Pas de chagrin face mort

Bonjour Stéphanie

Pour faire un deuil il y a 6 étapes.
Chaque personne exprime et les vit à son rythme et sa manière .
La tristesse n’est pas obligatoire lorsque une personne décède . Si tu ne ressens pas la tristesse, c’est peut être une autre émotion comme la colère par exemple ? Ou quel est l’autre émotion ?
Ou peut être tu n’avais pas besoin d’émotions
Et que maintenant t’en a besoin parce que tu avance dans les étapes pour faire le deuil .

L’hypnose peut bien t’aider à faire le deuil selon ton rythme.

Tu peux m’écrire et m’appeler

Bonne journée
Zeineb

Le chagrin ou de la tristesse au moment du décès de quelqu'un n'est pas une obligation ou une norme. Cela dépend de là où vous en étiez de l'histoire avec chacun de vos proches. La mort demande qu'on accueille les émotions qui nous viennent dans le respect de l'intime de chacun.

Bien à vous,
Karin Walter

Bonjour,
Il se peut que cette absence de ressenti soit en réalité un système de défense et que cela évoluera quand votre inconscient vous sentira prête.
Au besoin, consultez pour comprendre ce qu'il se passe et surtout chasser cette culpabilité.
Je consulte en présentiel ou par visioconférence. Merci de me contacter avant de vous inscrire sur l’agenda de la plateforme.
Bien à vous
Véronique BLANCHE, Thérapeute Holistique
Guérison de l’enfant intérieur
Hypnose Ericksonienne
Soins énergétiques

Bonjour Stephina
Ne culpabilisez pas.
Il est possible que vous soyez coupée de vos émotions, et aussi peut être que la relation avec votre père était tellement distante, que vous n'avez réellement pas de chagrin.
Mais si vous sentez que qqc est bloqué en vous, pensez à recevoir de l'aide de l'un l'une d'entre nous.
Pour ma part bien volontiers en présentiel ou visio selon votre souhait
Bien cordialement Inès Avot

Bonjour,

Votre question soulève le concept de deuil et non d'une quelconque indifférence concernant le décès de votre père. Chacun vit la mort d'un proche de ressentis analogues conventionnels pour certains, de contraires pour d'autres.
Parfois, la perte est déniée sur le moment,car l'émotion est trop forte, parfois refusée pour un temps, puis c'est la tristesse qui envahit.
Lâcher prise à votre culpabilité ou bien consulter temporairement .

Je vous offre la possibilité d'en parler avec moi, en présentiel ou en ligne, afin de résoudre cette situation, et de trouver ensemble les solutions les plus adaptées.
Patrick Groult, psychanalyste

Bonjour Stéphanie,

Veuillez recevoir mes plus sincères condoléances pour la perte de votre père.

Rassurez vous certaines personnes se sentent insensibles quand quelqu’un meurt et vivent leur chagrin plus tard ou à leur façon. Ces moments sont parfois déclenchés par les fêtes, les anniversaires ou devant des gens qui vous rappellent le défunt. Il est aussi possible que rien ne déclenche le deuil, il est difficile de prévoir si le chagrin viendra.

Le chagrin peut se vivre dans l’intimité, et bien des personnes se demandent comment leur chagrin se compare à celui des autres. Il est possible qu’en parlant de votre chagrin, vous parveniez à comprendre ce que vous ressentez. Vous pouvez en parler avec des amis, vous joindre à un groupe de soutien ou me consulter.

Tenir un journal intime pourrait aussi vous aider à exprimer vos sentiments. Nous trouvons tous nos propres façons de gérer nos sentiments entourant la mort. N'oubliez pas que si vous vous sentez bouleversé, je peux vous aider à comprendre vos sentiments. Donc ne culpabilisez pas.

