Je suis obsédée par la peur d'être pédophile(ruminations, angoisse
Bonjour,
je suis une jeune femme de 20 ans, (bientôt 21 en novembre) et depuis la majorité je suis obsédée par la peur d'être attirée par enfants. En effet, Arrivée en terminale, à 17 ans, je me suis rendu compte que je devenais adulte et j'ai commencé à me poser des questions du types : "Si quelqu'un de 16-17 est intéresse à quelqu'un de 13 ans se serait normal?" Ce genre de questionnement à commencer à poindre régulièrement mais je les chasser rapidement car à l'époque j'étais très amoureuse d'un jeune homme de 20 depuis une bonne année.D'ailleurs, c'est en pensant à lui que commençais à germer du désirs sexuel concret. Avant, l'amour pour moi, c'était le sentiment amoureux plus que la sexualité en elle même.C'était abstrait et 'un peu sale" les sentiments primaient. Je tiens également à dire que je sur le plan amical et relationnel, je me suis toujours sentie en phrase avec les gens de mon âge, préférant souvent la compagnie des gens plus âgés et aimant aussi beaucoup le contact avec les adultes autour de moi. Les enseignants disaient de moi que j'étais mature pendant ma scolarité. Par exemple, à 15 ans, je suis allée en internat dans un foyer pour personnes handicapées(je me déplace en fauteuil). J'ai demandé à être dans le groupe des jeunes adultes (20-25 ans) car je me sentais pas du tout en phrase avec le groupe de ma tranche d'âge et pas tellement celle du dessus. Je m'y sentais tellement plus à l'aise.
En outre, je dirais que jusqu'à la majorité, j'étais préssée de grandir, de franchir de nouvelles étapes(de vivre des expériences, d'être prise au sérieux par mes parents, d'avoir mon bac et d'aller à la fac) Mais depuis, c'est tout le contraire, je suis angoissée par mon âge.
Ensuite,Il y a deux ans (à 18 ans), en première année de fac, je lisais des articles des articles de psychologie. J'aime beaucoup lire des choses sur les relations humaines et comme j'ai grandit dans un contexte familiale difficile, je cherchais des idées pour devenir une meilleure adulte que mes parents. Donc, je suis tombée sur un article qui expliquait comment préserver les enfants. Je pensais par exemple à ma petite soeur (11 ans, à l'époque) sauf que j'ai commencé à me renseigné d'avantage et les angoisses sont montées et je me suis dit : "je suis responsables des autres et de moi même, un adulte maintenant et si j'étais attiré par des gens de 13-14. Si je trouvais un ado de 14 ans beau par exemple. Les ruminations sont revenues, mais je me suis rassurée avec ce que je vous ai exposé plus haut.. Que de toute façon, les enfants je n'aimais pas leur compagnie, que les collégiens je les trouvais immature pour la grande majorité, même quand j'avais leur âge.. Pour ce qui de ceux qui avait 15 ou plus, bien je me disais que si j'étais née en début d'année je serais encore au lycée donc R.A.S. J'ai pu continuer ma vie normalement, l'angoisse était pas envahissante. Je précise aussi que j'étais toujours était comme tout le monde dégoûtée par les histoires d'abus et de prédateurs sexuels.
L'année passée, j'étais dans le transport adapté avec un jeune de troisième (15) et une gamine de (7 ans) et les angoisses liés à cette lecture et un reportage ont resurgis. Des pensés étranges, ont surgit. Je précise que j'étais particulièrement pas enchantée à l'idée d'avoir à m'occuper d'une enfant, jouer avec elle pendant le route. Enfin bon, malgré mon sentiment d'angoisse, et le fait qu'elle m'agace un peu par ces sollicitations pour jouer, je m'en occupe pendant le transport, lui souhaite un bonne journée, un comportement banal. Or les pensées sont là. Et elles m'ont font peur. Il m'est même arrivé de quitter un restaurant car je voyais une maman avec un bébé.. Cependant, j'arrive à gérer car je vois bien que ceux que des pensés, même si les doutes sont présents. Je me revoie encore la main tremblante lui tapotais la tête en lui disant qu'elle serait bientôt avec sa mère, quand elle étais malade. J'avais peur d'avoir un coup de folie. En temps, j'avais renouer avec le garçon ci dessus et ça m'avait persuadée que j'étais pas déviante car j'avais clairement un ressenti physique et émotionnelle érotique à son égard Dans le même temps,. j'étais littéralement obsédée par Tyrion Lannister dans GOT. L'auteur et le personnage sont loin d'avoir dix huit ans!!J'avais donc réussi à lâcher prise avec ces pensés.
