblent remonter à d'autres beaucoup plus anciennes dans votre enfance. Vous dites beaucoup de choses qui sont la résultante de vos questionnements d'aujourd'hui.
Et c'est ce qu'il serait nécessaire de revisiter en thérapie. Je vous conseille une approche intégrative (voir mon profil).

Cordialement
Hypnothérapeute clinique - Thérapie intégrative & holistique

Nathalie Follmann Psy sur Clichy

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3 MAI 2024

Bonjour,
Je vous remercie, tout d'abord pour ce partage touchant.
Ce qu'il pourrait se passer, c'est que vous évoluer dans l'âge et qu'une envie de transmettre et de partager serait de plus en plus présent, et qu'il lutterait contre la peur, et l'angoisse de ce que vous avez pu vivre dans votre passé et encore actuellement.
Des fois les convictions que l'on tient sont présentes car on se refuse aussi de souffrir plus que ce que l'on souffre déjà, voire de vivre aussi, en fonction de votre parcours, ce que vous avez le droit de vivre.
Il se peut que cela ne soit pas héréditaire ?
Ile se peut aussi que vous puissiez l'aborder autrement avec votre enfant si jamais cela doit être le cas.
Chaque personne ayant une maladie le vit différemment de l'autre.
Qu'est ce que vivre et partager représente pour vous ?
Qu'avez vous envie à l'intérieure de vous ?
Je vous partage aussi mon impression que vous vous effrayez beaucoup sur un futur qui n'est peut être pas encore en route, et qui vous bloque dans votre manière d'aborder la vie.
Je serais en tout cas intéressée et disponible pour m'entretenir avec vous sur ces divers sujets, si vous en ressentez le besoin.
Jasmine Santalucia

Jasmine Santalucia Psy sur Marseille

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3 MAI 2024

Bonjour,

Je comprends votre décision de ne pas avoir d'enfant mais, malgré nous, nous engrammons un devoir de reproduction.
L'être humain est ainsi fait et le renoncement à enfanter peut être douloureux pour le psychisme et particulièrement pour la femme et son horloge biologique.

Vous devriez consulter un thérapeute afin de diminuer le conflit intérieur qui organise vos angoisses et insinue du doute dans vos réflexions.
Je vous invite à aller visiter mon site internet "un psychanalyste en ligne" et si la psychanalyste vous intéresse, n'hésitez pas à m'appeler.

Cordialement
Catherine Cadou - Psychanalyste

Catherine Cadou Psy sur Les Angles

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3 MAI 2024

Bonjour,

Biologiquement c'est certains que le corps est fait pour enfanter, vous avez fait preuve de beaucoup de réflexion. Mais, le désir reprend le dessus.
Vous pouvez en discuter avec votre gynécologue et les médecins qui suivent votre état de santé.
Cela pourra vous orienter sur les risques qui vous font si peur.
Lorsque le coté physique et médical vous saura apporté des réponses, vous pourrez envisager une psychothérapie.
En mon sens, vous avez réveillé ce sentiment, dans cette salle d'attente en présence de ce nourrisson. Cela est déconcertant pour vous, car ce sentiment vous submerge. Le deuil est toujours difficile, mais encore plus lorsqu'il n'y a rien de réel, ici un enfant.
La compréhension et mettre du sens sur vos émotions est en mon sens une bonne voie.
Je reste à votre disposition, belle journée à vous.
Mélina CHASTANG GIUNCHI, psychopraticienne

Melina Chastang Giunchi Psy sur Romans-sur-Isère

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3 MAI 2024

Bonjour à vous,

Votre témoignage poignant m’a particulièrement touché.
J’aimerais vous apporter un éclairage et des perspectives pour que vous puissiez agir librement et non pas au non de peurs.

Déjà, je ressens dans votre cœur le désir profond d’être mère et sachez que rien dans la vie n’est une fatalité absolue et que tout reste possible.

Avec un bon travail en psychogenealogie vous pourrez comprendre le sens de certain de vos maux et maladies et déprogrammer d’éventuelles répétitions qui pourrait impacter votre futur enfant. Cette thérapie en pleine expansion a fait ses preuves et je suis troublée de sa précision chaque fois que je l’emploie sur mes patients.