Je reste à votre écoute
Bien à vous
Marjorie Lugari
——————————
*** psychanalyste praticienne en psychothérapie
*** sexothérapeute aide à le Parentalité

Bonjour Stéphanie

Tout d'abord, je vous invite à vous questionner à nouveau sur ce que vous ressentez . Il est rare de ne rien ressentir. Peut être n'est ce pas ce que vous attendiez mais écoutez vous vraiment. Que ressentez vous ? quelles sont les images présentes quand vous pensez à votre père ? y a t'il des souvenirs ? laissez les défiler et observez vos émotions...
Est ce que la mort de votre père est récente ou remonte déjà à plusieurs mois?
Suite à la mort d'un proche, il peut se passer parfois une période de déni où nous nous protégeons pour ne pas souffrir.
On peut également avoir une idée du chagrin qui ne correspond pas à ce que l'on ressent.
Que voudriez vous ressentir ? ça serait comment si vous ressentiez ce qu'il faut pour ne pas vous sentir coupable ?
Cela peut être également le moment approprié pour revenir sur votre passé en accompagnement thérapeutique de façon à vraiment trouver la paix dans cette relation.
Je me tiens à votre disposition pour vous accompagner dans ce processus et vous souhaite sincèrement de trouver réponses à vos questions.

Bien à vous
Hélène CHAMBRIS
Gestalt Thérapie Humaniste Intégrative
Rdv en ligne ou en présentiel à Marseille 8ème

Bonjour,
J'ai deux hypothèses qui pourraient expliquer votre état :

Vous ne ressentez ni tristesse ni chagrin mais avez vous pris la mesure de ce qui se passe ? Souvent, face à un deuil, la première réaction est une certaine forme de déni. Cette étape, même si elle est peu conscientisée, est temporaire, la tristesse viendra peut-être plus tard...

Peut-être votre corps cherche-t-il à vous protéger de vos sentiments et préfère-t-il vous couper de vos émotions. Dans ce cas, vous ne ressentez rien car ressentir quelque chose serait trop douloureux et inconfortable pour vous. C'est un mécanisme de défense naturel.

Dans les deux cas, un accompagnement par un psychologue vous permettrait de vous reconnecter à vous même, de travailler votre relation à votre père pour vous apporter le plus de confort personnel. Et ainsi vous libérer de toute souffrance psychologique, de toute blessure du passé.

Je reste à votre disposition pour des consultations en visio si vous souhaitez entreprendre un tel travail.
bien cordialement,
Ségolène Hartz

Bonjour Stéphanie,

Un deuil cela prend du temps. Il y a plusieurs phases : le déni, ce celle que vous vivez très probablement depuis le décès de votre père. Une part de vous ne peut se résoudre à imaginer, croire, accepter ce départ.
Ensuite il y a les phases de la tristesse et de la colère. Et aussi la négociation que vous faites avec vous-même, "et si j'avais agi de telle façon, et s'il s'était passé ceci ou pas passé cela..."
Il semblerait que vous n’ayez pas encore contacté ces 3 phases-là.
Toutes ces étapes peuvent se répéter plusieurs fois, dans un ordre différent et à tout moment. Cela peut prendre des semsaines des mois, parfois des années.
C’est seulement après avoir traversé toutes ces phases que vous entrerez dans l'acceptation. Et là vous serez libérée de toute culpabilité. Vous retrouverez le calme et la sérénité.

Et en même temps si vous êtes coupée de vos émotions, à quoi cela vous renvoie-til dans votre hstoire ? Qu’avez-vous vécu pour que vous restiez comme neutre dans ces événements . Quel âge avez-vous quel est votre parcours ?

Je reste à votre écoute,
Claire Thomas,
Psychosomatothérapeute

Bonjour Stéphanie,

Tout le monde ne vit pas le deuil de la même façon. Cela va dépendre de la nature et de la profondeur du lien avec le ou la défunte.
Cela dépend aussi de notre personnalité, de notre âge, de notre état dans la vie au moment du deuil.
Souffrir de l'absence d'un être cher ne se traduit pas forcément par des émotions visibles, manifestes. Cela ne veut rien dire.
Il peut arriver aussi que l'on ait "bridé" nos émotions, pour ne pas trop souffrir. Dans ce cas là il faut faire attention car la mer gronde derrière la digue qui risque de ne pas tenir très longtemps.
Je reste personnellement à votre disposition, sachant que ma première séance d'une heure est entièrement gratuite et sans engagement.