Or un septembre dernier, j'ai regardé une émission sur le film les chatouilles et ça a réactivé tout ce questionnement.. Je me souviens pas de mon ressenti exact mais le terme " choqué "et approprié. Je me suis pas sentie bien(pleurs, sentiments de malaise) et la nuée d'angoisse et de pensées bizarres, d'images inappropriés sont apparues. Je n'ai pas réussi à m'en défaire. ça collait et colle encore.. Résultats : Ruminations,j'évitais de passer devant des écoles. Je changeais de troittoirs quand je croissais des enfants, fermer les yeux au cinéma, éviter de regarder tout film ou documentaire ou les enfants ou moins de 15 ans pour éviter ses pensées. J'ai même été jusqu'à calculer l'âge de l'acteur qui joue Harry Potter dans le troisième opus car j'ai pensé qu'il était beau pour être sûr, qu'il avait au moins 15 ans. J'ai même longtemps ressentie d'un coup, un malaise avec ma petite soeur de treize ans. J'évitais tout contact de tendresse, voir visuel. Je suis pas du tout tactile, je n'aime pas prendre les gens de les bras, leur faire la bises.. Et j'ai toujours insisté pour qu'une de me prennent pas pour un distributeur de bisous et ou de calins, enfant et ma petite soeur aussi. Mon père est sujet à ce concept. (sans connotation sexuel) mais le : "si tu fais pas un bisous, un câlin, tu es méchant même à 12, 13 ans Les adultes qui réclament de l'affection pour combler un vide affectif. Bon, comme je me disais que si un jour, j'ai des enfants il faudrait que je sois un démonstrative physiquement. Je me disais que les enfants aimaient demander des câlins et que les adultes aimaient souvent les étouffer de bisous c'est que c'était pas si désagréable. Avec cette peur, j'ai peur de faire un amalgame entre tendresse et sexualité. De rechercher mon besoin avant celui de l'enfant et que cela soit quelque choses de pervers. Comme je suis dépendante, je me disais souvent que je si j'avais des enfants, je ferais scrupuleusement attention à mes gestes pour respecter leur pudeur, car justement, mon père sans que cela soit pervers avait à ne pas respecter la pudeur et à nous voir grandir. Mais cette obsession, ce doute vient bousculer tout mes repères. Je me dis que peut être, j'ai eu un souci de développement et que je suis restée bloquée à un âge ou bien que ma peur de l'âge adulte? et de pas savoir me positionner en adulte face à des plus jeune? Aujourd'hui, ma peur concerne les jeunes d'âges collèges. Je me dis et si j'étais rester à cette âge, secondairement) . Ma question est la suivante, J'ai entendu parler des phobies impulsions ou de TOC, es ce que c'est vraiment ça ou bien j'ai une déviance refoulée? . Car ça à beau être moins présent en ce moment, ça revient tout les jours, encore et encore.. Je suis angoissée, bouleversée et je me différente de ce que je pensais être. Même quand j'ai commencé à me poser des questions en terminale, je ne ressentais aucune excitation sexuelle. Je tiens à le préciser, je me disais tu te pose trop de question, tu as dix sept ans.. Les seuls moments où j'ai ressenti une excitation sexuelle pure c'est avec le garçon dont je vous ou l delors fantasme homosexuelle à la call me by your name. Désolée de rentrer dans des détails mais c'est pour être claire. Pouvez me donner votre avis, et me conseiller une thérapie? C'est problématique, j'ai refusé de sortir avec quelqu'un (25ans) car il était baby sitter et que j'avais peur.. J'étais toujours été sujette au ruminations, angoissée de nature( les crise d'angoisses j'en ai connu, peur de changements, timide fortement) J'ai connu plusieurs deuils consécutifs, entre mes 14 ans et aujourd'hui d'amis de maladie et d'accidents.. Je le dis si ça peut jouer. Voilà un grand merci à vous pour lire ce pavet et pour vos réponses pour vos réponses. Je vous écris pour me soulager aussi en attendant de trouver une solution concrète. Dans tout les cas, je veux me soigner et me ressentir bien dans mes baskets.