Je reste à votre écoute en toute bienveillance si vous souhaitez en savoir plus et vous offrir, à votre rythme un travail sur mesure.

Anne-Claire Plantey
Psychanalyse active/ psycho généalogie / Coaching positif


Anne-Claire Plantey Psy sur Saint-Martin-de-Hinx

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3 MAI 2024

Il semble que vous traversiez une période de confusion et de conflit intérieur concernant votre décision de ne pas vouloir d'enfant. Voici quelques réflexions basées sur des principes de soutien psychologique :

Écoutez vos émotions : Il est normal de ressentir des émotions contradictoires et complexes concernant des décisions aussi importantes que celle de devenir parent. Laissez-vous ressentir et explorer ces émotions sans vous juger.
Comprenez vos motivations : Réfléchissez à ce qui sous-tend votre décision de ne pas vouloir d'enfant. Est-ce lié à vos propres expériences personnelles, à des préoccupations concernant votre santé mentale ou physique, ou à d'autres facteurs ? Comprendre vos motivations peut vous aider à clarifier vos sentiments et à prendre des décisions éclairées.
Acceptez vos émotions : Il est normal de ressentir de la tristesse, de la confusion et même du deuil face à la perspective de ne pas avoir d'enfant, surtout lorsque vous êtes confrontée à des situations qui évoquent cette possibilité. Acceptez vos émotions comme faisant partie du processus de prise de décision et de votre cheminement personnel.
Recherchez un soutien professionnel : Parler à un thérapeute ou un conseiller peut vous aider à explorer vos pensées et vos émotions de manière plus approfondie, et à trouver des stratégies pour naviguer à travers cette période de confusion. Un professionnel qualifié peut vous offrir un espace sûr pour partager vos préoccupations et vous aider à trouver des réponses à vos questions.
Faites preuve de compassion envers vous-même : Il est important de vous rappeler que vous êtes humaine et que vous avez le droit de ressentir toutes sortes d'émotions, même celles qui peuvent sembler contradictoires ou difficiles à comprendre. Soyez gentille avec vous-même et faites preuve de compassion envers vos propres luttes et incertitudes.
En fin de compte, la décision de devenir parent ou non est extrêmement personnelle et complexe, et il n'y a pas de réponse universelle. Prenez le temps dont vous avez besoin pour réfléchir à vos propres besoins, désirs et circonstances, et rappelez-vous qu'il n'y a pas de bonne ou de mauvaise décision, seulement ce qui est le mieux pour vous.

Céline Fleury Psy sur Coupvray

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3 MAI 2024

Bonjour,

J'ai l'impression que vous êtes actuellement dans une lutte avec vous même. Votre raison vous dit qu'avoir un enfant n'est pas la bonne décision ni pour vous, ni pour votre futur enfant mais votre cœur lui ne pense pas la même chose.

Pour sortir de ce cercle vicieux qui vous fait tant de mal, je vous conseille de vous rapprocher d'un thérapeute qui va vous aider à stopper cette lutte constante et vous soulagez de ce mal être.

Je reste à votre disposition,

Sandra Vaquette
Thérapie brève

Sandra Vaquette Psy sur Crest

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3 MAI 2024

Bonjour,

C’est assez simple à comprendre, nous sommes programmés pour nous reproduire, c’est l’essence même de la vie. Il n’est donc pas étonnant que le corps les hormones, mais aussi les principes de société nous poussent à cela.
Vous ne souhaitez pas avoir d’enfant pour les raisons très justes que vous avez évoquées. C’est votre choix et cela ne regarde que vous. Cependant, vous devez garder en tête que peut-être vous aurez pendant encore longtemps ces instants de doutes et de confusions.

Je reste à votre disposition et à votre écoute.

Pour plus de détails, contactez-moi.
N’hésitez pas à vous faire une idée du sérieux de ma méthode en consultant les avis sur ma fiche.

Christophe
-------------------------------------------------
Thérapeute de couple - Sexothérapeute
* Rendez-vous en ligne uniquement

Christophe Nieaux Psy sur Melun

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