Bon courage à vous

Michel le BAUT

Bonjour à vous,
Vous culpabilité de ne pas manifester votre tristesse en pleurant . Il y a de nombreuses manières de faire son deuil, cette manière vous appartient. Toutefois de mettre de la culpabilité face à votre comportement peux vous interroger. A vous demander de quoi vous vous sentez coupable ? Il y a certainement une souffrance en vous qui demande à être légitimée. Chaque fois que votre mental reconnaît inconsciemment cette souffrance il met en place un schéma de protection. ( Se ferme pour ne pas exprimer et ressentir l’émotion, la souffrance). Plus vous refoulez cette souffrance plus votre mental renforcera le schéma de protection qui lui correspond. Afin de couper définitivement avec celui-ci il vous faut retrouver la souffrance initiale qui s’y rattache. Pour la comprendre. L’accepter. la legitimer. Pour cela " La connaissance de soi " " L’expansion de conscience " sont des outils formidables et efficaces qui répondent à votre demande. Je vous invite à vous renseigner. A participer à un stage qui changera votre vie. Je vous remercie de votre confiance. Je suis disponible pour tout renseignement complémentaire.
Je vous souhaite une joyeuse fête de la lumière. Christine Lorijon

Bonjour,
merci pour votre message.
J'ai de nombreux patients dans votre cas. Face à un deuil, la réaction de chacun peut être différente, dans la forme comme dans le temps.
Ces évenements sont marquants et font appel ou écho à notre passé, nos peurs et nos doutes. Nous réagissons comme nous le pouvons et pour nous protéger. Mais il est important d'avancer, pour que cela ne soit pas une bombe à retardement.
Alors, il serait bien juste de consulter, pour en parler et de voir ce qui est enfoui en vous, pour mieux le gérer et l'appréhender dans votre futur.


Avec bienveillance, empathie et sans jugement, je consulte en cabinet ou mais aussi en visio (Doctolib) : cela permet une grande discrétion et confidentialité, sans vous déplacer et aux moments ou vous êtes disponible.

Spécialiste en de nombreux sujets dont la sexualité, les relations de couple, sociales, amoureuses ou toxiques, angoisses, crise de sens...Ecrivez moi ou appelez moi et nous en discuterons.
Bien cordialement,
Christian RICHOMME
Psychanalyse - Sexothérapeute
Paris

Bonjour Stépanie,

Vous exprimez votre absence de chagrin face à la mort de votre père et antérieurement le même état quand votre seconde mère vous a quittée.
Sachez déjà que chaque être réagit très différemment face à la perte d'un être cher, ce n'est pas un signe chez vous d'absence de sentiments envers eux. Vous vivez plutôt un blocage émotionnel et vous êtes coupée dans le "processus de deuil" qui comporte plusieurs étapes mais que chaque individu vit dans "l'ordre" ou pas et peut parfois sauter certaines étapes.
Vous n'êtes pas insensible, rassurez-vous; vous avez inconsciemment instaurée un mécanisme de défense pour ne pas souffrir et de ce fait vous basculez dans votre incosncient ces évènements qui sont pourtant de l'ordre du non-tolérable et blessants.
Je vous conseille de réaliser par un accompagnement thérapeutique un travail sur vos émotions, les débloquer et les laisser venir, faute de quoi elles restent emprisonnées et tôt ou tard, lors d'un évènement anodin et a priori sans rapport forcément avec le décès de ces deux personnes, cet état chargé en tristesse contenue et niée à mon sens viendra rejaillir et vous déstabiliser.
Vous devez modifier votre schéma cognitif et laisser se libérer votre douleur qui existe bel et bien mais que votre inconscient refuse de laisser paraître.
Vous êtes coupée de vos émotions, de cette tristesse qui accompagne le deuil, vous ne vous y autorisez pas, pour une raison que vous devez conscientiser en analyse sur vous-même, alors là vous serez soulagée et vous percevrez en différé combien ces êtres sont les grands absents de votre vie désormais mais qu'ils devaient quitter ce Monde pour des raisons que vous seule connaissez..
La confrontation à la mort d'un proche est un traumatisme du psychisme qui se protège. Ce n'est pas anodin.

Je me tiens à votre écoute en téléconsultation si vous avez besoin d'être aidée et selon votre volonté exclusivement.

Encore une fois, ne vous jugez pas, ne vous croyez pas "à part "ou "anormale". Il faut juste débloquer vos émotions et savoir pourquoi vous réagissez par deux fois ainsi.

Bien chaleureusement.

Bénédicte ESCARON
Praticienne en Psychothérapie
Psychanalyste
Thérapeute en TCC
Sophrologue Sophrothérapeute